Cela est extrêmement
préoccupant. Mensonges à répétition, magouilles, intérêts privés, politique
opaque, dictature médicale et pharmaceutique…Peut-on encore faire confiance à
l’OMS ? Personnellement je pense que non. Et vous ?
Louise Guersan
Le Corona et les
magouilles de l’OMS. Bon, j’intitule mon article « le Corona et les magouilles
de l’OMS », mais avec l’OMS, on a l’habitude des magouilles depuis bien plus
longtemps qu’avant l’apparition du Coronavirus.
Petite piqûre de
rappel sur l’OMS.
L’OMS a été créée en
1948, dans un esprit très louable de venir à bout des pandémies et épidémies
dont souffre la planète. En tant qu’organisation onusienne, son financement
devait provenir des cotisations des États membres. Grâce à l’OMS, la variole,
cette maladie terrible, aurait été éradiquée depuis quelques décennies. Nous ne
pouvons qu’en louer l’organisation.
Son directeur de
1973 à 1988, le Danois Mahler, fait adopter en 1978 par l’OMS le principe du
droit d’égal accès pour tous aux soins de santé primaires, visant non seulement
les populations des pays développés, mais aussi et surtout les populations des
pays en voie de développement, alors appelés tiers-monde. Des « agents de santé
communautaires », chargés de dispenser ces soins, sont alors envoyés dans les
régions du monde les plus pauvres… Mais le programme ne sera jamais réalisé par
manque de ressources, et les maladies des pays pauvres continuent donc à faire
des victimes en grand nombre. Cependant Mahler parvient à faire établir une liste
de médicaments essentiels vendus à bas prix dans ces pays.
Mais voilà ! Si lors
de sa création et dans les premières décennies de son existence l’OMS était
financée à 80 % par les États membres, peu à peu les laboratoires privés se
sont immiscés grâce à la corruption interne qui s’est lentement mise en place
par des fonctionnaires pourris, et la part des États membres aujourd’hui n’est
plus que de 21 % quand celle des sociétés privées atteint le chiffre record de
79 %. Les principaux donateurs étant aujourd’hui la fondation de Bill Gates et
l’industrie pharmaceutique. Une inversion très problématique dont nous allons
examiner les effets néfastes, puisque l’OMS serait contrainte pour continuer à
exister de servir les intérêts privés et non ceux de la population mondiale.
La raison en est
simple : la Banque mondiale et le FMI, complètement noyautés par les lobbys,
font admettre dès 1970 que l’amélioration des systèmes de santé ne pourra se
faire que grâce aux spécialistes, aux experts que sont les laboratoires privés,
toujours à la pointe de la recherche. Et cette idée s’impose aux États,
eux-mêmes lobbyisés. À cet égard, savez-vous qu’à l’Assemblée nationale et au
Sénat les lobbys ont des bureaux ? Voilà une pratique qui devrait être bannie
une fois pour toutes. Mais comme nous l’indiquions dans notre article XXXX,
notre démocratie est corrompue. Et cela, comme le montre l’existence des
lobbyistes dans nos plus hautes institutions politiques, ouvertement. Depuis
1980 la Banque mondiale investit donc le champ de la santé, prêtant des fonds
aux États pour améliorer leurs services de santé.
Des « Affaires »
à répétition.
Déjà en 2010, le
Monde alertait sur les dérives de l’OMS, dénonçant la mainmise de l’industrie
pharmaceutique sur l’organisation et des « pratiques contestables ».
L’affaire faisait
suite à la divulgation, le 8 décembre 2009, d’un rapport sur une étude de sept
ans consacré aux « maladies négligées » dans les pays « en développement » par
les laboratoires qui n’y trouvaient aucun intérêt économique, ce qui avait
contraint la directrice générale de l’OMS, Margaret Chan, à déclarer le 20
janvier 2010 qu’une enquête était en cours et que l’immunité diplomatique des
membres du groupe d’experts chargé de rédiger le rapport, pourrait être levée.
Mais l’affaire
s’était arrêtée là, comme c’est toujours le cas. Rappelez-vous « le grand débat
» de Macron l’année dernière et la rédaction de ces nouveaux cahiers de
doléances dont personne n’entendit plus jamais parler. Pfff ! Disparus, les
résultats. Disparus, les commentaires des journaux télévisés. Un soi-disant
débat, très dirigé, aux questions posées à l’avance, celles-là et pas d’autres,
qui n’avait abouti strictement à rien sinon à bâillonner un peu plus le peuple
sous ce faux prétexte. Ainsi en était-il allé de la soi-disant enquête au sein
de l’OMS. Pfff ! Envolée, oubliée, disparue dans les souterrains glauques de
l’Histoire.
On apprenait
rapidement que le rapport des experts qui prônait nombres de solutions pour
faire face à une situation qui à l’époque causait tout de même quelques 11
millions de morts, avait été remis confidentiellement à l’IFPMA,
l’International Federation of Pharmaceutical Manufacturers and Associations –
on aimerait savoir par qui -, et que cette Fédération surpuissante l’avait
expurgé de tout ce qui ne lui plaisait pas, en particulier la taxe que le
Brésil voulait mettre sur les produits pharmaceutiques importés, mais surtout
la possibilité pour les pays en développement d’utiliser les brevets sur les
traitements contre le Sida. Une attitude éminemment criminelle. Et c’est sur ce
dossier expurgé qu’avait ensuite travaillé à Genève le Conseil exécutif de
l’OMS. La fameuse revue scientifique britannique dont nous avons déjà parlé
dans notre enquête sur l’origine du Coronavirus, The Lancet, avait alors accusé
à juste titre l’IFPAM de « saboter le travail du groupe de travail de l’OMS »,
et « de rançonner les pauvres du monde. »
Et le rapport du
député européen britannique Paul Flynn à l’Assemblée parlementaire du Conseil
de l’Europe dénonça le manque de transparence dont avait fait preuve l’OMS dans
la gestion de la crise. Oui mais… comme nous le disions, l’affaire en était
restée là.
Or, cette même année
2010, l’OMS était encore mise en cause pour sa gestion concernant le virus
H1N1. Le 4 juin 2010, un rapport de la Commission sur les questions sociales,
de la santé et de la famille de l’Assemblée parlementaire du Conseil de
l’Europe (APCE) établi par Paul Flynn (Royaume-Uni) révélait « l’évidence
écrasante que la gravité de la pandémie a été largement surestimée par l’OMS »
et que « la pandémie n’a jamais vraiment existé ». Le manque de transparence de
l’OMS était mis en avant, en particulier sa réticence à publier les noms et les
déclarations d’intérêts des membres de son Comité d’urgence, et la question sur
les intérêts des grands groupes pharmaceutiques était largement évoquée.
Et le Conseil de
l’Europe s’étant interrogé sur l’influence de l’industrie pharmaceutique dans
la gestion de la pandémie, on accusa certainement avec raison l’OMS d’avoir
gaspillé les fonds publics pour le seul intérêt des groupes pharmaceutiques,
mais l’organisation s’en défendit fermement et là encore l’affaire fut peu
après enterrée, toujours dans le même dépotoir.
Mais qu’importait à
l’OMS liée aux groupes pharmaceutiques ! Les directives concernant la grippe A
(H1N1) allaient rapporter des millions de dollars à l’industrie pharmaceutique
alors que des chercheurs jugeaient sans effets les médicaments préconisés ! Idem
pour la tuberculose, l’OMS ayant mis dans la liste de prescription un
médicament alors que les tests effectués montraient un taux de mortalité plus
élevé dans les groupes traités par ce médicament. Attitude criminelle donc de
l’OMS devenue un outil au service de Big Pharma. D’autres sombres affaires
d’intérêts purement privés allaient encore polluer la confiance qu’on aurait pu
accorder à l’OMS.
Le reportage de
ARTE.
Le 3 avril 2017,
Arte faisait un reportage sur la corruption au sein de l’OMS. J’attire votre
attention sur le fait que le Coronavirus n’existait pas alors.
Or ce reportage
concernant en grande partie le financement de l’OMS par des privés et les
bénéfices qu’ils en retirent, met en lumière la fondation Bill et Melinda
Gates. Comme le déclare alors l’ancienne directrice de l’OMS, Margaret Chan,
celle-là même qui avait déclaré en 2010 que l’OMS n’avait rien à se reprocher
comme nous l’avons vu plus haut, « Les pratiques financières actuelles font de
l’OMS une organisation fondée sur les ressources et non sur les résultats.
L’ARGENT DICTE CE QUI EST ACCOMPLI. »
Le reportage très
fouillé d’Arte porte sur le financement de l’organisation par les groupes
pharmaceutiques, son manque de transparence, sa neutralité douteuse, et… sa
capacité ou son incapacité à accomplir ses missions du fait que la priorité
consiste à faire le jeu de ses donateurs, laissant plus ou moins de côté son
objectif primaire : éradiquer autant que possible les maladies et apporter à
tous, nantis ou non, les soins dont ils ont besoin.
Dans le collimateur
de ce reportage et entre autres, les effets du glyphosate de la colossale
société américaine Monsanto. Un scandale déjà dénoncé par une journaliste
indépendante, Marie Monique Robin, dans un documentaire majeur, Le Monde selon
Monsanto, en 2008, que je vous invite à regarder car, en définitive, il raconte
la même histoire de lobbying et de corruption politique au plus haut sommet des
États. Le travail d’Arte complétant très avantageusement les travaux de madame
Robin. Dans son reportage, Arte démontre que les études faites sur cet
herbicide cancérigène se basent exclusivement sur celles, frauduleuses,
produites par les fabricants, et que beaucoup d’experts de l’OMS ont jugé sans
faire des essais, ce qui n’est pas du tout déontologique. Les résultats ont
donc été biaisés et en 1884, quand Monsanto a voulu imposer ses sojas modifiés,
l’OMS a osé déclarer le glyphosate contenu dans l’herbicide Roundup
indispensable au traitement de tels sojas sans danger, malgré un nombre
important de victimes et les procès publics et donc connus faits par ces gens.
Le reportage aborde
également la Fondation Bill Gates. Selon Arte, la Fondation de Bill Gates dont
l’objectif affirmé est de combattre la malnutrition et de fournir des soins
médicaux, ce qui est très louable en soi, aurait versé plus de 2 milliards de
dollars à l’OMS depuis 1990. Fort bien. Cette fondation aurait également participé
à de vastes projets pour éliminer la polio et des maladies infectieuses. OK.
Mais il y a un échange dans cette affaire, car la fondation, qui est un
organisme privé, est entrée dans le conseil décisionnel de l’OMS qui est un
organisme public. Et c’est là tout le problème. En se montrant indispensable
financièrement, le Lobby met la main sur les instances publiques, qui dès lors,
ne sont plus indépendantes. Avec le risque de faire le jeu du privé. Ce qui est
le cas et a été démontré par Arte. L’organisation se trouve au centre d’un jeu
de luttes d’influences.
Le documentaire
d’Arte aborde encore d’autres scandales, et se trouve accusé de gabegie et de
négligence dans la considération des maladies tropicales délaissées au profit
de marchés qui rapportent davantage.
Un autre scandale :
EBOLA
Entre novembre 2018
et juin 2019 sévissait en République démocratique du Congo une épidémie du
redoutable Ebola. Les équipes de décontamination, si elles faisaient à peu près
leur devoir lors d’une opération au budget dépassant les 800 millions d’euros,
codirigée par le ministère de la Santé congolais et l’OMS, en profitaient pour
s’enrichir personnellement au détriment d’une population qui n’en était pas
dupe, ce qui provoqua des émeutes dues à la colère dans ce pays où l’on vit en
moyenne avec la valeur de 50 euros par mois.
Pour transporter les
équipes de décontamination, près de 700 véhicules avaient été loués à l’OMS
pour une facture de quelques 2 millions de dollars. À ceci près qu’un certain
nombre d’entre elles appartenaient aux membres de ces équipes ou à leurs
parents et amis. Autrement dit, ils se versaient à eux-mêmes des émoluments sur
le compte de l’OMS pour laquelle ils travaillaient. On a appelé cela « l’Ebola
business ». Un conflit d’intérêts allant à l’encontre des règles de l’OMS.
Parmi ces tricheurs, le Dr Shako Lomami qui, ayant été joint par Libération,
avait déclaré que le propriétaire du véhicule « était son frère jumeau : « Moi
je suis Shako Lomami et mon jumeau c’est Lomami Shako qui travaille la clinique
Graben à Butembo », avait-il raconté. Lequel y était inconnu… Quant au
responsable de la sécurité de l’antenne de l’OMS, Blaise Amaghito, il se serait
mis dans la poche plus de 90 000 euros. Et les exemples sont nombreux, par
dizaines.
À préciser que là
encore, l’OMS avait fait la sourde oreille aux demandes des journalistes pour
connaître la vérité.
Les intérêts de la
Fondation Bill Gates.
On apprend
aujourd’hui que la fondation Bill et Melinda Gates a versé plus de 2 milliards
de dollars à l’OMS depuis la fin des années 90. Deux milliards de dollars !!!
Or, l’un des principaux objectifs de la Fondation Gates était, à l’époque, de
fournir le plus de vaccins possibles à travers le monde. Vous avez compris ?
Ces 2 milliards de dollars sont un investissement. Si Bill Gates a donné à
l’OMS ces 2 milliards de dollars, c’est qu’il espère toucher beaucoup plus avec
les vaccins, non ?
Alors aujourd’hui,
voici Bill Gates transformé par le miracle de sa colossale fortune en expert
médical faisant la loi sur la scène mondiale comme il en a l’habitude. Au
demeurant, l’enquête d’Arte dont nous avons parlé plus haut montrait que des
employés de l’OMS (dont un haut dirigeant) appartiennent également à la
fondation Gates. Nous sommes donc en présence d’un conflit d’intérêt majeur.
Cela expliquera
mieux le problème des 11 vaccins obligatoires dans la France de Macron. Et pour
les faire admettre, « ils » ont encore utilisé leur super invention des fake
news alors que des médecins et des scientifiques critiquaient l’excès des onze
vaccins, tel le professeur Bernard Bégaud, ancien président de l’université de
Bordeaux, spécialiste de santé publique, qui accusait le gouvernement de mentir
dans Libération du 12 juillet 2019 : « Il est malhonnête et contre-productif de
nier » que 2 000 personnes sont touchées par la sclérose en plaques après qu’on
leur a injecté le vaccin de l’hépatite B. déclarait-il.
Immédiatement, un
premier sommet de la vaccination mondiale était organisé à Bruxelles en
septembre, et le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, un
grand valet de l’oligarchie mondiale dont Bill Gates est l’un des membres
actifs, dénonçait ceux qui « jouent avec le feu » en refusant la vaccination.
Ces instances sonnaient la garde et l’arrière-garde, regroupant à Bruxelles
membres du monde politique, de la société civile, des experts de la santé ou
encore des représentants des réseaux sociaux. C’est que l’enjeu financier
portant sur des dizaines de milliards de dollars était d’importance. Et à
défaut de convaincre, on rendit en France ces vaccins obligatoires sous peine
de sanctions. En France, ce fut le rôle de Macron.
Alors, maintenant,
avez-vous encore confiance en l’OMS pour le coronavirus ?
Ce mois-ci, le mois
de mai 2020, le capital mondial représenté en l’occurrence par Bill Gates, la
chancelière Merkel et son pote le Français Macron, la Première ministre
norvégienne Erna Solberg, le directeur général de l’OMS Tedros Adhanom
Ghebreyesus, et autres sangsues de la planète, se sont réunis pour parler du
Coronavirus. Notez bien que monsieur Ghebreyesus, dans son discours
d’ouverture, a appelé Bill Gates « mon frère ». C’est tout un programme. Mais
nous avons vu plus haut que le jeu des chaises existe entre l’OMS et la
fondation Gates. Mais nous le savons depuis longtemps, Big Brother existe
vraiment, c’est l’alliance des politiques au service du capital-mondialisme
représenté par des gens comme Bill Gates.
La réalité est que
de tels hommes possèdent tout. Gates paie des milliards à l’OMS donc celle-ci
lui mange dans la main. Gates possède des entreprises pharmaceutiques, des
installations médicales, la production de vaccins, et peut acheter qui bon lui
semble, fût-il un chef d’État. Gates décide de la politique à suivre, et on lui
obéit le doigt sur la couture du pantalon. Et Gates a décidé de nous imposer
ses vaccins ? Car l’homme n’est jamais assez riche. Il aimerait sans doute être
l’empereur du monde. Cela a mis en colère le Président Trump qui a suspendu la
contribution américaine à l’OMS. Ce que Macron aurait dû faire, cela va de soi.
Mais que pèsent les 400 millions de contribution du gouvernement américain face
aux milliards de Gates ?
Savez-vous que le
Dolder Club qui réunit chaque année ou tous les deux ans, cela depuis l’année
1970, les patrons des plus grands groupes pharmaceutiques, s’est tenu entre les
7 et 9 juillet 2018 à Paris ? Une dépêche de l’AFP, relayée par divers médias,
a révélé qu’ils ont été reçus au soir du 9 juillet par Macron, sans que cela
soit inscrit à l’agenda présidentiel ni qu’aucun compte rendu n’ait été fait.
Ça devait être du joli pour nous, peuple méprisé. Car comme par hasard, à
l’issue de la réunion, Édouard Philippe a annoncé les deux mesures qu’attendait
de lui le lobby de l’industrie pharmaceutique :
La réduction à 180
jours des autorisations de mise sur le marché des nouveaux produits, au lieu de
300 jours qui étaient jusque-là la norme, malgré les scandales sur un certain
nombre de produits tel entre autres Médiator, Lévothyrox, Dépakine (les mères
qui en prennent accouchent d’enfants au comportement anormal et il y aurait
chez nous environ 30 000 victimes).
La garantie annuelle
d’au moins 0,5 % de croissance du chiffre d’affaire pendant les trois ans et
jusqu’à 3 % pour les médicaments dits « innovants ». Deux questions se posent :
d’abord sur la définition de molécule innovante et sur la prise de décision
d’un tel label. Ensuite sur cette croissance promise. Comment ? En forçant les
médecins à les prescrire sous peine de sanctions par un Conseil de l’Ordre… aux
ordres ? La question est posée. En obligeant les gens à les utiliser sous peine
de sanctions de toutes natures, comme on l’a vu pour les 11 vaccins et le refus
d’inscription à l’école quand les familles refusent ?
Cela est extrêmement
préoccupant. Mensonges à répétition, magouilles, intérêts privés, politique
opaque, dictature médicale et pharmaceutique…Peut-on encore faire confiance à
l’OMS ? Personnellement je pense que non. Et vous ?
Louise Guersan
Lien et commentaires :
https://ripostelaique.com/corona-magouilles-et-corruption.html
Bill Gates est « propriétaire de l’OMS »
……et voilà,
tout est dit! tout s'explique parfaitement !
Robert
Kennedy Jr. revient à la charge contre la 5G ainsi que Bill Gates en affirmant
qu’il « est propriétaire de l’OMS »
« La 5G n’a
pas pour but de vous aider à télécharger votre jeu vidéo rapidement », a-t-il
déclaré. « La 5G, c’est de la surveillance et de la collecte de données ».
Reuters a publié un article
le 5 mai dernier qui prétends déconstruire l’affirmation de Kennedy concernant
la micropuce.
Note ExoPortail : Je
conseillerai à Reuters de lire ces articles sourcés qui peut être affineraient
leur discernement :
Bill
Gates souhaite des « certificats numériques » pour révéler qui a été testés ou
vaccinés contre le Covid-19.
…Sujet
à suivre,
C.
Rosenzwitt-Makiewsky
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