L’influence néfaste
de la consommation de
viande porcine sur la santé.
Compte tenu de larges secteurs de population, il apparut hautement
souhaitable d’analyser plus étroitement les raisons de la nocivité de la viande
porcine et de mettre en évidence ses facteurs de toxicité et de stress,
notamment les « sutoxines ». La
possibilité qui s’en dégage est que tout individu peut se maintenir en bonne
santé en excluant les facteurs toxiques (poisons spécifiques du porc) de son
régime alimentaire ou peut recouvrer la santé en observant une stricte
prohibition de viande porcine.
Il est reconnu
que la viande porcine provoque le stress et conduit à l’empoisonnement. Mais
ceci ne s’applique pas seulement aux préparations de viande fraîche telles que
pièces froides, pieds, jarrets, côtes, côtelettes, etc., mais également à
toutes les viandes salées (jambon, lard, charcuteries) et fumées comme
saucisses et saucissons. La consommation de viande porcine fraîche provoque des
réactions typiques: inflammations de l’appendice, des intestins et de la
vésicule biliaire, coliques hépatiques, gastro-entérites avec symptômes de
typhoïde et paratyphoïde, ainsi que des eczémas aigus, furoncles, abcès
sudoripares et autres.
Ces symptômes peuvent aussi être observés après consommation de saucisses
sous toutes ses formes, y compris le salami qui contient des morceaux de lard
sous forme de gras.
La consommation
de viande porcine est particulièrement dangereuse dans les régions tropicales. Ce qui, par exemple, est démontré dans les
régions africaines où les civilisations islamiques et occidentales vivent en
communautés voisines sous les mêmes conditions climatiques. On retrouve ces mêmes
conditions également chez différentes races de l’Himalaya où vivent les Hunsa
(Bircher). Les populations islamiques ne
se nourrissent pas de porc et sont en bonne
santé, elles travaillent jusqu’à un âge avancé comme porteurs dans de
nombreuses expéditions.
Les populations de civilisation occidentale vivant sur l’autre versant de
la vallée
n’observent pas les règles islamiques de travail et de diététique et
souffrent de toutes les maladies courantes. En d’autres termes, les peuples qui
observent les lois de l’Islam sont bien portants, tandis que ceux qui suivent
les coutumes occidentales contractent toutes ces maladies typiques, découlant
d’une alimentation dont le porc n’est pas exclu. Nous devons nous référer ici
aux fondateurs des grandes cultures, qui ont fondamentalement influencé notre
culture occidentale. Moïse, le prophète, et Mahomet, par exemple, reconnurent
les prohibitions imposées par la nature et basèrent leurs lois sur celle-ci. L’Ancien
Testament, dans les livres du Lévitique, chapitre 11, et du Deutéronome,
chapitre 14, de la Sainte Bible contient les extraits suivants:
Lévitique 11 : 1-8 : nourriture animale pure et impure.
YaHuWaH parla à Moïse et à Aaron et leur dit:
‘Parlez aux enfants d’Israël et dites: Voici les animaux dont vous mangerez
parmi toutes les bêtes qui sont sur la terre: vous mangerez de tout animal qui
a la corne fendue, le pied fourchu et qui rumine. Mais vous ne mangerez pas de
ceux qui ruminent seulement ou qui ont la corne fendue seulement. Ainsi vous ne
mangerez pas le chameau, qui rumine, mais qui n’a pas la corne fendue: vous le
regarderez comme impur. Vous ne mangerez pas le daman, qui rumine, mais qui n’a
pas la corne fendue: vous le regarderez comme impur. Vous ne mangerez pas le lièvre,
qui rumine, mais qui n’a pas la corne fendue: vous le regarderez comme impur.
Vous ne mangerez pas le porc, qui a la corne fendue et le pied fourchu,
mais qui ne rumine pas: vous le regarderez comme impur. Vous ne mangerez pas de
leur chair et vous ne toucherez pas leurs corps morts: vous les regarderez
comme impurs.»
Deutéronome 14 : 4-7
‘Voici les animaux que vous mangerez: le bœuf, la brebis, et la chèvre; le
cerf, la
gazelle et le daim; le bouquetin, le chevreuil, la chèvre sauvage et la
girafe. Vous mangerez de tout animal qui a la corne fendue, le pied fourchu et
qui rumine. Mais vous ne mangerez pas de ceux qui ruminent seulement ou qui ont
la corne fendue et le pied fourchu seulement. Ainsi vous ne mangerez pas le
chameau, le lièvre et le daman qui ruminent mais qui n’ont pas la corne fendue:
vous les regarderez comme impurs. Vous ne mangerez pas le porc, qui a la corne
fendue, mais qui ne rumine pas: vous les regarderez comme impurs. Vous ne
mangerez pas de leur chair et vous ne toucherez pas leurs corps morts.’
Le Coran, sourate 16, verset 115, écrit ceci:
« Il vous a interdit la viande décomposée, le sang et la chair du porc; de
même toute chair consacrée autrement qu’au nom d’Allah. Mais quiconque est
contraint d’en manger, sans intention particulière ni intention de
transgression, trouvera le pardon et la miséricorde d’Allah. »
Yahweh, Dieu des juifs, établit également des prohibitions identiques concernant
la loi de la nature contre laquelle on ne doit pas pécher; agir de la sorte
apportera certainement une rétribution biologique par rapport à « la maladie
prédite comme punition ». Il serait superflu de mentionner les peuples d’Arabie
Saoudite, d’Égypte, du Pakistan, d’Algérie, de Tunisie, de Libye ou de toute
autre contrée où l’Islam est la religion nationale, puisque ces règles de
conduite ont été leurs principes depuis plusieurs centaines d’années.
La stricte prohibition du porc par les juifs et les musulmans est bien
connue également. Il
est souvent suggéré que ces coutumes sont des mesures hygiéniques et
religieuses, ordonnées par les prêtres à
cause des trichines du porc. Cet avis est toutefois sans fondement, car
cette pratique remonte aux temps de Moïse et de Mahomet où la trichine était
inconnue.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le nombre des soldats allemands
malades qui se trouvaient en Afrique du Nord devint de plus en plus important.
Ils souffraient d’abcès à la partie inférieure de la jambe, appelés « ulcères
tropicaux ». Ces ulcérations les rendaient inaptes au combat et nécessitaient
des soins hospitaliers prolongés qui, souvent, exigeaient des traitements en
zones au climat plus tempéré. Toutes les formes possibles de traitements, y compris la chimiothérapie, furent
déployées sans résultats positifs. On pensa alors que ces ulcères à la jambe
pouvaient avoir une relation avec les habitudes alimentaires des soldats, étant
donné que les indigènes, eux, ne montraient aucun symptôme de la maladie. Les rations des soldats furent alors basées
sur un régime
exempt de porc, fort semblable à celui des populations islamiques,
et il en résulta une amélioration
immédiate du syndrome de l’ulcère de
la jambe.
Pendant les privations des années de guerre et spécialement celles de
l’après-guerre, la
santé de la population fut pratiquement bonne. Rares étaient les personnes
nourries à satiété. La viande sous toutes ses formes n’était disponible qu’en
faibles quantités et même le porc était rare. Il n’y avait pas de matières
grasses, encore moins de sucre, mais les céréales, le pain, les pâtisseries
étaient disponibles à profusion, complémentées par des pommes de terre et des
légumes. Durant cette période, il fut à peine question d’appendicites et il n’y
eut aucun problème de vésicule biliaire, excepté chez les rares « privilégiés » du marché noir qui
parvenaient à s’approvisionner en porc. De même, le rhumatisme, les
hernies discales et les affections similaires furent complètement inconnues. Ce
fut vrai également pour les affections cardiaques, la sclérose et
l’hypertension.
En 1948, aussitôt après les réformes monétaires, les produits alimentaires issus du porc, comme le jambon, le lard, etc.,
redevinrent rapidement disponibles et le tableau de santé de la population
allemande se transforma complètement. Appendicites,
troubles hépatiques, éruptions cutanées telles que pyodermites, impétigos,
furoncles, abcès sudoripares devinrent choses courantes. Par suite des
traitements chimiothérapiques et des sulfamides, des mycoses chroniques ainsi
que diverses variétés d’effets secondaires firent leur apparition. En même temps, l’accroissement des cas de
cancers fut particulièrement effrayant. Un grand nombre de patients de 60 à 70
ans qui avaient été jusqu’alors en excellente santé souffrirent subitement de troubles digestifs dus au cancer de l’œsophage, de
l’estomac ou des intestins.
La progression de ces cas fut tellement instructive et biologiquement
significative, ou plutôt elle eut un tel fondement étiologique qu’il devint
évident de tirer certaines déductions concernant l’origine de toutes les
maladies: c’est qu’à l’origine de toute maladie, il y a des toxines. Au fil des ans, on
découvrit que beaucoup d’autres maladies telles que l’arthrite et l’arthrose étaient
dans une large mesure provoquées par la consommation de viande porcine.
Il en était de même pour les affections particulières comme la leucorrhée
chez la femme, les éruptions fistulaires chroniques, non seulement celles
consécutives à une opération de l’oreille, par exemple après une otite, mais
également celles relevant de blessures par balles comme c’était le cas pendant
la guerre. Aussi longtemps que tout ceci
était accompagné d’ingestion de viande porcine, les guérisons furent lentes,
voire inexistantes, à l’exception de traitements biologiques ou homéopathiques
comprenant une abstinence totale de porc sous toutes ses formes.
Test diététique sur souris
blanches.
Les souris
nourries au porc développèrent une tendance manifeste au cannibalisme. En
vieillissant (de quelques mois à un an), beaucoup d’entre elles développèrent
le cancer en diverses parties de leurs corps. Dans certains cas, des
maladies de la peau devinrent apparentes. Par ailleurs, les souris nourries normalement développèrent aussi des
maladies mais il n’y eut que peu de cancers ou de maladies mortelles, et aucune
ne présenta le moindre signe de cannibalisme.
Le porc ne
devrait jamais servir de nourriture aux chiens, particulièrement aux boxers qui
développent facilement la gale et diverses affections cutanées, et qui ont une
tendance aux maladies internes graves.
Les mêmes observations furent faites au sujet des animaux de cirque,
particulièrement les lions et les tigres qui, à cause du porc qui était inclus
dans leur nourriture, devinrent indolents et obèses. Ils souffraient de graves
saignements du nez, vraisemblablement provoqués par une hypertension sanguine,
et ils mouraient prématurément.
Un pisciculteur constata
que toutes ses truites pouvaient être éliminées en quelques jours, s’il les
nourrissait de porc haché. Le porc devrait être considéré comme une importante « homotoxine
» (poison
humain) qui provoque
l’activation des mécanismes de défense du corps.
Ces mesures défensives se manifestent alors par une grande variété de
maladies. D’autre part, selon des rapports officiels, il devint évident que de
nombreux constituants du porc agissaient comme homotoxines ou comme facteurs de stress, d’où, selon eux, le terme
« sutoxines » semble justifié. Il
est évident que la graisse animale dite exogène, c’est-à-dire qui est ajoutée
dans l’alimentation, est stockée dans le corps sous cette forme. Par exemple,
un chien nourri à la graisse de mouton retient dans ses cellules graisseuses de
la graisse de mouton qui est d’ailleurs chimiquement détectable. La réaction
chimique de la graisse sous-cutanée est sans équivoque, elle se mesure par
exemple à l’indice d’iode, etc.
De plus, le sang circule avec un grand nombre de ces particules
graisseuses. De grosses molécules se forment (dénommées « cenapse » selon Macheboeuf)
qui, mesurées par ultracentrifugation, et en fonction des différentes vitesses
de séparation (unités Swedborg), sont conjointement responsables de l’artériosclérose
ainsi que de l’hypertension sanguine, de l’hyperhémie, du faible débit sanguin
dans les tissus conjonctifs et particulièrement dans les glandes importantes; elles sont aussi
responsables du rétrécissement et de la calcification des vaisseaux sanguins
coronariens. Plus tard, il fut prouvé que de tels aliments riches en
matières grasses sont la cause de sclérose importante des tissus conjonctifs.
Hauss (professeur à Munster en Allemagne occidentale) décrivit complètement
ces
facteurs dans son livre « La réaction non spécifique du mésenchyme ». Selon
Hauss, ces types de stress résultent d’un régime riche en graisse, dans lequel
la graisse porcine (spécialement le lard gras ou le bacon) est le principal
responsable, et, lorsqu’ils se combinent avec d’autres facteurs de stress, ils peuvent devenir
finalement mortels.
Wendt (professeur à Francfort en Allemagne occidentale) attribue
l’artériosclérose, le
diabète et les désordres circulatoires presque exclusivement aux
lipoprotéines, dont les
Mucopolysaccharides et
particulièrement les composants muqueux des tissus conjonctifs du porc sont
responsables, quoiqu’il ne fasse pas
mention de celles du porc. La question s’est donc posée d’établir la différence
entre la viande porcine et les autres. Ceci fut très difficile à définir étant
donné la carence en littérature authentique sur le sujet, car celle qui existe
ne traite généralement que des calories. Cependant, il est possible de tirer
les conclusions suivantes:
- Le porc, même le soi-disant porc maigre, contient une énorme quantité de graisse, si on le compare aux autres types de viandes telles que le bœuf, le mouton, etc. Le porc contient énormément de graisse intracellulaire, c’est-à-dire de particules intégrées dans les cellules mêmes, tandis que, chez les autres animaux, la graisse se trouve presque exclusivement à l’extérieur des cellules, dans les tissus conjonctifs sous forme d’adipocytes.
Il est possible de rencontrer à l’occasion, chez des bœufs âgés, de faibles
quantités de graisse dans les cellules mêmes, tandis que, chez le porc, les
cellules ont généralement un pourcentage élevé de particules grasses. Ceci peut
être observé même lorsque du porc maigre est frit: il libère immédiatement la
graisse dans la poêle à frire chaude et il est couramment frit dans sa propre
graisse. Comme la graisse contient deux fois autant de calories que les
hydrates de carbone et les protéines, chez les gros mangeurs, elle est
spécialement stockée, tout d’abord par facilité, dans les tissus conjonctifs. Il
en résulte que les adiposités communes aux consommateurs de porc (porc qui
contient d’autres substances stressantes dont les constituants muqueux) ne
peuvent être réduites qu’avec difficulté. Ceci correspond partiellement aux
lipoprotéines auxquelles Wendt se réfère.
2- La graisse est toujours associée en cholestérol. Elle est responsable de la
formation de molécules fortement chargées en cholestérol dans le sang,
lesquelles contribuent à l’hypertension et à l’artériosclérose, tout en étant
des facteurs supplémentaires d’infarctus myocardique et de désordres
circulatoires coronariens et périphériques, surtout si elles sont associées à
la nicotine (chez les fumeurs). Le cholestérol se trouve aussi dans les
membranes des cellules cancéreuses.
3-
Les substances riches en
soufre des tissus conjonctifs, les mucopolysaccharides (sucres aminés, sulfate
de condroïtine, hexosamine, glucosamine, etc.) qui ont un caractère
spécifiquement muqueux, sont aussi très dangereuses.
Ce n’est qu’avec du porc qu’il est possible de produire des saucisses
facilement expansibles. Le sucre aminé, l’hexosamine et les dérivés sulfureux
tels que la chondroïtine, l’acide sulfurique et l’acide sulfurique mucoïtin qui
se trouvent dans le porc sont directement responsables de cette propriété. Ces
substances provoquent un gonflement muqueux des tissus conjonctifs et se
combinent alors avec la graisse pour sa conservation (« Cenapse », Macheboeuf),
ce qui entraîne une réaction de gonflement caractéristique (« Ruben’s
luxuration »), gonflement qui est propre
aux mangeurs de porc. Le tissu
conjonctif, dès lors, se comporte comme une éponge et provoque des dilatations
typiques des tissus conjonctifs, semblables à des coussinets (rétention d’eau).
4- La mise en réserve de ces substances muqueuses dans les tendons, les
ligaments, les cartilages, etc., peut être dangereuse et peut provoquer du
rhumatisme, de l’arthrite et de l’arthrose ainsi que des dommages aux disques
intervertébraux, pour n’en citer que quelques-uns.
Ceci est dû aux obstructions de la matière constitutive principale des
tissus conjonctifs
(Comme on le trouve chez les humains ainsi que chez les béliers castrés)
provoquant le
ramollissement du tissu conjonctif par suite de la perte de résistance. Il
serait maintenant
judicieux de mentionner le travail de Bier (professeur Augus Bier,
1861-1949, chirurgien à Berlin, Allemagne occidentale). Bier injecta du soufre
à des animaux, ce qui entraîna la
mobilisation et la séparation des tissus sulfurés. La matière première des
cartilages perdit du soufre et devint de la sorte plus ferme, acquérant ainsi
une plus grande puissance de résistance. Des bains légèrement sulfurés agissent
pareillement en mobilisant le soufre des tissus. Il a été démontré que la
fermeté et la résistance des cartilages est inversement proportionnelle au
soufre qu’ils contiennent. Vu la prédominance des grandes qualités des tissus
conjonctifs muqueux du porc, la teneur en soufre y est extrêmement élevée.
Ceci peut être démontré par des tests de putréfaction et par le processus
de décomposition, produisant ainsi du sulfure d’hydrogène H2S (ou acide
sulfhydrique), facilement reconnaissable à sa puanteur caractéristique.
Des essais comparatifs de putréfaction furent effectués simultanément sur
le porc, le bœuf et le mouton, ce dernier présentant le taux de soufre le plus
bas. Les tubes soigneusement scellés qui contenaient le porc furent éliminés
quelques jours plus tard car l’odeur sulfhydrique passant au travers des tubes
devenait intolérable. Le bœuf s’avaria mais ne produisit pas cette odeur
intolérable qui caractérisa le porc. Quant au mouton, une faible putréfaction
seulement se manifesta après trois semaines.
Lettré (professeur de pathologie à Heidelberg, Allemagne occidentale)
effectua des
expériences sur la thérapie des cellules vivantes et montra, à l’aide de
tissus animaux marqués radio activement et provenant de glandes et d’organes,
que les produits de la décomposition des tissus, après absorption dans le
corps, migraient d’une façon générale vers le milieu biologique auquel ils
appartenaient.
Ceci a pu être confirmé
expérimentalement. Des patients ayant consommé de grandes quantités de bacon
(produit du dos du porc) montraient des bourrelets typiques de graisse à
l’arrière du cou. Ce fut le cas aussi pour des patients qui consommaient du
bacon provenant de la zone gastrique du porc: ils présentèrent de gros nodules
de graisse dans leur région stomacale.
Les personnes qui
consomment du jambon, spécialement les femmes, sont l’objet de déformations
irrégulières dans les régions de la croupe et des hanches, sans toutefois
réaliser que le jambon en est la cause.
5- Le porc est riche en hormones de croissance qui sont généralement
considérées comme la cause principale de l’inflammation et de l’hypertrophie
des tissus. La consommation de porc est aussi responsable, dans une certaine
mesure, d’influencer l’acromégalie, ou l’hypertrophie pathologique du menton et
d’autres parties proéminentes du squelette, de favoriser leur adiposité ainsi
que leur croissance anormale. Ceci est particulièrement vrai lors de
l’évolution cancéreuse de tissus lésés par un précédent traitement toxique
(probablement chimiothérapique).
Étant donné que le cancer peut être provoqué expérimentalement sur des
animaux en laboratoire, comme ce fut le cas avec le lard, il devint de plus en
plus évident qu’après la réforme monétaire allemande, les patients âgés de 60 à
70 ans qui y étaient prédisposés furent rapidement frappés par le cancer parce
qu’ils avaient alors la possibilité de prendre souvent de rapides collations à
base de lard fumé. Ce dernier contient non seulement du cholestérol (et, selon Roffo, la
matière première des membranes des cellules
cancéreuses) mais il contient aussi les hormones de croissance grâce auxquelles
le développement du cancer est stimulé, sans oublier le benzopyrène
— un constituant de la fumée — qui est typiquement considéré comme
carcinogène (poison
cancérigène).
6- Viennent
ensuite les effets irritants de la peau produits par l’histamine du porc.
Ces irritations
sont souvent accompagnées de processus inflammatoires tels que boutons et
furoncles, ainsi que d’inflammations de l’appendice, troubles de la vésicule
biliaire, phlébites, leucorrhées chez les femmes, abcès et phlegmons.
L’histamine peut aussi être responsable de maladies épidermiques telles que
l’urticaire, l’eczéma, les dermites, les neurodermites, ainsi que d’autres
dermatoses.
Des cas d’urticaire chronique chez des patientes âgées ainsi que chez de
jeunes enfants répondent très bien au traitement homéopathique d’apis 12 X et
de Sulfur 30 X mais ils résistent opiniâtrement chez les patients âgés,
particulièrement chez les femmes qui mangent du porc.
Ceci fut tellement probant
que, tant pour guérir l’urticaire que pour prévenir toute
récidive, le traitement
devait absolument inclure un régime complètement exempt de porc et excluant
aussi toutes les variétés de saucisses car toute espèce de saucisse contient du
porc sous l’une ou l’autre forme (à moins qu’elles ne soient spécifiquement
garanties être exemptes de porc).
Le degré
d’inflammation ou de démangeaison dû à la consommation de porc dépend de la
teneur en histamine et en imidazoles telles que l’ergothionéine qui déclenche
le processus inflammatoire. On peut également le démontrer de façon
expérimentale. En injectant de l’histamine dans l’organisme, des ulcères
gastriques peuvent être
provoqués
expérimentalement, de même que des irritations épidermiques, inflammations et
divers désordres allergiques tels que l’asthme, le rhume des foins, la rhinite
vasomotrice et l’arythmie cardiaque, voire même l’infarctus myocardique. Dès
lors, les personnes des catégories à haut risque ou les patients aux
antécédents cardiaques devraient toujours s’abstenir de consommer tout aliment
contenant du porc.
7-
Un autre facteur de stress
rencontré chez le porc est un certain élément du sang que les recherches n’ont
pas pu complètement définir jusqu’à présent. On s’y réfère en tant qu’agent
oncogénique (Nieper), endobiont (Enderlein), ou siphonospore polymorphe (Von
Brehmer) ou inclusion érythrocitaire (Scheller). Il reste encore à déterminer
si et jusqu’à quel point ces divers facteurs sont identiques ou si, dans le cas
de cancer, ils devraient être considérés comme amorces, c’est-à-dire comme des
facteurs étiologiques tels qu’envisagés dans les recherches de Speransky
(Russie) ou simplement comme des indicateurs ou des repères.
Le sang du porc est très riche en inclusions sporifères qui, d’après des
travaux récents,
doivent être considérées comme des mitochondries migrantes (à partir de
cellules lésées) ou mourantes.
8- Un autre facteur toxique très important du porc est le virus de l’influenza
qui, selon Shope (professeur à l’Institut de Londres pour les recherches
virales) reste virulent dans les poumons du porc. Le porc étant employé dans les saucisses, hot-dogs, etc., ces organismes
sont toujours présents dans ces produits, transmettant ainsi le virus grippal
par ingestion. Ces organismes migrent alors vers leurs origines biologiques
(suivant Lettré) qui, dans ce cas, sont les tissus conjonctifs des poumons. Ils
y restent à l’état de veille jusqu’au moment où les facteurs de propagation
sont favorables, comme au printemps par exemple, lorsqu’il y a carence en
vitamines, faible insolation, etc. Lorsqu’une épidémie grippale frappe, elle
semble être exclusivement provoquée par une contamination aérienne mais, en
réalité, elle est partiellement due au virus absorbé lors de consommation
porcine.
N’oublions pas la fameuse
épidémie de grippe qui a suivi la Première Guerre mondiale.
La mortalité qui résulta de cette épidémie fut plus importante que toutes
les pertes en vies humaines enregistrées au cours de la guerre elle-même. Cette
épidémie fit particulièrement des ravages dans la population allemande. À
l’époque, les Allemands affamés étaient nourris avec du bacon
américain, très abondant dans les premiers envois.
On a observé que,
pendant de nombreuses années, ces épidémies de grippe survenaient après la
consommation de porc.
Ce fut le cas,
par exemple, lorsque de grandes quantités de bacon canadien furent envoyées en
Allemagne, après les abattages d’hiver. Ce bacon fut ensuite consommé par la
population et c’est alors que la grave épidémie de grippe se déclencha vers
janvier/février.
Il faut remarquer
que les épidémies de grippe sont pratiquement inconnues dans les pays musulmans
où le porc n’est pas consommé.
Il faudrait aussi remarquer que certaines épidémies de grippe peuvent
provenir de la
consommation de viande chevaline qui, elle aussi, peut être contaminée par
un virus grippal. Au Moyen Âge, quand l’autopsie était légalement interdite,
les étudiants en médecine se servaient de porc pour leurs études. C’était très
pratique pour l’étude anatomique, vu les grandes similitudes organiques. Il est
bien connu que même la peau des porcs domestiques présente de nombreuses
similitudes avec celle de l’homme. La similitude entre la chair porcine et la
chair humaine rend possible de faibles échanges
biochimiques de composants. Ceci est particulièrement applicable à la
thérapie par les cellules vivantes de Lettré qui indique que des grosses
molécules et des peptides migrent vers leurs zones d’apparentement biologique.
Ainsi s’établit, par l’intermédiaire de la consommation de porc, un remplacement
de tissus conjonctifs humains, fermes, par les éléments muqueux d’origine
porcine. C’est pourquoi la consommation
de porc étouffe progressivement les tissus conjonctifs par du mucus; de plus,
ils sont tellement enrichis de graisses que quelqu’un dont l’alimentation est
constituée essentiellement de porc ressemble bientôt extérieurement à la forme
de l’animal qu’il a mangé.
Nous connaissons tous le dicton: « Vous
êtes ce que mangez.»
Nous devrions mentionner ici les incidents de la scrofule chez les enfants,
maladie
caractérisée par des inflammations glandulaires
chroniques par lesquelles les glandes s’atrophient et peuvent entraîner la
formation de fistules. Alors, de même, de petits nodules glandulaires peuvent
se former, spécialement dans le cou, ce qui fait réellement ressembler l’enfant
à un goret. Ce nom indique probablement la cause de cette maladie provoquée par
la consommation du porc. Les défenses du corps sont particulièrement dirigées
contre la graisse du porc. Celle-ci, par sa désagrégation dans les intestins et
par sa resynthèse, est introduite dans les vaisseaux lymphatiques vers les
glandes lymphatiques de la poitrine et atteint finalement le canal thoracique
(ductus thoracicus). Il y a alors passage dans la veine cave supérieure.
La surcharge, spécialement
des glandes lymphatiques, par la filtration et la détoxication des facteurs
lipotoxiques (mélange graisse-mucus) contenus dans la graisse de porc, est
conservée dans le tissu conjonctif comme « graisse caractéristique » après
désagrégation dans les intestins et se manifeste par une inflammation des
ganglions lymphatiques. Ceci correspond donc à une intensification de toutes
les fonctions physiologiques:
Par exemple,
hypertrophie et œdème des glandes, douleurs et fièvres, suppuration, formation
de fistules combinée à des irritations épidermiques, eczémas et affections
similaires en relation possible avec la constitution hydrogénoïde, qui présente
une sensibilité remarquable à l’humidité et au froid, semblable à celle très
courante de la diathèse exudative entrevue au début.
Apparemment, un régime peu diversifié (peu de légumes, rareté de vitamines
alimentaires) a certainement joué un rôle favorable dans l’apparition de la
scrofulose. On
observa couramment, dans les premiers stades de la scrofulose, des coliques
ombilicales, des adénopathies mésentériques ainsi que des adénopathies hilaires
avec transition possible vers la tuberculose. Cette tuberculose des ganglions
hilaires peut se manifester notamment après la suppression de la fièvre. Avec
le temps, spécialement après le traitement des refroidissements aux
salicylates, aux pyrazolones et autres fébrifuges, ces soi-disant « infiltrats
easinophibes », des apex pulmonaires peuvent être observés et, après la
survenue de cette phase d’imprégnation (en vicariance régressive, selon
l’homotoxicologie), il y a passage à la phase de réaction avec cavités
tuberculeuses, ensuite à la tuberculose évolutive, au travers de laquelle la
couche toxique complète essaye de se désintégrer.
La bactérie tuberculeuse, parasite des cavités, peut alors être détruite
allopathiquement par la streptomycine entre autres, sans que la « couche
toxique » responsable soit prise en compte, ce qui, d’un point de vue
biologique, est la chose essentielle. Il n’avait jamais été envisagé qu’il
puisse s’agir d’une pathologie d’origine alimentaire.
Traitée par thérapie non biologique, au sens de pathologie iatrogène, elle
peut être incluse dans les maladies chroniques.
L’Allemand Gustav Nagel, bien connu au cours de la première décade du XXe
siècle comme « apôtre de la nature », vivait en parfaite harmonie avec les lois
de la nature, par un régime à base d’aliments complets. Par cette méthode, il
fut à même de se soigner lui-même d’une tuberculose des poumons progressive et
fatale. Il s’agit ici d’un exemple typique de la réalité des poisons
alimentaires dans le développement des maladies.
Il existe encore d’autres
dangers issus du porc. Souvenons-nous qu’un porc engraissé pour la boucherie
n’est à l’origine qu’un petit porcelet pesant quelques livres seulement à la
naissance et qu’en un ou deux ans, grâce à des quantités importantes d’hormones
de croissance, il est prêt pour l’abattage avec un poids de plusieurs centaines
de livres. Un tel animal a peu de muscles, des petits os et une abondance de
tissus conjonctifs, graisse, sang et organes. Presque chaque centimètre du porc
est employé par le boucher en préparations alimentaires. Par méthodes spéciales
de traitement, il est transformé en diverses portions appétissantes pour la
dégustation. Donc, quiconque est accoutumé à manger du
porc en devient dépendant dans une certaine mesure.
Au sujet de la mise en œuvre de cette dépendance, W. Hoffman, psychiatre
allemand,
signale que tous les symptômes de la dépendance existent chez les
consommateurs de porc. Ces personnes trouveront toutes les excuses possibles pour
manger du porc. Elles rejettent toutes lésions ou maladies que le porc peut occasionner
et trouvent toutes les raisons possibles pour en consommer, agissant d’une
manière analogue aux fumeurs et aux alcooliques.
Parmi ceux qui ont rompu
leur dépendance vis-à-vis du porc, on note que le porc prend un caractère
désagréable, répulsif et même nauséabond, qui le rend intolérable et même
difficile à consommer, exactement comme le non-fumeur se sent agressé par
l’odeur d’un cendrier sale le matin.
Bien que l’étude n’ait pas
été complètement approfondie, il ne fait aucun doute que les hormones sexuelles
du porc, spécialement l’hormone sexuelle androgénique du verrat, joue un rôle
important dans la détermination de la qualité de la viande porcine. Les verrats
sont toujours castrés plusieurs semaines, voire quelques mois avant l’abattage
(extirpation des testicules), sinon la viande serait invendable à cause de
l’odeur. Pour cette raison, les hormones sexuelles doivent être considérées
comme agents cancérigènes; mais, comme signalé précédemment, cet aspect n’a
jusqu’à présent pas été complètement étudié.
Les porcs ne vivent pas vieux en raison tout d’abord de leur âge biologique
qui est limité à quelques années. De plus, ils ne peuvent vivre au-delà de six
ans comme reproducteurs car, dès lors, des signes de cancer sont inévitables. D’une
façon générale, le porc est un animal très malade, ayant peu de muscles, de
petits os, mais abondamment pourvu en tissus conjonctifs muqueux et gras,
souffrant de dégénérescence graisseuse du myocarde et du foie avec hydropisie
possible; tous ses tissus conjonctifs et ses organes lymphatiques, y compris
les facteurs hormonaux irritants et toxiques, sont absorbés lorsqu’on le mange,
permettant ainsi le développement de facteurs de stress.
Voilà où se situe le grand
danger du porc. L’organisme humain est incapable normalement de traiter les excédents
de graisse: cholestérol, hormones de croissance, substances muqueuses
hypertrophiantes et autres facteurs toxiques, malgré un riche apport vitaminé
(par le processus de combustion). Il est de même incapable de les éliminer dans
les phases physiologiques d’excrétion, même lorsqu’il est engagé dans un
travail physique épuisant.
Voilà où l’homotoxicologie a apporté une solution spécifique au problème
des effets
réellement nuisibles du porc. Le porc ne peut être détoxiqué
physiologiquement par les voies d’excrétion détoxicantes habituelles telles que
l’urine, la respiration, les sécrétions intestinales et les sécrétions épidermiques;
donc, il ne peut être éliminé par les mécanismes excrétoires. Les seuls moyens
de détoxication restent les excrétions pathologiques, notamment les
inflammations.
En conséquence, les différents désordres pouvant apparaître sont relatifs
aux types
d’organes et aux tissus conjonctifs consommés. C’est spécialement vrai pour
les troubles de la vésicule biliaire avec formation de calculs biliaires
(cholestérol), coliques hépatiques et inflammation aiguë de l’appendice
(appendicite) dont les gens sont victimes, ainsi que pour les thromboses et les
embolies. La couche toxique augmente avec la consommation
de porc et n’est pas éliminée par l’ablation chirurgicale de l’organe affecté
(appendice par exemple). D’autre part, si de petites quantités de
porc seulement sont consommées, l’inflammation peut ne pas se manifester
immédiatement, mais une mise en réserve des particules du porc est probable
(c’est particulièrement vrai pour le mucus et les graisses) dans les tissus
conjonctifs où ils sont perceptibles sous forme de graisses ou d’adiposités:
par exemple, rouleaux de chair sur l’abdomen et même éventuellement sur les
bras et les jambes. Ceci se vérifie
spécialement pour les gens qui apprécient surtout le jambon et les saucisses.
Ce n’est que lorsque la « limite est dépassée » et que l’organisme ne sait
plus emmagasiner ces facteurs perturbateurs, lorsque la circulation périphérique
et la circulation du cerveau sont affectées, qu’en dernier ressort il
provoquera des inflammations destinées à enrayer ces facteurs de stress. Les personnes qui
sont donc atteintes d’épaississement du cou développent de dangereux furoncles,
boutons et abcès des glandes sudoripares. Souvent et généralement après
l’absorption de mets contenant du porc, de dangereuses crises d’appendicite,
des coliques hépatiques, des
calculs biliaires
et autres troubles du circuit biliaire (cholangie, cholecystite, empyème de la
vésicule biliaire) surviennent, comme on l’a déjà mentionné.
L’ulcère de la
jambe (ulcer cru ris) est typiquement reconnu comme la conséquence de la consommation de pieds de porc. En regardant la
séquence des faits, ces ulcères peuvent souvent être considérés comme l’ultime
tentative du corps pour se dégager, par la valve mésenchymoteuse, de
l’inflammation qui menace souvent de se transformer en cancer au sein des
tissus conjonctifs. Par cette phase de réaction, le poison est ainsi évacué du
corps par ces ulcères de la jambe.
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Quand ces ulcères sont traités de manière forte au moyen de cautérisations
et de solutions de teintures sans recours à un changement radical de régime
(exempt de porc), alors le développement du cancer est presque toujours
inévitable. Ceci est particulièrement vrai en cas d’affaiblissement subséquent
à des troubles antérieurs (au sens de «locus minoris resistentia») ou lorsque
des facteurs de stress psychiques ultérieurs se présentent. Ces associations
ont été mentionnées précédemment.
Quand la
consommation de porc est régulière, parce que le cartilage devient mou et
s’atrophie sous le poids du corps, la matière cartilagineuse humaine qui est
ferme est remplacée par le tissu conjonctif muqueux du porc. Les résultats
éventuels en sont l’arthrite et l’arthrose.
La consommation du porc
enraye également la condition physique, la « tenue en forme ». Les athlètes
professionnels en souffrent souvent à cause d’un régime incorrect. La graisse
de porc est stockée au lieu d’être brûlée, ce qui les fatigue et les rend
indolents, nonchalants et généralement incapables de poursuivre leurs activités
préférées. Il se peut également qu’au
cours d’une attaque grippale, une partie des matières muqueuses des poumons, empoisonnées par des lipotoxines, soit
expirée et rejetée avec le virus.
Si tous les troubles aigus
résultant de lipotoxines, particulièrement la leucorrhée (réaction de défense
chez les femmes) étaient traités correctement d’une manière biologique, on
obtiendrait une guérison complète, pour
autant qu’une stricte prohibition de consommation de porc soit admise
ultérieurement, et ces poisons issus du porc ainsi que les facteurs de stress
seraient neutralisés et pourraient être effectivement éliminés du corps.
Malheureusement, dans notre civilisation hautement développée, c’est très
rarement le
cas. De plus, la situation toxique
qui se développe par suite de la consommation de porc n’est pas reconnue par la
profession médicale et est, de ce fait, complètement ignorée. L’homotoxicologie
prouve que toute maladie devrait être considérée comme une mesure
défensive contre les poisons et leurs méfaits. Donc, toute maladie doit
être considérée comme un processus biologiquement nécessaire qui ne devrait
jamais être supprimé, car elle exprime clairement que le corps essaye, par des
excrétions inflammatoires, de revenir à un état de santé normal.
La non-observance de ce principe constitue un danger d’empoisonnement aigu qui
se manifeste par une forte fièvre, la grippe, des angines, etc. Quand le
processus de détoxication naturelle est interrompu au moyen d’une thérapie
suppressive, une alternative d’empoisonnement peut se développer. C’est
essentiellement vrai en cas de traitement par la chimiothérapie, les
antibiotiques et leurs dérivés. Quoique ceux-ci détruisent certainement les
germes, ils n’affectent pas les poisons causals, pas plus qu’ils ne les
éliminent; en fait, l’activité du poison est accrue par les endotoxines
bactériennes libérées des corps des bactéries fragmentées. Généralement
parlant, en pathologie, les bactéries ne jouent pas le rôle d’initiateurs mais d’indicateurs
(Speransky). Elles vivent en parasites (elles sont saprophytes) dans la zone
d’inflammation où le porc ingéré se situe, atténuant l’action du poison,
agissant ainsi en aides.
Utiles.
Elles indiquent simplement quel type de poison est présent en permettant
leur
reproduction, par exemple, une croissance homotoxique favorable aux streptocoques,
staphylocoques, pneumocoques, etc. C’est le porc ingéré qui offre les meilleures occasions de
croissance aux bactéries et aux virus (de la grippe par exemple). Habituellement,
les personnes qui ne mangent pas de porc ne souffrent pas de grippes
virales!
À cause d’emploi chronique d’agents chimiothérapiques et de médications
acétylsalicyliques, etc., la grande majorité des gens d’aujourd’hui n’ont
aucun support défensif hautement actif. Des mesures spéciales d’hygiène
devraient être observées. Tout devrait être mis en œuvre pour renforcer les
organes de défense (le système immunitaire principal). On y parvient par une
thérapie stimulative biologique, ainsi que par un régime biologique et un mode
de vie corrects.
Lorsque ces attitudes
correctes et adéquates sont ignorées, nous trouvons alors les pernicieuses
conséquences de la consommation de porc ainsi que la raison pour laquelle tant
de jeunes existences sont détruites. Invalidités, maladies et cancers ont été
les conséquences d’un traitement chimique d’excrétions ou d’inflammations
abdominales ainsi que d’inflammations rénales, thromboses et embolies
postopératoires.
L’ablation de l’appendice élimine certainement l’inflammation. Mais dans ce
contexte,
l’appendicite agit comme processus de détoxication et s’efforce d’éliminer
les poisons du porc (lipotoxines) par une réaction lymphatique.
Malheureusement, ce trouble ne peut être abandonné à lui-même sans risque de
très sérieux effets secondaires. En conséquence, on peut devoir faire appel à
la chirurgie. En toutes circonstances, un traitement biologique devrait
toujours accompagner l’indication chirurgicale: par exemple, en employant des
antipus BHI, des comprimés « inflammation et lymphe », de manière à neutraliser
l’activité du poison en utilisant aussi le propre système défensif du corps.
La même chose s’applique aussi aux menstruations généralement caractérisées
par une
odeur fade particulière, analogue à celle du porc fraîchement abattu, ou
aux furoncles et abcès des glandes sudoripares qui, par leurs éruptions,
agissent d’une manière détoxiquant. Dès lors, toutes les autres éliminations,
pathologiques ou non, ne devraient jamais être supprimées. Autrement, le corps
souffrirait des effets de ré empoisonnement, déplaçant ceux-ci vers une phase
pathologique dangereuse, dénommée « vicariance » progressive.
Un bon exemple en est donné
par la suppression des abcès des glandes sudoripares par les rayons X. Ce
traitement provoque souvent une rectocolite ulcéro-hémonagique, ce qui est une
ulcération dangereuse du gros intestin. Le même principe s’applique aux
diarrhées supprimées chimiquement. L’intestin est un grand tube dans lequel
tous les poisons sont séparés et évacués naturellement. Des médications
biologiques stimulatrices, telles que les comprimés BHI pour diarrhées,
comprimés BHI pour inflammations, comprimés BHI antipus, devraient être
utilisées comme traitement, car elles sont très efficaces et n’entraînent aucun
effet secondaire.
Il est bien
évident que la viande de sanglier, ou porc sauvage, est tout aussi toxique que celle du porc domestique,
quoique, d’une manière générale, elle contienne moins de graisse que celle du
porc domestique. Il est reconnu par tous
les chasseurs que le sanglier doit être débité immédiatement après avoir été
abattu, ceci par contraste avec le daim et les autres animaux sauvages. Agir
autrement verrait se développer avec certitude un « mauvais goût » de la viande
ainsi que d’autres propriétés toxiques.
Généralement
parlant, la dose de poison, qui est la cause de toute maladie, devient plus ou
moins forte par la consommation de porc. Ce qui prédispose fondamentalement le
corps à une large variété de maladies.
Toutes les personnes informées sur les homotoxines, c’est-à-dire les
docteurs employant des méthodes biologiques antihomotoxiques, peuvent, avec
l’aimable collaboration du patient et par un mode de vie adéquat et une diététique
biologiquement correcte (sans aucune ingestion de porc), enrayer plusieurs
effets primaires et les troubles secondaires causés par les lipotoxines en
prescrivant des traitements avec préparations appropriées (telles que
disponibles en BHI, remèdes homéopathico-biologiques).
L’histoire réelle, quoique
répugnante, d’un hôpital durant la dernière guerre mondiale devrait être
mentionnée.
Un enclos de porcs était situé dans son voisinage. On les y nourrissait avec
le surplus de l’hôpital et, au moins une fois par mois, un porc était abattu
pour fournir un complément bienvenu aux rations. À proximité de l’enclos se
trouvaient des trémies qui recevaient les pansements imprégnés du sang et du
pus des blessés. Tout ceci était habituellement brûlé une fois par mois dans la
cour de l’hôpital. Un beau jour, les
porcs s’enfuirent et renversèrent les trémies contenant ces bandages et on les
découvrit mangeant les pansements ainsi que les autres détritus. Dès ce moment, pour
des raisons de commodité, les pansements ne furent plus brûlés mais donnés aux
cochons comme nourriture, créant ainsi le cycle parfait du poison. Et
ainsi, les patients de l’hôpital, dont la plupart étaient atteints de blessures
par balle fistulisées, recevaient maintenant, avec leurs porcs toxi-saturés, un
stimulus supplémentaire à leurs suppurations. Le porc qui agit comme facteur
suppurant, même sans être nourri de pansements contaminés par des toxines, ne
servait qu’à l’aggravation de l’état des patients.
Donc, que la souffrance soit
due aux points noirs, à l’acné ordinaire ou à une plaie par balle, il faut imposer une interdiction formelle de toute
consommation de porc, incluant le jambon, le lard, les saucisses, le salami,
les saucisses blanches (frites dans la graisse de lard) et les saucisses de
foie de veau (qui contiennent un pourcentage élevé de graisse de porc). On raconte aussi fréquemment l’histoire du « paysan
rayonnant de santé » qui, malgré sa grande consommation de porc, n’est jamais
malade. Une enquête scientifique, réalisée sur plusieurs années, a clairement
prouvé qu’il ne s’agit que d’une bonne blague.
Cette enquête prouve, au contraire, que les populations rurales, en dépit
de leur « bonne mine », ne sont pas des privilégiés de la santé, bien au
contraire, et cela est dû de toute évidence à leur consommation chronique et
continuelle de porc. Pendant qu’il
pratiquait, l’auteur visita une famille de paysans dans leur ferme éloignée.
Le père souffrait d’arthrose chronique,
de coxite ainsi que de troubles hépatiques. La mère avait des ulcères
chroniques à la jambe et de l’eczéma variqueux qui lui provoquait de grandes
douleurs. Une fille souffrait de troubles cardiaques, de rhumatisme articulaire
aigu après angine. Le fils en
meilleure santé souffrait aussi de troubles cardiaques postangineux et
d’éruptions. Une autre fille avait eu ses amygdales enlevées et, depuis lors,
elle était atteinte de bronchite chronique et suspectée de bronchectasie. Un
autre fils encore souffrait de pleurésie chronique avec cicatrices suintantes
et des ulcères suintants répétitifs.
Des situations analogues furent observées par l’auteur chez des familles
paysannes de la Forêt Noire en Allemagne occidentale ainsi que dans les vallées
voisines. Ayant pratiqué dans cette région pendant plus de dix ans, il lui est
permis de porter un jugement professionnel. Pendant plus d’une heure passée en
consultation avec la famille susmentionnée, une truie adulte se tenait sous un
vieil arbre, se frottant sans cesse et avec grande satisfaction contre une
branche cassée. L’auteur le fit
remarquer à ses patients en disant: « Voyez-vous ce porc là-bas? Toutes les
matières inflammatoires et irritantes qui l’obligent à se gratter sont consommées
lorsque vous mangez du porc. Ces substances appelées composants
histaminiques sont la cause de toutes les maladies pour lesquelles je suis venu
vous voir et vous traiter. »
Il est maintenant
évident que, malgré un prix apparemment moins coûteux que d’autres, la viande
de porc est en réalité la plus coûteuse. Si l’on considère les nombreux
troubles graves qu’il provoque et les décès qui en découlent, quoique non
reconnus officiellement (et dont personne ne se soucie), ce fait devient clair
comme du cristal.
Même en ne prenant pour exemple qu’une inflammation de l’appendice, qui est
généralement reconnue trop tard, après une apparition possible du processus
vermineux dans l’estomac (dû à
l’absorption de saucisse de porc fraîche, de charcuterie, etc.) et
spécialement en cas de dommages causés par les maladies et les soins donnés par
des thérapeutiques très puissantes ou même par l’invalidité précoce qui est
issue de ces facteurs, le porc ne sera
certainement pas la moins coûteuse des viandes mais la plus chère.
D’un point de vue commercial, une stricte prohibition de la consommation du
porc par chacun n’est pas seulement justifiable mais elle est même requise par
les restrictions financières inévitables que subit le service de santé.
Cependant, les résultats bénéfiques d’une telle mesure raisonnable n’aurait pas
un effet immédiat mais graduel, de même que la prohibition concernant la
consommation de porc décrétée par Mahomet dans les versets du Coran n’eut pas
d’effet immédiat mais fut remarquable au cours des siècles suivants. De plus,
la prohibition du porc imposée par Moïse aux juifs leur a donné une
constitution de qualité avec le résultat que, comme « peuple choisi », ils ont accompli d’importantes réalisations
culturelles et industrielles.
Il est intéressant de noter que la famille paysanne de la Forêt Noire ainsi
que de nombreuses autres familles paysannes, grandes et petites, de cette
région ont en temps opportun suivi le conseil que je leur avais donné. Non seulement ils n’ont plus mangé de porc,
mais ils ont vendu leurs porcs et les ont remplacés par des moutons, comme dans
les régions islamiques. Dans les autres parties du monde, l’homme peut
espérer une vie biologique de 150 ans. Dans certaines régions du Caucase ainsi
qu’en Turquie, où l’on ne mange pas de porc, dans d’autres régions islamiques
où le climat est moins sévère, on rencontre des personnes âgées de 130 à 150
ans. Elles sont en excellente santé et encore actives (par exemple, les Hunsa).
Des problèmes apparemment sérieux sont rencontrés dans le traitement des
différentes viandes à cause des altérations de leur qualité. De nombreuses
variations sont perçues particulièrement dans la viande de porc qui, par des
méthodes d’élevage introduites au cours des dernières années pour augmenter l’engraissement
et plus particulièrement la viande (aux dépens de la graisse), créent beaucoup
moins de résistance et une tendance au stress. On estime que, parmi tous les
porcs abattus en Allemagne, 20% environ ont une viande pâle aqueuse (P.A.) et 5
% environ ont une chair foncée visqueuse (F.V.). Toutes deux ont la même cause
biochimique et sont le résultat d’une modification du facteur pH. Cette
variation a une grande importance dans la qualité de la viande car les principales
phases de traitement de la viande sont tributaires du pH, par exemple
l’hydrolyse (désorption de sel, coloration), le goût et la conservation.
Les processus biochimiques qui se développent au cours des premières
vingt-quatre
heures après l’abattage déterminent l’acidité de la chair musculaire. En
cas de stress avant l’abattage, ce qui est presque toujours le cas (à cause du
transport, etc.), d’énormes quantités d’adénosine triphosphate et de glycogène
sont rapidement catabolisées au sein des tissus musculaires des animaux
émotifs. On considère que l’acide lactique des animaux P.A. est passé des
cellules musculaires dans le flux sanguin avant l’abattage, augmentant ainsi le
facteur pH de la viande. Cependant, chez les animaux F.V., l’acide lactique
reste dans la chair de sorte que le facteur pH est moins élevé (c’est
l’audification). Normalement le facteur pH est, au moment de la mort, de 7,2,
tandis que, six à dix heures plus tard, un pH final de 5,4 à 5,8 est atteint.
Avec le bœuf, le facteur pH atteint 5,3 à 5,7 après 12 à 24 heures. Avec
les viandes F.V.
le pH descend à ces valeurs au cours de la première heure à cause d’une
précipitation de la glycolyse. La viande présente dès lors des propriétés
hydrophiles faibles et une coloration pâle à cause de la surface humide. Ce
changement de coloration est purement optique car la couleur des muscles n’a
pas été atténuée.
D’autre part, la glycolyse, en relation avec la production d’acide, dans le
cas des viandes
P.A. est tellement retardée que le facteur pH descend rarement en-dessous
de 6,2. Ainsi, la qualité de la viande est considérablement réduite. À la
découpe, elle paraît sèche, plate, visqueuse, rouge foncé, et elle a une
propension supérieure à la moyenne de se combiner avec l’eau.
Il s’agit alors d’un porc qui n’est pas à point ou qui ne l’est pas
suffisamment; il ne
convient donc pas pour les saucisses ou le jambon cru mais uniquement pour
les saucisses cuites, les jambons cuits et les viandes grillées. Avec ces
viandes P.A., les produits cuits et en saumure sont plus tendres et plus
juteux. De plus, ces viandes P.A. absorbent moins de sel en saumure et l’odeur
ainsi que le goût acide des viandes « à point » sont inexistants. Cependant, elles ne
peuvent être conservées aussi longtemps et, dans le cas de produits
préemballés, des signes de putréfaction se manifestent souvent. Il existe de ce
fait une sérieuse menace contre la santé à cause du taux élevé des bactéries
présentes.
Malgré l’importance et l’intérêt de cette recherche sur la viande, elle
reste dans le domaine des technologies physicochimiques au même titre que les
calculs des calories. Les conséquences pathogéniques réelles et celles
dépendantes des transferts biomoléculaires des constituants et leur incorporation
dans l’organisme humain n’ont donc pas été convenablement traitées et une part
des responsabilités relève de considérations économiques telles que
l’alimentation nationale, subsides et autres.
Approvisionnements des
cantines et restaurants.
C’est une lourde responsabilité qui incombe en particulier aux
restaurateurs, aux services traiteurs et aux cuisines collectives mais si, en
bloc, ces personnes éliminaient l’usage du porc dans leurs menus, tout le monde
en bénéficierait. En outre, les cuisines
des restaurants devraient être informées d’éliminer toutes formes de porc de
leurs plats tels que haricots et jambon, pois et jambon, carottes et jambon,
poulet enrobé de lard, tranches de saucisses frites, ainsi que l’usage de
saindoux bon marché (qui contient de grandes quantités de graisse de porc)
puisque l’alimentation réellement saine est caractérisée par l’absence de porc.
De nombreux restaurateurs et leurs
cuisiniers admettent qu’en ajoutant du lard, du jambon ou des saucisses, ils
rendent leurs mets plus savoureux. Cette fausse appréciation entraîne souvent
la perte de leur « cuisine renommée ». Car, finalement, la clientèle ne mange
plus où l’on offre un tel « ordinaire » puisque tous les plats ont à peu près
le même goût à cause du porc qui y est inclus. Elle préfère les restaurants
de qualité, où la nourriture est servie sous forme pure et naturelle,
conformément au menu, sans addition de porc.
Les clients ne réclament
pas du porc à outrance; ce fut peut-être le cas d’une majorité ignorante, mais
ce n’est plus vrai de nos jours. Rapidement, ces insensés qui mangent de tout
et n’importe quoi en payeront le prix par une mauvaise santé qui sera due au
porc. Dès qu’ils comprennent, ils
ne fréquentent plus les restaurants qui maintiennent l’usage du porc mais, en règle générale, ils
essayent de s’accoutumer à un nouveau régime plus sain.
Information
générale et médicale.
Toute personne réfléchie, capable de lire intelligemment ses journaux, peut
se faire une
idée — avant qu’il ne soit trop tard — des dangers réels du porc. Beaucoup
s’imaginent erronément « qu’un peu ne peut nuire ». Si quelqu’un s’est
abstenu strictement de porc pendant des semaines ou des mois et ensuite en
consomme seulement une très petite quantité, celle-ci peut agir comme un
véritable poison qui se manifestera avec évidence sur les points les plus
faibles de sa constitution (loci minoris resistentiae). Ce fut le cas pour
l’auteur, il y a quelques années.
Puisque l’étudiant, plus tard docteur, n’apprendra rien au cours de ses
études
universitaires ou de son travail clinique dans les hôpitaux concernant les
facteurs de stress du porc, sauf sa teneur incomparablement riche en calories, il n’y a que quelques docteurs compétents
qui savent donner une information précise au sujet de ce problème diététique. De plus, si quelqu’un n’est
pas sensibilisé par l’homotoxicologie et la subtile différentiation dans les
changements de phase qui peuvent être observés après absorption de porc et ne
sait pas comment l’interpréter (c’est-à-dire la formation d’abcès après implantation
de cellules vivantes lorsque porc, lard, jambon, saucisses, etc., sont consommés),
il deviendra probablement conscient plus tard de la signification
biologique réelle ainsi que des dangers
associés à la consommation de porc sous
n’importe quelle forme. Lorsque, finalement, la véritable relation homotoxicologique
entre la consommation de porc et la maladie sera admise, il s’en souviendra.
Conséquences et
recommandations.
Il ne s’agit pas ici d’une théorie nouvelle concernant les effets néfastes
de la
consommation de porc, mais d’une mise en évidence de ce qui ressort des
lois de Moïse et de Mahomet ainsi que des résultats exceptionnels d’observation
de patients, de la propre famille de l’auteur et de lui-même. À partir de ces
résultats, il faut admettre que le nombre toujours croissant de maladies dues à
la consommation de porc sous n’importe quelle forme est le résultat des
transgressions des instructions religieuses données aux juifs et aux
populations islamiques et est absolument justifié. Même sans le risque de
trichinose qui peut aussi affecter les ours, les rats, les souris, les chiens,
les loups et d’autres animaux, les facteurs de stress seuls inhérents au porc
sont suffisants pour justifier amplement ces idées.
Heureusement, des restaurants de qualité existent dans toutes les villes,
où une nourriture pure (c’est-à-dire exempte de porc) est préparée d’une façon
naturelle et où, par exemple, les plats au fromage ne sont pas gâchés par
l’apport de jambon.
Les restaurateurs observeraient
rapidement une nette différence dans leurs profits, si les chefs d’entreprise
évitaient leurs établissements, après avoir dégusté un plat spécialement
recommandé qui contenait du porc sous une certaine forme et après s’être rendu
compte que leurs malaises, calculs biliaires, inflammations de l’appendice,
gains de poids inévitables, hypertension sanguine, stéatose hépatique et autres
troubles effrayants, particulièrement l’arthrite et l’arthrose, étaient le
résultat direct de l’ingestion de porc.
Il faut espérer que cet
article aidera tous ceux qui n’ont pas encore été avertis des dangers de la
consommation de porc à changer leurs habitudes diététiques et à exclure tout
porc; ce serait un énorme progrès. Il ne s’agit nullement d’un régime
diététique monotone mais, au contraire, d’un régime susceptible d’être à la
fois plaisant et varié, en accord avec les exigences biologiques, qui aura
comme résultats un apport réduit en
graisse aussi bien qu’un effet positif sur l’état général de santé dont on peut
jouir pendant de nombreuses années.
En conclusion de ces
recherches, cet avis sûr peut être donné aux patients:
Évitez toujours
de manger du porc, même en très faible quantité. Si vous avez évité d’en manger
pendant plusieurs semaines, la consommation occasionnelle de faibles quantités
de porc provoquera une mobilisation immédiate du système défensif du corps qui
se traduira par des démangeaisons, inflammations ou douleurs aux points faibles
du corps, troubles de la vésicule biliaire (coliques), appendicites,
rhumatismes, etc. Il peut y avoir aussi d’autres inflammations ou signes
précurseurs tels que fatigue, aggravation d’eczéma, irritation, dermatite. Tous
ces symptômes sont occasionnés par la nature toxique du porc.
Dans tous les cas, de
nombreuses maladies, avec les souffrances qu’elles apportent, peuvent être
évitées, pourvu que vous éliminiez toute forme de porc en n’achetant que des
saucisses et autres aliments qui en sont absolument exempts.
À partir du moment où vous
observerez une stricte adhérence à un régime exempt de porc, vous commencerez à déceler quand vous aurez mangé de la
viande porcine à votre insu, simplement à cause des effets qui se répercuteront
sur votre santé.
Il faudrait constamment avoir en mémoire que la totalité du porc consiste
en matières de
qualité inférieure, graisse, mucus, irritants, substances ichoreuses et
autres qui provoqueront de l’inflammation ainsi que de dangereuses hormones
qui, lorsqu’elles sont ingérées et absorbées au cours du transit intestinal,
sont décomposées en ichor [pus sanguinolent]. Donc, le seul moyen d’éviter les maladies ichoreuses est d’informer vos
patients d’observer une stricte
élimination de toutes espèces d’aliments contenant du porc. Bœuf, veau, mouton, volaille et venaison
peuvent être également consommés sans hésitation. Mais le lapin et le lièvre devraient être également évités.
Faites vous-mêmes la preuve
de la véracité de cette information en vous abstenant de consommer du porc. Soyez votre propre critique et rejetez tous
les arguments. Cette abstinence, en plus d’un traitement homéopathique et
biologique joint à des méthodes naturelles telles que compresses,
hydrothérapie, etc., vous rendra bientôt, ainsi qu’à tous les membres de votre
famille, une meilleure santé. Les troubles survenant par la suite de la consommation
non intentionnelle de porc seront rapidement guéris par ces moyens naturels, vu
qu’ils permettent une réelle détoxication et une élimination de tous les
poisons et facteurs de stress du porc. La guérison, suivant l’homotoxicologie,
signifie se débarrasser des toxines et de leurs méfaits.
La santé, selon
l’homotoxicologie, c’est être débarrassé des toxines et de leurs méfaits.
Ces principes fondamentaux éprouvés
par le temps et basés sur les lois de la nature réclament une stricte prohibition
de la consommation du porc par l’humanité entière. Ces lois ont été
nettement démontrées dans les religions juives et islamiques et elles sont
nécessaires dans notre monde occidental civilisé, et pas seulement pour éviter
des frais énormes de soins de santé.
Résumé.
Le porc doit être reconnu comme un facteur essentiel contribuant à la
maladie! Les substances toxiques du porc appelées lipotoxines provoquent la
plupart des maladies chroniques et difficiles à traiter. D’après l’homotoxicologie
de Reckeweg, ces substances de stress spécifiques sont intercellulaires et se
présentent sous les formes suivantes:
Comme macromolécules du sang chargées de cholestérol dans les cas d’hypertonie,
artériosclérose, pléthore, et dans les membranes des cellules cancéreuses
(dénommées phases de néoplasme). Comme histamines et comme corps imidazoles
dans le cas d’urticaire, herpès, dermatose, eczéma (provoquant des
démangeaisons), amorçant des processus inflammatoires avec furoncles, boutons,
suppuration, appendicite, cholangite, cholecystite, thrombophlébite et
phlegmon.
Comme hormones de croissance en favorisant des tendances à la prolifération
et à l’inflammation dans les cas d’adiposités, acromégalies, phases de
néoplasme et d’hyperplasie.
Comme acides gras en cas d’hypotonie, de polycythémie.
Comme substances muqueuses, mésenchymateuses, riches en soufre (sucres
aminés, acide hyaluronique, glucosamine et autres) en cas de myomalacie,
arthrose, ostéochondrose, arthrite et rhumatisme.
Comme agents endogéniques.
Comme virus grippaux.
Dès lors, les symptômes pathologiques cités peuvent être complètement
supprimés
uniquement par un traitement biologique, pourvu qu’une abstinence totale du porc soit
observée.
Le professeur Hans-Heinrich Reckeweg a basé son étude uniquement sur le
porc, mais il est certain que l’homme peut faire face à des maladies, des
affections peut être différentes mais aussi désastreuses, en consommant
d’autres animaux impurs comme le cheval, le lapin, les poissons impurs, les
crustacés, les coquillages, etc. (cf. Lévitique 11 et Deutéronome 14).
Si vous souhaitez garder une bonne santé, vous savez maintenant quelles
sont les instructions divines. À vous de les observer ou de les rejeter, c’est
votre choix !
Fin du sujet.
Ne mangez pas les éboueurs de la planète.
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