Olivier Véran reconnait enfin l’existence d’effets secondaires graves liés à la vaccination
....par LaurianeB
Jusqu’à maintenant, les effets secondaires graves post-vaccination Covid étaient une lubie délirante venant d’une poignée haineuse d’antivax pour Olivier Véran. Hier, Me Delphine Provence, avocate en droit public et en droit de la santé, a plaidé la cause de sa cliente devant le Conseil d’Etat. Cette dernière, ancienne avocate devenue étudiante en médecine, a subi des troubles importants à la suite de sa 2e injection. Elle demande la suspension en urgence de l’obligation de la 3e dose de vaccination face à un ministre de la santé en pleine dissonance cognitive.
Pour rappel, la procédure de référé-liberté est une procédure d’urgence qui permet d’obtenir du juge des référés toutes mesures nécessaires à la sauvegarde d’une liberté fondamentale à laquelle l’administration aurait porté atteinte de manière grave et manifestement illégale. Le juge se prononce dans ce cas dans un délai de 48 heures.
Vous trouverez ci-joint le compte rendu détaillé de l’audience.
L’absence de la contre-indication après vaccination dans la loi
Nous apprenons à l’occasion de cette audience que la requérante âgée de 39 ans souffre de désordres gynécologiques (fait ayant toujours été minimisé par l’ANSM), de troubles auditifs et d’une « asthénie sévère » (des cas de narcolepsie postvaccinale avaient eux aussi été recensés dans le cadre de la vaccination H1N1), symptômes qu’elle a déclenchés après une 2e injection d’un vaccin ARN.
Elle demande par conséquent de pouvoir s’exonérer de sa dose de rappel, et plus largement que le Conseil d’Etat suspende l’application du décret élargissant la 3e dose aux plus de 18 ans, ou au minimum que les personnes ayant développé des effets secondaires en soient exemptées.
Charles Touboul, le directeur juridique du ministère de la santé, réplique qu’il existe déjà une possibilité de se faire exonérer d’une autre injection en cas d’effets graves. Oui, mais le déclenchement de ces troubles n’est pas prévu dans le formulaire Cerfa permettant de justifier d’une contre-indication à une troisième injection.
Cette liste est-elle limitative ? Le directeur juridique de ministère de la santé semble avancer que non, mais les médecins le savent-ils ? ces derniers semblent se limiter à la liste prévue par le formulaire lorsqu’il s’agit d’établir une contre-indication.
Quant au point 3 de l’annexe 2 du décret du 1er juin 2021 , il précise en effet qu’une contre-indication est « Une recommandation établie après concertation médicale pluridisciplinaire de ne pas effectuer une dose supplémentaire de vaccin suite à la survenue d’un effet indésirable d’intensité sévère ou grave attribué à une précédente dose de vaccin signalé au système de pharmacovigilance (par exemple : la survenue de myocardite, de syndrome de Guillain-Barré …) ».
Mais qu’est-ce qu’un « un effet indésirable d’intensité sévère ou grave » ? qu’est-ce qu’une « concertation médicale pluridisciplinaire » ? sur quelle base le médecin doit-il prendre sa décision ?
L’avocate en charge de la requête prévoit de publier une note en délibéré pour prouver qu’en l’état actuel des textes il n’est pas possible d’échapper aux doses de rappel lorsqu’on souffre de symptômes postvaccinaux, bien que le ministre de la santé le démente formellement.
Un recensement des effets graves sous-évalué
A la question de savoir s’il existe réellement 24% d’effets indésirables graves, le Conseiller Médical du Cabinet COVID au ministère de la santé répond « Sur les 136 millions de doses injectées en France, on dénombre 137 400 victimes d’effets indésirables, soit un taux de 0,025% et c’est sur cette proportion que l’on compte un quart d’effets indésirables graves. Il s’agit donc d’un risque faible. Quant à l’utilité de la troisième dose contre Omicron, la protection contre une contamination est plus faible, de l’ordre 75/80% mais le schéma complet de trois doses offre quand même plus de 90% de protection contre les formes graves ».
Maitre Provence décrit ensuite une discussion tendue avec le ministre de la santé sur la réalité des effets secondaires de la vaccination :
Conseil d’État sur la 3ème Dose :
« Le ministre des solidarités et de la santé a reconnu qu’il y avait 24% d’effets secondaires graves ! Environ 300 000 concernées… Possibilité d’invoquer une contre-indication par votre médecin ! »
Me Delphine PROVENCE à propos de l'audience de ce matin dans une procédure qu'elle a lancée et plaidée ce matin
Maître Delphine PROVENCE Barreau de Paris (depuis 2008) exerce son activité d'avocat à Paris et assure auprès de ses clients un rôle de conseil et de représentation en justice. Elle est Avocat en droit public et droit de la santé et membre du jury des épreuves du CAPA
https://twitter.com/NaraShi13876794/status/1490760698678415360?cxt=HHwWgMC4naC9n7ApAAAA
Petit compte-rendu de l'audience de référé de ce jour au Conseil d'État, relative à la contre-indication de nouvelles doses de vaccin, par Maître Provence, avocate en droit public et droit de la santé.
3' à écouter absolument !
24% de cas graves avérés.
« Nous nous sommes accordés sur un pourcentage qui est celui de l’ANSM, en moyenne 24% des effets secondaires constatés sont graves. Qu’entendons-nous par grave : le décès, la mise en jeu du pronostic vital, une hospitalisation, une affection sévère qui va obérer votre quotidien pendant plusieurs semaines ou plusieurs mois – officiellement le chiffre qui nous est donné par l’ANSM est à peu près 30 000 personnes qui aurait déclaré des effets secondaires, mais quand on sait que seulement 10 à 15% des effets secondaires sont déclarés aux autorités, c’est en réalité probablement plus de 300.000 personnes qui sont concernés »
Nous assistons donc à une situation ubuesque, où le ministre de la santé débat tranquillement en pleine audience au Conseil d’Etat d’effets secondaires graves de la vaccination dont il prône les mérites depuis plus d’un an, qu’il a rendu obligatoire aux soignants, obligatoire de fait aux plus de 12 ans en population générale et qu’il a ouvert aux plus de 5 ans. Comme le souligne très justement Me Provence « Le rôle de l’État est de protéger les citoyens, or nous avons la preuve que le gouvernement met en danger sa population, on nous parle de victimes collatérales, ce n’est pas ce que dit le droit, la balance bénéfice risque doit s’apprécier de manière individuelle ». La décision sera rendue d’ici la fin de la semaine et nous invitons le Conseil d’Etat à sauver le peu d’honneur qu’il lui reste.
Commentaires :
Delphine P. ce matin, Etienne Gayat Conseiller Médical du Cabinet COVID au ministère de la santé (rencontré par vous au Conseil d'Etat) avoue 137.400 victimes d'effets secondaires (source ANSM). Evidemment, quand ce Mr minore en indiquant un taux de "seulement" 0,0025 (en fait un pourcentage de 0,25%), il faut relativiser ! Rapportés à 54 millions de vaccinés (au moins une dose), cela fait quand même environ 1 vacciné sur 400 atteint d'effets indésirables, dont 24% de ces 1/400 par des effets graves. On a donc 1 vacciné sur 1600 qui risque des effets secondaires graves en France (dont la mort), si je compte bien. Cela si les stats d'effets secondaires ne sont pas minorées (vous pensez qu'elles le sont de 85 à 90% !). Ce qui pourrait être bien pire... Car si votre chiffre de cette sous-estimation est réaliste, on parle alors d'une "malchance" comprise entre 1 sur 300 voire 1 sur 200 de connaître un effet secondaire grave. Et là, ça devient TRES SIGNIFICATIF !!! Je rappelle les types d'effets graves : - décès - mise en jeu du pronostic vital - hospitalisation - la personne affectée de ces effets voit son quotidien altéré pour des semaines ou des mois. Je mesure aujourd'hui à quel point nos gouvernants nous protègent...
Le ministre lui-même a reconnu une certaine dangerosité des vaccins ? Des effets secondaires graves ?
« Merci à vous Maître pour votre implication. Toutefois, il est à mon sens inacceptable de ne parler que d'exemption pour contre-indication à une 3è dose. Il y a environ 6 millions de non "injectés" (0 dose) dont je fais partie, auxquels il faudrait ajouter les "2 doses" réduits à néant par l'absence de la 3ème. J'ai 76 ans, en parfaite santé, aucun médicament, et il faudrait que je joue à la roulette russe ? Que je me fasse injecter deux doses ? C'est hors de question ! Je suis et resterai un paria ? Je vis en Corse, je dois me rendre dans la région parisienne le 12/02. Ne pouvant prendre l'avion, je vais traverser en ferry avec un test pcr valable une seule journée, ensuite je monte comment sur Paris, à pieds et je demande à Jean Lassalle de m'accompagner ? La continuité territoriale n'existe plus ! Pour le TGV, pass vax obligatoire, pour l'avion dito, je fais du stop en me mettant une mini-jupe pour augmenter mes chances ? »
« Bravo Delphine ! Mais je ne comprends toujours pas pourquoi l'on appelle ces traitements expérimentaux "vaccins". »
« Bonjour, je suis modératrice d'Effets Secondaires groupe 6 sur FB et ce que je publie et entends est UN VÉRITABLE SCANDALE. Nous recevons des dizaines de témoignages par jour. La plupart des victimes sont soignées à l'hôpital pour leurs nouvelles pathologies mais on leur rit au nez ' effet nocebo' quand elles demandent s'il y a un lien avec le vaccin. (Pourtant la timeline est claire, avant rien, après 1ere ou 2e dose, problèmes) Donc les médecins ne font pas de remonter de pharmacovigilance et refusent un certificat de contre-indication... Pour certains, ils sont juste en train de les tuer. C'est inadmissible. »
« Merci Delphine P. pour ton w de titan - sur ce sujet meurtrier. Pour ton œuvre tu sauves plein de monde de terribles atteintes métaboliques, de souffrances aussi, sans parler des morts. Admiration, congrats, et bonne continuation ! Merci aussi à Bernadette Ottaviano qui te publie sur des médias sociaux. »
« Bravo pour votre professionnalisme ainsi que de donner enfin l'espoir que les "victimes collatérales" soient entendues. Arrêtons cette mascarade politique et non sanitaire et espérons que "responsable mais pas coupable" ne soit plus un jugement acceptable. »
https://twitter.com/NaraShi13876794/status/1490760698678415360?cxt=HHwWgMC4naC9n7ApAAAA
Fin de l’article.
Covid-19
Le Parlement va se pencher sur les effets secondaires des vaccins
Lola Cohen Patriote@patriote_lola
??? Pas de problème les gars… prenez votre temps !
« Je croyais qu’il n'y avait pas de effets secondaires @olivierveran »
« Parce que maintenant ils reconnaissent qu'il y a des effets secondaires? »
« "Ça va bien se passer..." »
« La campagne électorale est lancée. »
« Le "parlement" ne va se pencher sur rien du tout. Ce serait aller contre leur maître et contre ceux qui dirigent leur maître, vous savez, la petite tafiole qui croit encore être président. Le "parlement ferait mieux de chercher à savoir comment Mr Montagnier est "mort" mais il ne bougera même pas un doigt, comme les merdias... »
https://twitter.com/franceinfo/status/1491463509527388160
« Vaccins » Covid, la tragédie continue
Témoignage d’Israël à partir de 43 : 00
Lien vidéo et 100 commentaires :
https://odysee.com/@Vivresainement:f/la-tragedie-continue:8
Effondrée sur scène après une vanne contre les complotistes.
« Je suis vaccinée, double vaccinée, boostée…je n'ai pas attrapé le Covid et Jésus m'aime plus que quiconque »
Les rires sarcastiques de la salle font froid dans le dos !
Lien vidéo :
https://twitter.com/Carene1984/status/1491341305481678848?t=J8wYytL3Zz2yXXOZvpnb8Q&s=03
C'est officiel, Pfizer n'est pas responsable devant la loi des effets secondaires graves
(02-2022)
Lien vidéo et commentaires :
Pfizer : Non responsable, pourquoi continuer à s'empoisonner ?
https://crowdbunker.com/v/ASQPtHui7g
https://odysee.com/@La_v%C3%A9rit%C3%A9_excite_la_col%C3%A8re:2/news_pfizer-non-responsable:4
François Couilbault@FCOUILBAULT1
Quand on voit certains médecins TV dire encore qu’on ne sortira du #COVID19 qu’en vaccinant massivement y compris les enfants on peut se dire que ce ne sont plus des médecins mais des commerciaux de chez #Pfizer
Le plus fervent promoteur de la vaccination des enfants au Canada s'appelle Jim Kellner.
On vient d'apprendre qu'il a reçu 2M$ de Pfizer. Mais ça n'a rien à voir avec un conflit d'intérêt. Ce sont des convictions profondes...
Fin de citation
Le Vrai combat est de prouver que les traitements existent et que BIG PHARMA dirige nos gouvernements, et là, on fera tomber le système.
https://vk.com/id531765249?z=video612251483_456239566/81b4262
Fin de citation.
Philippe Murer@PhilippeMurer
La crise covid a permis au gouvernement de mettre en place la surveillance totale et le crédit social pour les Chinois grâce au QR code.
En Chine, tout est surveillé grâce à vos données numériques collectées partout. Tout est archivé pour construire le portrait numérique de chaque citoyen Drapeau de la Chine, noté et félicité ou puni
Selon votre score de crédit social, vous pouvez faire beaucoup de choses ou pas. Tiens, c'est pareil en France si vous êtes ou non vacciné. Un début de crédit social?
Attribuer une note à chaque citoyen afin d'aller "vers une société intègre et harmonieuse". Surtout pour déterminer qui est citoyen de 1ère, 2ème, 3ème ou 4ème classe. On peut avoir envie "d'emmerder les citoyens" de 4ème classe.
En Chine, vous payez de plus en plus avec votre visage numérisé. Et c'est tellement pratique ... Pour être surveillé partout par le gouvernement qui vous débranchera si vous n'êtes pas sage.
La Chine est en train de faire disparaître la monnaie, remplacée par le paiement sans contact, le yuan numérique.
"La vie sans cash" c'est pratique... pour être surveillé
En Chine, les caméras de surveillance sont partout permettant aux autorités de tout savoir sur vous, en temps réel.
Témoignage d'une chinoise:
"Tout ce que je fais, ce que je dis, est-ce que j'ai le droit ou pas?
Ils sont en train de nous manger le cerveau.
Ils sont en train de nous former comme des robots".
Ça ressemble étrangement à ce que nous vivons en France avec quelques années de retard
https://twitter.com/PhilippeMurer/status/1491797387030908939?cxt=HHwWlsCqrbr09rMpAAAA
Ma femme a du crédit :
Documentaire inédit LCP
Une société entièrement placée sous surveillance. Des caméras dans les rues, une pour deux habitants. Des applications sur le téléphone portable qui vous tracent à chacun de vos déplacements et enregistrent tout de vos habitudes de consommation. Voilà le quotidien de Lulu et de ses compatriotes, confrontés à cette technologie qui juge leurs vies chaque jour, chaque heure, chaque seconde. Lulu est la femme de Sébastien Le Belzic. Journaliste installé à Pékin depuis 2007, il a décidé de filmer son quotidien pour comprendre en quoi cette révolution technologique et sociale impacte la vie de son épouse.
Lien vidéo et 128 commentaires :
https://www.youtube.com/watch?v=Jt2HA7jfzj8&t=1s
Bientôt chez nous. Chine, laboratoire à ciel ouvert.
Lien vidéo et commentaires :
https://crowdbunker.com/v/r8CcJ2g1qi
Le crédit social en marche.
Vidéo :
https://crowdbunker.com/v/8TfhCf8ib3
C. Rosenzwitt-Makiewsky
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