Par Daniel Dachy
Merci à Daniel pour cet édifiant sujet en partage.
Bonne lecture.
Voici en guise d'introduction copie de l'article paru tout récemment sur le site L.I.E.S.I.
Les gouvernements créent sciemment les condition d'une famine en Europe.
Que peut-il se passer quand les mondialistes parviennent à répliquer des clones de Zelensky partout en Europe ?
Que se passe t- il dans le monde de l’agriculture? Les globalistes exigent des dirigeants officiels (à leurs ordres) qu’ils introduisent une politique visant à s’emparer des terres des agriculteurs au nom de politiques climatiques faisant partie d’un programme mondial de contrôle des moyens de production alimentaire. S’ils y parviennent, il y aura assurément une crise alimentaire mondiale.
Par conséquent, les hyper mondialistes sont en train de s’en prendre à la sécurité alimentaire des pays occidentaux en imposant des politiques de réduction de l’azote. Aux Pays-Bas, une victoire du gouvernement signifierait l’abattage d’environ 30% du bétail dans de nombreuses fermes ! On est donc en pleine folie.
Les politiciens agissent clairement comme des ennemis de leurs populations, mais aussi contre l’indépendance de la souveraineté nationale… elle a déjà disparu avec la monnaie européenne qui ira à la tombe et disparaîtra après avoir ruiné tous les Européens. Et ce n’est plus une question d’années.
Vous allez vérifier combien la déconstruction va s’accélérer dans les prochains mois. Ils le veulent. Tous ces plans existent et les citations des mondialistes sont là, à portée de main, sur la toile pour le vérifier. Tout est question de vouloir chercher la vérité. Depuis de nombreuses années, le plus grand nombre préfère tourner le dos à la vérité quant aux ressorts obscurs qui influencent la marche du monde. Pourquoi? Par pur égoïsme.
On ne veut pas savoir, on veut jouir et on pense que tout cela va continuer indéfiniment.
Eh bien justement non. Regardez l’Ukraine ! Cela saute aux yeux : l’Union européenne ne veut pas de la PAIX. Les technocrates de Bruxelles font tout pour entretenir la guerre qui permet de cacher leurs propres crimes. Mais on n’a plus les moyens de payer le compteur du mensonge indéfiniment.
Tout cela a un coût énorme. La propagande reste un outil de contrôle des masses, mais cela va disparaître quand l’INFLATION va sauter une marche supérieure… contrairement au discours narratif de ces fichus experts eurocrates et de banques centrales qui ne savent que mentir et se prostituer en échange des prébendes de la finance anonyme et vagabonde. Les 30 deniers de Judas…
Nous sommes dans une décadence morale et spirituelle qui s’accélère de manière quasi exponentielle, mais l’immense majorité de l’humanité se refuse à voir. Comme l’on dit certains saints :
Seuls les événements leur ouvriront les yeux !
*
On en est là. C'est le règne de l'abjection, du mépris, de l'égoïsme, de l'incompétence malfaisante et de l'aveuglement volontaire.
Les ultrariches mondialistes, de concert avec les apprentis khmers verts écolos, veulent "sauver la planète", non pas pour la survie de ses habitants, mais pour faire de l'entre-soi sur ce qui en restera, sans changer leurs habitudes et surtout, surtout ... sans perdre de l'argent.
Pour ce faire, ils comptent en finir avec la multitude de bouches devenues inutiles et coûteuses.
Ce qui est coûteux, pour un riche, c'est caca. Un riche n'accepte de payer de sa poche que ce qu'il ne peut ou n'a pas pu, soit voler aux pauvres, soit piller : ici on parle des ressources naturelles qui nous ont été offertes gratuitement depuis 6 millénaires, à commencer par l'air que nous respirons, l'eau que nous buvons et les matières vivantes animales et végétales qui nous nourrissent.
Tout ce qui nous a été donné a été transformé en marchandises. La monnaie nationale, qui est un instrument, un outil qui mesure l'activité d'un pays et sa capacité de transformer les ressources énergétiques, minérales et vivantes pour produire des biens pour sa collectivité, est devenue elle aussi une marchandise pour les spéculateurs, qui n'hésitent pas à lui nuire en misant sur sa baisse, pour tirer enrichissement du malheur et de l'appauvrissement de sa population.
Mais il est une chose que tous ces grands fauves prédateurs, voleurs et pilleurs semblent avoir jusque aujourd'hui ignorée, sinon ils auraient changé d'attitude depuis des lustres, et c'est que la vie continue après le dernier soupir qui nous attend tous, et qu'il va falloir rendre compte du mal qui aura été fait de notre vivant dans la condition humaine.
Soit ils n'ont pas lu ce que dit la Parole du Dieu Créateur sur les résurrections (la première et la seconde) des justes ET des injustes, soit ils ne croient en rien, ni en Dieu ni au rôle du diable, soit ils ont été mal enseignés par les théologiens de leur religion préférée.
Ne prenons qu'un seul exemple, un seul passage de l’Écriture pour tenter d'inculquer à cette engeance la crainte respectueuse de l’Éternel, et gardons l'espoir de leur faire saisir, s'ils s'en trouvaient quelques-uns parmi eux qui liraient un de ces prochains jours ces lignes, qu'il y va de leur avenir et de leur vie, la vraie, qu'il convient de ne pas rater. Et cet exemple est la parabole du mauvais riche et du pauvre Lazare.
S'il leur reste un soupçon d'intelligence prudente face à un Dieu qui ne ment pas et qui n'est pas homme, pour mentir ou se contredire, ils liraient de leurs yeux que le pauvre Lazare, de son vivant et après sa mort physique (en tous points semblable, physiquement, à celle du mauvais riche) a un nom. Contrairement au mauvais riche qui n'en a point, ou plutôt qui n'en a plus car effacé, déjà de son vivant, du livre de vie. Car à l'encontre des non repentants, Dieu a le pouvoir d'effacer leur nom de leur vivant, comme Il le fait savoir à Jean : (Apocalypse 3 :5).
Implorant Abraham depuis le séjour des morts, plaidant le souci qu'il se fait pour ses frères en demandant qu'ils soient avertis, et au prétexte d'avoir ignoré de son vivant la règle de vie dictée par la Torah et les mitsvot pour Dieu et pour son prochain, il lui est répondu par Abraham, père de tous les fils de la promesse :
Abraham : "Ils ont Moïse et les prophètes, qu'ils les écoutent".
Le mauvais riche :
"Non, père Abraham, mais si quelqu'un des morts va vers eux, ils se repentiront".
Abraham :
"S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader quand même quelqu'un des morts ressusciterait".
Abraham lui déclare ces choses après lui avoir dit aussi :
"Il y a entre nous et vous un grand abîme, afin que ceux qui voudraient passer vers vous, ou de là vers nous, ne puissent le faire."
Encore un peu de temps et au milieu d'une angoisse généralisée, mondiale, rendant les habitants de la terre impitoyables, ennemis du bien par dégénérescence morale organisée et voulue, acteurs ignorants du combat six fois millénaire se déroulant dans le double décor des cieux et de la terre entre les forces du bien et celles du mal, un peuple à naître va être créé par effusion de l'Esprit Saint. Ce sont les Hébreux du temps final, nouveau peuple-exemple que Yéshoua va faire penser, parler et agir en même temps que se déroulera le témoignage des deux oints.
C'est à eux que l'injonction "Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés" s'adresse principalement pour montrer au monde, avant son jugement, la différence entre ceux qui craignent l’Éternel et ceux qui ne le craignent pas.
"Ne crains point, petit troupeau, car votre Père a trouvé bon de vous donner le royaume".
Luc 12 : 32
Paix, force, joie dans l'épreuve à l'Israël de Dieu.
http://lesmensongesreligieuxdevoiles.blogspot.com/2022/07/hebreux-du-peuple-naitre-courage.html
http://lesmensongesreligieuxdevoiles.blogspot.com/2022/
Fin de l’article.
...... A voir,
L’Italie après Covid, fausse crise climatique
28 juillet 2022
La nouvelle urgence fabriquée de toutes pièces est arrivée : l’urgence climatique. Une nouvelle fausse crise pour nous imposer la pénurie et mettre en route l’agenda 2030 ?
https://www.etresouverain.com/alcyon-pleiades-conseille-litalie-apres-covid-fausse-crise-climatique/
Epis de blé, The Economist du 21 Mai 2022.
Coïncidence ou plan :
"Le monde se dirige actuellement vers une gigantesque catastrophe due à la famine"
Depuis des semaines, les médias et les politiques occidentaux accusent la Russie de provoquer une famine mondiale et d'utiliser la faim comme une arme. La Russie voit elle aussi une crise alimentaire mondiale arriver d'ici la fin de l'année - elle l'attribue toutefois aux prix élevés des céréales et des denrées alimentaires, qui sont désormais inabordables pour les pays les plus pauvres. Jusqu'à l'été 2020, le prix mondial du blé est resté stable à environ 200 dollars la tonne. Aujourd'hui, il s'élève à 450 dollars la tonne. La Russie considère que la raison principale de cette énorme hausse des prix est avant tout les mesures économiques irréfléchies des États-Unis et de l'Union européenne - la promotion de l'énergie verte et le refus de Nord Stream 2, qui ont fait grimper les prix du gaz européen à des niveaux insoupçonnés. La production d'engrais est par conséquent devenue non rentable, ce qui a contraint les usines à cesser leurs activités.
Le thème d'une famine mondiale devient soudain le sujet le plus important et le
plus alarmant de l'agenda mondial. Mais qui en est vraiment responsable ? Ou
bien y a-t-il d'autres raisons sous-jacentes ?
Analyse de l'auteur allemand et expert financier Ernst Wolff
Le monde se dirige actuellement
vers une gigantesque catastrophe due à la famine.
A ceux qui pensent que cela est dû à l'incompétence ou au manque de planification des hommes politiques, nous rappelons les paroles du président américain Roosevelt, qui a déclaré il y a plus de 80 ans :
« En politique, rien n'arrive par hasard, si quelque chose arrive, vous pouvez parier que cela a été planifié ».
Une confirmation de la déclaration de Roosevelt a été apportée par le document
dit Lockstep, de la Fondation Rockefeller de 2010, qui a anticipé la crise
sanitaire mondiale qui dure depuis deux ans et demi. Qu'il s'agisse de
confinements, de vaccinations ou de l'introduction de restrictions d'accès
numériques, toutes ces mesures y étaient déjà décrites plus de dix ans avant
leur introduction. De plus, en octobre 2019, l'événement 201, un jeu de
simulation organisé par l'Université Johns Hopkins, en collaboration avec le Forum
économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates, a permis de
simuler une pandémie et de passer en revue les mesures à prendre du point de
vue des responsables.
Il en va de même pour la famine mondiale actuelle, qui approche à grands pas.
Pour elle aussi, un jeu de simulation a déjà été organisé, il y a six ans et
demi. Les 9 et 10 novembre 2015, 65 cadres internationaux issus du monde
politique et du secteur privé ont participé à l'événement Food Chain Reaction
(réaction de la chaîne alimentaire) dans les locaux du siège du World Wildlife
Fund (WWF) à Washington, au cours duquel une crise du système alimentaire
mondial a été simulée. Le scénario a été conçu par un groupe d'experts du
ministère des Affaires étrangères américain, de la Banque mondiale et de la
société agricole Cargill. L'événement a été mis en œuvre par une sous-division
de la CMA Corporation, qui travaille pour le compte du ministère américain de
la sécurité intérieure et du centre national de coordination des secours en cas
de catastrophe. Le financement a été assuré par le groupe Cargill, qui contrôle
un quart des exportations américaines de céréales, et par le fabricant de
confiseries Mars. Le tout a été produit par le World Wildlife Fund, en
collaboration avec le Center for American Progress, un think tank fondé en 2003
par John Podesta, conseiller politique de Bill Clinton. Il est mené par le
lobbyiste Tom Dashley, un politicien de premier plan du Parti démocrate qui
devait être ministre de la Santé sous Barack Obama, mais qui n'a pas pu prendre
ses fonctions en raison de la révélation de transactions financières douteuses.
Pendant deux jours, les participants à la réunion ont réagi à un scénario qui
simulait une crise alimentaire mondiale pour les années 2020 à 2030. Il a été
déclenché par « des prix alimentaires
fluctuants, une instabilité de l'approvisionnement alimentaire au milieu d'une
croissance démographique toujours plus forte, une urbanisation rapide, des
événements climatiques violents et des troubles sociaux ».
Le déroulement de la crise a été divisé en quatre périodes :
Le premier cycle s'étend de 2020 à 2021, avec d'importantes sécheresses en Amérique du Nord, des troubles sociaux en Asie du Sud-Est et en Afrique, et une augmentation des prix des denrées alimentaires à 262 % des moyennes à long terme.
Le deuxième cycle, de 2022 à 2024, est marqué par d'importantes
sécheresses dans les principales zones de production et par une hausse
spectaculaire des prix du pétrole. Les troubles et les migrations augmentent,
tout comme les achats paniques face à l'insécurité croissante. Les prix des
denrées alimentaires passent de 262 à 395 % des moyennes à long terme.
Au cours du troisième cycle, de 2024 à 2027, on assiste à une reprise de
la production des récoltes dans une grande partie du monde, ce qui atténue la
pression sur les marchés. Alors que des sécheresses isolées provoquent des
troubles dans la région du Sahel, les prix mondiaux des denrées alimentaires
chutent de 395 à 145 % des moyennes à long terme.
Le quatrième cycle est marqué par des sécheresses au Brésil, en Chine et
aux États-Unis, des troubles sociaux en Inde et des manifestations dans les
villes d'Afrique de l'Ouest, ainsi que par une nouvelle hausse des prix des
denrées alimentaires, qui passent de 141 % à 387 % des moyennes à long terme.
La fin de la simulation est bizarre : outre l'introduction d'une taxe sur le
CO2, des dons inattendus élevés en provenance du monde entier sont versés au
programme alimentaire des Nations Unies.
Ainsi : « le monde est bien équipé
pour faire face à la catastrophe dans les régions qui peuvent être atteintes
par les organisations humanitaires ». Aussi absurde que cela puisse
paraître, à ce stade, le rire devrait s’étouffer.
Derrière le terme d'organisations humanitaires se cachent en effet de nombreuses ONG et fondations, comme la fondation Open Society de George Soros, la fondation Bill & Melinda Gates, le Forum Economique Mondial ou Pain pour le Monde de l'Église catholique. Ce sont précisément ces organisations qui, à notre époque, gagnent chaque jour en puissance et en influence et qui veillent à ce que les crises soient systématiquement préparées et utilisées pour assurer et consolider la domination de l'élite mondiale, en planifiant leur déroulement à l'échelle générale et en les aggravant si nécessaire, peu importe si de grandes parties de l'humanité sont entraînées dans le désastre. Le site web de l'événement Food Chain Reaction.org a d'ailleurs été supprimé entre-temps sans indication de motifs.
Vidéo en français :
https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=23217&date=2022-07-30
http://echelledejacob.blogspot.com/2022/08/coincidence-ou-plan-le-monde-se-dirige.html
Les incendies criminels :
La destruction des cultures et des infrastructures alimentaires progressent.
Des incendies criminels ravagent les cultures et le bétail dans la moitié de l’Europe, aggravant les pénuries alimentaires dans le monde et faisant grimper le prix du blé.
Fin de l’article.
C. Rosenzwitt-Makiewsky
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