Lettre ouverte aux présidents des conseils de l’Ordre et à tous mes confrères cliniciens.
La lettre de révolte d’un médecin retraité expérimenté qui s’aperçoit qu’il a été trompé par les autorités sanitaires en laquelle il s’était fié toute sa carrière. Il a fallu qu’il soit personnellement affecté pour qu’il se réveille et entreprenne les recherches dans lesquelles ” les complotistes” sont enfoncés jusqu’aux oreilles depuis le tout début
Cette lettre est présentée par sa fille qui nous engage à la lire.
Chers amis,
Lettre ouverte aux autorités que mon papa (médecin retraité et chercheur vivant en France et vacciné à regret) a rédigée après avoir enfin creusé les sujets Covid-19 et vaccins. Ces sujets ne l’avaient pas fort intéressé jusque-là, puis il a décidé d’ouvrir les placards… et gloups.
6 pages qui valent la peine d’être lues et diffusées intelligemment je trouve.
Amicalement, Julie
Julie STEVENS
Cher Confrère,
Je suis médecin, retraité depuis 5 ans et fort de 45 ans d’une expérience clinique particulièrement éclectique : médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France). Depuis ma retraite, je ne n’avais suivi que de loin l’épidémie de Covid-19 jusqu’à ce que, il y a quelques mois, suivant les conseils des « autorités » politiques et sanitaires, je reçoive, la seconde injection du Vaccin Astra-Zeneca. Or, depuis lors, je souffre de douleurs musculaires diffuses et de transpirations à l’effort qui me donnent le sentiment d’avoir vieilli de 10 ans. Ces effets secondaires invalidants ainsi que l’émergence évidente, dans mon entourage proche, d’autres effets secondaires nullement bénins et d’une défiance croissante vis-à-vis des contraintes imposées par ces « autorités » m’ont poussé à tenter d’éclairer au mieux ma lanterne. Et si j’écris cette lettre, c’est parce que je sors atterré de ce que j’ai découvert.
J’ai très logiquement cherché d’abord les données scientifiques et médicales objectives concernant cette nouvelle maladie, mais en y incluant intentionnellement le discours de ces confrères cliniciens éprouvés ou de ces scientifiques à la compétence incontestée que ces mêmes « autorités » et la plupart des médias qualifient — depuis la pandémie — de « complotistes ». La raison en est que l’Histoire nous a très souvent appris que les « complotistes » vilipendés un temps par les « autorités » en place s’avèrent devenir, quelques années plus tard, des héros, des « résistants » au pouvoir en place et des sauveurs de notre humanité et de ses valeurs profondes. Nous applaudissons ainsi aujourd’hui ceux qui ont résisté aux autorités nazies comme ceux qui se battent pour la défense de ces mêmes valeurs en Afghanistan, en Russie ou en Chine. Notez que ces « complotistes » sont toujours, au départ, largement minoritaires. La vérité et la vertu exigent du courage et riment rarement avec le discours majoritaire du pouvoir en place.
J’ai eu la chance de découvrir, dès le début de mon enquête, une vidéo publiée en juin dernier par un médecin américain de réputation internationale, le Dr Richard Fleming.1 En quatre heures de conférence, il brosse un tableau du « dessous des cartes » de cette épidémie qui font frissonner d’horreur en moi autant le passionné de science que le vieux clinicien. Son discours me convainc parce qu’il fonde ses propos exclusivement sur des faits objectifs, vérifiables et incontestables (émanant de documents publiés par les institutions qui ont « autorité » dans leur domaine). Je suis de plus particulièrement sensible à son discours parce qu’il a une formation et une expérience très proche de la mienne (clinicien en médecine interne et cardiologie et chercheur depuis 53 ans). Son palmarès est prestigieux : 500 publications scientifiques et une théorie des maladies cardiovasculaires aujourd’hui reprise dans les classiques « textbooks » de cardiologie. Quant à son enquête — fouillée et compétente — , elle présente tous les signes d’une grande rigueur scientifique et morale. Comme les conclusions qu’il tire de son enquête sont diamétralement opposées à ce que nous présentent lesdites « autorités », il me semble que, selon leurs critères, son discours devrait être qualifié de « complotiste ».
Le scientifique et le clinicien en moi se trouvent donc confrontés à un dilemme moral. Si je pratiquais encore, devrais-je me fier aveuglément aux contraintes imposées par les « autorités » ou au contraire écouter mon « intime conviction » — à savoir que ses propos sont fondés — et donc entrer en « résistance » ? Heureusement, je ne pratique plus la médecine, ce qui m’offre une liberté d’expression que n’ont plus les cliniciens en fonction puisque ceux qui ne soumettent pas aux règles imposées par lesdites « autorités » sont menacés de perdre leur autorisation de pratiquer.
Ce problème « moral » est en réalité extrêmement grave et repose, à mon sens, sur la question de la légitimité (et des limites) de cette « autorité » que s’attribuent aujourd’hui certaines institutions politiques, scientifiques et sanitaires au nom de l’idée qu’elles se font du bien public et de leur fonction dans la santé des citoyens. La fonction des politiciens est de gérer au mieux l’organisation de la société, celle de la Science de présenter des données objectives aux preneurs de décision et celle des institutions sanitaires d’organiser au mieux le réseau de la santé et l’information des médecins. Jusqu’ici, toutes ces institutions sont largement diffusées par la plupart des médias.
Aucune de ces institutions, toutefois, n’est en droit de se substituer aux médecins cliniciens dans les décisions qu’ils prennent, en âme et conscience, dans le dialogue singulier qui les lie (par la confiance) à leurs malades. C’est là une fonction spécifique à la profession médicale.Même un conseil de l’ordre n’a pas le droit d’intervenir de façon coercitive sur la liberté de conscience du médecin. Il contreviendrait ainsi gravement aux principes mêmes qu’il est censé défendre : ceux du serment d’Hippocrate (qui sacralise la valeur de l’individu et du dialogue singulier) et celui, fondamental, du « primum non nocere ». Il est particulièrement regrettable de constater que, dans cette pandémie, les premiers concernés par le respect de ces principes — les médecins généralistes — ont été totalement écartés des lieux de décision au profit de spécialistes certes pointus, mais inévitablement moins concernés que ces derniers par la dimension humaine du problème.
Les contraintes qu’imposent aujourd’hui ces « autorités » à la liberté diagnostique et thérapeutique des médecins sont incompatibles avec les valeurs sacrées de leur métier, valeurs auxquelles ils ont tous juré fidélité au début de leur carrière. Au vu de la tournure que prennent les événements dans cette pandémie, j’en viens à penser que le serment d’Hippocrate qui lie tous les cliniciens — mais ne contraint aucune institution — constitue le dernier rempart de la défense des valeurs humaines fondamentales face à la puissance manipulatrice et médiatique des mondes politiques, économiques et même scientifiques. Après tous les scandales (sang contaminé, grippe H1N1, Mediator, Vioxx etc…) qui ont ébranlé ces honorables institutions, il faudrait être d’une grande naïveté pour croire encore en l’absolue pureté de leurs motivations.
Ces institutions, à l’image de toute notre société, ont quasiment sacralisé la Science. Cependant, quarante ans de réflexion profonde sur les rapports entre science et médecine m’ont fait clairement comprendre que ce mode de connaissance est, par principe (d’objectivité, de causalité et de réductionnisme) aveugle à la dimension subjective de la réalité. Cela signifie que la Science appliquée unilatéralement à la médecine est aveugle à la réalité du sujet. Elle ne peut voir dans l’organisme humain qu’un objet dénué de toute « profondeur ». C’est d’ailleurs cette « cécité sélective » de la Science qui explique son incapacité — avouée par tous les chercheurs honnêtes — à définir la vie et la conscience.
La « scientocratie »2 est en réalité la philosophie qui, jusqu’ici, a inspiré la logique décisionnelle des « autorités » sanitaires et politiques, mais cette philosophie souffre d’une « inhumanité » intrinsèque. C’est donc le rôle, me semble-t-il, des vrais cliniciens de rendre au sujet et à l’individu une place centrale face aux arguments objectifs, mais exclusivement statistiques des autorités sanitaires et politiques.
La remarquable vidéo du Dr Fleming a le désavantage de durer quatre heures et d’entrer souvent dans des détails techniques qui ne sont vraiment pertinents que pour des initiés. Il me semble toutefois que son message devrait être connu de tous les cliniciens embarqués en confiance (par naturelle « soumission à l’autorité ») dans une entreprise d’envergure mondiale qui a fait sauter tous les verrous de sécurité mis en place depuis des décennies par nos institutions démocratiques : le code de Nuremberg (1946), la convention internationale en matière d’expérimentation humaine (1966), la déclaration d’Helsinki sur l’éthique de la recherche (1964), la convention sur les armes biologiques (1975) et — ce qui devrait intéresser les membres des conseils de l’ordre — le code éthique de l’association des médecins américains.
Aujourd’hui je suis vraiment en colère et je sais ma colère juste. Les « autorités » auxquelles je m’étais fié ont trompé ma confiance et continuent à tromper (par négligence ou compromission, je ne sais) celle de mes pairs à propos
- (1) de la fiabilité du travail de contrôle des essais cliniques avant la mise sur le marché des vaccins,
- (2) de l’efficacité des vaccins et, plus grave encore,
- (3) de leur toxicité. Toutefois, personnellement, ce qui a le plus violemment heurté mon « âme » de chercheur et de médecin, c’est
- (4) l’occultation délibérée par des « autorités » scientifiques et politiques de l’origine non pas « naturelle », mais « chimérique » (artificielle) du virus responsable de la pandémie.
1 — Fiabilité des études préliminaires
La FDA et l’ANSM ont accordé aux industriels du médicament l’autorisation de la procédure d’urgence (EUA) malgré le non-respect d’une de ses conditions impératives, l’inexistence d’alternatives thérapeutiques. Ceci leur a permis de raccourcir la durée des expérimentations de 10 ans à 11 mois. De plus, les instances responsables de la vérification des expérimentations (FDA, ANSM) — entièrement pilotées par ces industriels — n’ont pas fait correctement leur travail de lecture critique des statistiques des résultats publiés. Une lecture plus attentive (dénoncée par Fleming et d’autres experts3 leur aurait montré une réalité qu’aujourd’hui même les « autorités » acceptent, à savoir que le vaccin ne protège ni du risque de réinfection, ni du risque de contagion, ni (bien évidemment) d’une infection par les inévitables variants.
2 — Efficacité du vaccin :
Une lecture critique des essais cliniques réalisés avant mise sur le marché montre que l’efficacité (voisinant les 90 % selon les industriels) a en fait été évaluée sur base d’un paramètre — le « risque relatif » — qui n’a pas de signification clinique alors qu’exprimé sur base du paramètre cliniquement pertinent généralement utilisé (le « risque absolu »), cette efficacité voisine plutôt les 1 %. La « manipulation » des chiffres (et de l’incompétence des citoyens et des médecins en matière de statistique) est flagrante, mais inacceptable. De plus, une lecture attentive démontre, à partir des résultats présentés par les firmes que, par exemple, l’efficacité des vaccins n’est pas statistiquement significative chez les sujets de plus de 70 ans, pourtant les premiers bénéficiaires du vaccin. Si j’avais su cela, jamais je ne me serais fait vacciner.
Quant aux études faites après mise sur le marché, on trouve — quand on les cherche — des preuves accablantes de nombreux cas d’infections et d’hospitalisations pour la Covid-19 chez des patients dûment vaccinés.
3 — L’étude critique de la toxicité potentielle des vaccins est encore plus effrayante.
Le « rapport bénéfice/risque » avancé par les firmes correspond à une grossière manipulation des statistiques. Des responsables compétents n’auraient jamais permis sa mise sur le marché en temps normal. Aujourd’hui que des millions de gens ont été vaccinés, la chose est évidente. Le site américain de recensement des « effets indésirables » des vaccins (VAERS) recense en mai 2021 plus de 4 000 morts et 17 200 effets secondaires sévères. Une étude européenne de pharmacovigilance recense, elle près de 20 000 morts et 800 0000 cas d’effets secondaires jugés « graves ». En France, l’ANMS recensait en juillet 2021 900 décès et 8 700 cas d’effets secondaires graves pour le seul vaccin Pfizer. Pour rappel, l’épidémie de grippe porcine en 1976 aux USA (célèbre scandale sanitaire) a été arrêtée quand on a recensé 25 morts après une campagne de publicité semblablement orchestrée par les « autorités » politiques et sanitaires qui avait amené 46 millions d’Américains à se faire vacciner.
Le statisticien en santé publique (l’autorité ultime de la « scientocratie ») va mettre ces chiffres en balance avec le nombre (supposé) de « vies sauvées » grâce au vaccin. Aux yeux de tout médecin vivant une relation de confiance avec son patient (la base du serment d’Hippocrate), ce calcul est inacceptable parce qu’en prescrivant ou administrant un médicament qui peut causer la mort ou un handicap grave à son patient il n’est en rien excusable puisque, s’il connaît le risque statistique du vaccin qu’il propose, il est déontologiquement obligé de donner cette information à son patient et d’obtenir son consentement « libre et éclairé ». En rendant le vaccin obligatoire, les « autorités » sanitaires et politiques bafouent ouvertement ces principes fondamentaux de la médecine au nom de statistiques portant sur l’incidence (potentielle) et la mortalité (inférieure à 0,1 %) d’une maladie virale « naturelle » (cf. point 4).
Mourir de la Covid est certes un drame pour les proches, mais cette mort est « naturelle » (pour autant qu’on croie le virus de la Covid-19 naturel). Par contre, mourir à cause d’un vaccin qu’on a forcé le médecin à administrer ou le malade à accepter contre sa volonté, sa conscience dûment éclairée ou son intime conviction est tout simplement un sacrilège, une atteinte inacceptable aux valeurs fondamentales (sacrées) de l’homme. C’est là que moi personnellement je décide d’entrer en résistance et de donner raison à tous ces citoyens anonymes et soignants de plus en plus en plus nombreux qui, se fondant sur leur profonde intuition (l’intime conviction), s’opposent aux directives des autorités. L’attitude de ces autorités politiques et sanitaires est aujourd’hui inacceptable du point de vue de l’éthique médicale. En dépossédant les médecins de leur fonction spécifique, elles se rendent en réalité complices de ce que certains appellent un « crime contre l’humanité ».
4 — Du caractère « naturel » du virus de la Covid-19.
Toutes ces « révélations » génèrent chez moi une profonde colère, mais celles qui, dans cette vidéo, m’ont personnellement le plus effrayé sont d’ordre scientifique et pas médical. Elles concernent la protéine spike, l’acteur majeur de cette pandémie et la cible visée par les vaccins. J’ignorais, avant la lecture de cette vidéo, que cette protéine (les « épines » du virus) commune à tous les coronavirus est, dans le cas du SARS-Cov 2, une pure « chimère » c’est-à-dire le résultat de manipulations génétiques menées patiemment depuis 20 ans dans des laboratoires de virologie largement financés par le ministère de la Défense (!!!) des USA (laboratoire de Ralph Baric) puis « améliorés » par des virologues chinois dans l’institut de Wuhan (laboratoire de Shi Zhengli). Ces études portant sur le « gain de fonction » des virus visent à « améliorer » la virulence du virus pour la race humaine et sa capacité à pénétrer dans le cerveau. C’est donc indubitablement une arme biologique. Ces bricoleurs de virus ont en effet « inséré » dans la protéine spike du coronavirus de la chauve-souris (H4U4), totalement inoffensif pour l’homme, des fragments du virus du sida (insert de 590 acides aminés) et de celui de l’hépatite C ainsi qu’un court « insert » appelé PRRA constitué de 4 acides aminés (codés par 12 nucléotides) absents de toutes les autres souches naturelles de coronavirus et impossibles à attribuer à des mutations naturelles puisqu’il faudrait qu’apparaisse simultanément la mutation de 12 nucléotides successifs du génome.
De plus, en déformant la protéine, ces trois inserts ont créé à son extrémité un domaine dit de type « prion », c’est-à-dire semblable à l’agent de la vache folle. Et, de fait, on peut induire expérimentalement ce type de maladie (encéphalopathie spongiforme) chez les souris génétiquement modifiées (dites « humanisée ») après infection par le SARS-Cov-2. Le SARS-Cov-2 est donc, incontestablement à mon sens, un virus artificiel — une « chimère » — dont la création a « bypassé » tous les processus de sélection naturelle. Tous les gouvernements impliqués dans la mise au point de cette chimère (les USA, la Chine, mais aussi la France cofondatrice de l’institut de Wuhan) se sont empressés de nous faire passer ce virus pour une zoonose (le fameux pangolin) ou le résultat de mutations (naturelles). Mais une chimère n’est pas un mutant (naturel) et j’ai le sentiment que tout est fait « quelque part » pour que cette vérité embarrassante — mais cruciale dans le procès de la thèse du complotisme — soit tue.
5 — De la vaccination obligatoire et généralisée.
Nous
devons prendre conscience, nous médecins cliniciens, que les vaccins actuels
contre ce « monstre » de la biotechnologie forcent nos propres cellules
à synthétiser en millions d’exemplaires cette protéine chimérique imaginée et
créée de toutes pièces par des scientifiques irresponsables. Le simple principe
de précaution devrait nous pousser à redoubler de vigilance vis-à-vis de ce
vaccin doublement atypique (technologie à ARN messager/nanoparticules
lipidiques et antigène spike artificiel), mais les médecins généralistes,
témoins les plus concernés par la santé individuelle de leurs patients
et source la plus fiable des éventuels effets secondaires ont été écartés des
centres de décision gérés par les autorités politiques, sanitaires et
scientifiques. Avec un an et demi de recul, nous disposons aujourd’hui de
statistiques de mortalité, de létalité et du rapport bénéfice/risque des différents
vaccins commercialisés. Nous avons le devoir de les analyser objectivement et,
personnellement, ils me glacent d’effroi. Alors que le risque de mourir est
quasiment nul
pour un Covid « naturel » entre 0 à 14 ans, il est non nul pour
l’administration du vaccin.
Or, cette seule réalité n’empêche pas les autorités de prévoir une vaccination
obligatoire de tous les enfants. Dans la tranche d’âge entre 15 et 44 ans, le
rapport bénéfice-risque est à peu près égal à 1 (seuil maximal admissible),
mais si on évalue ce même rapport chez les sujets sans « comorbidité »
(c’est-à-dire la majorité de cette population), il grimpe à 3 (1,5 à 4,4), ce
qui signifie qu’il est trois fois plus toxique qu’efficace. Un parent ou un
patient dûment éclairé de ces chiffres refuserait très certainement le vaccin.
Comme personne n’est en droit de prétendre remplacer la responsabilité
parentale ou personnelle dans une telle situation, les « autorités » ont balayé
ce droit et manipulé l’information au nom d’une « immunité collective » dont
nous savons aujourd’hui qu’elle ne sera jamais réalisée par les vaccins
puisqu’ils ne protègent ni des réinfections, ni de la contagiosité, ni des
variants.
Il est plus que temps, me semble-t-il, messieurs les présidents des conseils de l’ordre et chers confrères cliniciens, d’ouvrir nos yeux à des réalités que les « autorités » impliquées jusqu’au cou dans une politique unilatérale ne peuvent pas regarder en face sans perdre la face. Nous avons maintenant un recul suffisant face à cette maladie nouvelle. Le corps médical — et en particulier les omnipraticiens, premiers acteurs responsables dans une pandémie, et les conseils de l’ordre, seuls remparts officiels de l’éthique médicale — peut-il continuer à se « soumettre à une autorité » qui nous a dépossédés de ce qui fait toute la valeur éthique de notre métier, sa « densité humaine ». Comme le rappelle à plusieurs reprises mon collègue Richard Fleming :
« Qu’en est-il si ceux qui prétendent soigner le problème (les “autorités” politiques et scientifiques et l’industrie biotechnologique) sont aussi ceux qui l’ont créé ? »
Si, après avoir visionné en intégralité la vidéo du Dr Fleming et, si possible aussi, celle de Christine Cotton ou du Dr de Lorgeril (deux spécialistes français de la lecture critique des statistiques dans les études cliniques) vous continuez, chers confrères à accorder votre confiance au discours des « autorités », je crains fort que vous ne puissiez rétablir — quand la vérité sera enfin établie — la confiance de la population en une médecine qu’elle jugera, à juste titre, très sévèrement.
Tout le monde sait que la pandémie a créé en quelques mois une vague de décès (en rien comparable à celle la grippe espagnole ou de la peste), une secousse sans précédent de l’économie mondiale, mais aussi quelques heureux, les neuf nouveaux milliardaires de l’industrie du vaccin et des tests biologiques. À titre d’exemple, le patron de la firme Moderna — qui ne cache pas publiquement son rêve de créer une médecine préventive fondée sur la manipulation (le « piratage », dit-il même) du génome, le plus précieux trésor de chaque organisme vivant que la Nature a mis plusieurs milliards d’années à sélectionner. En apprenant que ses gains personnels en 2020 (4.3 milliards de $) ont été exemptés d’impôts (cadeau de l’État du Delaware), et placés dans des paradis fiscaux (cadeau de la Suisse qui abrite le siège social de sa société), j’ai peine à croire en la pureté des objectifs humanitaires de ce genre d’industrie. Il est très loin le temps où le Dr Sabin, inventeur du vaccin de la polio, avait fait don de son brevet aux enfants de l’humanité.
La seule façon, me semble-t-il, chers confrères — et mon exhorte s’adresse également à tous les soignants, parents et jeunes — de résister à la puissance de ces géants est, je pense, d’entrer massivement en « résistance » et d’unir les voix de plus en plus nombreuses de ceux qui devinent — sans souvent pouvoir le démontrer — que quelque chose de fondamental à l’homme est en train de pourrir dans notre société capitaliste et hyperlibérale. En tant qu’humain, médecin, père et grand-père soucieux du devenir des générations futures, il me semble que cette démarche relève du noble « devoir civique ».
Très confraternellement,
Jean Stevens, 82 140 Saint Antonin (France)
P.S. Au moment d’envoyer cette lettre, j’apprends la courageuse démission de l’ordre des médecins d’un médecin de Montpellier à qui ses « autorités sanitaires » avaient refusé qu’il publie des résultats (très inquiétants) concernant les effets secondaires graves dans 83 EPHAD.4 Il souligne au passage l’inquiétante augmentation des effets secondaires du vaccin Pfizer (+160 % en deux mois).
Notes :
- « Event 2021 » par le Dr Richard Fleming, version doublée vocalement en français :https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/fleming-presentation[]
- Terme que j’emprunte au doyen du barreau de Grenoble, Me Jean-Pierre Josephhttps://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/pass-sanitaire-ou-pass-suicidaire[]
- Par exemple Christine Cotton, biostatisticienne forte de 23 ans d’expérience dans la lecture critique des essais cliniqueshttps://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/debriefing-de-christine-cotton-expertise-des-resultats-des-essais-des-4[]
Source : Sott.net
Lien et 24 commentaires :
Freeman dit :
Imprimez des copies de cette lettre et envoyez-les aux médecins de votre ville.
Cette lettre est à même de modifier le point de vue des médecins vaxinistes et
de conforter ceux qui ont compris le danger mais se sentent isolés face aux
pressions et menaces gouvernementales. Les médecins ainsi confortés et amenés à
dialoguer entre eux et à se regrouper autour de cette lettre pourront étendre
leurs liens afin d’amener l’ensemble du corps médical de base à partager une
conscience nouvelle et éclairée de la situation. Quand tous les médecins de France parleront
d’une même voix, il sera difficile au gouvernement de maintenir ses positions
occultes et dictatoriales. Quand tous les médecins de France parleront d’une
même voix, cette voix sera entendue au-delà des frontières et les médecins des
autres pays pourront aussi se regrouper et agir.
Kodiak dit :
Les médecins ont loupé toutes les occasions pour se lever. Et il y en avait. Ils étaient en première ligne et avaient le pouvoir et le devoir d’inverser les choses en les voyant venir il y a bientôt deux ans. Ils ont préféré collaborer et surtout détourner le regard face à des enfants bâillonnés dans les écoles. Les médecins devraient dégouliner de honte pour ce qu’ils continuent de faire. Avec toutes les informations dont ils disposent aujourd’hui, ils ne peuvent plus dire “nous ne savons pas”. Sont-ils seulement conscients de ce que veut dire crimes contre l’humanité ?
Cygnes dit :
Il serait peut-être temps d’arrêter d’opposer la science et la médecine. La science est l’art de rechercher la vérité, c’est-à-dire de chercher la connaissance de la réalité. Le traitement des patients au cas par cas dessine la complexité du réel. Une complexité certainement bien supérieure à ce que perçoit un médecin malgré toute l’attention qu’il leur accorde.
Ce qui est qualifié de
“Science” dans les médias et qui tendrait à masquer cette complexité pour
imposer une uniformisation des traitements n’est qu’un des piliers de cette
nouvelle religion manichéenne qu’est le Covidisme. Cette religion s’articule
autour de deux “divinité”:
– le Covid, divinité du mal qui menace l’humanité d’extinction.
– la Science, divinité du bien qui combat le Covid.
La Science (notez la majuscule) est inaccessible aux Hommes du commun, c’est donc par ses prophètes qu’elle s’exprime sous la forme de commandements imposés à tous.
Ces prophètes sont les pseudo-médecins qui donnent leur messe sur les plateaux
TV. Ils sont affiliés à un clergé, dont le représentant chez nous est appelé
“Conseil Scientifique”. Les gouvernements du monde occidental se sont ainsi
affiliés à ce vaste clergé multi-céphale dont les décisions semblent prises par
3 organismes inter-dépendants: l’OMS, la FDA, et l’EMA.
lia dit :
On ne peut pas jeter la pierre aux gens qui sont majoritairement de bonne foi. Ce qui est obscène, n’est pas le constat d’ avoir été trompé-comme ce médecin et des millions de personnes- dont la seule “faute” a été de faire confiance à des criminels. C’est bien à ce niveau que se place le problème.
Kodiak dit :
“Si j’avais su cela, jamais je ne serais fait vaXXiner”…
Un peu tard docteur pour accuser. Il fallait se réveiller avant d’avoir “mal à la tête”. Vous n’avez plus qu’à descendre dans la rue avec votre pancarte.
Dubois dit :
Ce Monsieur à l’obscénité de se vautrer dans sa prétendue bonne conscience et déplore comme une vierge effarouchée d’avoir été trompé. Il serait opportun de lui rappeler que la tromperie commence dès la sortie de l’université ou des réglemente contradictoires internes du code de déontologie rendent matériellement impossible le traitement en son âme et conscience. Les médecins dans leur ensemble sont complices volontaires de ce racket dont les victimes sont la population entière. Le racket médical n’a pas commencé avec le Coronavirus, loin s’en faut, comme chercherait à nous faire croire notre compère, Coordination Santé Libre, Martine Wonner et compagnie.
Dubois dit :
Et en ce qui concerne votre ” courageuse démission de l’ordre des médecins d’un médecin de Montpellier “, le courage n’a rien avoir là-dedans, Mr Denis Agret a été contraint à la démission pour avoir pris part à la dénonciation d’une infirmière ayant vacciné une adolescente qui en est morte ensuite, et pour avoir incité des jeunes d’une école de Montpellier d’avoir posé pour une photo sans leur masque.
Révisez votre copie Mr Stevens !
Bernard Goepp dit:
Beau témoignage, utile au réveil des endormis, et utiles aux cours martiales à venir. Pour qu’il y ait les cours martiales, faudrait que des gendarmes et des soldats exigent de leurs chefs qu’ils se rendent dignes publiquement de leur titre et emploient leurs moyens pour libérer leurs concitoyens, des nouveau-nés aux vieillards, de la crasse ignominie qui est réellement meurtrière. Merci à Profession Gendarme!
faguet dit :
Tous responsables, tous coupables. C’est trop facile d’être réveillé par sa conscience, trop tard. EN 45 beaucoup d’allemands aussi ont dit je ne savais pas. A 73 ans ma vie professionnelle m’a fait découvrir que nous étions manipulés en permanence, le mensonge est une institution pour gagner un pognon de dingue. Depuis au moins 40 ans ont nous a menti sur tout, sur l’Europe protectrice et prospère, sur l’immigration et le grand remplacement qui n’existe pas, sur les guerres justes et démocratiques au Kosovo, en Libye, en Syrie, sur le sentiment d’insécurité, le réchauffement climatique anthropique. N’ayant plus confiance en tous les menteurs qui gouvernent, devenu très méfiant, j’ai pris l’habitude de contrôler toutes les informations. Dès qu’on a parlé de vaccin ARN, j’ai fait des recherches début 2020. Il y avait déjà beaucoup d’informations sur le Net ,,, les recherches et expérimentations des vaccins à ADN messager existent depuis 20 ans. Je n’ai qu’un CAP, aucune connaissance médicale ,,,, mais tous les articles que j’ai trouvé à l’époque étaient assez clair pour décrire les dangers de ce vaccin, qui n’en pas un. Nos gouvernants successifs, aidés de leurs complices des médias, au service du grand capital, ont fait des veaux de leur concitoyens (Là-dessus De Gaulle avait raison). TOUS sont coupables, les politiques, les journaleux, une majorité de médecin ,,, et les veaux …. Chaque peuple a les dirigeants qu’il mérite !
guillaumette dit :
Excellente analyse
Christian dit :
Très bonne analyse, tout à fait d’accord, les gens sont manipulés depuis des années à voir les programmes T.V. débiles diffusés depuis des lustres. Notre système n’a plus qu’un seul but, faire des masses des collectivités d’imbéciles abreuvés de propagandes et qui ne font plus aucune analyse de ce qu’on leur annonce. Le but recherché est évident, un contrôle total sur une société de zombies. Mais comme dit nous méritons ce qui nous arrive, et à quel autre futur pouvons-nous aspirer dans un monde peuplé d’individus sans la moindre intelligence. Pauvre humanité qui arrive à la fin de son cycle on aurait pu espérer autre chose.
Dominique Magnin dit :
Si j’ai bien tout
compris, ce médecin est en retraite depuis 5 ans, donc il était censé ne plus
exercer bien avant l’apparition de Magic-Covid.
Pourquoi donc a-t-il été pris du besoin d’obéir aux injonctions d’une autorité
de laquelle il ne dépendait plus, hein ? J’en déduis qu’il voulait poursuivre à
tout prix comme bon nombre de retraités de la fonction publique, de l’armée, de
la gendarmerie généralement qui se recasent très facilement après la retraite,
à croire qu’eux ne sont jamais vieux, n’ont jamais assez de pognon et ne volent
pas suffisamment des places aux jeunes. Et après, ils viennent pleurer. C’est pas
le premier que j’entends et j’avoue que je n’ai aucune compassion pour ces
gens.
Le seul truc bien c’est que ça lui a remis les idées en place et lui a fait
”découvrir” les bienfaits de ce qu’il recommandait chaudement aux autres,
peut-être même en se doutant déjà un peu de ce qui se passait.
daniel dit :
Je ne suis pas médecin, mais j’ai écouté le docteur Kory en décembre dernier et je prends de l’ivermectine à titre prophylaxique depuis cette date !
Eric dit :
Vous avez tort,
l’ivermectine n’est pas faite pour être prise à tout bout de champs, c’est un
médicament efficace qui doit être utilisé à bon escient et sa toxicité tel que
vous semblez l’utiliser est très probablement certaine.
La bonne prévention est de booster l’immunité en faisant de l’exercice, en
mangeant sainement, en évitant le stress, en dormant bien et éventuellement en
complémentant son alimentation ordinaire par de la vit C, D et du zinc.
Jean-Jacques dit :
L’expérience du traitement à l’Ivermectine de l’état de l’Uttar Pradesh (241 millions d’habitants) en Inde, expérience faite sous couvert de l’OMS et du CDC qui, curieusement n’ont pas encore publié de rapport, démontre que la toxicité de l’Ivermectine est nulle. Et ce médicament a permis d’éradiquer cette maladie en à peine un mois de traitement.
Eric dit :
Je précise “tel que vous semblez l’utiliser”, sinon effectivement doublée d’azithromycine et de zinc, ou comme utilisé dans le complexe Ziverdo (doxycycline à la place de l’azithro), l’efficacité sans toxicité relevée est bien réelle. Je tiens à préciser que tout médicament chimique efficace possède forcément une part plus ou moins importante de toxicité.
Christophe Desmaris dit :
Cher Docteur, continuez vos recherches, vous êtes sur la bonne voie. Les étapes suivantes :
David E. Martin, en entretien avec Reiner Fuellmich (sur Quantum Leap),
montrant qu’aucune maladie nouvelle n’est apparue dans le monde à la fin de
l’année 2019.
Denis Rancourt montrant que les disparités de mortalité toutes causes
confondues selon les juridictions sont incompatibles avec la propagation d’une
virose.
La chaîne artificielle de nucléotides prétendument nouvelle appelée SARS-CoV-2
existe, mais la maladie dite Covid 19 n’existe pas. Le biais est constitué par
les amorces fantaisistes des kits commerciaux des tests RT-PCR protégés par
brevets.
Eric dit :
On ne peut nier qu’il y ait eu une pathologie nouvelle particulière, nommée Covid-19. Je vous rejoins en ce qui concerne son origine, il n’est absolument pas certain, conformément à beaucoup de travaux, que ce dit coronavirus soit responsable de tout. Des tribunaux ont même tranché en disant que ce virus n’avait pas été isolé. Je vous rejoins également au sujet des tests RT-PCR qui sont une vaste escroquerie qui a rempli bien des poches et qui continue. La famille Rothschild est détentrice des brevets depuis mai 2020. Quant aux vaxxins, autant leur donner une bonne appellation : poison.
Roseau dit :
Covid-19 n’était pas nouvelle en 2019 puisqu’elle a été créée bien avant (des années de mise au point). Puis elle a été diffusée volontairement en 2019.
Phil dit :
C’est exactement ça.
Fin de l’article.
A voir absolument et à partager
Le culte de la virologie - Documentaire
“Le culte de la virologie, 150 ans de fraudes médicales de Pasteur au Covid-19” est un documentaire retraçant l’histoire de la théorie des germes jusqu’aux techniques de la virologie moderne.
Il n'y a pas de virus.
« Merci beaucoup pour le sous-titrage traduit en français de cette très longue vidéo de Spacebusters. Je suis tout à fait d'accord avec ces informations. La seule chose que je reproche est qu'on oublie d'inclure dans la "toxémie", cause des maladies, la dimension psycho-émotionnelle, comme l'a démontré le Dr Ryke Geerd Hamer... Les stress psychologiques provoquent une toxémie aussi. »
« Excellent, super intéressant, on comprend clairement pourquoi cette société est complètement folle! Merci à vous! »
« Merci pour cette œuvre remarquable, vraie solution de libération…Pour aider à la propagation du message, Il serait pertinent d'en extraire des petites séquences en mini-clips… »
« Passionnant. Devrait être présenté en cour de biologie si le système ne le bloquait pas... »
« Merci d'avoir attiré mon attention sur ce documentaire d'utilité publique. »
« Magnifique !!!! »
C. Rosenzwitt-Makiewsky
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