mardi 12 octobre 2021

IL N'Y A PAS DE PANDEMIE

 



10 octobre 2021

 

Un chercheur qui doit prendre une identité d’emprunt pour ne pas compromettre sa source à l’intérieur d’un hôpital très fréquenté du Royaume-Uni et qui doit faire une véritable enquête policière à travers des codes torturés destinés à rendre plus opaques les situations alors que le codage est censé faciliter les statistiques. Vous avez dit transparence ? !!!

 

L’une des dernières phrases de la conclusion résume bien la collusion mondiale du monde pharmaco-médical pour nous faire prendre des vessies pour des lanternes sous la houlette de gouvernants complices et corrompus.

 

“L’analyse de Dee n’est pas une « preuve » catégorique que tout ce qu’on nous a dit sur la supposée pandémie de Covid-19 est un mensonge. Mais elle en suggère fortement la vraisemblance.”*

 

* –  la vraisemblance du mensonge un bel oxymore !

 

Les recherches d’un statisticien indépendant, qui porte le pseudonyme de John Dee, semblent confirmer ce que beaucoup soupçonnent depuis le début de la pseudo-pandémie de Covid-19, à savoir que le récit du gouvernement sur la maladie est une tromperie.

 

John Dee a examiné plus de 160 000 admissions via le service des urgences d’un hôpital très fréquenté. Son analyse montre que, pour un hôpital anonyme du NHS, entre le 1er janvier 2021 et le 13 juin 2021, sur les 2 102 admissions enregistrées comme étant des cas de Covid-19, seuls 9,7% (204) avaient un diagnostic de maladie symptomatique.

 

Pour les 90,3% restants (1 899), il n’y avait aucune raison clinique discernable de les décrire comme des patients covid. Cependant, ils ont tous été admis pour la raison suivante :

 

Maladie causée par le nouveau coronavirus 2019.

 

L’analyse de John Dee a conclu :

 

Le système d’enregistrement électronique des patients des urgences est inondé d’admissions asymptomatiques/faux positifs qui nécessitent principalement des soins d’urgence pour des maladies et des conditions non-COVID alors que leur enregistrement de données est marqué comme COVID.

 

Ces résultats jettent un doute important sur l’hypothèse précédente selon laquelle les données du NHS sur les admissions et la mortalité « respecteraient les attentes en termes de résultats et de diagnostic clinique ». Il semble que les données soient loin d’avoir répondu à cette attente. Par conséquent, cela jette un doute considérable sur d’autres statistiques « officielles » que nous avons reçues.

 

Par exemple, le récent rapport de l’Office of National Statistics (ONS) sur la mortalité Covid-19 par statut vaccinal est très douteux. Les recherches de Dee laissent un énorme point d’interrogation sur toutes les affirmations officielles concernant la mortalité due au Covid-19. Si ces questions ne sont pas résolues, il y a très peu de raisons d’accepter les récits du gouvernement ou des médias grand public sur la soi-disant pandémie.

 

Cela inclut les récentes affirmations sur une prétendue pandémie de personnes non vaccinées et la prédiction modélisée de l’efficacité du vaccin par Public Health England. Les données sur lesquelles reposent ces affirmations ne peuvent être considérées comme fiables et renforcent les inquiétudes selon lesquelles les déclarations des politiciens sur l’efficacité des vaccins ne reposent sur aucune base statistique.

 

L’analyse de John Dee a des implications profondes. Elle doit être validée et d’autres personnes doivent avoir accès aux données anonymes du NHS sur les admissions enregistrées CIM-10, avec le diagnostic correspondant, afin de mener une étude plus large. Si, pour une raison quelconque, le NHS ou d’autres sources officielles ne divulguent pas ces informations, cela ne peut qu’ajouter de la crédibilité aux conclusions de John Dee.

 

Le profil Facebook de John Dee indique qu’il est consultant analyste et ancien responsable de l’audit clinique dans un hôpital du NHS. Il s’est spécialisé dans l’évaluation des résultats cliniques et a fait partie d’un comité de référence clinique régional. Il ajoute qu’il utilise « des données provenant de sources officielles pour révéler ce que les autorités devraient nous dire sur le COVID-19 mais qu’elles ne font pas ».

 

Il dirige John Dee’s Almanac, un groupe de recherche public qui se définit comme suit :

 

« John Dee’s Almanac est un groupe d’étude public où seront postées des analyses non officielles des données officielles du COVID par un ancien « officiel » du NHS. Bien que ce groupe ne donne pas et ne puisse pas donner de conseils médicaux, il s’intéresse à la médecine fondée sur des preuves, dans le but de publier des analyses rigoureuses de données faisant autorité … Mes messages sont régulièrement rassemblés dans des fichiers PDF, qui peuvent être trouvés sur le Google Drive du groupe. Les documents d’accompagnement y seront également placés ».

 

L’avertissement évident est que nous ne savons pas qui est John Dee, et nous ne savons pas non plus dans quel hôpital il a obtenu ces données. John Dee déclare que son « nom est un nom de plume en raison des sensibilités impliquées, mais mon CV, ma biographie et mes articles publiés peuvent être mis à la disposition de toute partie intéressée de bonne foi ». L’implication est que, si sa propre identité est rendue publique, sa source peut être en danger. Cette source doit avoir accès à des données hospitalières restreintes. D’où la nécessité d’une divulgation complète de la part du NHS.

 

Dee a reçu les données en juin 2021 et a utilisé le logiciel IBM SPSS pour l’analyse. Le NHS utilise la Classification internationale des Maladies – système CIM-10 pour coder les diagnostics des patients. Dee a analysé les codes de 161 494 admissions aux urgences pendant la période d’étude de 6 mois. Il y avait 867 entrées de codage uniques dans toutes les admissions aux urgences.

 

Dee a remarqué que le codage ne correspondait pas au motif d’admission déclaré dans une forte proportion de patients covid. Par exemple, 23 patients prétendument atteints de Covid-19 ont été admis pour des douleurs abdominales, alors que ces douleurs étaient censées être « causées par le nouveau coronavirus 2019 ». Parmi eux, seuls 4 avaient un diagnostic codé d’une quelconque maladie abdominale.

 



Confidentiel : Analyse des données des urgences

 

Il a partagé cette constatation avec des médecins qualifiés et ceux-ci ont conclu que pour 19 de ces 23 patients supposés atteints du Covid-19, que ni la présence d’un résultat de test positif ni toute autre raison d’attribuer le Covid-19 n’avait de « signification clinique inhérente ». C’est-à-dire qu’il n’y avait aucune justification médicale pour le diagnostic de Covid-19.

 

Dee a constaté que ces admissions pour le Covid-19 étaient soit asymptomatiques, soit de faux positifs. Il convient de noter que Dee a supposé qu’un test positif, sans aucune preuve clinique de la maladie Covid-19, indiquait un faux positif.

 

Dee a appelé l’absence de maladie, en présence d’un test positif pour le SRAS-CoV-2, un « faux positif ». Un résultat positif au test PCR n’est pas et n’a jamais été la preuve d’un « cas » de Covid-19. Même un véritable résultat positif n’indique pas nécessairement que la personne est atteinte de la maladie Covid-19. Il s’agit peut-être d’un point de sémantique.

 

Indépendamment des résultats des tests, Dee a initialement constaté qu’il n’y avait aucune raison évidente d’attribuer le Covid-19 à la grande majorité des admissions pour douleurs abdominales. Pourtant, elles étaient enregistrées comme telles. Dee et ses collègues de recherche ont estimé que cela pouvait être significatif, et ont entrepris une enquête plus approfondie.

 

Comme le Covid-19 est principalement une maladie respiratoire, ils ont croisé le codage CIM-10 avec le diagnostic respiratoire. Il existe d’autres marqueurs cliniques revendiqués du Covid-19 et Dee a étendu ses critères de correspondance pour inclure les diagnostics de myocardite, péricardite, arythmie, thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire, infarctus du myocarde, hémorragie intracrânienne et thrombocytopénie.

 

Il s’est ensuite penché sur la ou les plaintes présentées par les patients aux urgences : congestion nasale, maux de tête persistants, perte de sensation, etc.

 

Il a attribué une variable (COVcomp) pour évaluer la pertinence de la plainte par rapport à un diagnostic Covid-19. Par exemple, une toux serait considérée comme très pertinente, une abrasion comme non pertinente. Sur les 140 plaintes présentées, Dee a identifié 26 plaintes principales liées au Covid-19.

 



Tableau 4 : Tableau croisé : plainte compatible et diagnostic marqueur

 



Tableau 5 : Tableau croisé : plainte compatible et diagnostic respiratoire

 

En combinaison, ces marqueurs de maladie symptomatique et la variable de la plainte principale indiquaient une possible infection Covid-19 suffisamment grave pour justifier une admission Covid-19. Dans ce cas, un codage CIM-10 Covid-19 aurait été approprié. Il est important de noter l’objectif de Dee :

 

« … Jeter le « filet » clinique le plus large possible pour capturer toutes les admissions qui présentaient des conditions proportionnelles au COVID-19 symptomatique et au développement de la maladie ».

 

Dee n’essayait pas de minimiser les codes CIM-10 éventuellement légitimes pour le Covid-19. Son analyse était conçue pour en capturer le maximum.

 

Sur les 2 102 admissions, prétendument « causées par le nouveau coronavirus 2019 », seules 204 (9,7%) présentaient une base fondamentale pour un diagnostic de la maladie Covid-19. Les autres étaient soit asymptomatiques, soit testés positifs par le test PCR, sans aucune preuve que le résultat du test correspondait à la maladie Covid-19 (faux positif de Dee).

 

La grande majorité des admissions enregistrées pour la maladie Covid-19 semble ne pas être liée à la maladie Covid-19 symptomatique. Les implications de cette recherche ne peuvent être surestimées. En clair, si elle est exacte, elle démontre qu’il n’y a pas de pandémie.

 


Tableau 6 : Désignation Covid-19

 

Le récent rapport de l’ONS sur les décès dus au Covid-19 rapportés par statut vaccinal devient pratiquement sans signification. L’ONS a indiqué comment il est arrivé à sa conclusion principale :

 

« Nombre de décès impliquant le Covid-19 et pourcentage de tous les décès par statut vaccinal, Angleterre, décès survenus entre le 2 janvier et le 2 juillet 2021 ».

 

Il semble maintenant que le nombre de décès impliquant le Covid-19 n’était pas du tout fiable. L’ONS obtient ses informations sur le statut vaccinal à partir du Système national de Gestion des Vaccinations (NIMS), qui enregistre les vaccinations par numéro d’enregistrement au NHS. Il a ensuite croisé cet ensemble de données avec les données de NHS Test and Trace, qui enregistre les résultats des tests PCR par numéro d’enregistrement au NHS.

 

Cela a conduit l’ONS à conclure, dans cette publication et dans tous leurs autres rapports relatifs au Covid-19, que tout décès d’une personne ayant un test RT-PCR positif « impliquait » le Covid-19. Les recherches de John Dee impliquent que ces résultats de test n’ont aucune « signification clinique inhérente » dans la grande majorité des cas. Peu importe le statut vaccinal de la personne décédée, l’ONS ne peut pas dire, à partir des données de test et de traçage du NHS, que leurs décès impliquaient le Covid-19.

 

Les recherches de Dee indiquent que Test and Trace est un outil plutôt inutile. Nous pouvons à peine accorder une quelconque crédibilité aux statistiques de mortalité. L’idée que la mort dans les 28 jours suivant un test positif implique le Covid-19, sans parler d’en être la cause, est très discutable.

 

Il n’y a actuellement aucune justification pour un programme de vaccination de masse contre le Covid-19. Les chiffres de Dee indiquent que le Covid-19 ne présente pas plus de risque pour la santé que la grippe saisonnière. Les vaccins offerts aux plus vulnérables semblent être la seule mesure nécessaire de précaution.

 

Cependant, c’est lorsque nous examinons les chiffres de la mortalité que les questions les plus inquiétantes se posent. Alors que l’année 2020 ne se classe qu’au 9ème rang pour la mortalité, sur les deux premières décennies du XXIe siècle, on note des pics de mortalité hors saison et des schémas inhabituels. Ces phénomènes se sont poursuivis tout au long de l’année 2021 et ont été attribués en grande partie au Covid-19, selon les chiffres du NHS.

 

L’analyse de Dee suggère que seuls 10% ou moins de ces décès codés CIM-10 au NHS étaient réellement attribuables au Covid-19. Alors qu’est-ce qui a causé ces pics de surmortalité hors saison si ce n’est le Covid-19?

 

À moins que le NHS et le gouvernement n’expliquent les conclusions de Dee, non seulement il n’y a aucune raison de croire qu’une pandémie ait jamais eu lieu, mais il est clair que les schémas inhabituels de surmortalité ont été causés par autre chose. Il existe un certain nombre d’antécédents possibles et chacun d’entre eux justifie une enquête plus approfondie.

 

Dans la première vague alléguée de Covid-19, la mortalité correspondait aux politiques de confinement, qui semblaient augmenter le risque de mortalité. La deuxième vague alléguée, au cours de l’hiver 2020/2021, était corrélée au déploiement du vaccin. En 2021, la troisième vague supposée de l’été inhabituel, la mortalité due au Covid-19 contraste fortement avec la même période en 2020, où la mortalité due au Covid-19 semblait être plus faible en l’absence de vaccins.

 

La corrélation évidente entre l’utilisation de médicaments de soins palliatifs, en particulier le Midazolam, et les pics de mortalité observés est une autre question qui nécessite une explication. L’analyse de Dee fournit une raison supplémentaire de soupçonner que la majorité de ces décès n’étaient pas attribuables au Covid-19.

 



Nombre de décès en excès par lieu de survenue, Angleterre et Pays de Galles, enregistrés entre le 7 mars 2020 et le 17 septembre 2021

 

Au cours de toutes les « vagues » proposées de la « pandémie », et pendant toutes les périodes intermédiaires, une anomalie persistante de la mortalité est demeurée. Les statistiques de l’ONS ont toujours montré des taux élevés de surmortalité à domicile. En l’absence apparente de toute maladie pandémique, nous devons nous demander ce qui explique cette surmortalité.

 

L’analyse de Dee n’est pas une « preuve » catégorique que tout ce qu’on nous a dit sur la supposée pandémie de Covid-19 est un mensonge. Mais elle en suggère fortement la vraisemblance.

 

Il est indéfendable pour le gouvernement de maintenir son récit sur la « pandémie de Covid-19 » sans reconnaître et expliquer ses conclusions. Jusqu’à ce qu’il le fasse, nous pouvons légitimement affirmer que les preuves montrent qu’il n’y a pas de pandémie.

 

Traduit par Réseau International


– Source : UKcolumn (Royaume-Uni)

 

http://www.zejournal.mobi/index.php/news/show_detail/24277

 

Source : NS2017

 

Écrit par admin

 

A envoyer à TOUS les médias TOUS les journalistes, de vos radios et journaux locaux, IL FAUT LEUR METTRE LA PRESSION !! :::

 

https://www.profession-gendarme.com/il-ny-a-pas-de-pandemie/

 

Fin de l’article.

 

C. Rosenzwitt-Makiewsky

 

Toujours intéressant de lire les commentaires : 26 réponses

 

Donald D. dit :

 

“Le but de la dictature sanitaire se dévoile enfin petit à petit: un QR code pour entrer dans les restaurants et les lieux culturels (par Ph. Guillemant, spécialiste en intelligence artificielle, physicien, 18.3.2021).

 

Il permettra de crypter avec votre identité des données sanitaires vous concernant. Le fait qu’il ne s’en suive aucune obligation (d’être vague ciné, testé ou autre) montre bien que la protection de la santé n’est pas le but, mais seulement le prétexte. De toute façon, avec un vague saint et des tests non fiables ou non réalisables sur tout le monde, il aurait été difficile d’imposer ces conditions sanitaires pour avoir le droit de circuler librement. Mais comme vous le voyez, le flou considérable sur la question de la légitimité d’un tel traçage n’empêchera pas ce traçage d’essayer de s’imposer à nous, parce que son but n’est pas sanitaire mais financier.

 

L’information sanitaire contenue dans le QR code sera plus ou moins bidon, mais ça n’aura pas d’importance. Le principal sera que tout le monde croit que c’est utile, ou fasse comme si ça l’était, et le doute jouera en faveur de la télévision qui nous rebattra les oreilles sur cette utilité, j’ai confiance en eux.

 

Comprenez donc bien que la dictature sanitaire n’a pas d’autre objectif que celui de vous coller une identité numérique forte, associée à la fabrication du QR code. Le stade suivant, lorsque tout le monde aura pris l’habitude de se balader avec, sera d’authentifier vos paiements avec, pour fortement monter le plafond du sans contact et ensuite, le développement des objets connectés fournira d’autres alternatives plus pratiques et sécures que le QR code (bagues, bracelets, CI ou montres à puces…), et la monnaie numérique mondiale s’imposera ainsi naturellement, sauvant ainsi le système financier en conservant l’esclavage de la dette et les intérêts des plus grandes fortunes.

 

Ce programme n’est pas un complot mais une instrumentalisation mondialiste imaginée depuis très longtemps pour devoir être déclenchée à l’occasion d’une crise sanitaire. C’est le contrôle numérique qui est en jeu, pas la santé. Si ça avait été la santé, il y a longtemps qu’on aurait éradiqué le virus à l’aide de traitements et de mesures privilégiant le bien-être et l’équilibre humain avant toute chose.

 

Ça fait un an que je vous en parle sous différents angles. Heureusement, ça m’a donné le temps d’écrire un livre en deux parties, dont la première a été consacrée à cette question.”

 

Fin de l’article rédigé par Ph. Guillemant, spécialiste en intelligence artificielle, physicien.

 

Christophe Desmaris dit :

 

Le statisticien Pierre Chaillot (Décoder l’éco) a montré depuis longtemps l’inexistence d’une pandémie en utilisant l’indicateur fiable de la mortalité toutes causes confondues. L’important, afin de scier l’imposture sanitaire à sa base, est de montrer l’inexistence même de la maladie dite Covid 19. C’est ce qu’ont réalisé deux scientifiques remarquables qui sont arrivés à cette même conclusion par des moyens différents :


– En étudiant 4000 brevets de ces vingt dernières années portant sur les coronavirus, le docteur David E. Martin a montré qu’aucune maladie émergente n’est apparue dans le monde à la fin de l’année 2019 en relation avec la chaîne artificielle de nucléotides prétendument nouvelle appelée SARS-CoV-2.


– En étudiant les fortes disparités de la mortalité toutes causes confondues selon les juridictions d’échelles différentes (pays, état américain, établissement hospitalier, etc.), le professeur universitaire Denis Rancourt a montré qu’elles étaient incompatibles avec la progression géographique naturelle d’une virose.


L’explication de la fraude a été donnée par David Martin. Les multiples brevets internationaux protégeant la chaîne de nucléotides appelée SARS-CoV-2 protègent aussi la production des kits commerciaux de tests RT-PCR pour ce SARS-CoV-2, de sorte que le récit est entièrement dans les mains des détenteurs des brevets. Et, le saviez-vous ? Les amorces de ces kits, fantaisistes, comme l’a montré le président de Tanzanie John Magufuli avec sa caille, sa papaye et sa chèvre, ne deviennent pas tout à coup fiables quand un malade présente des symptômes d’infection respiratoire!


Le bilan est simple : Le nombre de malades de la maladie dite Covid 19 est de zéro dans le monde.

 

Kodiak dit :

 

Que penser de ceci ?

 

https://pubchem.ncbi.nlm.nih.gov/

 

Cliquer sur “covid-19”


Cliquer sur “Patents”


Cliquer sur “System and Method for Testing for Covid-19” (voir le nom de l’inventeur)


Cliquer sur “Google Patents” (sous 1 Abstract)


Puis cliquer sur “URL”

 

Pour avoir la traduction en français, utilisez Google Chrome.

 

Mazette dit :

 

Oui, mais le problème est que quand vous parlez à quelqu’un qui voit passer du monde, il vous explique que le covid n’est pas une maladie imaginaire, CAR des gens à qui il a parlé ont perdu l’odorat et le goût, sont allé se faire tester, avaient le covid et n’ont pas vécu et perçu leur maladie comme s’il s’agissait d’une grippe, que telle autre victime est morte du covid, que telle autre traîne la maladie sur le long terme, etc. Donc c’est bien mignon de déclarer avec David E. Martin que la maladie n’existe pas, mais si vous ne réfutez pas chacun des cas de figure ci-dessus, on ne sait quoi répondre face à des témoignages proches de témoignages vécus !

 

Si vous croyez que des stats seules convainquent, vous vous trompez, car il est toujours possible de juger possible que ladite maladie est rare, mais grave, surtout que le virus, lui, existe, et qu’il a plusieurs fois été manipulé à des fins malveillantes, et vous le savez très bien. Et les individus souffrants ne sont pas non plus des stats. Pour faire du covid une non-maladie, il faudrait par exemple parvenir à démontrer que ce sont les tests qui provoquent la perte du goût et de l’odorat, que c’est le Remdesivir qui provoque des œdèmes pulmonaires assimilés à des pneumonies, que les gains de fonctions sont sans effets réels, et nous trouver des études ou des témoignages qui le prouvent.

 

J’ai entendu une infirmière dire que de nombreuses personnes ont perdu le goût et l’odorat APRES un test et non avant, mais est-ce le cas systématiquement ? Tel médecin interrogé par Fuellmich affirme que le Remdesivir aggrave les cas, mais pourquoi ce médecin est-il le seul à l’affirmer ? Tous les autres sont des branquignols et pas lui ?

 

Vous allez nous répondre qu’avec des paranoïaques, il est inutile d’argumenter… mais vous n’êtes pas en mesure de distinguer un parano d’un sceptique a priori, même si nous assistons globalement à un délire collectif profond.

 

Les effets secondaires des injections dans ma région ne courent pas plus les rues que les personnes atteintes du covid. Les médias s’acharnent sur des fantômes, ils sont payés pour cela et ils finissent par eux-mêmes croire à leur propagande. Au moyen-âge, les élites s’acharnaient bien sur le diable. Quand on lit un compte-rendu de procès en sorcellerie du quinzième siècle, on comprend que les plus fous dans ces affaires était l’élite et ses diplômes, soi-disant saine de corps et d’esprit alors qu’en réalité elle était complètement timbrée ! Il n’y a pas plus c*** qu’un élève modèle qui ne réfléchit pas.

 

Phil dit :

 

Desmaris est un trompeur lui-même qui pense que verser dans l’autre extrême est profitable et intelligent. Tout ce qui est excessif est dérisoire. Ceux qui connaissent personnellement des gens qui ont eu le Covid ou même en sont morts sans avoir eu de comorbidité particulière savent très bien qu’il y a quelque chose de spécial avec cette pathologie. Je connais la fille d’un patron d’une entreprise de taxis près de chez moi qui a eu le Covid et dont la disparition totale du goût et de l’odorat a duré des mois. Quelle grippe n’a jamais provoqué cela? Donc laissez Desmaris déblatérer ses idioties à longueur de temps, qui l’écoute et le croit de toutes façons, à part 2 ou 3 péquenots du même style?

 

Mazette dit :

 

Il me répondra s’il en a envie. J’ai dit ce que j’avais à dire.

 

Vous savez très bien que de l’hydrogel a été découvert dans certains masques et vous savez très bien avec cette scientifique suisse dont j’oublie le nom que les tests nasopharyngés sont abondamment utilisés par les vétérinaires pour vacciner les animaux. Grâce à la nouvelle “science” des asymptomatiques, les gens courent se faire tester de cette manière.

 

Moi, quand je mettais un masque bleu, je ressentais une brûle aux poumons. Je redis que j’ai entendu une infirmière dire que de nombreuses personnes ont perdu le goût et l’odorat après un test et non avant.

 

 

Je ne me dispute avec personne parce que je ne le veux pas, et je vous dis à vous qu’il faut plus de volonté pour ne pas se disputer avec les gens que pour se disputer. Faites de votre volonté ce que bon vous semble.

 

Mazette dit :

 

Brûlure

 

Phil dit :

 

Parfois ou souvent, ne pas se “disputer” est simplement de la lâcheté ou de l’irresponsabilité. Mais ce genre de personnes qui raisonnent comme vous et croient que c’est le top foisonnent sur ce site. Ça aboutit simplement au néant.

 

Phil dit :

 

La fille du patron de taxi dont je parle ne portait jamais le masque, ce n’était même pas recommandé à l’époque! Décidément ce site est vraiment un site de retraités avec des raisonnements de vieux pour beaucoup.

 

Phil dit :

 

Heureusement que de Gaulle et les résistants n’ont pas raisonné comme vous…… Lâcheté et irresponsabilité qui se déguisent en sagesse à 3 balles..

 

Mazette dit :

 

Les deux approches ne sont pas incompatibles.

 

 

Phil dit :

 

J’ai fait le test 2 fois pour raison d’interventions chirurgicales légères (pas le choix) et je n’ai pas perdu ni le goût ni l’odorat ne serait-ce qu’une seconde. La fille du patron-taxi dont j’ai parlé a fait le test justement parce qu’elle s’est inquiétée de cette perte de goût et d’odorat et a pensé qu’elle avait attrapé le Covid. Combien d’autres personnes dans ce cas? Donc laissez Desmaris à ses délires.

 

Phil dit :

 

Si vous montrez une voiture noire à Desmaris, il vous soutiendra qu’elle est blanche parce que le Dr Martin a dit qu’elle était blanche. Donc inutile de discuter avec ce genre d’individu.

 

Christophe Desmaris dit :

 

Voyons! On ne définit pas une maladie émergente parce que le concierge, votre belle-mère et votre poisson rouge ont manqué d’odorat. Pensez-vous réellement que des symptômes aussi banaux que l’anosmie et l’agueusie puissent être considérés pathognomoniques d’une maladie ?
Personne ne nie que les malades diagnostiqués Covid 19 étaient bien malades. Mais ils étaient malades des diverses maladies déjà connues avant 2019 et ont été victimes de diagnostics erronés. Lesquels n’ont pourtant pas entraîné de surmortalité visible en 2020 dans notre pays, comme l’a montré Pierre Chaillot.

 

Mazette dit :

 

Ok pour Pierre Chaillot, j’ai vu cette vidéo ou une autre lorsqu’il en a été question il y a quelques temps. Ce que j’ai vu était convaincant, mais cela ce sont des stats générales et n’exclut totalement pas l’existence de personnes atteintes du covid, surtout que l’on tourne autour de 0.02 % de personnes supposées décédées de cette maladie dans la population. Ça ne pèse pas lourd ! Il faudrait aller chercher chaque compte-rendu médical, l’analyser et démontrer qu’à chaque fois, sur admettons cent cas “covid” graves recueillis, on a eu affaire à une erreur de diagnostic, de nommer la maladie qui aurait dû être diagnostiquée et de démontrer que la maladie Sars-CoV-2 n’existe pas. Cela a-t-il déjà été fait par quelqu’un quelque part ?

 

Christophe de dit :

 

Oui. Le travail a été fait. Et plus adroitement. David E. Martin par l’étude des brevets internationaux. Denis Rancourt par l’étude de la disparité de la mortalité toutes causes confondues selon les juridictions d’échelles différentes. Les amorces des kits commerciaux des tests RT-PCR sont fantaisistes. Vous mettez ces tests à la poubelle, et il ne reste plus rien de la maladie imaginaire. L’odorat contrarié de papy ne sauvera pas l’imposture scientifique.

 

Christophe Desmaris dit :

 

Par surcroît, un diagnostic ne saurait reposer sur l’examen d’un compte-rendu médical influencé par une intense propagande et un test complémentaire frauduleux mais sur un examen clinique direct en temps réel pratiqué dans la sérénité du colloque singulier. Il est donc impossible de poser a posteriori les diagnostics exacts pour ces malades. On peut juste apporter les preuves que les diagnostics erronés ne reposent sur aucune base scientifique sérieuse, ce qu’ont fait David Martin et Denis Rancourt avec des moyens différents aboutissant à la même conclusion : La maladie dite Covid 19 n’a pas existé.

 

Mazette dit :

 

Ok, cela a été fait, mais le faire de la manière que je décris n’est pas moins adroite; elle permettrait d’enfoncer le clou sous un autre angle. Pour ajouter de l’eau à ce moulin, Dolores Cahill mentionnait déjà début 2021 un médecin légiste allemand ayant autopsié 90 cadavres “tous déclarés morts du covid” et n’ayant pas trouvé trace du virus. Je suppose que Fuellmich rassemble ces études. Je doute, entouré comme il l’est, qu’il n’y pense pas. Il n’en reste pas moins que convaincre les gens quotidiennement n’est pas une mince affaire. Les médias nous lavent le cerveau. Je n’écoute déjà pas les médias et cela n’empêche que j’entends dire ce qu’on y dit, alors convaincre les gens qui les écoutent, “bonne chance”, sans même parler de la charge émotive… c’est presque une guerre de religion.

 

Mazette dit :

 

J’ai lu maintenant votre message de 19 h 02.

Ok, bien reçu.

 

Melancholy Man dit :

 

Et bien non Monsieur ils n’étaient pas malades des diverses maladies déjà connues, parlez-en à de véritables médecins qui n’ont reconnu les symptômes d’aucunes maladies existantes. De plus ces symptômes se retrouvent sur toutes les saisons. Quid des grands scientifiques qui ont expliqué le codage de cette maladie ? Alexandra Henrion-Caude a expliqué le séquencement de cette nouvelle maladie et en démontrant qu’elle a été créée par l’humain (idem Luc Montagnier, Raoult …). Il est évident que ce virus tue très peu que les traitements fonctionnent parfaitement et que c’est un plan mondial mais de là à avancer ce que vous avancez il y a un pas qui ne devrait pas être franchi.

 

Melancholy Man dit :

 

Et oser affirmer qu’il y a eu zéro morts du covid, vous en parlerez aux familles des décédés

 

Ulm dit :

 

Le pas qui ne devrait pas être franchi est d’utiliser des tests bidons. On y verrait déjà plus clair !

 

Zetop dit :

 

L’opposition contrôlée (ou idiots utiles) est la seule dont la télévision parle…

 

Christophe Desmaris dit :

 

En quoi cher agent mondialiste mélancolique le fait de dire que les malades ont reçu un diagnostic erroné serait une offense pour les familles de personnes décédées d’autres maladies? Y aurait-il un mérite particulier à mourir de la fameuse “Covid 19″ plutôt que d’une maladie connue depuis toujours ? La technique immorale que vous venez d’employer est à ranger dans le grand sac qu’on peut appeler ” les chantages médicaux”. On convoque les pleureuses, comme chaque année pour soutirer de l’argent supplémentaire au contribuable avec le téléthon. Les tartuffes qui font semblant de s’apitoyer sur les misères du monde pour mieux tromper leurs compatriotes, on connaît cela depuis les faux aveugles et autres paralytiques des cours de miracle du moyen-âge.

 

Christophe Desmaris dit :

 

Concernant vos autres “arguments”: Passons vite sur les symptômes jamais connus chez l’espèce humaine comme l’anosmie (mot apparu en 1801…), l’agueusie (mot apparu en 1897), la dyspnée (mot apparu en 1560). Comme nos linguistes étaient prévoyants d’inventer ces termes bien avant que “la Covid 19” ne nous les montre en vrai!
Alexandra Henrion-Caude a mis l’accent sur le site de clivage par la farine entre S1 et S2, et a retrouvé le brevet de Brown qui avait utilisé ce site canonique sur S2. Elle a eu raison de prendre en considération les importants travaux de Li Meng Yan prouvant l’origine artificielle du virus SARS-CoV-2. Votre homme illustre à la longue chevelure soutient toujours la thèse fantaisiste d’une zoonose, sans doute un jour mordu par un vison…


On ne séquence pas une maladie mais un génome. Pour que la maladie existe, il faut à minima que ce génome soit bien à l’intérieur du corps des malades…

 

Christophe Desmaris dit :

 

Furine, qui est une protéase, et non farine, comme vient de commettre Monsieur Google.

 

 

2 commentaires:

  1. Merci Claude pour tout ce travail d'information que tu nous partages chaque semaine.
    Je voudrais te demander d'insérer un petit mot pour une demande de prière pour Joëlle notre sœur en Yéshoua en Belgique qui souffre d'un cancer des os. Il serait stabilisé grâce à Élohim mais les séquelles sont nombreuses et très douloureuses.
    Merci. Que toute la gloire revienne à notre Élohim et à son Fils Yéshoua !
    Michèle

    RépondreSupprimer