samedi 17 août 2019

PURE OU IMPURE !




L’influence néfaste
de la consommation de viande porcine sur la santé.





Compte tenu de larges secteurs de population, il apparut hautement souhaitable d’analyser plus étroitement les raisons de la nocivité de la viande porcine et de mettre en évidence ses facteurs de toxicité et de stress, notamment les « sutoxines ». La possibilité qui s’en dégage est que tout individu peut se maintenir en bonne santé en excluant les facteurs toxiques (poisons spécifiques du porc) de son régime alimentaire ou peut recouvrer la santé en observant une stricte prohibition de viande porcine.



Il est reconnu que la viande porcine provoque le stress et conduit à l’empoisonnement. Mais ceci ne s’applique pas seulement aux préparations de viande fraîche telles que pièces froides, pieds, jarrets, côtes, côtelettes, etc., mais également à toutes les viandes salées (jambon, lard, charcuteries) et fumées comme saucisses et saucissons. La consommation de viande porcine fraîche provoque des réactions typiques: inflammations de l’appendice, des intestins et de la vésicule biliaire, coliques hépatiques, gastro-entérites avec symptômes de typhoïde et paratyphoïde, ainsi que des eczémas aigus, furoncles, abcès sudoripares et autres.



Ces symptômes peuvent aussi être observés après consommation de saucisses sous toutes ses formes, y compris le salami qui contient des morceaux de lard sous forme de gras.



La consommation de viande porcine est particulièrement dangereuse dans les régions tropicales. Ce qui, par exemple, est démontré dans les régions africaines où les civilisations islamiques et occidentales vivent en communautés voisines sous les mêmes conditions climatiques. On retrouve ces mêmes conditions également chez différentes races de l’Himalaya où vivent les Hunsa (Bircher). Les populations islamiques ne se nourrissent pas de porc et sont en bonne santé, elles travaillent jusqu’à un âge avancé comme porteurs dans de nombreuses expéditions.



Les populations de civilisation occidentale vivant sur l’autre versant de la vallée
n’observent pas les règles islamiques de travail et de diététique et souffrent de toutes les maladies courantes. En d’autres termes, les peuples qui observent les lois de l’Islam sont bien portants, tandis que ceux qui suivent les coutumes occidentales contractent toutes ces maladies typiques, découlant d’une alimentation dont le porc n’est pas exclu. Nous devons nous référer ici aux fondateurs des grandes cultures, qui ont fondamentalement influencé notre culture occidentale. Moïse, le prophète, et Mahomet, par exemple, reconnurent les prohibitions imposées par la nature et basèrent leurs lois sur celle-ci. L’Ancien Testament, dans les livres du Lévitique, chapitre 11, et du Deutéronome, chapitre 14, de la Sainte Bible contient les extraits suivants:



Lévitique 11 : 1-8 : nourriture animale pure et impure.



YaHuWaH parla à Moïse et à Aaron et leur dit:



‘Parlez aux enfants d’Israël et dites: Voici les animaux dont vous mangerez parmi toutes les bêtes qui sont sur la terre: vous mangerez de tout animal qui a la corne fendue, le pied fourchu et qui rumine. Mais vous ne mangerez pas de ceux qui ruminent seulement ou qui ont la corne fendue seulement. Ainsi vous ne mangerez pas le chameau, qui rumine, mais qui n’a pas la corne fendue: vous le regarderez comme impur. Vous ne mangerez pas le daman, qui rumine, mais qui n’a pas la corne fendue: vous le regarderez comme impur. Vous ne mangerez pas le lièvre, qui rumine, mais qui n’a pas la corne fendue: vous le regarderez comme impur.



Vous ne mangerez pas le porc, qui a la corne fendue et le pied fourchu, mais qui ne rumine pas: vous le regarderez comme impur. Vous ne mangerez pas de leur chair et vous ne toucherez pas leurs corps morts: vous les regarderez comme impurs.»




Deutéronome 14 : 4-7



‘Voici les animaux que vous mangerez: le bœuf, la brebis, et la chèvre; le cerf, la
gazelle et le daim; le bouquetin, le chevreuil, la chèvre sauvage et la girafe. Vous mangerez de tout animal qui a la corne fendue, le pied fourchu et qui rumine. Mais vous ne mangerez pas de ceux qui ruminent seulement ou qui ont la corne fendue et le pied fourchu seulement. Ainsi vous ne mangerez pas le chameau, le lièvre et le daman qui ruminent mais qui n’ont pas la corne fendue: vous les regarderez comme impurs. Vous ne mangerez pas le porc, qui a la corne fendue, mais qui ne rumine pas: vous les regarderez comme impurs. Vous ne mangerez pas de leur chair et vous ne toucherez pas leurs corps morts.’




Le Coran, sourate 16, verset 115, écrit ceci:




« Il vous a interdit la viande décomposée, le sang et la chair du porc; de même toute chair consacrée autrement qu’au nom d’Allah. Mais quiconque est contraint d’en manger, sans intention particulière ni intention de transgression, trouvera le pardon et la miséricorde d’Allah. »



Yahweh, Dieu des juifs, établit également des prohibitions identiques concernant la loi de la nature contre laquelle on ne doit pas pécher; agir de la sorte apportera certainement une rétribution biologique par rapport à « la maladie prédite comme punition ». Il serait superflu de mentionner les peuples d’Arabie Saoudite, d’Égypte, du Pakistan, d’Algérie, de Tunisie, de Libye ou de toute autre contrée où l’Islam est la religion nationale, puisque ces règles de conduite ont été leurs principes depuis plusieurs centaines d’années.



La stricte prohibition du porc par les juifs et les musulmans est bien connue également. Il
est souvent suggéré que ces coutumes sont des mesures hygiéniques et religieuses, ordonnées par les prêtres à cause des trichines du porc. Cet avis est toutefois sans fondement, car cette pratique remonte aux temps de Moïse et de Mahomet où la trichine était inconnue.



Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le nombre des soldats allemands malades qui se trouvaient en Afrique du Nord devint de plus en plus important. Ils souffraient d’abcès à la partie inférieure de la jambe, appelés « ulcères tropicaux ». Ces ulcérations les rendaient inaptes au combat et nécessitaient des soins hospitaliers prolongés qui, souvent, exigeaient des traitements en zones au climat plus tempéré. Toutes les formes possibles de traitements, y compris la chimiothérapie, furent déployées sans résultats positifs. On pensa alors que ces ulcères à la jambe pouvaient avoir une relation avec les habitudes alimentaires des soldats, étant donné que les indigènes, eux, ne montraient aucun symptôme de la maladie. Les rations des soldats furent alors basées sur un régime exempt de porc, fort semblable à celui des populations islamiques, et il en résulta une amélioration immédiate du syndrome de l’ulcère de la jambe.

                                      
Pendant les privations des années de guerre et spécialement celles de l’après-guerre, la
santé de la population fut pratiquement bonne. Rares étaient les personnes nourries à satiété. La viande sous toutes ses formes n’était disponible qu’en faibles quantités et même le porc était rare. Il n’y avait pas de matières grasses, encore moins de sucre, mais les céréales, le pain, les pâtisseries étaient disponibles à profusion, complémentées par des pommes de terre et des légumes. Durant cette période, il fut à peine question d’appendicites et il n’y eut aucun problème de vésicule biliaire, excepté chez les rares « privilégiés » du marché noir qui parvenaient à s’approvisionner en porc. De même, le rhumatisme, les hernies discales et les affections similaires furent complètement inconnues. Ce fut vrai également pour les affections cardiaques, la sclérose et l’hypertension.



En 1948, aussitôt après les réformes monétaires, les produits alimentaires issus du porc, comme le jambon, le lard, etc., redevinrent rapidement disponibles et le tableau de santé de la population allemande se transforma complètement. Appendicites, troubles hépatiques, éruptions cutanées telles que pyodermites, impétigos, furoncles, abcès sudoripares devinrent choses courantes. Par suite des traitements chimiothérapiques et des sulfamides, des mycoses chroniques ainsi que diverses variétés d’effets secondaires firent leur apparition. En même temps, l’accroissement des cas de cancers fut particulièrement effrayant. Un grand nombre de patients de 60 à 70 ans qui avaient été jusqu’alors en excellente santé souffrirent subitement de troubles digestifs dus au cancer de l’œsophage, de l’estomac ou des intestins.



La progression de ces cas fut tellement instructive et biologiquement significative, ou plutôt elle eut un tel fondement étiologique qu’il devint évident de tirer certaines déductions concernant l’origine de toutes les maladies: c’est qu’à l’origine de toute maladie, il y a des toxines. Au fil des ans, on découvrit que beaucoup d’autres maladies telles que l’arthrite et l’arthrose étaient dans une large mesure provoquées par la consommation de viande porcine.



Il en était de même pour les affections particulières comme la leucorrhée chez la femme, les éruptions fistulaires chroniques, non seulement celles consécutives à une opération de l’oreille, par exemple après une otite, mais également celles relevant de blessures par balles comme c’était le cas pendant la guerre. Aussi longtemps que tout ceci était accompagné d’ingestion de viande porcine, les guérisons furent lentes, voire inexistantes, à l’exception de traitements biologiques ou homéopathiques comprenant une abstinence totale de porc sous toutes ses formes.



Test diététique sur souris blanches.



Les souris nourries au porc développèrent une tendance manifeste au cannibalisme. En vieillissant (de quelques mois à un an), beaucoup d’entre elles développèrent le cancer en diverses parties de leurs corps. Dans certains cas, des maladies de la peau devinrent apparentes. Par ailleurs, les souris nourries normalement développèrent aussi des maladies mais il n’y eut que peu de cancers ou de maladies mortelles, et aucune ne présenta le moindre signe de cannibalisme.



Le porc ne devrait jamais servir de nourriture aux chiens, particulièrement aux boxers qui développent facilement la gale et diverses affections cutanées, et qui ont une tendance aux maladies internes graves.



Les mêmes observations furent faites au sujet des animaux de cirque, particulièrement les lions et les tigres qui, à cause du porc qui était inclus dans leur nourriture, devinrent indolents et obèses. Ils souffraient de graves saignements du nez, vraisemblablement provoqués par une hypertension sanguine, et ils mouraient prématurément.



Un pisciculteur constata que toutes ses truites pouvaient être éliminées en quelques jours, s’il les nourrissait de porc haché. Le porc devrait être considéré comme une importante « homotoxine » (poison humain) qui provoque l’activation des mécanismes de défense du corps.



Ces mesures défensives se manifestent alors par une grande variété de maladies. D’autre part, selon des rapports officiels, il devint évident que de nombreux constituants du porc agissaient comme homotoxines ou comme facteurs de stress, d’où, selon eux, le terme « sutoxines » semble justifié. Il est évident que la graisse animale dite exogène, c’est-à-dire qui est ajoutée dans l’alimentation, est stockée dans le corps sous cette forme. Par exemple, un chien nourri à la graisse de mouton retient dans ses cellules graisseuses de la graisse de mouton qui est d’ailleurs chimiquement détectable. La réaction chimique de la graisse sous-cutanée est sans équivoque, elle se mesure par exemple à l’indice d’iode, etc.



De plus, le sang circule avec un grand nombre de ces particules graisseuses. De grosses molécules se forment (dénommées « cenapse » selon Macheboeuf) qui, mesurées par ultracentrifugation, et en fonction des différentes vitesses de séparation (unités Swedborg), sont conjointement responsables de l’artériosclérose ainsi que de l’hypertension sanguine, de l’hyperhémie, du faible débit sanguin dans les tissus conjonctifs et particulièrement dans les glandes importantes; elles sont aussi responsables du rétrécissement et de la calcification des vaisseaux sanguins coronariens. Plus tard, il fut prouvé que de tels aliments riches en matières grasses sont la cause de sclérose importante des tissus conjonctifs.



Hauss (professeur à Munster en Allemagne occidentale) décrivit complètement ces
facteurs dans son livre « La réaction non spécifique du mésenchyme ». Selon Hauss, ces types de stress résultent d’un régime riche en graisse, dans lequel la graisse porcine (spécialement le lard gras ou le bacon) est le principal responsable, et, lorsqu’ils se combinent avec d’autres facteurs de stress, ils peuvent devenir finalement mortels.



Wendt (professeur à Francfort en Allemagne occidentale) attribue l’artériosclérose, le
diabète et les désordres circulatoires presque exclusivement aux lipoprotéines, dont les
Mucopolysaccharides et particulièrement les composants muqueux des tissus conjonctifs du porc sont responsables, quoiqu’il ne fasse pas mention de celles du porc. La question s’est donc posée d’établir la différence entre la viande porcine et les autres. Ceci fut très difficile à définir étant donné la carence en littérature authentique sur le sujet, car celle qui existe ne traite généralement que des calories. Cependant, il est possible de tirer les conclusions suivantes:



  1. Le porc, même le soi-disant porc maigre, contient une énorme quantité de graisse, si on le compare aux autres types de viandes telles que le bœuf, le mouton, etc. Le porc contient énormément de graisse intracellulaire, c’est-à-dire de particules intégrées dans les cellules mêmes, tandis que, chez les autres animaux, la graisse se trouve presque exclusivement à l’extérieur des cellules, dans les tissus conjonctifs sous forme d’adipocytes.



Il est possible de rencontrer à l’occasion, chez des bœufs âgés, de faibles quantités de graisse dans les cellules mêmes, tandis que, chez le porc, les cellules ont généralement un pourcentage élevé de particules grasses. Ceci peut être observé même lorsque du porc maigre est frit: il libère immédiatement la graisse dans la poêle à frire chaude et il est couramment frit dans sa propre graisse. Comme la graisse contient deux fois autant de calories que les hydrates de carbone et les protéines, chez les gros mangeurs, elle est spécialement stockée, tout d’abord par facilité, dans les tissus conjonctifs. Il en résulte que les adiposités communes aux consommateurs de porc (porc qui contient d’autres substances stressantes dont les constituants muqueux) ne peuvent être réduites qu’avec difficulté. Ceci correspond partiellement aux lipoprotéines auxquelles Wendt se réfère.



2-      La graisse est toujours associée en cholestérol. Elle est responsable de la formation de molécules fortement chargées en cholestérol dans le sang, lesquelles contribuent à l’hypertension et à l’artériosclérose, tout en étant des facteurs supplémentaires d’infarctus myocardique et de désordres circulatoires coronariens et périphériques, surtout si elles sont associées à la nicotine (chez les fumeurs). Le cholestérol se trouve aussi dans les membranes des cellules cancéreuses.



3-      Les substances riches en soufre des tissus conjonctifs, les mucopolysaccharides (sucres aminés, sulfate de condroïtine, hexosamine, glucosamine, etc.) qui ont un caractère spécifiquement muqueux, sont aussi très dangereuses. 



Ce n’est qu’avec du porc qu’il est possible de produire des saucisses facilement expansibles. Le sucre aminé, l’hexosamine et les dérivés sulfureux tels que la chondroïtine, l’acide sulfurique et l’acide sulfurique mucoïtin qui se trouvent dans le porc sont directement responsables de cette propriété. Ces substances provoquent un gonflement muqueux des tissus conjonctifs et se combinent alors avec la graisse pour sa conservation (« Cenapse », Macheboeuf), ce qui entraîne une réaction de gonflement caractéristique (« Ruben’s luxuration »), gonflement qui est propre aux mangeurs de porc.  Le tissu conjonctif, dès lors, se comporte comme une éponge et provoque des dilatations typiques des tissus conjonctifs, semblables à des coussinets (rétention d’eau).



4-      La mise en réserve de ces substances muqueuses dans les tendons, les ligaments, les cartilages, etc., peut être dangereuse et peut provoquer du rhumatisme, de l’arthrite et de l’arthrose ainsi que des dommages aux disques intervertébraux, pour n’en citer que quelques-uns.



Ceci est dû aux obstructions de la matière constitutive principale des tissus conjonctifs
(Comme on le trouve chez les humains ainsi que chez les béliers castrés) provoquant le
ramollissement du tissu conjonctif par suite de la perte de résistance. Il serait maintenant
judicieux de mentionner le travail de Bier (professeur Augus Bier, 1861-1949, chirurgien à Berlin, Allemagne occidentale). Bier injecta du soufre à des animaux, ce qui entraîna la
mobilisation et la séparation des tissus sulfurés. La matière première des cartilages perdit du soufre et devint de la sorte plus ferme, acquérant ainsi une plus grande puissance de résistance. Des bains légèrement sulfurés agissent pareillement en mobilisant le soufre des tissus. Il a été démontré que la fermeté et la résistance des cartilages est inversement proportionnelle au soufre qu’ils contiennent. Vu la prédominance des grandes qualités des tissus conjonctifs muqueux du porc, la teneur en soufre y est extrêmement élevée.
Ceci peut être démontré par des tests de putréfaction et par le processus de décomposition, produisant ainsi du sulfure d’hydrogène H2S (ou acide sulfhydrique), facilement reconnaissable à sa puanteur caractéristique.



Des essais comparatifs de putréfaction furent effectués simultanément sur le porc, le bœuf et le mouton, ce dernier présentant le taux de soufre le plus bas. Les tubes soigneusement scellés qui contenaient le porc furent éliminés quelques jours plus tard car l’odeur sulfhydrique passant au travers des tubes devenait intolérable. Le bœuf s’avaria mais ne produisit pas cette odeur intolérable qui caractérisa le porc. Quant au mouton, une faible putréfaction seulement se manifesta après trois semaines.



Lettré (professeur de pathologie à Heidelberg, Allemagne occidentale) effectua des
expériences sur la thérapie des cellules vivantes et montra, à l’aide de tissus animaux marqués radio activement et provenant de glandes et d’organes, que les produits de la décomposition des tissus, après absorption dans le corps, migraient d’une façon générale vers le milieu biologique auquel ils appartenaient.



Ceci a pu être confirmé expérimentalement. Des patients ayant consommé de grandes quantités de bacon (produit du dos du porc) montraient des bourrelets typiques de graisse à l’arrière du cou. Ce fut le cas aussi pour des patients qui consommaient du bacon provenant de la zone gastrique du porc: ils présentèrent de gros nodules de graisse dans leur région stomacale.



Les personnes qui consomment du jambon, spécialement les femmes, sont l’objet de déformations irrégulières dans les régions de la croupe et des hanches, sans toutefois réaliser que le jambon en est la cause.



5-      Le porc est riche en hormones de croissance qui sont généralement considérées comme la cause principale de l’inflammation et de l’hypertrophie des tissus. La consommation de porc est aussi responsable, dans une certaine mesure, d’influencer l’acromégalie, ou l’hypertrophie pathologique du menton et d’autres parties proéminentes du squelette, de favoriser leur adiposité ainsi que leur croissance anormale. Ceci est particulièrement vrai lors de l’évolution cancéreuse de tissus lésés par un précédent traitement toxique (probablement chimiothérapique).



Étant donné que le cancer peut être provoqué expérimentalement sur des animaux en laboratoire, comme ce fut le cas avec le lard, il devint de plus en plus évident qu’après la réforme monétaire allemande, les patients âgés de 60 à 70 ans qui y étaient prédisposés furent rapidement frappés par le cancer parce qu’ils avaient alors la possibilité de prendre souvent de rapides collations à base de lard fumé. Ce dernier contient non seulement du cholestérol (et, selon Roffo, la matière première des membranes des cellules cancéreuses) mais il contient aussi les hormones de croissance grâce auxquelles le développement du cancer est stimulé, sans oublier le benzopyrène
— un constituant de la fumée — qui est typiquement considéré comme carcinogène (poison cancérigène).


                  
6-      Viennent ensuite les effets irritants de la peau produits par l’histamine du porc.



Ces irritations sont souvent accompagnées de processus inflammatoires tels que boutons et furoncles, ainsi que d’inflammations de l’appendice, troubles de la vésicule biliaire, phlébites, leucorrhées chez les femmes, abcès et phlegmons. L’histamine peut aussi être responsable de maladies épidermiques telles que l’urticaire, l’eczéma, les dermites, les neurodermites, ainsi que d’autres dermatoses.



Des cas d’urticaire chronique chez des patientes âgées ainsi que chez de jeunes enfants répondent très bien au traitement homéopathique d’apis 12 X et de Sulfur 30 X mais ils résistent opiniâtrement chez les patients âgés, particulièrement chez les femmes qui mangent du porc.



Ceci fut tellement probant que, tant pour guérir l’urticaire que pour prévenir toute
récidive, le traitement devait absolument inclure un régime complètement exempt de porc et excluant aussi toutes les variétés de saucisses car toute espèce de saucisse contient du porc sous l’une ou l’autre forme (à moins qu’elles ne soient spécifiquement garanties être exemptes de porc).



Le degré d’inflammation ou de démangeaison dû à la consommation de porc dépend de la teneur en histamine et en imidazoles telles que l’ergothionéine qui déclenche le processus inflammatoire. On peut également le démontrer de façon expérimentale. En injectant de l’histamine dans l’organisme, des ulcères gastriques peuvent être
provoqués expérimentalement, de même que des irritations épidermiques, inflammations et divers désordres allergiques tels que l’asthme, le rhume des foins, la rhinite vasomotrice et l’arythmie cardiaque, voire même l’infarctus myocardique. Dès lors, les personnes des catégories à haut risque ou les patients aux antécédents cardiaques devraient toujours s’abstenir de consommer tout aliment contenant du porc.



7-      Un autre facteur de stress rencontré chez le porc est un certain élément du sang que les recherches n’ont pas pu complètement définir jusqu’à présent. On s’y réfère en tant qu’agent oncogénique (Nieper), endobiont (Enderlein), ou siphonospore polymorphe (Von Brehmer) ou inclusion érythrocitaire (Scheller). Il reste encore à déterminer si et jusqu’à quel point ces divers facteurs sont identiques ou si, dans le cas de cancer, ils devraient être considérés comme amorces, c’est-à-dire comme des facteurs étiologiques tels qu’envisagés dans les recherches de Speransky (Russie) ou simplement comme des indicateurs ou des repères.



Le sang du porc est très riche en inclusions sporifères qui, d’après des travaux récents,
doivent être considérées comme des mitochondries migrantes (à partir de cellules lésées) ou mourantes.



8-      Un autre facteur toxique très important du porc est le virus de l’influenza qui, selon Shope (professeur à l’Institut de Londres pour les recherches virales) reste virulent dans les poumons du porc. Le porc étant employé dans les saucisses, hot-dogs, etc., ces organismes sont toujours présents dans ces produits, transmettant ainsi le virus grippal par ingestion. Ces organismes migrent alors vers leurs origines biologiques (suivant Lettré) qui, dans ce cas, sont les tissus conjonctifs des poumons. Ils y restent à l’état de veille jusqu’au moment où les facteurs de propagation sont favorables, comme au printemps par exemple, lorsqu’il y a carence en vitamines, faible insolation, etc. Lorsqu’une épidémie grippale frappe, elle semble être exclusivement provoquée par une contamination aérienne mais, en réalité, elle est partiellement due au virus absorbé lors de consommation porcine.



N’oublions pas la fameuse épidémie de grippe qui a suivi la Première Guerre mondiale.



La mortalité qui résulta de cette épidémie fut plus importante que toutes les pertes en vies humaines enregistrées au cours de la guerre elle-même. Cette épidémie fit particulièrement des ravages dans la population allemande. À l’époque, les Allemands affamés étaient nourris avec du bacon américain, très abondant dans les premiers envois.



On a observé que, pendant de nombreuses années, ces épidémies de grippe survenaient après la consommation de porc.



Ce fut le cas, par exemple, lorsque de grandes quantités de bacon canadien furent envoyées en Allemagne, après les abattages d’hiver. Ce bacon fut ensuite consommé par la population et c’est alors que la grave épidémie de grippe se déclencha vers janvier/février.



Il faut remarquer que les épidémies de grippe sont pratiquement inconnues dans les pays musulmans où le porc n’est pas consommé.



Il faudrait aussi remarquer que certaines épidémies de grippe peuvent provenir de la
consommation de viande chevaline qui, elle aussi, peut être contaminée par un virus grippal. Au Moyen Âge, quand l’autopsie était légalement interdite, les étudiants en médecine se servaient de porc pour leurs études. C’était très pratique pour l’étude anatomique, vu les grandes similitudes organiques. Il est bien connu que même la peau des porcs domestiques présente de nombreuses similitudes avec celle de l’homme. La similitude entre la chair porcine et la chair humaine rend possible de faibles échanges
biochimiques de composants. Ceci est particulièrement applicable à la thérapie par les cellules vivantes de Lettré qui indique que des grosses molécules et des peptides migrent vers leurs zones d’apparentement biologique. Ainsi s’établit, par l’intermédiaire de la consommation de porc, un remplacement de tissus conjonctifs humains, fermes, par les éléments muqueux d’origine porcine. C’est pourquoi la consommation de porc étouffe progressivement les tissus conjonctifs par du mucus; de plus, ils sont tellement enrichis de graisses que quelqu’un dont l’alimentation est constituée essentiellement de porc ressemble bientôt extérieurement à la forme de l’animal qu’il a mangé.



Nous connaissons tous le dicton: « Vous êtes ce que mangez



Nous devrions mentionner ici les incidents de la scrofule chez les enfants, maladie
caractérisée par des inflammations glandulaires chroniques par lesquelles les glandes s’atrophient et peuvent entraîner la formation de fistules. Alors, de même, de petits nodules glandulaires peuvent se former, spécialement dans le cou, ce qui fait réellement ressembler l’enfant à un goret. Ce nom indique probablement la cause de cette maladie provoquée par la consommation du porc. Les défenses du corps sont particulièrement dirigées contre la graisse du porc. Celle-ci, par sa désagrégation dans les intestins et par sa resynthèse, est introduite dans les vaisseaux lymphatiques vers les glandes lymphatiques de la poitrine et atteint finalement le canal thoracique (ductus thoracicus). Il y a alors passage dans la veine cave supérieure.


La surcharge, spécialement des glandes lymphatiques, par la filtration et la détoxication des facteurs lipotoxiques (mélange graisse-mucus) contenus dans la graisse de porc, est conservée dans le tissu conjonctif comme « graisse caractéristique » après désagrégation dans les intestins et se manifeste par une inflammation des ganglions lymphatiques. Ceci correspond donc à une intensification de toutes les fonctions physiologiques:



Par exemple, hypertrophie et œdème des glandes, douleurs et fièvres, suppuration, formation de fistules combinée à des irritations épidermiques, eczémas et affections similaires en relation possible avec la constitution hydrogénoïde, qui présente une sensibilité remarquable à l’humidité et au froid, semblable à celle très courante de la diathèse exudative entrevue au début.



Apparemment, un régime peu diversifié (peu de légumes, rareté de vitamines alimentaires) a certainement joué un rôle favorable dans l’apparition de la scrofulose. On
observa couramment, dans les premiers stades de la scrofulose, des coliques ombilicales, des adénopathies mésentériques ainsi que des adénopathies hilaires avec transition possible vers la tuberculose. Cette tuberculose des ganglions hilaires peut se manifester notamment après la suppression de la fièvre. Avec le temps, spécialement après le traitement des refroidissements aux salicylates, aux pyrazolones et autres fébrifuges, ces soi-disant « infiltrats easinophibes », des apex pulmonaires peuvent être observés et, après la survenue de cette phase d’imprégnation (en vicariance régressive, selon l’homotoxicologie), il y a passage à la phase de réaction avec cavités tuberculeuses, ensuite à la tuberculose évolutive, au travers de laquelle la couche toxique complète essaye de se désintégrer.



La bactérie tuberculeuse, parasite des cavités, peut alors être détruite allopathiquement par la streptomycine entre autres, sans que la « couche toxique » responsable soit prise en compte, ce qui, d’un point de vue biologique, est la chose essentielle. Il n’avait jamais été envisagé qu’il puisse s’agir d’une pathologie d’origine alimentaire.
Traitée par thérapie non biologique, au sens de pathologie iatrogène, elle peut être incluse dans les maladies chroniques.



L’Allemand Gustav Nagel, bien connu au cours de la première décade du XXe siècle comme « apôtre de la nature », vivait en parfaite harmonie avec les lois de la nature, par un régime à base d’aliments complets. Par cette méthode, il fut à même de se soigner lui-même d’une tuberculose des poumons progressive et fatale. Il s’agit ici d’un exemple typique de la réalité des poisons alimentaires dans le développement des maladies.



Il existe encore d’autres dangers issus du porc. Souvenons-nous qu’un porc engraissé pour la boucherie n’est à l’origine qu’un petit porcelet pesant quelques livres seulement à la naissance et qu’en un ou deux ans, grâce à des quantités importantes d’hormones de croissance, il est prêt pour l’abattage avec un poids de plusieurs centaines de livres. Un tel animal a peu de muscles, des petits os et une abondance de tissus conjonctifs, graisse, sang et organes. Presque chaque centimètre du porc est employé par le boucher en préparations alimentaires. Par méthodes spéciales de traitement, il est transformé en diverses portions appétissantes pour la dégustation. Donc, quiconque est accoutumé à manger du porc en devient dépendant dans une certaine mesure.



Au sujet de la mise en œuvre de cette dépendance, W. Hoffman, psychiatre allemand,
signale que tous les symptômes de la dépendance existent chez les consommateurs de porc. Ces personnes trouveront toutes les excuses possibles pour manger du porc. Elles rejettent toutes lésions ou maladies que le porc peut occasionner et trouvent toutes les raisons possibles pour en consommer, agissant d’une manière analogue aux fumeurs et aux alcooliques.



Parmi ceux qui ont rompu leur dépendance vis-à-vis du porc, on note que le porc prend un caractère désagréable, répulsif et même nauséabond, qui le rend intolérable et même difficile à consommer, exactement comme le non-fumeur se sent agressé par l’odeur d’un cendrier sale le matin.



Bien que l’étude n’ait pas été complètement approfondie, il ne fait aucun doute que les hormones sexuelles du porc, spécialement l’hormone sexuelle androgénique du verrat, joue un rôle important dans la détermination de la qualité de la viande porcine. Les verrats sont toujours castrés plusieurs semaines, voire quelques mois avant l’abattage (extirpation des testicules), sinon la viande serait invendable à cause de l’odeur. Pour cette raison, les hormones sexuelles doivent être considérées comme agents cancérigènes; mais, comme signalé précédemment, cet aspect n’a jusqu’à présent pas été complètement étudié.



Les porcs ne vivent pas vieux en raison tout d’abord de leur âge biologique qui est limité à quelques années. De plus, ils ne peuvent vivre au-delà de six ans comme reproducteurs car, dès lors, des signes de cancer sont inévitables. D’une façon générale, le porc est un animal très malade, ayant peu de muscles, de petits os, mais abondamment pourvu en tissus conjonctifs muqueux et gras, souffrant de dégénérescence graisseuse du myocarde et du foie avec hydropisie possible; tous ses tissus conjonctifs et ses organes lymphatiques, y compris les facteurs hormonaux irritants et toxiques, sont absorbés lorsqu’on le mange, permettant ainsi le développement de facteurs de stress.



Voilà où se situe le grand danger du porc. L’organisme humain est incapable normalement de traiter les excédents de graisse: cholestérol, hormones de croissance, substances muqueuses hypertrophiantes et autres facteurs toxiques, malgré un riche apport vitaminé (par le processus de combustion). Il est de même incapable de les éliminer dans les phases physiologiques d’excrétion, même lorsqu’il est engagé dans un travail physique épuisant.



Voilà où l’homotoxicologie a apporté une solution spécifique au problème des effets
réellement nuisibles du porc. Le porc ne peut être détoxiqué physiologiquement par les voies d’excrétion détoxicantes habituelles telles que l’urine, la respiration, les sécrétions intestinales et les sécrétions épidermiques; donc, il ne peut être éliminé par les mécanismes excrétoires. Les seuls moyens de détoxication restent les excrétions pathologiques, notamment les inflammations.



En conséquence, les différents désordres pouvant apparaître sont relatifs aux types
d’organes et aux tissus conjonctifs consommés. C’est spécialement vrai pour les troubles de la vésicule biliaire avec formation de calculs biliaires (cholestérol), coliques hépatiques et inflammation aiguë de l’appendice (appendicite) dont les gens sont victimes, ainsi que pour les thromboses et les embolies.  La couche toxique augmente avec la consommation de porc et n’est pas éliminée par l’ablation chirurgicale de l’organe affecté (appendice par exemple). D’autre part, si de petites quantités de porc seulement sont consommées, l’inflammation peut ne pas se manifester immédiatement, mais une mise en réserve des particules du porc est probable (c’est particulièrement vrai pour le mucus et les graisses) dans les tissus conjonctifs où ils sont perceptibles sous forme de graisses ou d’adiposités: par exemple, rouleaux de chair sur l’abdomen et même éventuellement sur les bras et les jambes. Ceci se vérifie spécialement pour les gens qui apprécient surtout le jambon et les saucisses.



Ce n’est que lorsque la « limite est dépassée » et que l’organisme ne sait plus emmagasiner ces facteurs perturbateurs, lorsque la circulation périphérique et la circulation du cerveau sont affectées, qu’en dernier ressort il provoquera des inflammations destinées à enrayer ces facteurs de stress. Les personnes qui sont donc atteintes d’épaississement du cou développent de dangereux furoncles, boutons et abcès des glandes sudoripares. Souvent et généralement après l’absorption de mets contenant du porc, de dangereuses crises d’appendicite, des coliques hépatiques, des
calculs biliaires et autres troubles du circuit biliaire (cholangie, cholecystite, empyème de la vésicule biliaire) surviennent, comme on l’a déjà mentionné.



L’ulcère de la jambe (ulcer cru ris) est typiquement reconnu comme la conséquence de la consommation de pieds de porc. En regardant la séquence des faits, ces ulcères peuvent souvent être considérés comme l’ultime tentative du corps pour se dégager, par la valve mésenchymoteuse, de l’inflammation qui menace souvent de se transformer en cancer au sein des tissus conjonctifs. Par cette phase de réaction, le poison est ainsi évacué du corps par ces ulcères de la jambe. ------------------------------------------(4)



Quand ces ulcères sont traités de manière forte au moyen de cautérisations et de solutions de teintures sans recours à un changement radical de régime (exempt de porc), alors le développement du cancer est presque toujours inévitable. Ceci est particulièrement vrai en cas d’affaiblissement subséquent à des troubles antérieurs (au sens de «locus minoris resistentia») ou lorsque des facteurs de stress psychiques ultérieurs se présentent. Ces associations ont été mentionnées précédemment.



Quand la consommation de porc est régulière, parce que le cartilage devient mou et s’atrophie sous le poids du corps, la matière cartilagineuse humaine qui est ferme est remplacée par le tissu conjonctif muqueux du porc. Les résultats éventuels en sont l’arthrite et l’arthrose.



La consommation du porc enraye également la condition physique, la « tenue en forme ». Les athlètes professionnels en souffrent souvent à cause d’un régime incorrect. La graisse de porc est stockée au lieu d’être brûlée, ce qui les fatigue et les rend indolents, nonchalants et généralement incapables de poursuivre leurs activités préférées. Il se peut également qu’au cours d’une attaque grippale, une partie des matières muqueuses des poumons, empoisonnées par des lipotoxines, soit expirée et rejetée avec le virus.



Si tous les troubles aigus résultant de lipotoxines, particulièrement la leucorrhée (réaction de défense chez les femmes) étaient traités correctement d’une manière biologique, on obtiendrait une guérison complète, pour autant qu’une stricte prohibition de consommation de porc soit admise ultérieurement, et ces poisons issus du porc ainsi que les facteurs de stress seraient neutralisés et pourraient être effectivement éliminés du corps.



Malheureusement, dans notre civilisation hautement développée, c’est très rarement le
cas. De plus, la situation toxique qui se développe par suite de la consommation de porc n’est pas reconnue par la profession médicale et est, de ce fait, complètement ignorée. L’homotoxicologie prouve que toute maladie devrait être considérée comme une mesure
défensive contre les poisons et leurs méfaits. Donc, toute maladie doit être considérée comme un processus biologiquement nécessaire qui ne devrait jamais être supprimé, car elle exprime clairement que le corps essaye, par des excrétions inflammatoires, de revenir à un état de santé normal.



La non-observance de ce principe constitue un danger d’empoisonnement aigu qui se manifeste par une forte fièvre, la grippe, des angines, etc. Quand le processus de détoxication naturelle est interrompu au moyen d’une thérapie suppressive, une alternative d’empoisonnement peut se développer. C’est essentiellement vrai en cas de traitement par la chimiothérapie, les antibiotiques et leurs dérivés. Quoique ceux-ci détruisent certainement les germes, ils n’affectent pas les poisons causals, pas plus qu’ils ne les éliminent; en fait, l’activité du poison est accrue par les endotoxines bactériennes libérées des corps des bactéries fragmentées. Généralement parlant, en pathologie, les bactéries ne jouent pas le rôle d’initiateurs mais d’indicateurs (Speransky). Elles vivent en parasites (elles sont saprophytes) dans la zone d’inflammation où le porc ingéré se situe, atténuant l’action du poison, agissant ainsi en aides.



Utiles.



Elles indiquent simplement quel type de poison est présent en permettant leur
reproduction, par exemple, une croissance homotoxique favorable aux streptocoques,
staphylocoques, pneumocoques, etc. C’est le porc ingéré qui offre les meilleures occasions de croissance aux bactéries et aux virus (de la grippe par exemple). Habituellement, les personnes qui ne mangent pas de porc ne souffrent pas de grippes
virales!



À cause d’emploi chronique d’agents chimiothérapiques et de médications
acétylsalicyliques, etc., la grande majorité des gens d’aujourd’hui n’ont aucun support défensif hautement actif. Des mesures spéciales d’hygiène devraient être observées. Tout devrait être mis en œuvre pour renforcer les organes de défense (le système immunitaire principal). On y parvient par une thérapie stimulative biologique, ainsi que par un régime biologique et un mode de vie corrects.



Lorsque ces attitudes correctes et adéquates sont ignorées, nous trouvons alors les pernicieuses conséquences de la consommation de porc ainsi que la raison pour laquelle tant de jeunes existences sont détruites. Invalidités, maladies et cancers ont été les conséquences d’un traitement chimique d’excrétions ou d’inflammations abdominales ainsi que d’inflammations rénales, thromboses et embolies postopératoires.



L’ablation de l’appendice élimine certainement l’inflammation. Mais dans ce contexte,
l’appendicite agit comme processus de détoxication et s’efforce d’éliminer les poisons du porc (lipotoxines) par une réaction lymphatique. Malheureusement, ce trouble ne peut être abandonné à lui-même sans risque de très sérieux effets secondaires. En conséquence, on peut devoir faire appel à la chirurgie. En toutes circonstances, un traitement biologique devrait toujours accompagner l’indication chirurgicale: par exemple, en employant des antipus BHI, des comprimés « inflammation et lymphe », de manière à neutraliser l’activité du poison en utilisant aussi le propre système défensif du corps.



La même chose s’applique aussi aux menstruations généralement caractérisées par une
odeur fade particulière, analogue à celle du porc fraîchement abattu, ou aux furoncles et abcès des glandes sudoripares qui, par leurs éruptions, agissent d’une manière détoxiquant. Dès lors, toutes les autres éliminations, pathologiques ou non, ne devraient jamais être supprimées. Autrement, le corps souffrirait des effets de ré empoisonnement, déplaçant ceux-ci vers une phase pathologique dangereuse, dénommée « vicariance » progressive.



Un bon exemple en est donné par la suppression des abcès des glandes sudoripares par les rayons X. Ce traitement provoque souvent une rectocolite ulcéro-hémonagique, ce qui est une ulcération dangereuse du gros intestin. Le même principe s’applique aux diarrhées supprimées chimiquement. L’intestin est un grand tube dans lequel tous les poisons sont séparés et évacués naturellement. Des médications biologiques stimulatrices, telles que les comprimés BHI pour diarrhées, comprimés BHI pour inflammations, comprimés BHI antipus, devraient être utilisées comme traitement, car elles sont très efficaces et n’entraînent aucun effet secondaire.



Il est bien évident que la viande de sanglier, ou porc sauvage, est tout aussi toxique que celle du porc domestique, quoique, d’une manière générale, elle contienne moins de graisse que celle du porc domestique. Il est reconnu par tous les chasseurs que le sanglier doit être débité immédiatement après avoir été abattu, ceci par contraste avec le daim et les autres animaux sauvages. Agir autrement verrait se développer avec certitude un « mauvais goût » de la viande ainsi que d’autres propriétés toxiques.



Généralement parlant, la dose de poison, qui est la cause de toute maladie, devient plus ou moins forte par la consommation de porc. Ce qui prédispose fondamentalement le corps à une large variété de maladies.



Toutes les personnes informées sur les homotoxines, c’est-à-dire les docteurs employant des méthodes biologiques antihomotoxiques, peuvent, avec l’aimable collaboration du patient et par un mode de vie adéquat et une diététique biologiquement correcte (sans aucune ingestion de porc), enrayer plusieurs effets primaires et les troubles secondaires causés par les lipotoxines en prescrivant des traitements avec préparations appropriées (telles que disponibles en BHI, remèdes homéopathico-biologiques).



L’histoire réelle, quoique répugnante, d’un hôpital durant la dernière guerre mondiale devrait être mentionnée.



Un enclos de porcs était situé dans son voisinage. On les y nourrissait avec le surplus de l’hôpital et, au moins une fois par mois, un porc était abattu pour fournir un complément bienvenu aux rations. À proximité de l’enclos se trouvaient des trémies qui recevaient les pansements imprégnés du sang et du pus des blessés. Tout ceci était habituellement brûlé une fois par mois dans la cour de l’hôpital. Un beau jour, les porcs s’enfuirent et renversèrent les trémies contenant ces bandages et on les découvrit mangeant les pansements ainsi que les autres détritus. Dès ce moment, pour des raisons de commodité, les pansements ne furent plus brûlés mais donnés aux cochons comme nourriture, créant ainsi le cycle parfait du poison. Et ainsi, les patients de l’hôpital, dont la plupart étaient atteints de blessures par balle fistulisées, recevaient maintenant, avec leurs porcs toxi-saturés, un stimulus supplémentaire à leurs suppurations. Le porc qui agit comme facteur suppurant, même sans être nourri de pansements contaminés par des toxines, ne servait qu’à l’aggravation de l’état des patients.



Donc, que la souffrance soit due aux points noirs, à l’acné ordinaire ou à une plaie par balle, il faut imposer une interdiction formelle de toute consommation de porc, incluant le jambon, le lard, les saucisses, le salami, les saucisses blanches (frites dans la graisse de lard) et les saucisses de foie de veau (qui contiennent un pourcentage élevé de graisse de porc). On raconte aussi fréquemment l’histoire du « paysan rayonnant de santé » qui, malgré sa grande consommation de porc, n’est jamais malade. Une enquête scientifique, réalisée sur plusieurs années, a clairement prouvé qu’il ne s’agit que d’une bonne blague.



Cette enquête prouve, au contraire, que les populations rurales, en dépit de leur « bonne mine », ne sont pas des privilégiés de la santé, bien au contraire, et cela est dû de toute évidence à leur consommation chronique et continuelle de porc. Pendant qu’il pratiquait, l’auteur visita une famille de paysans dans leur ferme éloignée. Le père souffrait d’arthrose chronique, de coxite ainsi que de troubles hépatiques. La mère avait des ulcères chroniques à la jambe et de l’eczéma variqueux qui lui provoquait de grandes douleurs. Une fille souffrait de troubles cardiaques, de rhumatisme articulaire aigu après angine. Le fils en meilleure santé souffrait aussi de troubles cardiaques postangineux et d’éruptions. Une autre fille avait eu ses amygdales enlevées et, depuis lors, elle était atteinte de bronchite chronique et suspectée de bronchectasie. Un autre fils encore souffrait de pleurésie chronique avec cicatrices suintantes et des ulcères suintants répétitifs.



Des situations analogues furent observées par l’auteur chez des familles paysannes de la Forêt Noire en Allemagne occidentale ainsi que dans les vallées voisines. Ayant pratiqué dans cette région pendant plus de dix ans, il lui est permis de porter un jugement professionnel. Pendant plus d’une heure passée en consultation avec la famille susmentionnée, une truie adulte se tenait sous un vieil arbre, se frottant sans cesse et avec grande satisfaction contre une branche cassée. L’auteur le fit remarquer à ses patients en disant: « Voyez-vous ce porc là-bas? Toutes les matières inflammatoires et irritantes qui l’obligent à se gratter sont consommées lorsque vous mangez du porc. Ces substances appelées composants histaminiques sont la cause de toutes les maladies pour lesquelles je suis venu vous voir et vous traiter. »



Il est maintenant évident que, malgré un prix apparemment moins coûteux que d’autres, la viande de porc est en réalité la plus coûteuse. Si l’on considère les nombreux troubles graves qu’il provoque et les décès qui en découlent, quoique non reconnus officiellement (et dont personne ne se soucie), ce fait devient clair comme du cristal.



Même en ne prenant pour exemple qu’une inflammation de l’appendice, qui est généralement reconnue trop tard, après une apparition possible du processus vermineux dans l’estomac (dû à l’absorption de saucisse de porc fraîche, de charcuterie, etc.) et spécialement en cas de dommages causés par les maladies et les soins donnés par des thérapeutiques très puissantes ou même par l’invalidité précoce qui est issue de ces facteurs, le porc ne sera certainement pas la moins coûteuse des viandes mais la plus chère.



D’un point de vue commercial, une stricte prohibition de la consommation du porc par chacun n’est pas seulement justifiable mais elle est même requise par les restrictions financières inévitables que subit le service de santé. Cependant, les résultats bénéfiques d’une telle mesure raisonnable n’aurait pas un effet immédiat mais graduel, de même que la prohibition concernant la consommation de porc décrétée par Mahomet dans les versets du Coran n’eut pas d’effet immédiat mais fut remarquable au cours des siècles suivants. De plus, la prohibition du porc imposée par Moïse aux juifs leur a donné une constitution de qualité avec le résultat que, comme « peuple choisi », ils ont accompli d’importantes réalisations culturelles et industrielles.



Il est intéressant de noter que la famille paysanne de la Forêt Noire ainsi que de nombreuses autres familles paysannes, grandes et petites, de cette région ont en temps opportun suivi le conseil que je leur avais donné. Non seulement ils n’ont plus mangé de porc, mais ils ont vendu leurs porcs et les ont remplacés par des moutons, comme dans les régions islamiques. Dans les autres parties du monde, l’homme peut espérer une vie biologique de 150 ans. Dans certaines régions du Caucase ainsi qu’en Turquie, où l’on ne mange pas de porc, dans d’autres régions islamiques où le climat est moins sévère, on rencontre des personnes âgées de 130 à 150 ans. Elles sont en excellente santé et encore actives (par exemple, les Hunsa).



Des problèmes apparemment sérieux sont rencontrés dans le traitement des différentes viandes à cause des altérations de leur qualité. De nombreuses variations sont perçues particulièrement dans la viande de porc qui, par des méthodes d’élevage introduites au cours des dernières années pour augmenter l’engraissement et plus particulièrement la viande (aux dépens de la graisse), créent beaucoup moins de résistance et une tendance au stress. On estime que, parmi tous les porcs abattus en Allemagne, 20% environ ont une viande pâle aqueuse (P.A.) et 5 % environ ont une chair foncée visqueuse (F.V.). Toutes deux ont la même cause biochimique et sont le résultat d’une modification du facteur pH. Cette variation a une grande importance dans la qualité de la viande car les principales phases de traitement de la viande sont tributaires du pH, par exemple l’hydrolyse (désorption de sel, coloration), le goût et la conservation.



Les processus biochimiques qui se développent au cours des premières vingt-quatre
heures après l’abattage déterminent l’acidité de la chair musculaire. En cas de stress avant l’abattage, ce qui est presque toujours le cas (à cause du transport, etc.), d’énormes quantités d’adénosine triphosphate et de glycogène sont rapidement catabolisées au sein des tissus musculaires des animaux émotifs. On considère que l’acide lactique des animaux P.A. est passé des cellules musculaires dans le flux sanguin avant l’abattage, augmentant ainsi le facteur pH de la viande. Cependant, chez les animaux F.V., l’acide lactique reste dans la chair de sorte que le facteur pH est moins élevé (c’est l’audification). Normalement le facteur pH est, au moment de la mort, de 7,2, tandis que, six à dix heures plus tard, un pH final de 5,4 à 5,8 est atteint.



Avec le bœuf, le facteur pH atteint 5,3 à 5,7 après 12 à 24 heures. Avec les viandes F.V.
le pH descend à ces valeurs au cours de la première heure à cause d’une précipitation de la glycolyse. La viande présente dès lors des propriétés hydrophiles faibles et une coloration pâle à cause de la surface humide. Ce changement de coloration est purement optique car la couleur des muscles n’a pas été atténuée.



D’autre part, la glycolyse, en relation avec la production d’acide, dans le cas des viandes
P.A. est tellement retardée que le facteur pH descend rarement en-dessous de 6,2. Ainsi, la qualité de la viande est considérablement réduite. À la découpe, elle paraît sèche, plate, visqueuse, rouge foncé, et elle a une propension supérieure à la moyenne de se combiner avec l’eau.



Il s’agit alors d’un porc qui n’est pas à point ou qui ne l’est pas suffisamment; il ne
convient donc pas pour les saucisses ou le jambon cru mais uniquement pour les saucisses cuites, les jambons cuits et les viandes grillées. Avec ces viandes P.A., les produits cuits et en saumure sont plus tendres et plus juteux. De plus, ces viandes P.A. absorbent moins de sel en saumure et l’odeur ainsi que le goût acide des viandes « à point » sont inexistants. Cependant, elles ne peuvent être conservées aussi longtemps et, dans le cas de produits préemballés, des signes de putréfaction se manifestent souvent. Il existe de ce fait une sérieuse menace contre la santé à cause du taux élevé des bactéries présentes.



Malgré l’importance et l’intérêt de cette recherche sur la viande, elle reste dans le domaine des technologies physicochimiques au même titre que les calculs des calories. Les conséquences pathogéniques réelles et celles dépendantes des transferts biomoléculaires des constituants et leur incorporation dans l’organisme humain n’ont donc pas été convenablement traitées et une part des responsabilités relève de considérations économiques telles que l’alimentation nationale, subsides et autres.



Approvisionnements des cantines et restaurants.



C’est une lourde responsabilité qui incombe en particulier aux restaurateurs, aux services traiteurs et aux cuisines collectives mais si, en bloc, ces personnes éliminaient l’usage du porc dans leurs menus, tout le monde en bénéficierait. En outre, les cuisines des restaurants devraient être informées d’éliminer toutes formes de porc de leurs plats tels que haricots et jambon, pois et jambon, carottes et jambon, poulet enrobé de lard, tranches de saucisses frites, ainsi que l’usage de saindoux bon marché (qui contient de grandes quantités de graisse de porc) puisque l’alimentation réellement saine est caractérisée par l’absence de porc. De nombreux restaurateurs et leurs cuisiniers admettent qu’en ajoutant du lard, du jambon ou des saucisses, ils rendent leurs mets plus savoureux. Cette fausse appréciation entraîne souvent la perte de leur « cuisine renommée ». Car, finalement, la clientèle ne mange plus où l’on offre un tel « ordinaire » puisque tous les plats ont à peu près le même goût à cause du porc qui y est inclus. Elle préfère les restaurants de qualité, où la nourriture est servie sous forme pure et naturelle, conformément au menu, sans addition de porc.



Les clients ne réclament pas du porc à outrance; ce fut peut-être le cas d’une majorité ignorante, mais ce n’est plus vrai de nos jours. Rapidement, ces insensés qui mangent de tout et n’importe quoi en payeront le prix par une mauvaise santé qui sera due au porc. Dès qu’ils comprennent, ils ne fréquentent plus les restaurants qui maintiennent l’usage du porc mais, en règle générale, ils essayent de s’accoutumer à un nouveau régime plus sain.



 Information générale et médicale.



Toute personne réfléchie, capable de lire intelligemment ses journaux, peut se faire une
idée — avant qu’il ne soit trop tard — des dangers réels du porc. Beaucoup s’imaginent erronément « qu’un peu ne peut nuire ». Si quelqu’un s’est abstenu strictement de porc pendant des semaines ou des mois et ensuite en consomme seulement une très petite quantité, celle-ci peut agir comme un véritable poison qui se manifestera avec évidence sur les points les plus faibles de sa constitution (loci minoris resistentiae). Ce fut le cas pour l’auteur, il y a quelques années.



Puisque l’étudiant, plus tard docteur, n’apprendra rien au cours de ses études
universitaires ou de son travail clinique dans les hôpitaux concernant les facteurs de stress du porc, sauf sa teneur incomparablement riche en calories, il n’y a que quelques docteurs compétents qui savent donner une information précise au sujet de ce problème diététique. De plus, si quelqu’un n’est pas sensibilisé par l’homotoxicologie et la subtile différentiation dans les changements de phase qui peuvent être observés après absorption de porc et ne sait pas comment l’interpréter (c’est-à-dire la formation d’abcès après implantation de cellules vivantes lorsque porc, lard, jambon, saucisses, etc., sont consommés), il deviendra probablement conscient plus tard de la signification biologique réelle ainsi que des dangers associés à la consommation de porc sous n’importe quelle forme. Lorsque, finalement, la véritable relation homotoxicologique entre la consommation de porc et la maladie sera admise, il s’en souviendra.



Conséquences et recommandations.



Il ne s’agit pas ici d’une théorie nouvelle concernant les effets néfastes de la
consommation de porc, mais d’une mise en évidence de ce qui ressort des lois de Moïse et de Mahomet ainsi que des résultats exceptionnels d’observation de patients, de la propre famille de l’auteur et de lui-même. À partir de ces résultats, il faut admettre que le nombre toujours croissant de maladies dues à la consommation de porc sous n’importe quelle forme est le résultat des transgressions des instructions religieuses données aux juifs et aux populations islamiques et est absolument justifié. Même sans le risque de trichinose qui peut aussi affecter les ours, les rats, les souris, les chiens, les loups et d’autres animaux, les facteurs de stress seuls inhérents au porc sont suffisants pour justifier amplement ces idées.



Heureusement, des restaurants de qualité existent dans toutes les villes, où une nourriture pure (c’est-à-dire exempte de porc) est préparée d’une façon naturelle et où, par exemple, les plats au fromage ne sont pas gâchés par l’apport de jambon.



Les restaurateurs observeraient rapidement une nette différence dans leurs profits, si les chefs d’entreprise évitaient leurs établissements, après avoir dégusté un plat spécialement recommandé qui contenait du porc sous une certaine forme et après s’être rendu compte que leurs malaises, calculs biliaires, inflammations de l’appendice, gains de poids inévitables, hypertension sanguine, stéatose hépatique et autres troubles effrayants, particulièrement l’arthrite et l’arthrose, étaient le résultat direct de l’ingestion de porc.



Il faut espérer que cet article aidera tous ceux qui n’ont pas encore été avertis des dangers de la consommation de porc à changer leurs habitudes diététiques et à exclure tout porc; ce serait un énorme progrès. Il ne s’agit nullement d’un régime diététique monotone mais, au contraire, d’un régime susceptible d’être à la fois plaisant et varié, en accord avec les exigences biologiques, qui aura comme résultats un apport réduit en graisse aussi bien qu’un effet positif sur l’état général de santé dont on peut jouir pendant de nombreuses années.



En conclusion de ces recherches, cet avis sûr peut être donné aux patients:



Évitez toujours de manger du porc, même en très faible quantité. Si vous avez évité d’en manger pendant plusieurs semaines, la consommation occasionnelle de faibles quantités de porc provoquera une mobilisation immédiate du système défensif du corps qui se traduira par des démangeaisons, inflammations ou douleurs aux points faibles du corps, troubles de la vésicule biliaire (coliques), appendicites, rhumatismes, etc. Il peut y avoir aussi d’autres inflammations ou signes précurseurs tels que fatigue, aggravation d’eczéma, irritation, dermatite. Tous ces symptômes sont occasionnés par la nature toxique du porc.



Dans tous les cas, de nombreuses maladies, avec les souffrances qu’elles apportent, peuvent être évitées, pourvu que vous éliminiez toute forme de porc en n’achetant que des saucisses et autres aliments qui en sont absolument exempts.



À partir du moment où vous observerez une stricte adhérence à un régime exempt de porc, vous commencerez à déceler quand vous aurez mangé de la viande porcine à votre insu, simplement à cause des effets qui se répercuteront sur votre santé.



Il faudrait constamment avoir en mémoire que la totalité du porc consiste en matières de
qualité inférieure, graisse, mucus, irritants, substances ichoreuses et autres qui provoqueront de l’inflammation ainsi que de dangereuses hormones qui, lorsqu’elles sont ingérées et absorbées au cours du transit intestinal, sont décomposées en ichor [pus sanguinolent]. Donc, le seul moyen d’éviter les maladies ichoreuses est d’informer vos patients d’observer une stricte élimination de toutes espèces d’aliments contenant du porc.  Bœuf, veau, mouton, volaille et venaison peuvent être également consommés sans hésitation.  Mais le lapin et le lièvre devraient être également évités.



Faites vous-mêmes la preuve de la véracité de cette information en vous abstenant de consommer du porc. Soyez votre propre critique et rejetez tous les arguments. Cette abstinence, en plus d’un traitement homéopathique et biologique joint à des méthodes naturelles telles que compresses, hydrothérapie, etc., vous rendra bientôt, ainsi qu’à tous les membres de votre famille, une meilleure santé. Les troubles survenant par la suite de la consommation non intentionnelle de porc seront rapidement guéris par ces moyens naturels, vu qu’ils permettent une réelle détoxication et une élimination de tous les poisons et facteurs de stress du porc. La guérison, suivant l’homotoxicologie, signifie se débarrasser des toxines et de leurs méfaits.



La santé, selon l’homotoxicologie, c’est être débarrassé des toxines et de leurs méfaits.



Ces principes fondamentaux éprouvés par le temps et basés sur les lois de la nature réclament une stricte prohibition de la consommation du porc par l’humanité entière. Ces lois ont été nettement démontrées dans les religions juives et islamiques et elles sont nécessaires dans notre monde occidental civilisé, et pas seulement pour éviter des frais énormes de soins de santé.








Résumé.



Le porc doit être reconnu comme un facteur essentiel contribuant à la maladie! Les substances toxiques du porc appelées lipotoxines provoquent la plupart des maladies chroniques et difficiles à traiter. D’après l’homotoxicologie de Reckeweg, ces substances de stress spécifiques sont intercellulaires et se présentent sous les formes suivantes:



Comme macromolécules du sang chargées de cholestérol dans les cas d’hypertonie, artériosclérose, pléthore, et dans les membranes des cellules cancéreuses (dénommées phases de néoplasme). Comme histamines et comme corps imidazoles dans le cas d’urticaire, herpès, dermatose, eczéma (provoquant des démangeaisons), amorçant des processus inflammatoires avec furoncles, boutons, suppuration, appendicite, cholangite, cholecystite, thrombophlébite et phlegmon.



Comme hormones de croissance en favorisant des tendances à la prolifération et à l’inflammation dans les cas d’adiposités, acromégalies, phases de néoplasme et d’hyperplasie.



Comme acides gras en cas d’hypotonie, de polycythémie.



Comme substances muqueuses, mésenchymateuses, riches en soufre (sucres aminés, acide hyaluronique, glucosamine et autres) en cas de myomalacie, arthrose, ostéochondrose, arthrite et rhumatisme.



Comme agents endogéniques.



Comme virus grippaux.



Dès lors, les symptômes pathologiques cités peuvent être complètement supprimés
uniquement par un traitement biologique, pourvu qu’une abstinence totale du porc soit observée.



Le professeur Hans-Heinrich Reckeweg a basé son étude uniquement sur le porc, mais il est certain que l’homme peut faire face à des maladies, des affections peut être différentes mais aussi désastreuses, en consommant d’autres animaux impurs comme le cheval, le lapin, les poissons impurs, les crustacés, les coquillages, etc. (cf. Lévitique 11 et Deutéronome 14).



Si vous souhaitez garder une bonne santé, vous savez maintenant quelles sont les instructions divines. À vous de les observer ou de les rejeter, c’est votre choix !



Fin du sujet.



Ne mangez pas les éboueurs de la planète.









                                 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire