lundi 17 juin 2024

CHAOS PROGRAMME .......

 



La véritable raison de la dissolution de l'Assemblée : "Le budget impossible pour la France en 2025"

 

L'édito de François Lenglet dans #RTLMatin

 


Macron a ruiné la France avec ces stupides confinements, avec ses stupides réformes économiques. Voilà la réalité de la dissolution. Il veut en faire porter le chapeau à d’autres, et lui, s’en laver les mains.

 

François Lenglet

 

https://x.com/silvano_trotta/status/1800232512033047002

 


 

Christine Deviers-Joncour

 

Je vous dis il prépare sa sortie après avoir tout détruit, il a fini sa mission, il va viser maintenant la présidence de l’Europe comme la suggéré Klaus Schwab. Et après y’a aussi la thèse qu’il menace de quitter pour mieux revenir et ainsi obtenir son 3ème mandat ! Il a la main sur Dominion donc easy pour lui d’être réélu

 

Vu dans les films du jour :

 


Florian Philippot analyse les propos très graves du Président Emmanuel Macron

 

https://crowdbunker.com/v/JyQFHcEm45

 



Ce fumier avait tout prévu !!!

 

 

Lien vidéo 923 commentaires :

 

« C'est un revanchard, doublé d'un orgueil incommensurable. Il a le culot de quelqu'un qui est arrivé à être Président par opportunisme, sans savoir comment il allait s'y prendre. Il gouverne à vue, en amateur, Il bricole au coup par coup, sa communication est déplorable ses discours sont stériles, on voit bien qu'il n'a aucune conviction, dans ses longues élucubrations en bref, il se fout complètement de la France et des français, pas étonnant qu'on veuille s'en débarrasser au plus vite !!!! »

 

« Il a confié lors des commémorations à Oradour qu'il avait tout préparé depuis des semaines et qu'il était fier d'avoir jeté une grenade dégoupillée dans les jambes des différents partis... Il veut le chaos pour soit imposer un régime autoritaire (vu ce qu'il nous a fait c'est largement dans ces moyens) soit pour s'imposer comme le sauveur... »

 

https://www.youtube.com/watch?v=Jgp9D4x7HIk&t=114s

 

Vu et lu sur le net

 

Patrick Nardi

 



Madame, Monsieur, chers Patriotes,


Que d’événements ! Macron vise le chaos total : nous le savions, nous le disions, mais sa décision surprise de dissoudre l’Assemblée nationale le soir des élections européennes et de convoquer en toute hâte des législatives en est une preuve manifeste ! Les « oppositions » ayant été incapables en deux ans de renverser le gouvernement et de dicter leur tempo, c’est finalement Macron qui a pris tout le monde de court, cherchant à donner les clés du gouvernement à l’équipe RN–Ciotti pile au moment où il faudra élaborer le budget 2025 de la France, accueillir les Jeux olympiques, affronter des révoltes sociales, ou pire : aller vers la guerre… Un RN désormais totalement rallié à l’UE et à l’OTAN ne pourra pas tenir ses promesses, et Macron le sait ! D’ailleurs, la promesse d’abroger la réforme des retraites a déjà été mise au placard par le Rassemblement national… Le piège du chaos n’est pourtant pas inéluctable ! Les Patriotes ont pris leurs responsabilités en proposant la constitution d’un Bloc Souverainiste, tendant la main à République Souveraine, l’UPR, DLF, élargissant ainsi notre rassemblement des élections européennes. La relève doit être prête car aucune majorité européiste ne pourra sauver la France et échapper au chaos, on le sait ! L’alternative est là, et tous ceux qui ont refusé le Bloc Souverainiste devront très vite reconsidérer leur position ! Dans tous les cas, Les Patriotes se battront pour une France libre, la paix, nos libertés et je salue le dévouement extraordinaire des Patriotes partout sur le terrain, pour faire triompher la vérité et le vrai changement !

 

Figurez-vous que c’est Ursula Von der Leyen qui a craché le morceau sur le plan machiavélique de Macron, comme le rapporte la presse allemande cette semaine. Macron lui a en effet confié, avant de dissoudre, son désir de susciter un chaos maximum et de discréditer son « opposition » ! Preuve ultime que c’est bien le système oligarchique qui pilote la France et ses dirigeants, et que c’est bien de lui qu’il faut se libérer ! Au-delà de la tambouille politicienne qui envahit l’actualité ces derniers jours, qui n’est que l’écume des choses, nous avons le devoir sacré pour nous-mêmes, notre pays et nos enfants de mener bataille, de ne jamais lâcher, d’incarner le combat pour la souveraineté nationale et populaire, nécessairement libérés de l’UE (Frexit), de l’OTAN, de l’OMS, de la CEDH, des lobbys. L’Histoire accélère, et par les urnes ou tout autre moyen, soyons en capacité de provoquer les événements salutaires pour nous libérer !

 



Législatives annulées ou reportées ? Un recours conteste le délai du scrutin

 

L’effet de surprise de Macron de dissoudre l’assemblée nationale n’est pas conforme au code électoral. Cela résume l’action de Macron qui flirte toujours avec la légalité et il serait amusant que ce recours aboutisse.

 

Cette précipitation va lui servir à analyser les réactions les forces politiques et des possibles alliances de partis qui vont s’unir dans un contexte d’opposition.

 

Il faut rappeler que même si Macron a validé sa politique générale, comme la réforme des retraites à coup de 49.3, les journalistes aux ordres vont se délecter de revenir sur ce sujet pour exposer les véritables intentions de ceux qui vont prendre le pouvoir.

 

La réforme des retraites qui a mobilisé les français dans la rue sera le sujet clivant qui permettra de savoir si le RN tient ses promesses ou pas et de créer la désunion au sein du clan de Marine Le Pen.

 

Jordan Bardella avait promis d’abroger la réforme des retraites s’il parvenait au pouvoir. Le président du Rassemblement national a déclaré qu’en cas de victoire il ne reviendra pas sur cette loi.

 

Cette stratégie consiste à éloigner l’électorat des retraités du RN et à affaiblir l’image de Bardella pour montrer aux français son immaturité politique.

 

Si Bardella recule déjà sur l’abrogation de la réforme des retraites, aux yeux du public il est Macron compatible. Les sujets clivant seront l’examen d’admission à Matignon.

 

« La lucidité et l’honnêteté de dire aux Français que la situation économique dont nous allons hériter dans un pays qui pulvérise sous Macron les records de déficit commerciaux, de déficit public et de dette, va être compliquée. Par conséquent, nous serons, dans le cadre d’une cohabitation, amenés à faire des choix. Il faudra des priorités. »

 

Cette convergence avec la politique du gouvernement de Macron va casser l’image de Bardella et amener encore des surprises dans la recomposition électorale, en un mot une pagaille sans nom.

 

Que va-t-il se passer pour la réforme de l’assurance chômage, Macron l’aurait fait passer avec un énième 49.3, et qu’en sera-t-il avec Bardella?

 

Des juristes déposent cet après-midi un recours devant le Conseil constitutionnel, annonce « le Figaro ». Le délai est trop court pour respecter l’ensemble des dispositions législatives assurant la sincérité du scrutin, avancent-ils. Le délai respecte pourtant la Constitution, qui prévaut sur le Code électoral, selon la jurisprudence du Conseil constitutionnel… Se risquera-t-il à une nouvelle interprétation ?

 

Emmanuel Macron a-t-il été trop vite en besogne ? Contre une dissolution qu’ils estiment « décidée à cinq ou six dans le bureau du président sans spécialiste du droit électoral », « plusieurs juristes et spécialistes du droit électoral spécialistes du droit constitutionnel » déposent un recours devant le Conseil constitutionnel ce mardi après-midi, selon une information du Figaro.

 

Le décret pris par le président de la République, daté du 9 juin et publié au Journal officiel le 10 juin – entorse à la coutume de ne rien publier au JO un lundi – pourrait être trop tardif, au regard du droit électoral, pour que le scrutin soit organisé aux dates prévues, le 30 juin pour le premier tour des législatives et le 7 juillet pour le second tour. Ce délai trop court mettrait en cause « la sincérité du scrutin », selon l’un des requérants, « ancien haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur » cité par Le Figaro.

 

Le Code électoral prévoit d’ordinaire le dépôt des candidatures « au plus tard à 18 heures le quatrième vendredi précédant le jour du scrutin ». Un délai impossible à tenir avec une dissolution décrétée à peine trois semaines avant le premier tour annoncé des prochaines élections législatives, mais l’Élysée a invoqué l’article 12 (alinéa 2) de la Constitution, avançant qu’il l’emporterait sur le Code électoral. Le délai prévu constitutionnellement y est ainsi énoncé : « Les élections générales ont lieu vingt jours au moins et quarante jours au plus après la dissolution ». Ce qui tomberait pile, y compris pour les élections anticipées qui se dérouleraient par dérogation le 29 juin et le 6 juillet sur le continent américain et en Polynésie française.

 

« L’un des initiateurs du recours » cité par le quotidien estime néanmoins que ce délai « est incompatible avec plein de dispositions législatives : le vote électronique, la campagne audiovisuelle, les comptes de campagne, le vote des Français de l’étranger, qui se prononcent normalement une semaine avant ». Le Conseil constitutionnel a quant à lui refusé de s’exprimer sur ce recours avant d’en être saisi.

 

Un recours infondé ?

 

La validité de la publication du décret est d’abord à examiner. L’article 1er du Code civil dispose qu’un acte administratif entre en vigueur le lendemain de sa parution en droit commun. Cela vaut donc pour le décret organisant les élections législatives du 30 juin et 7 juillet 2024. Ce même article prévoit une exception résidant dans « l’urgence » d’une situation particulière. Les résultats des élections européennes ou l’organisation des Jeux olympiques fin juillet devraient suffire à fonder l’argumentaire de l’urgence.

 

Quant au recours qui avance un délai trop court, un professeur de droit interrogé par le JDD estime que « ses chances de recevabilité sont nulles. Le Conseil constitutionnel a déjà tranché, notamment en 1988 en réponse à un recours de… Jean-Marie Le Pen ! ».

 

Le Conseil constitutionnel a déjà tranché en 1981 et 1988

 

Le fondement de la décision remonte à 1981, explique Romain Rambaud, sur son « blog du droit électoral ». Le professeur de droit, spécialiste du droit électoral, expose que dans sa décision « Delmas » du 11 juin 1981, le Conseil, saisi après la dissolution de l’Assemblée par François Mitterrand, estimait que les « dispositions de nature constitutionnelle prévalent nécessairement, en ce qui regarde les délais assignés au déroulement de la campagne électorale et au dépôt des candidatures, sur les dispositions législatives du Code électoral, qui d’ailleurs ne concernent point le cas d’élections consécutives à la dissolution de l’Assemblée nationale ».

 

Les Sages jugeaient donc conforme l’organisation des élections législatives, estimant que « les termes des décrets du 22 mai 1981 ne contreviennent pas aux dispositions de l’article 12 de la Constitution et ne comportent pas de prescriptions de nature à porter atteinte à la liberté et à la sincérité du scrutin. »

 

Nouvelle dissolution en 1988, et nouveau recours contre l’organisation rapide d’élections législatives. Romain Rambaud rappelle que le Conseil, dans une décision du 4 juin 1988, rejetait alors la requête de Jean-Marie Le Pen, jointe à celle d’autres requérants, confirmant ainsi sa décision de 1981 : la Constitution prévaut toujours sur le Code électoral.

 

Les Sages pourraient malgré tout évaluer la sincérité du scrutin

 

De quoi rendre ce recours mort-né ? Pas nécessairement, juge Romain Rambaud, joint par le JDD. Il estime que la publication du décret de dissolution et de convocation immédiate des électeurs, légitimée par l’urgence, ne devrait pas être attaquable. En revanche, l’interprétation des « vingt jours au moins » après la dissolution pourrait devoir être tranchée par le Conseil constitutionnel, si le recours s’y attaque. Prend-on en compte la date du 9 ou celle du 10 juin, date de parution du décret ? Les vingt jours sont-ils d’interprétation littérale ? Peut-on compter en « jours francs », qui ne prennent en compte ni le jour de la décision, ni celui de l’expiration du délai ?

 

Plus que le délai lui-même, l’évaluation des modalités d’une campagne aussi rapide pourrait rendre ce recours recevable. Outre le calendrier très serré, l’échéance de l’organisation des Jeux olympiques entre en jeu : au mieux, en l’état du calendrier retenu, la nouvelle Assemblée nationale se réunirait pour la première fois le jeudi 18 juillet, à huit jours de la cérémonie d’ouverture des JO. Une date fixée par la Constitution, qui prévoit que l’Assemblée se réunisse « le deuxième jeudi qui suit son élection ». Un report d’une semaine décalerait l’installation de l’Assemblée à la veille des Jeux, et le télescopage pourrait être jugé trop risqué par les Sages.

 

Le Conseil peut-il se risquer à interpréter ainsi le calendrier et les modalités d’organisation d’un scrutin ? Romain Rambaud se montre partagé, exposant l’alternative au JDD : « Le Conseil s’est déclaré compétent, dans sa jurisprudence Delmas, pour évaluer la sincérité du scrutin. Il peut s’en tenir à sa jurisprudence et considérer que le délai de vingt jours, dans l’esprit des institutions, englobe les modalités du scrutin et suffit à garantir sa sincérité. Mais depuis 1958, de nouvelles règles d’organisation se sont superposées, et on ne peut exclure que le Conseil se prononce sur les difficultés qu’elles posent en l’espèce. » Des arguments qu’il détaille dans son dernier billet sur cette possible décision prochaine du Conseil constitutionnel.

 

Tout dépend donc, d’une part, de la rédaction du recours – non communiqué à cette heure – et d’autre part de l’interprétation que donnera le Conseil constitutionnel de ses décisions antérieures. Pour l’avocat Philippe Prigent, « le Conseil constitutionnel se ridiculiserait en accueillant un tel recours, manifestement infondé ». Volontiers critique de l’institution, il n’exclut toutefois pas tout à fait cette possibilité, ajoutant cette pique : « Ce n’est pas une garantie de rejet ! »

 



Le Rassemblement national bouc émissaire de Macron
Macron, tel un pyromane, avait mobilisé ses troupes pour les européennes, tout en sachant que 2025 serait l’année de trop au niveau budgétaire. Il faut faire des économies et la dissolution avec le coût des jeux olympiques sera le baiser de la mort pour le gouvernement suivant.


Dans ce contexte similaire à la Grèce en 2004, Bardella va devoir essuyer les dettes. En 2025, il faudra trouver 20 milliards d’euros d’économies. Après un conseil des ministres mouvementé, un participant raconte comment Macron a réagi à l’enjeu des élections européennes : « Sur les retraités, le Président a recadré. Il a fait un shoot général, en disant : il faut arrêter de sortir des mesures qui n’ont jamais été imaginées. Si vous voulez perdre les élections… Moi, je m’en fous, je suis là jusqu’en 2027 », « S’il y a douze points d’écart aux européennes, le seul qui est sûr de rester, c’est moi… ».


La députée Yaël Braun Pivet est « partisane de regarder lorsqu’il y a des superdividendes, des superprofits, des rachats d’actions massifs par les entreprises ». Elle est favorable « à une réflexion pour savoir s’il n’y a pas là, de façon exceptionnelle », une possibilité de recettes pour l’Etat.
Taxer les riches c’est pas pour Macron, c’est pour le RN qui s’il accepte de le faire.


Un rapport du FMI propose des mesures drastiques pour réduire le déficit public. Les recommandations incluent des coupes dans les dépenses et des ajustements fiscaux, visant à atteindre un déficit de 3 % du PIB d’ici 2027. La réduction des dépenses est préférable à une augmentation des impôts.


Le FMI recommande une rationalisation des dépenses fiscales en faveur de la recherche et une révision du crédit impôt recherche (CIR) et une baisse de la masse salariale du secteur public.


L’augmentation du prix de l’essence sera aussi à l’ordre du jour.
Mais la plus grosse pilule viendra avec le déficit public et la nomination de Jean-René Cazeneuve aux manettes d’une mission sur la taxation des rentes.


Jean-René Cazeneuve siège à la commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire (Rapporteur général). Ancien cadre d’Apple et de Bouygues telecom, il va piloter la stratégie de l’Etat pour piller encore les économies des français afin d’éponger les dépenses folles de Macron.


Jean-René Cazeneuve était à la manœuvre pour la réforme des retraites, c’est l’homme de confiance en situation de crise.


Le ministre des Comptes publics, Thomas Cazenave avait déjà dit vouloir « revoir » le fonctionnement de la taxe sur les énergéticiens, qui n’a rapporté que 600 millions d’euros en 2023, là où l’exécutif comptait sur un rendement de 3 milliards d’euros.


Le rapporteur du budget, Jean-François Husson est très énervé : « On va dire à des gens qui ont épargné toute leur vie pour leurs vieux jours, désolé, on a mal calculé le déficit, on va vous taxer un peu plus », « Ça montre une fois de plus l’amateurisme et l’impréparation du gouvernement face à la gravité de la situation. Le déficit public est abyssal, le plus grave de la Ve République, hors temps de crise, et le gouvernement ne sait pas par quel bout le prendre ».


Voilà ce que Macron n’a pas pu imaginer faire mais dont il est responsable, et qu’il va laisser au nouveau gouvernement.


Le RN n’est pas prêt à assumer une cessation de paiement.


La solution se trouve sûrement sur les largesses de Macron qui a attribué 160 milliards d’euros d’aide aux entreprises, il suffit de les supprimer et de dire aux profiteurs que la fête est finie.


PARIS, 10 juin (Reuters) - Le Rassemblement national, parti d’extrême droite, devrait remporter des élections anticipées en France, mais sans obtenir la majorité absolue, selon la première enquête d’opinion publiée après la décision choc du président Emmanuel Macron de dissoudre le Parlement.


À la suite de la défaite massive de son parti Renaissance aux élections européennes de dimanche, M. Macron a annoncé des élections anticipées pour la chambre basse du Parlement. Le premier tour est prévu pour le 30 juin, dans moins de trois semaines, et le second pour le 7 juillet.


Le parti anti-immigration et eurosceptique de Marine Le Pen, le Rassemblement national (RN), obtiendrait entre 235 et 265 sièges à l’Assemblée nationale, un bond considérable par rapport à ses 88 sièges actuels, mais en deçà des 289 sièges nécessaires pour obtenir la majorité absolue, selon le sondage réalisé par Toluna Harris Interactive pour Challenges, M6 et RTL.


L’alliance centriste de M. Macron pourrait voir son nombre de législateurs diminuer de moitié, passant de 250 à 125-155, selon le sondage de lundi. Les partis de gauche pourraient contrôler ensemble 115 à 145 sièges, bien que chaque parti puisse se présenter seul.


Il n’est pas certain que le RN dirige le gouvernement, avec ou sans alliance avec d’autres partis. D’autres scénarios prévoient une large coalition de partis traditionnels ou un parlement sans majorité.


Mais la décision choc de M. Macron offre à l’extrême droite, de plus en plus populaire, une véritable chance d’accéder au pouvoir. Cette décision, qui équivaut à un coup de dés sur son avenir politique, a immédiatement fait chuter l’euro, tandis que les actions et les obligations d’État françaises s’effondraient. Le RN a obtenu 31,4 % des voix au Parlement européen, contre 14,6 % pour la coalition des partis de la Renaissance


Même si le RN obtient la majorité au Parlement français, Macron restera président pendant trois années supplémentaires et sera toujours en charge de la défense et de la politique étrangère.


Mais il perdrait le contrôle de l’agenda national, notamment la politique économique, la sécurité, l’immigration et les finances, ce qui aurait un impact sur d’autres politiques, telles que l’aide à l’Ukraine, puisqu’il aurait besoin du soutien du Parlement pour financer toute aide dans le cadre du budget de la France.


« Nous sommes encore sous le choc », a déclaré à Reuters Emmanuel Pellerin, un député du parti Renaissance de M. Macron. "Tout porte à croire que le RN obtiendra une majorité relative ou absolue.


Mais cela oblige les Français à réfléchir aux enjeux."Dans ce contexte, les partis politiques se sont empressés de présenter des candidats et de discuter d’éventuelles alliances.


M. Bardella et Mme Le Pen se sont entretenus lundi avec Marion Maréchal, du petit parti d’extrême droite Reconquete. Mme Marechal est la nièce de Mme Le Pen et était un membre important de son parti avant qu’ils ne se séparent.


M. Bardella a déclaré après la réunion que des discussions étaient en cours pour former une alliance. Il a ajouté qu’il discutait également avec certains membres du parti conservateur Les Républicains.


« Je souhaite ardemment que nous puissions trouver les moyens de nous rassembler », a déclaré M. Maréchal aux journalistes.


Les dirigeants de la gauche française très divisée - la gauche dure LFI (La France insoumise), les communistes, les socialistes et les Verts - se sont également entretenus.


« Nous n’avons pas le temps de tergiverser », a déclaré Manon Aubry, de LFI, aux journalistes. « L’objectif est de pouvoir se retrouver, de construire l’avenir et surtout d’aller gagner ».


Une source proche de M. Macron a déclaré que le dirigeant de 46 ans, dont le pouvoir a diminué depuis qu’il a perdu sa majorité absolue au parlement il y a deux ans, avait calculé qu’il y avait une chance qu’il puisse regagner une majorité en prenant tout le monde par surprise.


Pour Mme Le Pen et M. Bardella, le défi consiste à transformer la popularité en victoire. Le vote devrait tourner non seulement autour du mécontentement à l’égard du style de pouvoir de M. Macron, du coût de la vie et des politiques d’immigration, mais aussi autour de la question de savoir si l’on peut faire confiance au RN pour diriger un grand gouvernement européen.


Parmi les politiques mises en avant par le parti, le RN a proposé d’augmenter les dépenses publiques, malgré les niveaux déjà importants de la dette française, menaçant d’augmenter encore les coûts de financement des banques.


Le RN souhaite également expulser davantage d’immigrés, mettre un terme au regroupement familial, restreindre les prestations de garde d’enfants aux citoyens français, donner la préférence aux ressortissants français en matière d’accès aux logements sociaux et aux emplois et retirer le droit de séjour aux immigrés qui sont sans emploi pendant plus d’un an.


L’euro a perdu jusqu’à 0,6 %, tandis que les valeurs sûres de Paris ont chuté de 1,4 %, entraînées par les pertes importantes des banques BNP Paribas.


L’élection anticipée aura lieu peu avant le début des Jeux olympiques de Paris, le 26 juillet, lorsque tous les regards seront tournés vers la France.

 

« Très dur de se débarrasser de ce gars »

 

« Juste une balle en pleine tête... »

 

« La dissolution dans un bassin d'acide sulfurique, ça ne marche pas trop mal en général. »

 



Une dissolution pour une république du chaos et un Etat Européen
Emmanuel Macron vient d’annoncer la dissolution de l’Assemblée à la suite du score important du RN aux élections européennes. Cette recomposition politique du pouvoir cache la nouvelle orientation prise par les mondialistes qui accélèrent la création de l’Europe fédérale pour lutter contre la montée de l’extrême droite.


La France est un pays qui n’est pas mature pour s’extirper de la tutelle du pouvoir profond.


Si Macron a décidé aussi rapidement de dissoudre l’assemblée nationale c’est pour mieux diviser les forces d’oppositions et préparer l’élection d’Edouard Philippe pour 2027.


La nouvelle union politique brisera les clivages politiques. Ceux qui luttaient contre Macron se feront une joie de faire alliance contre Bardella.


Mais ne nous y trompons pas, le RN est euro compatible, Otan compatible, et LGBT compatible. L’espoir du peuple français s’évanouira devant l’immobilisme du nouveau pouvoir politique, qu’il rendra inévitable le projet d’Etat Européen, puisque ce sont les élections européennes qui ont scellé la défaite de la démocratie.


Macron a eu tout son temps pour placer ses hommes de l’ombre dans la haute administration.


Ils sont présents dans toutes les institutions de la France et vont devenir un contre-pouvoir face au RN de Marine Le Pen.


Berçy ne changera pas et sera toujours sous la coupe de la direction du Trésor qui a validé la transition écologique, le droit européen s’imposera à Bardella, même s’il est premier ministre.


L’autre point important est la responsabilité sécuritaire des jeux Olympiques qui sont menacés d’un attentat. L’immaturité politique du RN devra affronter et assumer toutes les irresponsabilités qui ont été décidées par le duo Hidalgo et Macron.


Ces élections étaient à la fois un piège et une opportunité pour tester la continuité du pouvoir profond afin de désigner de nouveaux responsables d’une crise majeure.


Comment Bardella va-t-il gérer la crise de Nouvelle Calédonie, comment va-t-il négocier le conflit en Ukraine et la guerre de Gaza ?
Du point de vue de l’étranger, la victoire de l’extrême droite au Parlement européen ajoute de l’incertitude à l’orientation politique future de l’Europe. Le parti du chancelier Olaf Scholz a obtenu le pire résultat de son histoire et Giorgia Meloni s’est imposée en remportant le plus grand nombre de voix. L’Europe se divise et le pouvoir profond s’en réjouit.


Le glissement du Parlement européen vers l’extrême droite rendra plus difficile l’adoption de nouvelles législations nécessaires pour répondre aux défis sécuritaires, à l’impact du changement climatique ou à la concurrence industrielle de la Chine et des États-Unis.


Le Parti populaire européen (PPE) de centre droit d’Ursula Von Der Leyen, sera le parti le plus largement représenté dans la nouvelle législature, avec 189 députés. Elle s’est empressée de déclarer qu’ « Aucune majorité ne peut être formée sans le PPE et ensemble [...]. Nous construirons un bastion contre les extrêmes de gauche et de droite ».


« Mais il est également vrai que les extrêmes, de gauche et de droite, ont gagné du soutien et c’est pourquoi le résultat est assorti d’une grande responsabilité pour les partis du centre ».


Ursula Von Der Leyen est la grande gagnante de cette soirée électorale pour assurer la réélection...


L’analyse de ces élections, montre un glissement vers la droite dû à l’augmentation du coût de la vie, à l’immigration, au coût de la transition écologique et à la guerre en Ukraine qui sont les sujets prioritaires des partis nationalistes et populistes.


Cette nouvelle redistribution des forces politiques va permettre au pouvoir profond de se refaire une virginité et mobiliser les forces progressistes contre les extrêmes pour générer des guerres civiles dans toute l’Europe et proposera la paix en créant un Etat Européen.

 


Il est inaudible et c’est normal, pour quelqu’un qui a montré une irresponsabilité historique dans la fonction présidentielle. La preuve, avec sa conférence de presse surréaliste. Une vertigineuse déconnexion de la réalité du quotidien des Français. Des annonces tous azimuts à la recherche d’électeurs uniquement. Sept ans plus tard, #Jupéteux a tout bien fait, il sait tout mieux que tout le monde, les autres ne seront jamais à sa hauteur de toute façon. Lui, il est le bien, les autres sont le mal absolu. Après l'avoir ‘entendu’, nous pensons que le nombre de Français qui veulent le voir démissionner est bien plus élevé ! #Fossoyeur1er a passé deux heures à proposer ou expliquer tout et n’importe quoi et ce qu'il conviendrait parfois de faire pour la France qu’il préside pourtant depuis 7 ans. Une caricature du pire aux abois.

 

C’est le résultat d’un sondage de l’Institut CSA pour CNews, Europe 1 et le JDD. Ce chiffre monte à 76 % chez les 18-24 ans. 30 % des sympathisants #Renuisance souhaitent sa #démission en cas de défaite, ils estiment qu’il ne peut continuer de présider le pays en cas de cohabitation.

 

« J'entends tout ce qu'on dit sur ma pomme », a-t-il dit aussi, ajoutant que « l'élection personnelle s'est jouée en 2022 pour 5 ans, elle est claire ».

 

« Je dirai 98 % des français.... Les 2 % restants sont ses lèches c..... »

 

« Sinon un référendum pour ou contre Macron »

 

« On serait plutôt pour son arrestation et sa condamnation pour haute trahison. »

 


Ses promesses ne valent rien, et ça, nous le savons tous, même ce qu’il #promet depuis 2017 pour à chaque fois se sortir de son bourbier, il ne le respecte pas. Il faut absolument le dégager !

 

Comme si #Macronéron respecte quoi que ce soit ou #Jupéteux qui que ce soit, qui est tellement intelligent, qu’il reconnaît clairement qu'il nous méprise et nous insulte depuis sept ans ! Cet immonde personnage serait capable de vendre sa mère, si cela pouvait lui rapporter quoi que ce soit. Sept ans à ne rien respecter ni personne. Son respect depuis 2017 n’a d’égal que son aversion pour les Français et La France. Il n’a eu de cesse de nous humilier, alors, infligeons-lui une deuxième humiliation!

 


 

Comme à chaque discours et mises dans le tiroir du dessous sitôt la mise en scène terminée impossible de faire confiance à un tel personnage

 

Cherche électeurs de toute urgence. Qui peut le croire?

 

Des déclarations à l’emporte-pièce. Notre autocrate vénéré est acculé pour proposer de rouvrir le dossier des régions alors qu’il était, il y a un mois et demi seulement, farouchement contre, avant sa déculottée. Concernant le #GrandEst, c’était hors de question. Cherchez la cohérence...

 

Sept ans après, il veut… Supprimer un échelon territorial et cible le couple département-région. Il dit vouloir « rouvrir » la « question des grandes #régions », découpées de manière « #arbitraire » selon lui, en donnant « le choix » aux Français 😂 C’est fantastique… Dire qu'il était avec #Hollande pour le changement des régions. Réformées depuis le 31 décembre 2015 par Hollande, ces 13 nouvelles régions - au lieu de 22 auparavant – « éloignent la décision politique » d’après #Macronéron qui a tout centralisé dans son bureau, arbitrairement ! Certaines d'entre elles suscitent encore de vives critiques, à l'image de la région Grand Est, dont l'Alsace souhaite s'émanciper.

 

Pour « déconcentrer beaucoup plus rapidement » et « ramener plus de simplicité et de liberté sur les territoires », il « entend supprimer un échelon territorial » et entreprendre des « réformes de simplification pour une plus grande vitalité démocratique ». Merci du fou rire.

 

Et puis cherche toujours électeurs, alors notre autocrate vénéré a « décidé de suspendre » le projet de loi constitutionnelle qui a été voté concernant la Nouvelle-Calédonie. « On ne peut pas laisser d'ambiguïté dans la période pour donner toute sa force au dialogue sur place et au retour à l'ordre », mais oui mais oui…

 



Fin de citation.

 



Le psychiatre Italien Adriano Segatori dresse le portrait psychopathologique d’Emmanuel Macron

 


 

"Macron est un psychopathe" : l’analyse d’un psychiatre italien

 

Le professeur Adriano Segatori est un psychiatre et psychothérapeute italien. Son analyse du profil d’Emmanuel Macron, basée notamment sur sa biographie et ses images de campagne, le pousse à conclure, de manière très argumentée : « Macron est un psychopathe qui travaille uniquement pour lui-même. »

 


 

Macron un psychopathe possédé et habité par les démons

 

Lien vidéo 613 commentaires :

 

https://www.youtube.com/watch?v=ZoRcNlr4eHY&t=10s

 

https://aulnaycap.com/2022/04/15/le-psychiatre-italien-adriano-segatori-dresse-le-portrait-psychopathologique-demmanuel-macron/

 



La démission fracassante et tout à son honneur d’un député.

 

 

Lien vidéo 866 commentaires :

https://www.youtube.com/watch?v=pC0OyeM4VHc&t=13s

 

Fin du partage.

 

C. Rosenzwitt-Makiewsky-Santri

 


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