Comment le nom du
Sauveur a été changé.
Shalom à tous,
Je remets ici en ligne cette belle étude faite sur le nom de notre maître et Sauveur, Yahshua Ha'Mashiah.
Remerciements à Gaël Feltracco pour la traduction. Voici le lien
http://www.yaiy.org/literature/FrenchHowSaviorName.html
Le Sauveur est né à Bethléhem en Judée d’une vierge juive qui
parlait l’hébreu (ou peut-être l’araméen), une langue sémitique. Il est né dans
une société où l’hébreu était la langue courante. L’ange Gabriel avait annoncé à Miriam (Marie), la mère, que l’Enfant
qui allait naître sauverait son peuple Israël de ses péchés. Son nom, par
conséquent, reflèterait cette signification et cette mission.
La Bible montre qu’à chaque fois que des personnes ont été interpellées
d’en haut, c’était toujours des personnes qui connaissaient ou parlaient
l’hébreu.***
L’hébreu était sans aucun doute parlé dans le jardin d’Éden. La Bible est un livre hébreu, donné à des auteurs hébreux remplis de l’esprit. La seule langue parlée au cours des 1 757 premières années – jusqu’à l’incident de la tour de Babel – fut l’hébreu. Nous devons donc en conclure que l’hébreu est la langue céleste.
L’hébreu était sans aucun doute parlé dans le jardin d’Éden. La Bible est un livre hébreu, donné à des auteurs hébreux remplis de l’esprit. La seule langue parlée au cours des 1 757 premières années – jusqu’à l’incident de la tour de Babel – fut l’hébreu. Nous devons donc en conclure que l’hébreu est la langue céleste.
Genèse 10 : 30 révèle que les fils de Sem décidèrent de ne pas
joindre le projet dans les plaines de Schinear (Genèse 10 : 30) où la tour de
Babel était construite. Selon Genèse 10, ils habitèrent à Méscha, près du mont
Sephar. Leur langue hébraïque ne fut pas changée.
Ayant toutes ces évidences, nous devons demander pourquoi nos
Bibles appellent le Sauveur par le nom de Jésus, nom qui n’est ni juif ni
hébreu. Jésus n’a aucune traduction dans quelque langue que ce soit.
Pourquoi une jeune femme juive, dont la langue maternelle était
l’hébreu, qui habitait dans une communauté juive constituée d’Hébreux, qui
avait été avertie par le messager céleste Gabriel, donnerait-elle à son
nouveau-né un nom hybride gréco-latin ne comportant pas la signification de
Sauveur dans aucune de ces deux langues ? Le mot grec pour sauveur est « soter
», alors que le mot latin est « salvare ». Aucune partie de ces mots ne se
trouve dans « Jésus », un nom qui n’a pas de sens étymologique. Rappelez-vous
que l’ange avait dit que Son Nom serait lié à Son dessein de Sauveur.
Jésus n’est pas son nom de naissance,
En fait, Jésus n’est pas – et ne fut jamais – Son nom. Le célèbre érudit
et archéologue Ernest Renan écrit que le Sauveur ne fut jamais appelé Jésus
pendant sa vie !
De plus, il n’y a pas aujourd’hui – et il n’y en a jamais eu – de
lettre « j » équivalente dans
les 22 lettres de l’alphabet hébreu. Il n’y a pas non plus de lettre en hébreu
qui aurait ne serait-ce qu’un son approximatif du « j » anglais. Et il n’y a pas non plus de lettre « j » dans l’alphabet
grec.
Même le « j » anglais a une
origine récente, puisqu’il est apparu dans la langue anglaise il y a seulement
500 ans, où il remplaça la lettre « i » habituellement placée en début de mot. La question qui se pose
est la suivante :
Quel était le nom du Sauveur avant que la lettre « j » n’existe ? Pendant
quelque 1 500 ans, Il fut bien évidemment appelé par un autre nom qui ne
pouvait pas contenir la lettre « j ».
Ses disciples Juifs l’auraient-ils appelé par un nom hybride
gréco-latin alors que la Bible dit que c’était des hommes du peuple sans
instruction (Actes 4 : 13) ? Ces hommes étaient de simples pécheurs qui
parlaient l’hébreu, ou éventuellement un dialecte araméen assez proche. Leur
discours en hébreu fut ensuite traduit en grec pour des linguistes qui nous ont
donné l’histoire dans nos Bibles. (Écrivez-nous et demandez notre mini étude
intitulée Le Nouveau Testament fut-il écrit en grec ?)
Ceci est une étude qui approfondira l’origine du Jésus français ou
anglais (Jesus) et fournira les
preuves – à la fois tirées de la Bible et de sources laïques – révélant que le
nom donné depuis les cieux était le nom hébreu « Yahshua » [ndt : à
prononcer « Yahshoua » en français],
le même nom que le fils de Nun de l’Ancien Testament que nous connaissons sous
le nom de Josué dans les Bibles françaises.
Un fils porte le nom
de son père
Le Sauveur a clairement déclaré dans Jean 5 : 43 : « Je suis venu
au nom de mon Père ». Ce passage signifie qu’Il portait le nom de son Père. Sa
signification n’est pas seulement limitée à Sa venue par l’autorité et l’ordre
du Père céleste.
Tout comme aujourd’hui le nom de famille se transmet du père au
fils, on peut s’attendre à ce que Yahshua ait porté le nom de
son Père céleste, ET qu’Il soit avec
son autorité. Au Moyen-Orient, un nom porte en lui beaucoup plus de
signification et a des implications plus profondes que les noms dans la société
occidentale actuelle. Il y a bien une raison pour laquelle le Sauveur est né
dans une société du Moyen-Orient qui accorde encore aujourd’hui une grande
importance au nom d’une personne.
Le Sauveur poursuit dans ce passage en disant que même si le peuple
ne l’a pas reçu, si un autre venait en son propre nom, le peuple le recevrait.
Il ajouta aussi que Moïse avait écrit à son sujet, se référant sans doute à
Exode 15 : 2 : « C’est Yah qui m’a sauvé [le
mot « sauvé » est tiré de l’hébreu shua, c’est-à-dire Yah-shua]. (Voir aussi Deut.
18 : 15-19).
Comme nous l’avons déjà vu, le nom du Sauveur est essentiellement
le même que le nom traduit en français par Josué (ou Joshua en anglais), le
fils de Nun (Nombres 13 : 16). Le nom de Josué était à l’origine Hosée (Hoshea
ou Hoshua), mais Moïse avait joint comme préfixe la forme courte ou poétique du
Nom sacré, Yah, l’appelant ainsi Yahoshua, ce qui signifie le Salut de Yah.
Selon les autorités linguistiques, à partir de la captivité
babylonienne, le son « o » fut abandonné, et à
l’époque de la naissance du Sauveur, le nom n’était plus « YahOshua » mais plutôt Yahshua. Cette habitude de
raccourcir les noms est très courante. Par exemple, « bedlam » provient de Bethléhem, Jon de Jonathan, et Liz
ou Beth d’Élizabeth.
Le Sauveur Yahshua est effectivement
venu au nom de son Père, car son nom veut dire « le salut de YAH ». Son nom contient le nom de famille céleste
sacré et poétique Yah : YAHshua.
Il suffit de regarder dans Actes 7 : 45 et Hébreux 4 : 8 dans la
traduction anglaise King James où le nom hybride « Jesus » apparaît de façon erronée (la Bible française Louis Segond
traduit à juste titre « Josué » et non « Jésus »). Il est évident
que les scribes ont parcouru la Bible anglaise King James et ont chargé partout
le vrai nom de Yahshua en « Jesus ».
Faisant un excès de zèle, le nom Joshua (en fait Yahshua, traduit par Josué
en français), le fils de Nun, a été lui aussi par erreur remplacé par le nom
hybride « Jesus » ! Plus tard, les
Bibles King James révisées ainsi que d’autres traductions l’ont remplacé par le
nom correct Joshua.
Aucun autre nom
n’offre le salut
Le salut vient de Yahshua le Messie. Le salut est par Lui seul.
« Il n’y a de salut
en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné
parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4 : 12).
Aucun autre nom ! C’est le même nom
donné par l’ange Gabriel à la mère de Yahshua avant Sa naissance.
Veuillez s’il vous
plaît noter que la Bible dit de façon spécifique qu’il n’y a aucun autre Nom !
Elle ne dit pas :
aucune autre « personne », ce qui pourrait vous permettre de L’appeler par n’importe quel nom
que vous souhaitez. Yahshua est le seul Nom par lequel nous recevons le
salut. Il n’y a pas d’autre nom que Yahshua, qui signifie littéralement le salut que Yahweh a envoyé.
En parlant aux Juifs repentant lors de la Pentecôte, Pierre fut
inspiré de donner le nom spécial par lequel nous recevons le salut. Il n’a pas dit d’être baptisé en la personne du Messie.
Dans Actes 2 : 38,
Pierre nous a donné un ordre spécifique qui est de se référer au nom
personnel donné par le Père :
« Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Yahshua le Messie, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du
Saint-Esprit ».
C’est certain, Yahshua, en tant que
personne, est important. Mais le Nom qu’il a reçu de l’ange vient des cieux et a
une signification particulière pour le Sauveur, car ce Nom comporte le Nom même
de Yah-weh le Père.
Le Nom Yah-shua manifeste à la fois le Père et le salut qui est dans Son Fils Yahshua.
Après avoir eu
connaissance de la vérité, nous devons y marcher en toute obéissance. La
plupart d’entre nous avons appris des vérités plus profondes à des petits
échelons.
Nous avons ensuite mis en pratique ce que nous avions appris. Yahweh continuera de nous révéler plus de vérité seulement si nous acceptons et suivons les choses qu’Il nous a
montrées.
Pourquoi devrait-Il
donner plus de discernement à ceux qui rejettent et se rebellent contre ce
qu’Il a déjà révélé ?
Une fois que nous
connaissons la vérité, l’ignorance passée ne justifie pas le fait de poursuivre
dans l’ignorance.
« Yahweh, sans
tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en
tous lieux, qu’ils ont à se repentir » (Actes 17 : 30).
Il révèle Sa vérité
à ceux qui veulent la chercher et la mettre en pratique.
Le Nom Yahweh a été
masqué
Comment le Nom sacré
a-t-il été changé dans nos Bibles ?
Les quatre lettres
du Tétragramme (YHWH) représentant le nom du Père ont commencé à être cachées par les
prêtres israélites. Cela se poursuivit ensuite à cause de l’ignorance des
premiers traducteurs chrétiens.
Les scribes juifs superstitieux, connaissant Lévitique 24 : 16
ainsi que d’autres versets demandant le
respect du Nom de Yahweh, décidèrent que la meilleure façon de ne pas
Le blasphémer serait d’utiliser des titres en guise de substituts au lieu de
prononcer le Nom propre Yahweh. Ne jamais permettre que , quiconque prononce le Nom sacré,
éliminait à leur avis, la possibilité de le blasphémer.
Pour éviter la lecture du Tétragramme et la prononciation du nom Yahweh, les scribes avaient placé
les signes diacritiques des voyelles du mot Adonaï sur les lettres hébraïques
de Son Nom. En fait, la première voyelle avait le son « ai » comme dans le mot
« faire » si bien que le lecteur
lisait Yeh et ainsi ne
laissait même pas échapper le son de la forme courte ou poétique Yah. C’était un zèle malencontreux.
Les premiers
traducteurs cachent aussi Son Nom
Les premiers traducteurs chrétiens n’étaient pas des érudits dans
la langue hébraïque. En fait, la plupart ne connaissaient pas du tout l’hébreu,
mais seulement le grec et le latin. Pensant qu’ils n’avaient « rien à faire
avec ces Juifs odieux », ils refusèrent même d’apprendre l’hébreu et étaient
ainsi incapables de lire l’Ancien Testament dans sa langue originale. Leur
principale source d’information était la traduction grecque des Septante (de
l’Ancien Testament) et non les textes originaux hébreux.
Le grec a trois déclinaisons du nom, trois genres et cinq cas. Le
suffixe (terminaison) du nom indique son usage dans la phrase, chose qui est
aussi vraie dans la plupart des langues européennes.
Par exemple, en grec, le nominatif masculin singulier du nom de
notre Sauveur se termine par « s ». Cela explique pourquoi il y a tant de noms propres dans la Bible anglaise King James dont
l’hébreu a été changé et remplacé par la terminaison grecque avec le « s », comme Judas, Elias, Jonas, Esaias, Zacharias, Jermias, Annas et Silas.
Ces noms furent tirés dans la version grecque des Septante sans
prendre en considération que c’était des noms hébreux (ayant souvent la terminaison « Yah »).
Comme nous l’avons mentionné plus haut, ni l’hébreu ni le grec n’ont
de lettre « j ».
À la fois la lettre latine et anglaise (française également) « i » - comme dans le
mot police - sont considérées comme l’équivalent de la lettre hébraïque « yothe »
(appelée aussi « yod »).
Le nom du Sauveur ne
devrait jamais commencer par le son « j » comme dans « journée » mais devrait plutôt commencer
avec le son « i ».
Dans la version des Septante, la lettre grecque équivalente pour Yahshua commençait par un « I » majuscule (ou iota) ; elle fut correctement
traduite en latin par un « I » majuscule et était utilisée comme « I » majuscule en vieil
anglais (connu sous le nom de « J » cursif).
Quelle est l’origine
de « Yeshua » ?
Suivant l’exemple de
la version des Septante, les érudits chrétiens essayèrent de translittérer (faire correspondre
les signes d’une autre écriture) le Nom du Sauveur comme il était écrit dans le
grec.
Les scribes juifs,
lorsqu’ils écrivirent le nom de Yahweh dans les textes hébreux, insérèrent un shewa (:) au
lieu des qamets ( ), changeant ainsi le son « ah » en « eh » pour éviter de prononcer
la forme courte « Yah » du Nom Sacré. Cette pratique peut être
encore constatée dans la traduction éronnée « JEHovah ». Jehovah est une
meilleure traduction mais elle reste quand même incorrecte.
Ainsi, nous obtenons le Nom du Sauveur qui commence avec « JE » alors que ce
devrait être « YAH » comme dans « halleluYAH » en anglais (alléluia en français). On ne dit pas « halleluYEH » en anglais ou « alléluié » en français.
Utilisant le « I » majuscule grec (iota),
ils n’insérèrent pas la voyelle « a »
(alpha) mais acceptèrent dans l’ignorance les points de
voyelles diacritiques hébreux et utilisèrent la lettre « e » (eta). Ainsi, le nom du Sauveur commença par « Ie…».
L’alphabet grec ne
comporte pas de « h » mais seulement une petite marque d’aspiration au début
d’un mot qui apparaît sous forme d’apostrophe inversée. Aucun « h » n’apparaît donc en grec dans la
forme poétique « Yah ». En fait, nous
avons vu ci-dessus que la première partie du Tétragramme en grec s’écrirait « Ie » (sans le « h »
d’origine) s’il fallait être constant avec la règle du « Yeh » données par les
scribes juifs afin d’éviter de prononcer le son « Yah ».
Les Juifs ne
voulaient pas non plus associer le Nom de Yahweh avec celui du Sauveur, ce qui aurait pu être considéré comme la
reconnaissance de son statut de véritable Fils de Yahweh venu au Nom de Son
Père.
Le grec n’a pas de son « ch », donc seul le « s » (ou sigma) apparaît.
Jusque-là, nous avons les trois premières lettres du Nom du Sauveur, « IES ». Dans le grec, ces trois lettres sont suivies par un « o » (ou omicron), qui a un
son court, comme dans « vélo ».
Arrive ensuite le « u » (ou upsilon), qui est prononcé « ou ».
Donc la translittération en grec est quelque chose comme « I-ess-ou-uh ».
En le prononçant rapidement, on obtient un résultat proche qui est
« Yesouah », en se rappelant
qu’il n’y a pas de son « ch ». En grec, le Nom du Sauveur apparaît sous la forme « IESOUS » (avec la
terminaison grecque typique en « s »). La translittération latine fut ensuite élaborée essentiellement
à partir du texte grec, contournant ainsi l’hébreu d’origine.
Yahshua = Iesous en grec
Comme le Nom du
Sauveur fut ensuite translittéré en latin directement à partir de la traduction
grecque, nous avons la terminaison « s » (nominatif masculin
singulier), et le nom fut donc
introduit en latin sous la forme Iesous, qui devint plus
tard Iesus.
Lorsque l’on donna au « I » majuscule un tiret cursif
il y a environ 500 ans pour ainsi devenir le « J », il prit aussi le son du « J » français comme dans le
mot « journal ».
Le nom du Sauveur
fut ainsi altéré en devenant « Jesus » en anglais ou « Jésus » en français.
Cependant, en latin le « j » est prononcé comme un « i ». Autrefois la Yougoslavie s’épelait
en anglais Jugoslavia, mais était
prononcé Yugoslavia, comme c’est toujours le cas à l’heure actuelle.
Les cartes (en langue anglaise) à la fin du siècle dernier
indiquaient souvent l’U.R.S.S comme
« Sowjet Russiah » (ce qui signifie
littéralement Russie soviétique). Le
« j » était prononcé comme un « i » et le « w » prononcé comme le
« v » germanique. Le mot
« major » est prononcé « mayor » à
la fois en latin et en allemand. Les mots June
et July sont prononcés « Youne » et « Youli ».
Tout ceci peut
sembler pénible et technique, mais c’est nécessaire pour montrer la preuve que
le nom du Sauveur hébreu est Yahshua. Il est venu au nom de Son
Père, « YAH ». Si les traducteurs chrétiens étaient
remontés à l’hébreu d’origine, Son Nom aurait pu être fidèlement préservé dans
sa forme correcte qui est « Yahshua ».
Au contraire, Son
nom passa du grec au latin, puis à l’anglais ou au français, perdant ainsi
l’hébreu. Nous avons donc obtenu un nom hybride gréco-latin au lieu du Nom saint et salvateur Yahshua. C’est comme si l’on déplaçait sans arrêt des pièces de monnaie
d’une poche à une autre en en perdant un petit peu à chaque fois.
La nécessité de Son
Nom
Son nom signifie « le salut de Yah ». Rien de comparable ne
peut être glané du nom « Jésus » qui a été créé par les hommes,
qui est erroné et qui s’est développé premièrement chez des scribes juifs superstitieux, et qui s’est
ensuite perpétué par l’ignorance d’érudits chrétiens qui étaient ridiculisés par les Juifs pour leur manque de connaissance linguistique de
l’hébreu.
Paul révèle : « Yahweh l’a [Yahshua] souverainement élevé et
Lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Yahshua tout genou
fléchisse…»
(Philippiens. 2 : 9-10).
Le nom que Yahweh donna à Miriam
(Marie) par lequel Son fils devait être appelé, c’était Yahshua ! Ceci peut être prouvé par les notes explicatives en marge de
Matthieu 1 : 21 et Luc 1 : 31 dans de nombreuses traductions de la Bible. Les traducteurs ont
substitué et caché le saint Nom et nous ont donné le nom
hybride Jésus.
Mais ce n’est tout
simplement pas Son Nom !
De plus, Paul dit que la famille entière de Yahweh sera appelée par le précieux nom de « Yah » (Éph. 3 : 15). Certains prophètes ont porté Son nom, comme
par exemple IsaYah (Ésaïe), ObadYah (Abdias), ZephanYah (Sophonie), ZecharYah
(Zacharie) et JeremYah (Jérémie).
Nous allons recevoir
du Père un nom spécifique par lequel nous serons connus. Comment quelqu’un
peut-il mépriser, ridiculiser et rejeter le Nom Yahweh maintenant, et ensuite l’aimer et lui rendre hommage – et être
appelé par ce nom – dans le royaume ?
Les noms dans la
Bible ont une grande importance et des significations bien précises. Ils nous
donnent une compréhension plus approfondie. Yahweh a ainsi placé devant nous une porte qui mène à plus de vérité. Son salut est dans le Nom de Son Fils Yahshua, et nous devons garder Sa
parole et ne pas renié Son Nom (Apocalypse 3 : 8).
Il n’y a sous le ciel aucun
autre nom que Yahshua et c’est à travers Lui que nous sommes sauvés.
© 2007 Yahweh’s Assembly In Yahshua, 2963 County Road 233, Kingdom City,
Missouri 65262
Que les yeux des aveugles s'ouvrent enfin, et qu'ils entendent, avec la bénédiction de YHWH notre Dieu et Père, ce que l'esprit dit à L’Église.
Claude Rosenzwitt Makiewsky Santri.
*** Concernant le sujet ci-dessus, une petite rectification oblige, car la langue parlée était l'Araméen. Merci à Pierre Georlette pour cette rectification importante bien que quand on parle du peuple Hébreu, on a tendance à lui attribuer comme langue commune, l’Hébreu.
Voici une explication détaillée par le site Wikipédia.
Je rajoute ce texte (Dimanche 2 Février 2014)
*** Concernant le sujet ci-dessus, une petite rectification oblige, car la langue parlée était l'Araméen. Merci à Pierre Georlette pour cette rectification importante bien que quand on parle du peuple Hébreu, on a tendance à lui attribuer comme langue commune, l’Hébreu.
Voici une explication détaillée par le site Wikipédia.
L'Araméen
‘Vers la neuvième
heure, Jésus s'écria d'une voix forte: Eli, Eli, lama sabachthani?
c'est-à-dire: Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné?’ Matthieu 27 : 46
Communauté juive
Article détaillé :
Judéo-araméen.
Le Livre de Daniel
et le Livre d'Esdras sont écrits en partie en araméen.
Parmi les manuscrits
de Qumran, une centaine est constituée de textes rédigés en araméen, notamment
des traductions de la Bible (targoums).
Le Targoum Onkelos,
attribué traditionnellement à Onkelos le Prosélyte, est la traduction
officielle de la Torah utilisée par la communauté juive. L'araméen était
également la langue employée par les rabbins qui ont participé à l'écriture du
Talmud de Babylone et du Talmud de Jerusalem, langue dans laquelle les deux
Talmuds furent rédigés intégralement. Seule la Mishna est rédigée en hébreu.
Ainsi un étudiant talmudique digne de ce nom a souvent de meilleures
connaissances en araméen qu'en hébreu moderne.
Époque de *Yahshua*
Les dialectes
araméens parmi les langues sémitiques de l’Antiquité [Quand ?]
On pense que
l'araméen était la langue usuelle en Judée du temps de Jésus de Nazareth et le
resta dans toute la région puisque Mani prêchait en araméen, bien que certains
historiens estiment que le grec s'était répandu à tout le pourtour de la Méditerranée
[réf. nécessaire].
On estime que *Yahshua*
de Nazareth a prêché en araméen.
Une phrase attribuée
à *Yahshua*, « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » est rapportée par
une transcription différente dans l'évangile selon Marc et l'évangile selon
Matthieu.
Le texte de
Westcott-Hort (en) rend cette citation ainsi :
Dans Matthieu 27:46 : « ελωι ελωι λεμα
σαβαχθανι14 » (elôi, elôi, lema sabachthani).
Dans Marc 15:34 : « ελωι ελωι λαμα
σαβαχθανι15 » (« elôi, elôi, lama sabachthani).
Le Codex Bezae, les
versions du Stephanus New Testament (1550) et Scrivener New Testament (1894)
donnent une autre version de Matthieu 27:46 : « ηλι ηλι λαμα σαβαχθανι 16 » («
êli, êli, lama sabachthani »). Cette transcription en grec du passage de
Matthieu, ηλι, est plus proche de l'hébreu officiel de l'époque.
La TOB met en note
sur les deux versets qu'il s'agit d'une citation en araméen de Psaumes 22:2 (en
hébreu, אֵלִי אֵלִי לָמָה עֲזַבְתׇנִי ? Eli, Eli, lama azavtani)
« mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ». La Bible de Jérusalem met
en note sur le verset de Marc 15:34 : « *Yahshua* a dû prononcer en araméen,
Élahî, transcrit Élôï, peut-être sous l'influence de l'hébreu Élohim. » Ces
deux traductions transcrivent Éli (Eli) pour Matthieu, et Élôï (Eloï) pour
Marc.
L'araméen est un groupe de
langue afro-asiatiques. Son nom vient d'Aram une ancienne région du centre de
la Syrie.
Dans cette famille, l'araméen appartient à la famille sémitique, et
plus particulièrement, est une partie de la sous-famille sémitique occidental
septentrional, qui comprend également les langues cananéennes telles que l'hébreu et le phénicien. L'alphabet araméen a été largement adopté pour les
autres langues et est l'ancêtre des alphabets hébreu et arabe moderne.
Durant ses 3 000 ans
d'histoire écrite, l'araméen a été utilisée en tant que langue administrative
des empires et langue de culte. C'était la langue quotidienne d'Israël pendant
la période du Second Temple (539 avant J.-C. – 70 après J.-C.), la langue
parlée par *Yahshua Ha’Mashiah* la langue d'une grande partie des livres
bibliques de Daniel et d'Esdras et c'est la principale langue du Talmud.
Toutefois, le judéo-araméen
était différent par les caractères et par la grammaire. La longue histoire
de l'araméen et son utilisation diversifiée et généralisée a abouti à la
création de nombreux dialectes, parfois considérés comme des langues. Ainsi, il
n'y a pas eu une langue araméenne statique, chaque époque et chaque zone
géographique a plutôt eu sa propre variété. L'araméen a été retenu comme langue
liturgique par certaines églises chrétiennes orientales, sous la forme du
syriaque, variété araméenne dans laquelle a été diffusé le christianisme
oriental. Ces communautés la parlant ou parlant une autre forme d'araméen comme
langue vernaculaire.
L'araméen moderne est parlé
aujourd'hui comme première langue par de nombreuses petites communautés éparses
et en grande partie isolées, chrétiennes, juives, et par les groupes ethniques
mandéens de l'Asie occidentale—les plus nombreux, les Assyriens, sous la forme
de l'assyrien néo-araméen et le chaldéen néo-araméen—ils ont tous conservé
l'utilisation d'une langue véhiculaire dominante, malgré les transferts
linguistiques.
Les langues
araméennes sont considérées comme langues en voie de disparition.
* Le nom 'jésus' a été changé par Yahshua de ma propre volonté.
Je rajoute ce texte (Dimanche 2 Février 2014)
YHWH,
Dans les textes que nous
lisons, dans nos Bibles, nous retrouvons toujours Dieu ou l’Éternel écrit à
la place du nom original qui est YHWH, quand il n’est pas
remplacé par Seigneur ou le Seigneur.
En
lettres hébraïques, il est écrit (voir lien) et l’on retrouve ce
Tétragramme écrit dans la Torah, ou bien encore, de différentes manières en
fonction des textes. Voir entête de ce texte.
Quand les Juifs religieux parlent de….. ou invoquent Elohim, ils pensent à YHWH, ce qui, traduit en Français, veut dire ‘dieu’, un dieu, mais qu’on se le dise, ce n’est en aucun cas, le nom de YHWH !
Les
traducteurs Juifs ont remplacé YHWH par HaShem ou encore par Adonaï, et cela, pour les raisons que
nous connaissons, les Grecs ont suivis dans leurs traductions, puis les
religieux de tous bords, qui eux aussi, ont remplacé YHWH par Seigneur avec un grand S à la place et pour désignerYHWH, puis, seigneur avec
un petit (s) pour faire la
différence avec ‘jésus’ = Yahshua.
Entre () Ne parlons même pas de la traduction du monde nouveau, ouvrage
erroné et tendancieux de la secte de ces fous et débiles de témoins de jéhovah.
Adonaï est le
mot utilisé par les Juifs qui encore une fois, ne veulent pas prononcer
l’authentique : YHWH !! Ne
parlons même pas de Yahshua pour
les ultras Orthodoxes !
Pour
finir, ‘l’Éternel’ écrit ainsi
n’existe pas, ce n’est pas biblique, et devrait être à la limite, écrit
ainsi : l’éternel, car YHWH est éternel, mais ce n’est pas son nom !
Combien
de temps faudra-t-il encore aux hommes (incrédules) pour comprendre cela, ou
alors, qu’ils écrivent correctement ce
mot, quand ils veulent l’utiliser.
Pour
ce qui est du D.ieu de l’illuminée
d’Alsace et de ses suiveurs, ainsi que le tout nouveau D.eu qui vient tout juste de
sortir, quel blasphème, car là, c’est vraiment prendre le nom de YHWH en vain.
Voilà
ma pensée, pour moi, il en est ainsi, et il le restera. Maintenant, que chacun ait
sa propre conviction, et fasse sa propre cuisine. En ce qui me concerne, je ne changerai pas un iota de ce que YHWH m’a
donné de comprendre !
C. Rosenzwitt