Non au Grand Reset :
L'appel de l'archevêque Vigano à Donald Trump.
Lettre ouverte au Président des Etats-Unis d’Amérique.
Lien vidéo et commentaires :
https://www.youtube.com/watch?v=7yLN69C_Nvk&feature=emb_logo
« Le monde entier est menacé par un conspiration mondiale contre Dieu
et l’humanité »
La seconde puissante lettre de Monseigneur Vigano à Donald Trump.
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Patriote Info :
Monseigneur Vigano avait écrit une première lettre à Donald Trump il y a quelques mois. Donald Trump lui avait d’ailleurs répondu. Pour mieux connaitre ce personnage je vous conseille de visionner l’émission qu’Adrien Abauzit lui a dédié.
Monseigneur Vigano est l’ennemi juré du pape actuel dans l’église catholique. Les médias tenus par le nouvel ordre mondial le traitent bien évidemment de « complotistes » pour que les masses s’en détournent. Cependant il a toute l’attention de Donald Trump, qui lui aussi connait le plan qui se trame en arrière-plan des événements que nous vivons.
LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE.
DONALD J. TRUMP
Dimanche 25 octobre 2020
Solennité du Christ Roi
Monsieur le Président,
Permettez-moi de m’adresser à vous en cette heure où le sort du monde entier est menacé par une conspiration mondiale contre Dieu et l’humanité. Je vous écris en tant qu’archevêque, en tant que successeur des apôtres, en tant qu’ancien nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique. Je vous écris au milieu du silence des autorités civiles et religieuses. Puissiez-vous accepter mes paroles comme la « voix de celui qui crie dans le désert » (Jn 1, 23).
Comme je l’ai dit lorsque je vous ai écrit en juin, ce moment historique voit les forces du Mal alignées dans une bataille sans merci contre les forces du Bien ; des forces du Mal qui semblent puissantes et organisées alors qu’elles s’opposent aux enfants de la Lumière, qui sont désorientés et désorganisés, abandonnés par leurs chefs temporels et spirituels.
Chaque jour, nous sentons se multiplier les attaques de ceux qui veulent détruire la base même de la société : la famille naturelle, le respect de la vie humaine, l’amour du pays, la liberté de l’éducation et des affaires. Nous voyons des chefs de nations et des chefs religieux se plier à ce suicide de la culture occidentale et de son âme chrétienne, tandis que les droits fondamentaux des citoyens et des croyants sont bafoués au nom d’une urgence sanitaire qui se révèle de plus en plus comme un instrument de l’instauration d’une tyrannie inhumaine et sans visage.
Un plan global appelé « Great Reset » est en cours.
Son architecte est une élite mondiale qui veut soumettre toute l’humanité, en imposant des mesures coercitives qui limitent drastiquement les libertés individuelles et celles de populations entières. Dans plusieurs pays, ce plan a déjà été approuvé et financé ; dans d’autres, il en est encore à ses débuts. Derrière les dirigeants du monde qui sont les complices et les exécutants de ce projet infernal, il y a des personnages sans scrupules qui financent le Forum économique mondial et l’événement 201, en promouvant leur programme.
Le but du Grand Reset est l’imposition d’une dictature sanitaire visant à imposer des mesures liberticides, cachées derrière des promesses tentantes d’assurer un revenu universel et d’annuler la dette individuelle. Le prix de ces concessions au Fonds monétaire international sera la renonciation à la propriété privée et l’adhésion à un programme de vaccination contre les Covid-19 et les Covid-21 promu par Bill Gates avec la collaboration des principaux groupes pharmaceutiques. Au-delà des énormes intérêts économiques qui motivent les promoteurs de la Grande Reset, l’imposition de la vaccination s’accompagnera de l’exigence d’un passeport sanitaire et d’une carte d’identité numérique, avec pour conséquence la recherche des contacts de la population du monde entier. Ceux qui n’accepteront pas ces mesures seront enfermés dans des camps de détention ou placés en résidence surveillée, et tous leurs biens seront confisqués.
Monsieur le Président, j’imagine que vous savez déjà que, dans certains pays, le Grand Reset sera activé entre la fin de cette année et le premier trimestre de 2021. À cette fin, d’autres assignations à résidence sont prévues, qui seront officiellement justifiées par une supposée deuxième et troisième vague de la pandémie. Vous connaissez bien les moyens qui ont été déployés pour semer la panique et légitimer des limitations draconiennes des libertés individuelles, provoquant habilement une crise économique mondiale. Dans les intentions de ses architectes, cette crise servira à rendre irréversible le recours des nations au Grande Reset, donnant ainsi le coup de grâce à un monde dont ils veulent annuler complètement l’existence et la mémoire même. Mais ce monde, Monsieur le Président, comprend des personnes, des affections, des institutions, la foi, la culture, les traditions et les idéaux : des personnes et des valeurs qui n’agissent pas comme des automates, qui n’obéissent pas comme des machines, parce qu’elles sont dotées d’une âme et d’un cœur, parce qu’elles sont liées par un lien spirituel qui tire sa force d’en haut, de ce Dieu que nos adversaires veulent défier, tout comme Lucifer l’a fait au début des temps avec son « non serviam ».
Beaucoup de gens – nous le savons bien – sont agacés par cette référence au choc entre le Bien et le Mal et par l’utilisation de connotations « apocalyptiques », qui selon eux exaspèrent les esprits et accentuent les divisions. Il n’est pas surprenant que l’ennemi soit furieux d’être découvert juste au moment où il croit avoir atteint la citadelle qu’il cherche à conquérir sans être dérangé. Ce qui est surprenant, en revanche, c’est qu’il n’y ait personne pour tirer la sonnette d’alarme. La réaction de l’État profond à ceux qui dénoncent son plan est brisée et incohérente, mais compréhensible. Juste au moment où la complicité des grands médias avait réussi à rendre la transition vers le nouvel ordre mondial presque indolore et inaperçue, toutes sortes de tromperies, de scandales et de crimes sont mis au jour.
Il y a encore quelques mois, il était facile de salir comme des « théoriciens du complot » ceux qui dénonçaient ces terribles plans, dont nous voyons maintenant la mise en œuvre dans les moindres détails. Personne, jusqu’en février dernier, n’aurait jamais pensé que, dans toutes nos villes, des citoyens seraient arrêtés simplement parce qu’ils voulaient marcher dans la rue, respirer, garder leur commerce ouvert, vouloir aller à l’église le dimanche. Et pourtant, cela se passe maintenant dans le monde entier, même dans une Italie de carte postale que beaucoup d’Américains considèrent comme un petit pays enchanté, avec ses monuments anciens, ses églises, ses villes charmantes, ses villages caractéristiques. Et tandis que les politiciens sont barricadés dans leurs palais, promulguant des décrets comme les satrapes persans, les entreprises font faillite, les magasins ferment et les gens sont empêchés de vivre, de voyager, de travailler et de prier. Les conséquences psychologiques désastreuses de cette opération sont déjà visibles, à commencer par les suicides d’entrepreneurs désespérés et de nos enfants, séparés de leurs amis et de leurs camarades de classe, à qui l’on dit de suivre leurs cours tout en restant assis seuls à la maison devant un ordinateur.
Dans l’Écriture Sainte, Saint Paul nous parle de « celui qui s’oppose » à la manifestation du mystère de l’iniquité, le kathèkon (2 Th 2, 6-7). Dans le domaine religieux, cet obstacle au mal, c’est l’Église, et en particulier la papauté ; dans le domaine politique, ce sont ceux qui font obstacle à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial.
Comme il est maintenant clair, celui qui occupe la présidence de Pierre a trahi son rôle dès le début afin de défendre et de promouvoir l’idéologie mondialiste, en soutenant le programme de l’Église profonde, qui l’a choisi dans ses rangs.
Monsieur le Président, vous avez clairement déclaré que vous vouliez défendre la nation – une nation sous Dieu, les libertés fondamentales et les valeurs non négociables qui sont niées et combattues aujourd’hui. C’est vous, cher Président, qui êtes « celui qui s’oppose » à l’état profond, à l’assaut final des enfants des ténèbres.
C’est pourquoi il est nécessaire que tous les hommes de bonne volonté soient persuadés de l’importance historique de l’élection imminente : non pas tant pour le bien de tel ou tel programme politique, mais en raison de l’inspiration générale de votre action qui incarne le mieux – dans ce contexte historique particulier – ce monde, notre monde, qu’ils veulent annuler par le biais du verrouillage. Votre adversaire est aussi notre adversaire : c’est l’Ennemi du genre humain, Celui qui est « un meurtrier dès le commencement » (Jn 8, 44).
Autour de vous sont rassemblés avec foi et courage ceux qui vous considèrent comme la dernière garnison contre la dictature mondiale. L’alternative est de voter pour une personne manipulée par l’État profond, gravement compromise par les scandales et la corruption, qui fera aux États-Unis ce que Jorge Mario Bergoglio fait à l’Église, le Premier ministre Conte à l’Italie, le président Macron à la France, le Premier ministre Sanchez à l’Espagne, etc. La nature de chantage de Joe Biden – tout comme celle des prélats du « cercle magique » du Vatican – l’exposera à être utilisé sans scrupules, permettant à des pouvoirs illégitimes d’interférer dans la politique intérieure comme dans les équilibres internationaux. Il est évident que ceux qui le manipulent ont déjà quelqu’un de pire que lui de prêt, avec qui ils le remplaceront dès que l’occasion se présentera.
Et pourtant, au milieu de ce sombre tableau, de cette avancée apparemment imparable de « l’Ennemi invisible », un élément d’espoir émerge. L’adversaire ne sait pas aimer, et il ne comprend pas qu’il ne suffit pas d’assurer un revenu universel ou d’annuler les hypothèques pour subjuguer les masses et les convaincre d’être cataloguées comme du bétail. Ce peuple, qui a trop longtemps subi les abus d’un pouvoir haineux et tyrannique, redécouvre qu’il a une âme ; il comprend qu’il n’est pas prêt à échanger sa liberté contre l’homogénéisation et l’annulation de son identité ; il commence à comprendre la valeur des liens familiaux et sociaux, des liens de foi et de culture qui unissent les honnêtes gens. Ce Grand Reset est voué à l’échec parce que ceux qui l’ont planifiée ne comprennent pas qu’il existe encore des gens prêts à descendre dans la rue pour défendre leurs droits, protéger leurs proches, donner un avenir à leurs enfants et petits-enfants. L’inhumanité nivelante du projet mondialiste se brisera lamentablement face à l’opposition ferme et courageuse des enfants de la Lumière. L’ennemi a Satan à ses côtés, Lui qui ne sait que haïr. Mais de notre côté, nous avons le Seigneur Tout-Puissant, le Dieu des armées en ordre de bataille, et la Très Sainte Vierge, qui écrasera la tête de l’ancien Serpent. « Si Dieu est pour nous, qui peut être contre nous ? » (Rom 8 : 31).
Monsieur le Président, vous savez bien qu’en cette heure cruciale, les États-Unis d’Amérique sont considérés comme le mur de défense contre lequel s’est déclenchée la guerre déclarée par les partisans du mondialisme. Mettez votre confiance dans le Seigneur, renforcé par les paroles de l’apôtre Paul : « Je puis tout en Celui qui me fortifie » (Ph 4, 13). Être un instrument de la Divine Providence est une grande responsabilité, pour laquelle vous recevrez certainement toutes les grâces d’état dont vous avez besoin, puisqu’elles sont ardemment implorées pour vous par les nombreuses personnes qui vous soutiennent par leurs prières.
Avec cette espérance céleste et l’assurance de ma prière pour vous, pour la Première Dame et pour vos collaborateurs, de tout mon cœur, je vous envoie ma bénédiction.
Que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique !
+ Carlo Maria Viganò
Nichon. Archevêque d’Ulpian Ancien Nonce Apostolique aux Etats-Unis d’Amérique
Fin du partage.
C. Rosenzwitt-Makiewsky
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