vendredi 28 janvier 2022

MACRON : VOUS QUI DITES QUE ......

 


"Les leçons de moraline du tyran, Macro Minus 1er"

 

par Olivier Probst

 

‘L'arrogance précède la ruine, et l'orgueil précède la chute.’

 

Proverbe 16 : 18

 

Lien vidéo et 21 commentaires :

 

https://odysee.com/@olivierprobst:8/Les-lecons-de-moraline-du-tyran:a

 

Tout est dit dans ce film sur l'infernal paltoquet martyrisant son peuple. Il a été réalisé par Olivier Probst. Sur un texte écrit à la sulfateuse, on peut retrouver en bande originale :

 

Un concerto de Georges Delerue, "Hannibal" de Hans Zimmer, "Tout l'argent du monde", "One Hour Photo", "Batman" de Danny Elfman, "La vie des autres" de Gabriel Yared, "l'Empire du Soleil" de John Williams, "JFK" de John Williams, "Hostile" de Max Richter.

 

PS : Une erreur s'est toutefois glissée dans le film, l'auteur amalgamant Alstom et GE.

 

Lien vidéo :

 

« La 1ere mesure qu’a pris Hitler contre les juifs autrichiens suite à l’annexion de l’Autriche en 1938 ce fut de leur interdire de s’assoir sur les bancs publics… Voilà comment ça commence, par une mesure presque anodine ! »

 

"Les leçons de moraline du tyran, Macro Minus 1er" par Olivier Probst

 

https://www.facebook.com/objectifdefense/videos/470749384432928/

 

Ce blog est un blog d’analyse sur la société contemporaine et ses dérives totalitaires, au regard des œuvres visionnaires et dystopiques de Aldous Huxley et de Georges Orwell. Il sera question de propagande et de manipulation de masse à travers les médias, la télévision, l’art, le cinéma, la musique, de puce RFID, de nanotechnologies, de réseaux de pouvoir, de l’occultisme et du satanisme

 

Les leçons de moraline du tyran

 

https://1984aumeilleurdelimmonde.blogspot.com/2022/01/les-lecons-de-morale-de-macron.html

 


Les leçons de moraline du tyran,

Macro Minus 1ᵉʳ

 



Macron, vous qui parlez de “faute morale” pour les non-injectés… C’est sans doute le plus bel hommage que pouvait rendre le vice à la vertu.

 



VOUS qui depuis le début de votre quinquennat détruisez méthodiquement le pays en le dépeçant pour le livrer au rabais aux vautours et aux charognards de la haute finance, VOUS qui nous dépouillez de notre histoire, quand ce n’est pas pour lui faire injure… VOUS qui de félonie en trahisons nous avez privé de nos plus beaux fleurons industriels, de nos secteurs stratégiques nationaux comme Alstom ou les chantiers navals de Saint-Nazaire.

 



VOUS qui en bon Bankster qui se respecte, dénationalisez toujours plus la chose publique pour goinfrer et remplir les bourses des actionnaires du CAC 40, les "Black Rock" et autres "Vangard Group", en socialisant systématiquement les pertes et en privatisant les profits. Par voie de presse, on vous a annoncé en grandes pompes comme un jeune prodige, un "Président philosophe", mais que l'on ne s'y trompe pas, votre seule philosophie de vie se résume à la maximisation du taux de profit et à l'appât du gain détourné à l'avantage exclusif de quelques copains de coquins, à la loi du marché du plus fort, dans ce qui ne s'apparente plus qu'à un vaste marché de dupes. VOUS avez été mis en place par les ultras-riches pour mieux les servir et asservir les pauvres. VOUS êtes en quelque sorte l'antithèse de Robin des bois : vous redistribuez les richesses en pratiquant le ruissellement inversé de bas en haut par la captation de moyens de subsistance des plus pauvres. Ainsi, la suppression de l'ISF à rendu 3,5 milliards aux plus fortunés, tandis que la baisse des APL a retiré 3,7 milliards d'euros aux plus modestes.

 




VOUS qui de par votre indécent et somptuaire train de vie faites honte à votre fonction, avec vos caprices de petit poudré grand amateur de poudre de perlinpinpin, de Roitelet parvenu et toutes les extravagances décoratives de votre Pompadour de Brigitte, qui joue aux grandes Marquises en étalant en long et en large toute son indécence sur les couvertures glacées des magazines de la presse people de caniveau de la délinquante Mimi Marchand. Nous le peuple des gens qui ne sont rien, en avons soupé de vos délires esthétiques qui sont aussi douteux que votre sens de l’éthique… De la clinquante vaisselle dorée relookée en passant par la tapisserie moderne ou les tableaux criards signés par le dernier scribouillard tendance du tout Paris… Et que dire de vos fêtes de la musique, qui dénotent tant de par leur vulgarité et nous jouent une drôle de partition cacophonique, avec leur orgie de mauvais goût aux allures de bacchanales dignes d’un empire putride en pleine décomposition, ou des plus belles heures de Caligula… Toutes ces fantaisies coûtent entre nous, il faut bien se l’avouer, un “pognon de dingue” au contribuable, ou plutôt, au pauvre con qui vous verse son tribut ; Vous avez réduit la dignité de votre fonction présidentielle à une fonction pestilentielle.

 



VOUS qui cochez toutes les cases du pervers narcissique, avec votre égo démesuré, votre victimisation déplacée, avec le fossé abyssal qui sépare vos envolées lyriques stratosphériques, vos beaux discours enfiévrés et enflammés de la piteuse réalité objective du terrain, votre obsession maladive portée à votre petite personne, votre art consommé de la séduction, votre cruel manque d’empathie et votre égoïsme froid, votre langage pervers et manipulateur, votre façon bien malsaine de placer vos victimes en posture de faiblesse, ou encore votre volonté de brouiller les cartes pour nous faire perdre toute perception de la réalité… 

 

Nul doute que ce sont bien toutes ces “qualités” inhumaines, cette parfaite absence d’état d’âme et de scrupules qui vous auront distinguées et auront tout particulièrement séduit vos commanditaires pour vous propulser aux plus hautes fonctions étatiques afin de nous servir votre infâme politique méphistophélique… Car, pour reprendre les propos d’Alain Minc, qui est tout de même celui qui parle encore le mieux et avec le plus de franchise de votre brillant parcours à l'école du vice de la duperie, un « Banquier d’affaires, c’est un métier de pute !» De l'aveu même de votre ancien directeur à la banque d'affaires Rothschild, vous êtes rompu à l'art de la négociation et de la communication, autrement dit, à « raconter des histoires » en usant de techniques de manipulation de l'opinion publique.

 



VOUS aussi qui en douce avez lors de cette crise dite sanitaire fait euthanasier bon nombre de personnes âgées à coup de protocole “Rivotril”, en les privant de soins et d’affection, en les laissant s’éteindre entre quatre murs dans le désespoir de l’isolement, coupés de leurs proches, mais que l’on se rassure, avec les normes de distanciation sociale en vigueur rigoureusement respectées. Parce qu’il faut bien comprendre qu’en Macronie, on achève bien les petits vieux et leur bouches devenues inutiles au Grand Capital ; De toute évidence, beaucoup d’anciens ne sont pas morts de la Covid-19, mais tout simplement de désespoir, de solitude et de chagrin lié au sentiment d’abandon. La sociabilité jouant chez-eux de manière déterminante sur leur espérance de vie. Leurs familles ont juste eu l’insigne privilège de récupérer en guise d’adieu leurs derniers effets dans des sacs-poubelles. La grande classe au pays de l’humanisme et des droits de l’homme ! Quel bel hommage pour clôturer une vie de dur labeur…  Finalement, vous êtes toujours fidèle à votre ligne de conduite, à votre code du déshonneur, c’est-à-dire impitoyable en toutes circonstances avec les faibles, et faible avec les forts.

 



VOUS qui de surcroît avez fait bloquer les nombreux traitements précoces efficaces, sans risques potentiels et peu chers, comme l’Ivermectine ou l’hydroxychloroquine, pour nous imposer à marche forcée, quoiqu'il en coûte et en dépit du bon sens cette injection hasardeuse que l’on nomme abusivement à des fins de manipulation et de tromperie “vaccin”, cette obscure soupe chimique concoctée à la va-vite dans les chaudrons de Big Pharma, avec des effets secondaires potentiellement dévastateurs et qui a déjà causé un nombre de morts inédits dans toute l’histoire vaccinale ; Force est de constater que les seuls anticorps qu’il nous faudrait de toute urgence développer pour protéger notre corps social sont ceux visant à nous prémunir et nous immuniser de la corruption endémique de ce système manifestement vérolé jusqu’à la moelle !

 



VOUS qui en pleine “pandémie” avez continué à consciencieusement détruire l’hôpital public, en supprimant des milliers de lits (17 600 en quatre ans et 5700 en 2020), tout en soutenant et en promettant avec aplomb le contraire, en virant comme des malpropres tant de respectables soignants, en prenant bien soin de les laisser sans la moindre ressource, histoire de leur faire payer à la hauteur de votre orgueil leur effronterie et leur insoumission ! Ces mêmes soignants que vous avez dans un premier temps fait applaudir à tout rompre tous les soirs, de manière bien hypocrite pour mieux servir les intérêts de votre agenda et impliquer la population dans “l’effort de guerre”.

 



Avec le cynisme effroyable qui vous caractérise, VOUS avez désactivé ces malheureux dans la plus parfaite indifférence, comme on appuierait sur la touche “DELETE” d’un ordinateur pour effacer une variable d’ajustement… Désormais c’est clair, on l’aura compris, c’est votre modèle de société pour votre start-up nation : “la désactivation” ou la soumission, le “En marche” ou crève… Le seul crime de ses soignants réfractaires se résumant à ne pas vouloir se prêter au jeu du cobaye pour le bon plaisir des actionnaires de Big Pharma, en jouant à la roulette russe avec leur santé. 

 

Pourtant en toute logique, quand on ne traite pas délibérément les malades en interdisant formellement aux généralistes de prescrire, quand on ferme les lits d’hôpitaux et qu’on se débarrasse de bon nombre de personnel soignant, on ne peut alors décemment plus se plaindre de la saturation des services de soins et encore moins en reporter la faute sur une victime expiatoire, se défausser de son écrasante responsabilité et dévier les colères sur un bouc-émissaire tout trouvé : Le Non-vacciné… Mais associer décence et cohérence avec Macron, c'est peine perdue et cela relève de l’oxymore ; Somme toute, votre vision politique évoque celle de l’empereur Néron incendiant Rome au son de sa lire et faisant, en véritable pompier pyromane, une grande fournaise et un feu de joie de la cité…

 



VOUS aussi, qui par votre folle politique à prétexte sanitaire, faites depuis des mois maltraiter les enfants dans vos institutions, les plongeant au quotidien dans la terreur, dans un univers devenu toxique où à présent l’on apprend plus la socialisation mais la peur systématique de l’autre, en les culpabilisant à outrance de mettre en danger leur grands-parents… VOUSVOUS VOUS qui leur imposez le port quotidien de cette muselière, de ce grotesque torchon déshumanisant, aussi efficace qu’une passoire ne le serait pour retenir des grains de sable. Ce bout de tissu qui masque les sourires mais dévoile le vrai visage hideux de la dictature, cet uniforme de la conformité et du formatage précoce, qui les coupe de leurs émotions et éteint leur joie de vivre, qui réduit dramatiquement leurs capacités cognitives, de langage et d’apprentissage ;

 



C’est également vous qui d’ailleurs, hasard du calendrier sans doute, avez bien pris soin de faire interdire l’école à la maison, pour que ces pauvres enfants ne puissent surtout pas se soustraire à cet enfer, à ce cauchemar totalitaire, au prétexte d’éviter les dérives sectaires et le séparatisme pour finalement mieux leur apprendre à bien se distancier les uns des autres. Quelle cruelle ironie ! Mais dans ce climat anxiogène des plus délétères, votre école à la dérive n’aurait-elle pas, sous l’impulsion de ce virus à la folie hautement contagieuse, soudainement muté en la plus inquiétante des sectes ?

 



Une secte où l’on endoctrinerait en boucle avec la complicité de fonctionnaires par trop zélés à cette nouvelle religion mortifère de peur, à ce culte Covidiste irrationnel, jusque dans les manuels scolaires, dans les copies des élèves, ou dans les punitions de colle sanctionnant un port du masque jugé trop lâche, ou une furtive bouffée d’air pur prise à la dérobée. Une organisation sectaire, où comme dans toute bonne Dictature, l’on apprendrait dès le plus jeune âge la bonne soumission à l’ordre sanitaire, le sens du sacrifice individuel au nom de l’intérêt commun supérieur, l’abandon des droits au profit des devoirs, ainsi que le bienfait de la suspension des libertés fondamentales au nom de la sécurité de tous ?

 



VOUS toujours, qui vous vous entêtez maintenant à vouloir piquer nos gosses comme du bétail, en hypothéquant sur leur avenir avec ces produits de thérapie génique expérimentaux encore faut-il le rappeler en phase de test clinique de stade 3 et en autorisation conditionnelle de mise sur le marché, faute de traitements qui pourtant existent ! Autrement dit, sans avoir le moindre recul à moyen et à long terme, alors qu’ils ne risquent strictement rien de cette maladie, dont la virulence est actuellement rendue à celle d’un mauvais rhume avec le dernier variant en date “Omicron”, que vous nous aviez vendu comme une résurgence de la peste noire, mais qui pourtant se révèle n’être au final qu’une tempête dans un verre d’eau… Il s'agit donc rien de moins que d'impliquer nos enfants dans la plus radicale et la plus hasardeuse des expériences médicales jamais entreprises à une telle échelle.

 

VOUS, qui n’hésitez donc pas à sacrifier les plus jeunes sur l’hôtel des profits astronomiques de Big Pharma, ces enfants qui ont pourtant toute la vie devant eux afin de protéger les anciens, qui ont déjà bien vécu, une hérésie qu’aucune civilisation traditionnelle n’avait jamais osé faire auparavant ; Ce sont pourtant toujours, sauf dans votre monde de démon aux valeurs inversées, aux adultes de protéger les enfants, car ils sont notre seul avenir commun ! En somme, dans cette affaire, vous êtes une sorte de Docteur Folamour sans amour, qui serait conseillé par un quarteron de Docteurs Mabuses qui abusent des conflits d’intérêts.

 



À en juger par vos différentes interventions publiques depuis près de deux ans, on se demande si on a encore en face de nous un “Président de la République” et non pas un médiocre représentant de commerce à la solde de ces vendeurs de mort des labos pharmaceutiques. Un chargé d’affaires “Pfizer”, qui voudrait à tout prix nous refourguer, tel un vulgaire marchand de tapis, sa camelote de contrebande, allant jusqu’à se lancer en guise de tactique commerciale dans des placements produits sur la plateforme Tiktok pour appâter avec ses beaux discours en toc les plus jeunes dans une improbable opération séduction. Et que dire de votre pitoyable recours à vos deux acolytes de propagande du moment, les influenceurs YouTubers McFly et Carlito pour mieux servir aux d’jeuns votre soupe frelatée. Une bouffonnerie aussi affligeante que pathétique ! C'est dire en vous livrant à cette politique spectacle, ô combien vous méprisez et insultez l'intelligence des français. Mais il faut bien reconnaître qu’en matière de placement de produit, vous avez une expérience qui force le respect, puisque vous avez vous-même été propulsé à la tête du pays comme un vulgaire paquet de lessive estampillé “révolutionnaire” dans ce qui s’apparente à un coup d’État médiatique indécent, une vaste entreprise de lavage des cerveaux.

 



Oui, c’est bien VOUS, ce parjure sans vergogne qui n’a plus ni visage ni honneur, ce président fantoche, ce vil pantin de la haute finance qui de par ses incessants reniements ferait rougir de honte la marionnette Pinocchio, qui tout au long de cette crise n’a eu de cesse de nous trahir et de nous manipuler au dernier degré… C’est bien vous qui avez érigé le mensonge comme mode de Gouvernance et élevé l’hypocrisie au rang d’art. Force est de constater que de variants en variants, la seule chose qui reste invariable chez vous est votre propension innée aux mensonge éhontés. Vous êtes le champion incontesté du double-discours, de la double éthique à géométrie variable et de l'injonction paradoxale. Comble de l'audace, VOUS vous êtes érigé à la tête du Ministère de la Vérité, pour lutter contre les "Fake News", alors même que vous en êtes le roi incontesté.

 

De vagues en vagues, VOUS surfez sur les peurs et entretenez la terreur pour notre plus grand malheur, afin de toujours plus contrôler les esprits, de les plonger et les maintenir dans un état de sidération et de profonde hypnose. Pendant cette crise, la seule vérité qui sera jamais sortie du cloaque d’impureté qui vous sert de bouche reste encore sans doute votre fameux « Nous sommes en guerre », scandé à 6 reprises sur un ton martial. Manifestement avec le recul, il nous fallait interpréter cette déclaration d’ouverture des hostilités comme une guerre inédite de nouvelle génération, livrée non contre un virus inconnu et au final si peu létal, mais directement contre le peuple dans son ensemble !

 



Oui, c’est encore VOUS, ce narcisse à l’ego hypertrophié, cet individu puant de cynisme, animé d’une morgue et d’un mépris de classe totalement décomplexée, qui dispense avec un culot monstre ses leçons de moraline au bon peuple qui travaille et qui trime sans relâche, qui vous entretien au quotidien… Tout simplement indécent et obscène !

 



Oui Président, tenez-vous le pour dit, je vomis votre morale de pervers narcissique qui a le goût du soufre et du sang, ou plutôt votre absence totale de morale, votre nihilisme jusqu’au-boutiste. Je vous exècre à tout jamais, vous et votre misérable clique de sinistres, votre cour de parvenus sans cœur, ce cortège improbable d’opportunistes ambitieux, ce ballet insupportable de voyous et de vauriens, de suiveurs sans épaisseur, tout ce ramassis infect de médiocres, de sots et de sottes, de pieds nickelés arrogants, de saltimbanques insignifiants sans conscience ni consistance. Ils ne m’inspirent désormais plus que dégoût et profond mépris. Quelle humiliation et quelle grotesque et sinistre farce que de se voir dicter sa vie par un tel aréopage de clowns qui rivalisent de médiocrité ! Cela fait sans doute partie de l’impitoyable guerre psychologique qui nous est sans relâche livrée depuis maintenant près de deux ans. C’est bien simple, je n’arrive même plus à tendre fébrilement l’oreille pour les écouter afin de prendre connaissance de leurs derniers délires et aberrations totalitaires du jour, c’est au-dessus de mes forces. 

 

Interdiction formelle de manger des chips ou de boire dans un train, interdiction de boire debout dans un bar (puisque visiblement à en croire l’expertise de votre Conseil Scientifique, le virus ne circulerait qu’à hauteur d’homme) ; 

 

Interdiction de danser en boîte de nuit, mais possibilité de contacts intimes très rapprochés en clubs échangistes ;

 

Recommandation officielles d'ouvrir régulièrement les fenêtres dans les espaces confinés, mais obligation dans le même temps de porter un masque dès que l'on met le nez dehors ;

 

Port du masque en extérieur dans l’espace public finalement annulé car jugé inutile, mais pourtant maintenu et imposé en dépit du bon sens pour les enfants pendant leurs récréations, en extérieur ou même en plein effort physique lors des sessions de sport ; 

 

N’avoir strictement aucun symptôme, mais être tout de même considéré comme malade avec des tests antigéniques particulièrement douteux qui s’avèrent positifs avec de l’eau ou du jus d’orange et dont le résultat est d’après plusieurs témoignages particulièrement fluctuant en variant parfois d’une heure à l’autre sur la même personne ; 

 

Enfoncer les écouvillons des tests PCR de manière très intrusive jusqu’à une zone proche de la glande pinéale, alors que le moindre postillon de salive serait ultra contagieux et aurait un potentiel génocidaire méconnu ; 

 

Maintenir toutes les restrictions et les gestes barrières, malgré une vaccination massive annoncée comme efficace à 95% ; 

 

Forcer une vaccination basée sur la souche originale SARS-CoV-2 de Wuhan, obsolète de deux ans et largement inefficace pour prévenir des derniers variants en circulation comme le Omicron ;

 

L’Assemblée Nationale ou les meetings politiques sans pass, mais les concerts avec pass obligatoire ; 

 

Le personnel soignant vacciné testé positif autorisé à travailler, mais le personnel soignant non-vacciné viré sans ménagement et sans la moindre ressource ; 

 

Faire contrôler les pass vaccinaux par des policiers eux-mêmes non-vaccinés ;

 

Pass obligatoire pour tous, sauf pour le personnel politique ;

 

Imposer un pass vaccinal, alors que ces injections ne préviennent ni de contracter, ni de transmettre le virus, qu'elles ne protègent tout au plus que des formes graves, mais que ces formes graves ne sont plus d'actualité avec les derniers variants en circulation. En réalité il s'agit d'un simple outil d'extorsion du consentement pour une obligation vaccinale détournée et d'un biais pour habituer les usagers à produire systématiquement leur identité, de normaliser le contrôle social par l'identité numérique pour tous les gestes quotidiens de la vie.

 

J’en passe et des meilleures…

 

Dans ce grand délire collectif hystérique et contagieux, on marche littéralement sur la tête en habillant le tout d’un pseudo-vernis de logique et de rationalité scientifique pour mieux faire passer la pilule totalitaire. Personne n’est plus à sa place : 

 

Les politiques jouent aux médecins, tandis que les médecins se prennent pour des politiques ; 

 

Les plateformes de réseaux sociaux font de l’ingérence et de la rétention d’information et décident de la vérité scientifique en censurant toutes les voix alternatives d’experts qui ne vont pas dans le sens du narratif imposé par la doxa ;

 

Les commerçants et restaurateurs deviennent des auxiliaires de police ; Les professeurs d’école deviennent des commerciaux de l’industrie pharmaceutique ;

 

On demande aussi aux enfants d’agir comme des adultes responsables, tandis qu’on infantilise à outrance les adultes, pour qu’ils agissent et pensent comme des enfants, qu’ils régressent à un stade de dépendance totale vis-à-vis de papa État !

 

Toute cette folie maquillée en science donne le vertige et la nausée ! Plus de doutes, nous avons basculé en Absurdistan, dans le royaume d’Ubu, dans un asile psychiatrique à ciel ouvert dont on aurait confié les clés aux plus fous d’entre tous !

 



Macron votre France, c’est celle de l’injustice sociale, celle du deux poids dix mesures permanent, celle où les forces de répression sanitaires alignent sans état d’âme, pour faire œuvre de pédagogie, des clochards dans la rue avec des amendes de 135 euros pour une absence de port de masque ; C’est celle où l’on réquisitionne des forces de l’ordre pour organiser des descentes dans des cinémas afin de procéder à des contrôles sanitaires inopinés en pleine projection, pendant que dans le même temps les violeurs, les pédophiles, les voleurs, les petits malfrats et autres délinquants s’en donnent à cœur joie dans leurs différents larcins et trafics, le peuple étant pris en tenaille entre racailles technocrates du haut en col blanc et racailles du bas (les premières ayant à mes yeux, il faut le relever, un pouvoir de nuisance infiniment plus grand que les seconds) ; C’est le pays où, pendant le confinement, l’on envoie à grands frais patrouiller des hélicoptères de gendarmerie pour traquer et débusquer sur leurs sentiers de montagne d’éventuels randonneurs réfractaires au délire sanitaire ;  C’est le pays où l’on harcèle, fusil mitrailleur à la main, les braves gens qui ont le malheur de pique-niquer en plein-air à la plage, tandis que les élites qui sont bien au-dessus de tout cela, bénéficient de mystérieux passe-droits et festoient comme des beaux diables dans des restaurants clandestins ou se déchaînent dans des boîtes de nuit privées très select à 300 euros le ticket d'entrée. Dans ces bonnes adresses de privilégiés, le virus social n’a visiblement comme par enchantement plus cours... C’est une société de castes, avec d’un côté les grands seigneurs de l’immunité, tant physiologique que politique et de l’autre côté les impurs, tous ces intouchables gueux, ces super-contaminateurs, ces véritables bombes virales ambulantes qui s’ignorent.

 



Non décidément, il est heureux de ne pas partager les mêmes standards moraux, que ceux d’un boucher sanguinaire, d’un éborgneur et d’un arracheur de mains, qui a fait massacrer les Gilets Jaunes en lâchant sur eux son fidèle et féroce chien de garde, le préfet Lallement et ses troupes enragées de baqueux. Tout en faisant mine dans un vulgaire simulacre de démocratie, pour faire vaguement illusion et bonne figure de prêter une oreille attentive à leurs doléances en s'agitant chemise au vent dans les médias de complaisance. VOUS avez fracassé dans la répression et dans le sang leurs légitimes revendications, en étouffant dans l’œuf toutes leurs nobles aspirations à une meilleure vie, plus décente et plus digne à coup de gaz lacrymogènes, de grenades de désencerclement, de matraques et de LBD. C'est la voix du peuple en souffrance que vous avez nassé. En bon démon-crate, l’usage disproportionné et asymétrique de la force est votre seule approche du dialogue social. 

 





Il va s'en dire qu'en réalité, ne rien avoir en commun de votre conception morale, c’est déjà en soi une distinction et un suprême honneur ! C’est notre légion d’honneur à nous et elle ne saurait se réduire à une insignifiante breloque Bling Bling vermoulue dispensée aux plus corrompus de votre caste, adressée en forme de crachat et d’affront ultime au petit peuple.

 



Tel un enfant immature et capricieux emporté par son délire puéril de toute puissance et ne supportant plus la moindre contradiction, de ne pouvoir tout avoir sous son contrôle, voilà maintenant que dernière infamie en date, vous vous proposez, avec la vulgarité crasse qui vous caractérise, « d’emmerder jusqu’au bout ces irresponsables de non-vaccinés »… Jusqu’où ira votre jusqu’au-boutisme, jusqu’aux Goulag et aux camp de redressement sanitaires ? Cela est semble-t-il l’aboutissement de votre projet politique, votre ultime ambition pour parachever votre Grand œuvre de destruction. Ces “Irresponsables” qui ne seraient, si l’on s’en fie à votre boussole morale déglinguée et hautement défaillante, même plus dignes d’accéder à la citoyenneté, se voyant ainsi traités avec plus de sévérité et moins de largesse qu’un criminel terroriste sanguinaire ou qu’un misérable violeur d’enfant. Pourtant n'était-ce pas votre ministre de la santé qui avait déclaré il y a tout juste quelques mois que les détenus des prisons avaient aussi le droit de refuser la vaccination et ne devaient pas être traités en cobayes, car c'est une question de dignité ! Serait-ce à croire que les prisonniers auraient dans cette République bananière le droit à plus de dignité que le citoyen de base, traité en criminel comme un terroriste viral ?

 

Mais après tout, si l’on s’en tient à votre logique irrationnelle et que nous serions dans “une guerre” confrontée à un danger extérieur, alors celui qui ne participe pas à l'effort de cette guerre déclarée unilatéralement devient un traître, un déserteur sans honneur et un ennemi de l’intérieur. Dès lors, éliminer cet ennemi intérieur permet de neutraliser la menace extérieure… Mais faire la guerre à un virus relève d’une chimère et d'une parfaite illusion, il faudrait tout simplement apprendre à vivre avec.

 



En tous les cas, voilà un prétexte tout trouvé pour bâillonner ces potentiels opposants politiques lors des prochaines élections en privant fort opportunément ces nouveaux métèques, ces sous-citoyens de leur droit de vote. Ainsi, par ce mauvais tour de pass pass, tout le monde sera désormais unanime et s’inclinera bien respectueusement avec toute la déférence qui est due à votre auguste et Jupitérienne personne. Malin !

 

Vous faites ainsi injure à 5 millions de Français en affirmant qu’ils ne seraient plus dignes de leur citoyenneté parce qu’ils ne veulent pas se soumettre à vos multiples injonctions à l'injection, eux qui ont certainement un amour bien plus profond, sincère et légitime pour ce pays que vous n’en aurez jamais, eux qui ont comme on dit “bien mérité de la France”, contrairement à vous qui en méprisez souverainement jusqu’à sa culture et qui n’avez de cesse de la détruire dans ce qu’elle a de plus beau et d’authentique.

 



Cette déclaration de guerre jetant dans la fange et à la vindicte populaire toute une frange de la population qui confirme votre choix délibéré pour une politique du bouc-émissaire pleinement assumée, nous ramène de par sa dynamique haineuse aux pires horreurs et crimes du passé. Elle nous place d’emblée sur une pente très glissante, dont l’issue pourrait bien être aussi funeste que fatale. Au regard de l’histoire, votre responsabilité pleinement engagée sera donc écrasante. Elle n’est pas seulement une faute politique indélébile, qui bien avant d’insulter les Français que vous stigmatisez si injustement de la sorte, salis à tout jamais la dignité de votre fonction. C’est aussi et avant tout une faute d’humanité et elle est impardonnable ! N’était-ce pas l’écrivain Albert Camus qui nous avait déjà mis en garde que lorsque le mépris intervenait en politique, il préparait ou instaurait le fascisme et que l’essence même du fascisme était le mépris… Quelle clairvoyance !

 



Car comment diable une infime poignée d'irréductibles de non-vaccinés, que vous avez déjà largement marginalisés et qui ne peuvent presque plus faute de pass valide, mettre les pieds nulle part dans l’espace public, pourraient-ils à eux seuls contaminer plus de 50 millions de vaccinés armés de leurs multiples doses de protection, qui contrairement à eux, ont encore accès à tout, même en étant positifs et capables de transmettre le virus ?

 

Par vos inacceptables écarts de langage orduriers et votre pitoyable exemple, vous envoyez un très mauvais signal à l’ensemble de la population… En franchissant cette ligne rouge, vous donnez le champ libre à tous les excès, vous laissez dans votre sillage la porte ouverte aux pires abus, VOUS déchaîner les passions et VOUS soufflez sur les braises de la guerre civile, au lieu d’appeler à l’apaisement. Là où en garant de la cohésion nationale, il vous faudrait en période de crise rassembler et unir, VOUS ne faites que toujours plus cliver, alimenter les divisions, VOUS attisez les haines et les tensions, vous fracturez la nation comme jamais auparavant, semant avec votre venin tel un sournois serpent les graines de la discorde et de la zizanie au cœur même de nos familles, en s’insinuant jusque dans nos foyers à l’occasion d’un repas de Noël sous haute tension.

 

C’est bien VOUS l’irresponsable en chef !

 



En bon Machiavel, sans doute que par cette ultime provocation, dont vous avez le secret, escomptez-vous pousser par l’exaspération à la faute et à la violence les non-vaccinés, afin de les réduire aux yeux de l’opinion publique à une poignée d’extrémistes factieux, de terroristes et de fous furieux irresponsables et ainsi avoir le champ libre pour parachever votre tyrannie avec une féroce répression policière et peut-être l’instauration d’une loi martiale. Nous ne sommes pas dupes de cette énième manœuvre bien malsaine.

 



Mais prenez garde que ce petit jeu extrêmement dangereux et hautement pervers dans lequel vous vous engouffrer, porté par votre audace naturelle, votre hubris et votre sentiment de totale impunité, ne finisse en dernière instance par se retourner contre vous. L’histoire est capricieuse, elle déborde d’ironie et de retournement dialectiques imprévisibles. Et ce ne serait pas la première fois que certains bourreaux qui martyrisent leurs peuples aussi bien physiquement que moralement finissent leur misérable sort en victimes, une fois que la roue de la destinée a basculé en étant pour solde de tout compte relégués aux poubelles de l’histoire.

 



Pensez-vous sérieusement que la myriade exponentielle des cocus de la vaccination, qui ne constatent la réalisation d’aucune des belles promesses qui leur avaient été faites, mais souffrants parfois au plus profond de leur chair d’effets secondaires ravageurs, ou constatant autour d’eux la disparition subite d’êtres chers, continueront éternellement à avaler les couleuvres de Mac Kinsey et les boas constrictors des mensonges éhontés de Big Pharma ? On peut légitimement en douter, l’hypnose à ses limites et le réveil après la gueule de bois risque d’être violent.

 



Après deux ans d’une politique sanitaire (qui petite piqûre de rappel aurait dû initialement durer deux semaines d’effort national, le temps de, je vous cite, “aplanir la courbe”), dont chacun pourra avec le recul apprécier à sa juste valeur son cuisant échec, un seul constat s’impose désormais : VOUS êtes de très loin le virus le plus destructeur qui soit jamais rentré dans nos vies, une véritable plaie, une malédiction, un châtiment divin ! VOUS êtes un serviteur zélé de la «Bête de l'Événement», son petit mignon de service qui se sent pousser des ailes pour lui rendre directement hommage dans l'une de vos déclarations officielle. Un virus fatal tant pour nos libertés publiques qu’individuelles, une véritable arme de destruction massive de nos droits inaliénables.

 

Votre calamiteuse gestion de crise est criminelle. Elle relève d'un sabotage volontaire et malveillant. Elle ne peut être mise sur le simple compte d'une quelconque maladresse ou d'une incompétence historique, elle est consciente et parfaitement délibérée. Dans ce jeu de massacre mené avec une insondable perversité au nom d'un prétendu bien collectif, VOUS détruisez tour à tour : nos vies et notre mode de vie, notre culture, nos familles et nos enfants, nos commerces et notre économie, nos emplois et donc notre avenir, nos hôpitaux et notre système de soin ainsi que la sécurité sociale, tous nos acquis si chèrement conquis de haute lutte.

 

Non décidément, le doute n'est plus permis, il s'agit bien en réalité d'une guerre larvée d'une hypocrisie sans nom. À mes yeux, vous avez à tout jamais perdu toute forme de légitimité, je ne vous considère plus comme un président, mais comme un criminel devant l'humanité dans l'attente de son futur jugement.

 



En bon escroc qui se respecte, VOUS affectionnez tout particulièrement évoluer au sein des milieux les plus troubles, côtoyer les coteries d'intérêt les plus secrètes du Groupe de Bilderberg, en passant par l'ultra confidentiel Club Dolder, tout en vous entourant de Cabinets Conseils étrangers véreux comme McKinsey afin de placer, voire d'imposer avec des méthodes de truands des produits particulièrement douteux, eux-mêmes fabriqués par des entreprises criminelles telles que Pfizer ! Cette dernière ayant à son palmarès judiciaire un très lourd passif allant, excusez du peu de multiples condamnations pour charlatanisme, fraudes, trucages, pots de vin, corruption de médecins et de fonctionnaires, falsifications de rapports et d'études. Et avec tout cela, il faudrait remettre béatement notre santé et notre vie à ce syndicat du crime en bande organisée, sous peine de faute morale ? Est-ce bien raisonnable ? Quel retournement et quelle inversion spectaculaire, c'est vraiment l'hôpital qui se moque dans les grandes largeurs de la charité !

 



Par vos odieuses méthodes de harcèlement et de maître chanteur qui aurait sournoisement pris en otage nos vies, vous ne valez à mes yeux pas mieux qu’un chef mafieux qui tour à tour terrorise avant de promettre protection à ses victimes, tout en extorquant leur consentement afin de mieux les asservir et les retenir dans son cercle vicieux de chantage sans bornes. Ainsi, de doses en doses, VOUS soumettez et violez toujours plus nos corps et notre liberté de conscience, en faisant peser sur nos malheureuses têtes l’épée de Damoclès d’une mort sociale sans autre forme de procès. Après avoir privé notre pays de toute forme de souveraineté, monétaire, économique et juridique, c’est donc maintenant directement à la souveraineté de nos corps que vous vous attaquez.

 

Dans votre orgueil, vous vous pensez sans doute comme étant l’égal d’un prince, mais vous n’êtes pourtant qu'un Golem Attaliesque, que l’émanation monstrueuse d’un pouvoir oligarchique harceleur et transgresseur de bas étage, qui entend maintenant mettre au pas les populations dans un système digne des pires heures du communisme. VOUS n’êtes que le larbin, le valet servile, l’insignifiant jouet de vos sbires, de cette misérable caste de puissants, de banquiers apatrides qui contrôlent par leurs capitaux en coulisses ce monde devenu immonde. En bon fusible, vous êtes une dérisoire pièce de rechange, un homme de paille dans cette grande et implacable machinerie mondialiste totalitaire. Nul doute que vos impitoyables maîtres vous sacrifieront ou vous remplaceront en temps voulu par une autre marionnette, tout aussi détestable, si vous ne parvenez pas à mettre en place leurs objectifs ou bien une fois votre feuille de route de destruction achevée.

 



VOUS vous comportez comme le ferait un minable petit caïd de banlieue, qui intimiderait ses habitants en multipliant les menaces, les zones de non-droits, les brimades, les rackets et les extorsions et qui enverrait ses petites milices de quartier pour réprimander et faire régner son ordre par la peur, après avoir généré au préalable le chaos. Finalement, la seule chose qui vous différencie, c’est que vous avez les moyens de vos ambitions perverses, en disposant comme bon vous semble d’une force publique détournée de ses fonctions et du monopole d’une violence devenue illégitime.

 

VOUS avez fait du consentement dit “libre” et “éclairé”, fondement même de la médecine, une obligation de fait, un “consentement” extorqué basé sur la duperie et l’opacité, en un seul mot : UN VIOL ! 

 



Aussi, pourquoi vous êtes vous entouré dans toutes vos actions d’un tel impénétrable secret : Secret Défense pour des dizaines d’années pour vos prises de décisions sur la crise sanitaire et secret sur les contrats signés avec les firmes pharmaceutiques dont tant de clauses restent inaccessibles, quand le peu qui nous est encore accessible relève déjà du pur scandale. La santé mérite pourtant la plus totale transparence, car elle est notre bien le plus précieux à tous. Pourtant vous agissez dans l’ombre tel un conspirateur, tout en exigeant en retour notre confiance aveugle… Et depuis quand un état se mêlerait-il d’orienter totalement la médecine ? On sait bien où l’hygiénisme d’État et la toute puissance d’une science instrumentalisée à des fins politiques a pu conduire de par le passé.

 



Ce faisant, vous déshonorez notre pays en piétinant allégrement toutes ses valeurs fondamentales de “Liberté”, “Égalité” et “Fraternité”, qui bien qu’elles ne relevaient déjà que d’une illusion certaine, ne sont plus désormais, sous votre action délétère, qu’un lointain souvenir ! Elles peuvent désormais aisément être remplacées par “Soumission”, “Ségrégation” et “Délation”. Il faudra d’ailleurs songer à faire réécrire tous les frontons des mairies pour les remettre au goût fasciste du jour, en cohérence avec les nouvelles valeurs de ce régime d’exception illimité dans le temps, de cet état d’urgence permanent. Vous avez fait de la chose publique, la "République" une chose privée aux mains de ripoux, phagocyté par des lobbies et des forces d’argent.

 



VOUS êtes le fossoyeur de cette démocratie en phase terminale. Vous avez réduit notre citoyenneté à des doses répétées d’injections de produits pharmaceutiques et à trois mois, c’est dire le degré d’estime que vous portez en réalité à l’exercice de la démocratie et à ses citoyens, ainsi qu’aux fameuses “valeurs” de la République dont vous vous gargarisez tant sur le papier tout en faignant d’en être le garant, alors que vous les piétinez comme jamais… Votre projet de nouvelle société mortifère, artificielle, déshumanisée et transhumaniste est celui du néant, de la négation même de la civilisation.

 

Une chose est sûre, si vous faites mine de tant vous préoccuper de la santé et de la vie de vos concitoyens, toutes vos prises de décisions et vos actions démontrent sans l’ombre d’un doute qu’en réalité vous méprisez la vie humaine au dernier degré et que le moteur de votre action est politique et non sanitaire. Force est de constater que si vous parlez comme un ange, vous agissez comme un assassin !

 

Mais n’en doutez pas, tôt ou tard, vous aurez rendez-vous avec l’histoire pour rendre compte de tout le mal que vous aurez infligé à tant de familles, de toutes ces victimes collatérales engendrées par vos prises de décisions irresponsables, de toute cette souffrance et de ces drames humains générés ; Et si d’aventure la justice temporelle des hommes, particulièrement défaillante en ces temps de tromperie universelle et de corruption généralisée, ne remplit pas son office, vous aurez tout de même à en répondre devant la justice immanente de l’Éternel, car sachez qu’avec votre morale d’ordre supérieure, vous ne l’emporterez certainement pas au Paradis… Dieu voit tout et chacun sera jugé selon ses œuvres. Et force est de constater que la vôtre avec toutes ses basses manœuvres ne produit que des fruits infertiles, bien pourris et au goût infecte ! Que tout le sang des innocents que vous avez fait couler directement ou indirectement finisse par retomber sur votre misérable tête.

 

Au moins dans ce chaos à venir, que vous avez malheureusement de par votre incurie rendue inévitable, il me restera encore ma dignité et l’intégrité de mon âme, deux notions qui manifestement vous échappent totalement et elles n’ont pas de prix !

 



Enfin, sachez que si je suis déchu de ma citoyenneté parce que je réprouve jusqu’au plus profond de mes tripes ces politiques criminelles et parce que je refuse de me soumettre à toute cette folie ambiante, à cette contagion délirante hystérique savamment entretenue et orchestrée par vos médias subventionnés de propagande aux ordres, ce n’est pas grave, car après tout, je n’ai finalement plus rien en commun avec ce à quoi vous avez réduit ce beau pays qui jadis faisait encore ma fierté, à savoir une tyrannie hygiéniste à visage sanitaire profondément inhumaine. Je me sens déjà totalement étranger avec cette nouvelle réalité monstrueuse, cette anomalie de la raison, cette nef des fous en perdition qui prend l’eau de toutes parts et dont vous êtes l’un des infernaux chef d’orchestre et maître d’œuvre. Vous avez rendu ce pays aussi invivable, irrespirable que suffoquant !

 

Tenez-le vous pour dit, en ce qui me concerne, je refuse catégoriquement de me laisser piéger et enfermer dans votre prison numérique à ciel ouvert pour esclave "Moderna" 2.0. En tant qu'être conscient, je ne consens ni ne cautionne ce projet d'anti-société, ce nouveau système d'exploitation, de flicage et de contrôle social permanent. Étant issu du peuple des francs, soit du peuple des hommes libres, je n'ai jamais porté aucun crédit à ce genre de Chinoiseries, n'en déplaise à vos fantasmes de contrôle totalitaires... Je ne suis pas un objet connecté, un produit de série standardisé, mais un être humain qui entend garder son libre-arbitre et préserver sa vie privée ! Je refuse d'être réduit à un QR-code domestiqué sur pattes et géré à distance par algorithmes interposés, d'être traité comme une vulgaire pièce de bétail de votre troupeau de serfs qui seraient marquée pour l'abattoir ! J'entends bien demeurer le capitaine de mon corps, de mon esprit et de mon âme, rester le seul maître à bord... 

 

Votre offre logicielle "ARN messager" décrite par son fabriquant comme étant "The Software of Life", soit comme "le logiciel de la vie" est très séduisante, mais ne m'en tenez pas rigueur si après mûres réflexions et de longues hésitations... Je préfère de très loin m'en tenir à mon "firmware d'origine", à savoir celui du créateur et faire confiance en mon système immunitaire inné plutôt que de placer de vains espoirs dans un programme tiers artificiel offrant une protection aussi hasardeuse, qui expirerait tous les trois mois et qui nécessiterait d'installer des upgrades et autres boosters, des mises-à-jour à vie ! Je ne souhaite pas voir mon logiciel interne susceptible d'être hacker, piraté et trafiqué au risque de produire une erreur fatale. Je laisse ces merveilles technologiques à Laurent Alexandre et autres Geeks de la Silicon Vallée.

 

Avec mon plus profond mépris

Signé : un emmerdeur et fier de l’être !

 

https://1984aumeilleurdelimmonde.blogspot.com/2022/01/les-lecons-de-morale-de-macron.html

 

Fin de l’article.

 


1984 au meilleur de l'immonde


https://1984aumeilleurdelimmonde.blogspot.com/

 


 

C. Rosenzwitt-Makiewsky

 

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