Voilà, c’est fait, la chose qui gouverne ce pays, après s’être concerté avec ses conseillers scientifiques, médecins de plateaux TV vendus au Lobbys Gilead et bien d’autres, a pris la décision de museler tout le monde en instaurant un couvre-feu et des sanctions de l’ordre de 135 euros voire plus pour les plus réfractaires.
Mais dans quel pays vit-on ! Sommes-nous en guerre pour instaurer un couvre-feu ? N’y-aura-t-il personne pour se lever et aller dans la rue manifester et demander la destitution de ce gouvernement de pieds nickelés, la destitution de ce clown qui est la risée du monde !
Le droit d’un citoyen à demander la destitution du Président.
16 avril 2020 Observatoire du MENSONGE Daniel Desurvire.
Un citoyen a le droit de demander la destitution d’un Président qui a tant failli.
Citoyen français, bénéficiant de tous mes droits, j’en appelle aux membres des deux chambres du Parlement, afin de proposer au vote une motion de destitution du Président de la République conformément à l’article 68 de la Constitution française. Mesdames et Messieurs les Parlementaires, de toutes les sensibilités confondues, n’auront que l’embarras des motifs pour argumenter cette mesure de salubrité publique, face à la négligence, aux manquements, à l’irresponsabilité et aux mensonges qui ont été proférés aux ressortissants de son pays, depuis son pupitre présidentiel, par la voix des membres du Gouvernement et des avis rendus par le Conseil d’État.
Outre nombre de raisons qui pourraient être évoquées dans le réquisitoire de cette procédure politique, le manque de matériel médical et paramédical, dont les masques selon leur catégorie, figure principalement comme chef d’accusation. Depuis le 17 mars 2020, le corps médical et les forces de police, les premiers exposés à la pandémie du COVD-19, ne disposent toujours pas à ce jour de masques appropriés, nonobstant la promesse du chef de l’exécutif au lendemain de sa première intervention publique, le 12 mars 2020, lequel certifiait délivrer sans délai aux citoyens tout le matériel et les moyens nécessaires pour faire face à cette crise sanitaire létale ; À ce jour, les pharmacies ne peuvent toujours pas délivrer de masques de protection pour le grand public (Voir un extrait de ces promesses reproduit ci-dessous).
Devant cette incurie, où le ministre de la Santé a osé prétendre, au cœur de la crise, l’excellence du système social et sanitaire français dans le monde, les hôpitaux sur l’hexagone se trouvent désormais dans la situation des pays du tiers-monde, autrement dit dans l’obligation d’expédier leurs malades dans les services hospitaliers étrangers, ainsi en Allemagne et en Belgique. Rappelons que nos voisins germaniques disposent de dix fois plus de lits d’hôpital que la France, après que nos dirigeants, jusqu’à Emmanuel Macron inclus, aient supprimé des dizaines de milliers de lits, y compris en soins intensifs.
Alors oui, si nous sommes vraiment en guerre, selon l’expression pathétique du Président français, le peuple de France, privé de gel désinfectant, de masques, de lits d’hôpital et de respirateurs artificiels, se trouve effectivement dans les tranchées du confinement, mais sans casque ni fusil !
Vraisemblablement empêtrés dans les mailles de son filet de suffisance et de mépris, devant la cascade de ses fausses nouvelles et de ses promesses jamais honorées, le pensionnaire de l’Élysée [1] a désormais recours au Conseil d’État pour que les conseillers prennent le relais de ses impérities, des manquements à ses devoirs et à ses mystifications, voire endosser à sa place les conséquences médiatiques de son irresponsabilité.
Voici une piqure de rappel pour bien cerner ce qu’est vraiment le Conseil d’État, son histoire, ses attributions et prérogatives ; ou ce que le grand public bien légitimement ignore à défaut de renseignement didactique sur ce point de détail, ô combien sensible ! Afin de préserver des informations délicates à révéler pour les commanditaires de l’exécutif, la Haute juridiction administrative sert de courroie de transmission à l’appareil de l’État, mais dans l’anonymat d’un déni de démocratie au sein même de la séparation des pouvoirs :
« L’article L. 121-1 du code de justice administrative dispose : la présidence du Conseil d’État est assurée par le vice-président. L’Assemblée générale du Conseil d’État peut être présidée par le Premier ministre et, en son absence, par le Grade des Sceaux, ministre de la justice. La codification, réalisée prétendument à droit constant par l’ordonnance du 4 mai 2000, porte modification de l’article 1er de l’ordonnance du 31 juillet 1945, lequel fait relever le Conseil d’État « du président du gouvernement provisoire de la République française, en sa qualité de président du conseil des ministres », et de l’article 17 du décret du 30 juillet 1963 qui désigne le Premier ministre président de l’assemblée générale du Conseil d’État […] » (Source : Pouvoirs n° 123, novembre 2017, p. 117 à 132, Pascal Gonod, Professeur de droit public).
Ce souvenir lointain où le Conseil d’État était effectivement présidé par le Chef d’État ou par une autorité politique désigné par lui n’a finalement pas été gommé, puisqu’il a été subrepticement contourné pour en assurer implicitement la gouvernance, autrement dit ; qui ce jour en est l’éminence grise. Même si aucune autorité exécutive n’a encore jamais présidé le Conseil d’État depuis le Consulat et l’Empire, il n’en demeure pas moins que la nomination du vice-président de cette haute institution administrative relève directement de l’autorité du Chef de l’État par décret, et que cette vice-présidence se pose comme le vassal de ce pouvoir élyséen. Il n’est donc pas utile pour l’exécutif, président de droit du Conseil d’État, de prendre directement la main sur ce poste clé de la juridiction administrative, sinon rendre publique la réalité de cette mainmise du pouvoir politique sur ce volet politique du droit prétorien.
En revenant sur la procédure de destitution du Chef de l’État, la loi organique du 24 novembre 2014 précise que la proposition de réunion de la Haute Cour de Justice doit être votée à la majorité des 2/3 de chacune des Assemblées. L’article 2 de la loi susmentionnée portant application de l’article 68 de la Constitution dispose : « Si le Bureau constate que ces conditions sont réunies, la proposition de résolution est envoyée pour examen à la commission permanente compétente en matière de lois constitutionnelles, qui conclut à son adoption ou à son rejet ». Seul hiatus, Richard Ferrand – un proche d’Emmanuel Macron, – président de l’Assemblée nationale et président de droit de la Haute cour susvisée, fut mis en examen pour prise illégale d’intérêt dans l’affaire des Mutuelles de Bretagne sous la casquette de ministre de la cohésion des territoires de mai à juin 2017.
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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[1] « … La Nation soutiendra ses enfants qui, personnels soignants en ville, à l’hôpital, se trouvent en première ligne dans un combat qui va leur demander énergie, détermination, solidarité. Ils ont des droits sur nous. Nous leur devons évidemment les moyens, la protection. Nous serons là. Nous leur devons des masques, du gel, tout le matériel nécessaire et nous y veillons et veillerons. Nous avons décidé avec les scientifiques de réserver les masques en priorité pour l’hôpital et pour la médecine de ville et de campagne, en particulier les généralistes, les infirmières désormais en première ligne aussi dans la gestion de la crise. Des masques seront livrés dans les pharmacies dès demain soir dans les 25 départements les plus touchés. Mercredi pour le reste du territoire national. J’ai aussi entendu le message des spécialistes, en particulier des chirurgiens-dentistes et beaucoup d’autres. Des solutions seront trouvées avec le Ministre de la Santé dans les prochaines heures ».
(Extrait du discours de Macron, 16 mars 2020).
Lien et commentaires :
Daniel LE GAOUYER CHEVALIER :
« Merci M. DESURVIRE. Excellent votre article, comme d’habitude, il y a un mois, j’ai demandé la destitution du falsificateur selon l’article 68 de notre Constitution du 4 octobre 1958, pour les mêmes motifs que vous exprimez dans votre article. Que dois-je ajouter ? Que je confirme que notre cher Pays : la France, puis l’Europe, connaîtront l’effondrement et l’affrontement violent en 2025, catastrophe que j’avais prédite dès 1991, dans mon rapport écrit intitulé : « Le Phénomène Zoulou », remis et développé avec le ministre en poste d’époque. Mais vainement, comme d’habitude, parce que « les jeux » sont faits. En effet, dès mai 1981, le nouveau patron avait déclaré à son prédécesseur, je cite : « Il faudra laminer la classe moyenne ».
Il est clair que le « futur » est toujours écrit dans les couloirs secrets des oligarchies financières qui dirigent le monde. Les politiques élus au poste de présidents qui nomment, de même suite, leurs ministres soumis au système, n’ont toujours été que des pantins à la botte des banquiers internationaux en faveur des ultra -riches qui n’ont aucun état d’âme, ni amour des peuples qu’ils considèrent comme des esclaves, certes, en costumes cravates, ou autres tenues, mais comme des pions. Rien de nouveau en tous les points cardinaux d’un monde de dingue en fin de vie. Sauf si les peuples se réveillent, tous ensemble, en costume ZOULOU ! Sortant tous dans les rues, en « même temps ». Nous pouvons toujours rêver, c’est bon pour le moral. »
*
Christophe :
« Les moyens ne manquent pas à produire au soutien de la destitution de l’hurluberlu qui nous tient lieu de Président et vous les avez remarquablement bien pointés. Si un citoyen peut, indirectement, demander la destitution du Président, il ne peut s’adresser qu’à ses « représentants » élus qui, eux, n’en veulent pas vu que leur sort et leurs intérêts sont liés à ceux du monarque. Donc la Cour baisse la tête et se tait. Tant que nos institutions resteront ce qu’elles sont, le seul recours des citoyens sera d’adresser des requêtes à leurs maîtres qui, cinq années durant, agissent hors contrôle et n’en n’ont cure. »
*
Daniel Desurvire :
« Bien entendu, destituer un président en France est mission impossible, d’abord parce qu’il n’y a plus de média indépendants pour soulever les affaires, les vraies, sachant que les groupes de presses et les éditeurs sont soumis au berlusconisme fiscal (subventions, exonérations confisquées = faillite en moins de 6 mois). Par ailleurs, le tissu social-démocrate est une substance politique arachnéenne. Tous dans le même filet et rien ne doit dépasser. Si j’ai lancé cette idée de destitution, et je ne suis pas le premier, c’était pour expliquer comment et pourquoi cela ne peut pas fonctionner dans un système où l’oligarchie détient tous les pouvoirs (l’information et le droit d’expression muselé ou piraté, l’AFP, Hachette…), y compris la justice ainsi le Conseil d’Etat nonobstant la prétendue séparation des pouvoirs. De sorte qu’il n’y aura pas de Watergate en France, car la France n’est plus un Etat démocratique. Depuis mon pigeonnier, mon seul pouvoir consiste à m’exprimer, à partager et à apprendre. Alors merci mille fois Alexandre, merci encore à mes interlocuteurs qui m’écrivent et qui savent écrire, Lem, Christophe et combien d’autres. Daniel. »
Suite des commentaires :
On assiste au lent effondrement de l’État sur lui-même.
L’État républicain est au plus mal. Jamais, sans doute, dans notre histoire, la République a été autant malmenée qu’elle l’est aujourd’hui. L’édifice est vermoulu. La question n’est plus de savoir s’il va s’effondrer, mais quand ?
L’épidémie de Covid-19 est révélatrice de la crise profonde que traverse notre pays. Elle met à l’épreuve la capacité des pouvoirs publics à surmonter le double défi sanitaire et économique tout en assurant la cohésion d’une société prête à imploser. Pour tenir les deux extrémités de la chaîne il faudrait un pouvoir fort bénéficiant d’un soutien massif de l’opinion publique. Ce qui est loin d’être le cas !
À quoi assiste-t-on, en effet ! À un lent délitement de l’autorité de l’État incapable de faire respecter l’ordre dans le pays où l’on constate une montée de la violence et de la délinquance. Les malfrats n’hésitent plus à défier l’État et la République. On l’a encore vu à Herblay (Val- d’Oise) où deux policiers ont été sauvagement pris à partie par trois racailles qui les ont dépouillés de leurs armes avant de s’en servir contre eux, leur occasionnant de graves blessures. Trois jours plus tard c’est à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) que le commissariat de police a subi une attaque en règle par une quarantaine d’énergumènes armés de mortiers d’artifice et de projectiles divers.
Une incroyable scène de guérilla urbaine qui n’est pourtant pas une première en France. Pour la seule région parisienne, c’est la cinquième fois depuis le début de l’année qu’un commissariat est pris pour cible. Celui de Champigny-sur-Marne avait déjà fait l’objet d’une attaque en avril dernier. On se demande quelle sera la prochaine étape ? Verra-t-on un commissariat pris d’assaut par la racaille et les policiers désarmés sortir les bras en l’air ? La question se pose désormais sérieusement.
La rue impose sa loi.
Tétanisés par la perspective d’une « bavure » susceptible d’enflammer les cités comme en 2005, les policiers préfèrent se barricader dans les commissariats plutôt que de riposter. C’est la rue qui désormais impose sa loi ! Et que fait l’exécutif face à ce chaos qui s’installe tranquillement dans le pays ? Il se contente de déclarations d’une désespérante puérilité. « Nous serons intraitables, déclare le Premier ministre Jean Castex. Ils auront à faire à nous. On ne les laissera pas faire ». Quant au ministre de l’Intérieur, il croit résoudre le problème en interdisant la vente des mortiers d’artifice aux non-professionnels.
On se demande si nos gouvernants se rendent vraiment compte de la gravité de la situation ! Les policiers de terrain n’en peuvent plus d’entendre ces discours. « On veut des actes, pas des paroles ! » s’insurgent-ils. Mais pour agir, il faudrait à l’exécutif du courage et de la volonté politique. Les coups de menton ne servent à rien s’ils ne sont pas suivis d’effet !
La même impuissance de l’État se vérifie avec la gestion chaotique du Covid-19 où le pouvoir donne la désagréable impression de ne pas savoir où il va. Et cela depuis le début ! Présentés comme inutiles hier, les masques sont devenus obligatoires aujourd’hui et sans doute pour longtemps encore. Et que dire de la pratique chimérique et ruineuse des tests – qui coûtent chaque semaine 90 millions d’euros à la Sécurité sociale – dont les résultats ne sont disponibles qu’au bout de dix jours.
Ces revirements incessants, ces hésitations, et ces injonctions parfois contradictoires de l’exécutif – un jour « il faut vaincre le virus », le lendemain « il faut vivre avec » – ont fini par ruiner la confiance des Français dans leurs dirigeants. Une méfiance dont fait aussi les frais le milieu médical profondément divisé sur les mesures à prendre pour lutter contre l’épidémie.
S’ils s’étaient montrés dociles au début du confinement en acceptant de renoncer à leurs libertés publiques, il en va tout autrement avec la deuxième vague de la Covid-19. Ils découvrent avec stupéfaction que rien n’a été fait par les pouvoirs publics depuis six mois. On n’a pas ouvert davantage de lits de réanimation alors que les hôpitaux arrivent à saturation tandis que nombre de soignants sont au bord de l’épuisement.
Ils se demandent pourquoi ils devraient payer pour les erreurs de gestion de dirigeants qui leur ont menti pour masquer l’impréparation du pays à affronter cette épidémie. Rien d’étonnant à ce qu’ils traînent les pieds pour appliquer des règles sanitaires contraignantes dont, par ailleurs, ils ne comprennent pas toujours l’utilité. Les cas de rébellion se multiplient notamment chez les petits commerçants et les artisans qui n’acceptent pas de mettre en péril l’activité de leurs entreprises au bord du dépôt de bilan.
Fronde des magistrats.
Cette mise en cause de l’autorité de l’État prend toute sa dimension avec l’incroyable bras de fer qui oppose les magistrats à leur ministre Éric Dupond-Moretti. Les juges refusent de rencontrer l’ancien ténor du barreau tant que ne sera pas réglé le « conflit d’intérêts » qu’ils lui reprochent. De quoi s’agit-il ? Entre 2014 et 2019 le parquet national financier (PNF) a diligenté dans le plus grand secret une enquête préliminaire visant à identifier la « taupe » qui renseignait Nicolas Sarkozy, alias Paul Bismuth, et son avocat Thierry Herzog, sur les procédures en cours visant l’ancien président de la République. Lors de leurs investigations, les policiers ont examiné les « fadettes » (factures détaillées) d’un certain nombre d’avocats parmi les plus réputés de France pour obtenir des données permettant de les géolocaliser.
Lorsque Éric Dupond-Moretti découvre qu’il était placé sur écoutes, il laisse éclater sa colère, dénonce des « méthodes de barbouzes » et porte plainte. Nommé à la Chancellerie dix jours plus tard, il doit retirer sa plainte mais décide de rendre public le rapport de l’inspection générale de la justice demandé par Nicole Belloubet et ordonne une enquête administrative visant trois magistrats du PNF. Colère des magistrats. Des centaines de juges se rassemblent devant les tribunaux pour défendre « l’indépendance de la justice » affirmant que « des intérêts privés dominent l’action publique ». Tout ça parce que Dupond-Moretti est l’ami de Thierry Herzog qui doit être jugé cet automne pour « corruption » avec Nicolas Sarkozy.
Macron n’avait vraiment pas besoin de cette épine dans le pied. Nul doute qu’il a commis une erreur de casting en nommant le bouillant « Acquitator » comme garde des Sceaux ! Si son idée était de mettre au pas la justice, il a, pour le moins, manqué de discernement. Il aura à en supporter les conséquences !
Alain MARSAUGUY
Lien et commentaires :
« On nage dans un bouillon de mensonges, de faux-semblants et d’inversions accusatoires. Tout cela pour rendre compatible l’Islam avec notre pauvre pays : suppression d’écoles par correspondance françaises dans la lutte contre le “séparatisme”, ou encore pour complaire à la Finance : exploitation d’un virus en bout de course, de la peur de la mort et de la perte d’un être cher dans l’attente d’un vaccin miracle qui génèrerait de gros profits. Effectivement, l’Etat se d’élite et les Français sont abandonnés aux vents mauvais. »
« La république va mal et entame son agonie…. le Cercle Légitimiste de France ne s’en plaindra pas et ne versera pas une larme le moment venu… et les Français pas davantage car ils soutiennent la république comme la corde soutient le pendu. Allons, courage, encore un pas de plus jusqu’ au trépas! Et le plus tôt sera le mieux pour les Français. »
« Là ! Si son idée était de mettre au pas la justice, il a, pour le moins, manqué de discernement. Il aura à en supporter les conséquences ! Macron, le fossoyeur de la diplomatie française... ! là est étalé noir sur blanc à rallonge toute l’incompétence notoire de ce type élu à 18% »
https://ripostelaique.com/on-assiste-au-lent-effondrement-de-letat-sur-lui-meme.html
https://ripostelaique.com/adieu-ma-france-avec-macron-tout-le-pays-est-en-train-de-couler.html
Fin de citation.
De dernière minute,
Blachier fait volte-face et parle désormais de "vaguelette" et ne comprend pas la peur ambiante qu'il a lui-même contribué à instaurer.
Lien et commentaires :
« Leur but est de détruire ce monde pour pouvoir reconstruire le leur, l'homme machine connecté avec l'aide de leur 5 G, Laurent Alexandre le dit très bien dans cette vidéo qui ne date pas d'aujourd'hui ...
https://videopress.com/v/O82eN8GC
Aujourd'hui les données de chaque utilisateur d'internet sont stockés par des entreprises privé qui les revendent à des entreprises comme celle-ci dans un but commerciale :
https://www.u-cie.com/#notre-metier
https://www.groupe-hli.com/comportement-clients-avec-ia/
etc. etc. Mais on voit déjà ou ils veulent en venir, lisez ceci :
Ceux qui veulent enfermer tous les fichiers S en prison et qui n'ont commis aucun crime vous préparent déjà à ce qui va venir !!! »
« Il faudrait tout de même arrêter de dire que le gouvernement navigue à vue... On sait tous ici qu'il a un plan à respecter, qu'il est criminel et qu'il sait très bien ce qu'il fait. Il ne peut pas y avoir de seconde vague puisqu'il n'y a pas eu de première. Ce covid n'est qu'une mascarade, un énorme mensonge de plus, un méga false flag. Et très bientôt, le but de tout ceci nous fera tellement mal au cul que même les bisounours aveugles et naïfs ne pourront pas faire autrement que comprendre qu'ils se sont bien fait enfilés. Sinon, oui c'est bien de continuer à recommander la Vit C, D et magnésium puisque à défaut de vous protéger contre un virus imaginaire, ça vous protégera au moins contre la grippe et autres coronas habituels... »
" Il faudrait tout de même arrêter de dire que le gouvernement navigue à vue... " En effet y'a tout de même de quoi se poser des questions quand on lit une phrase pareille après des 100 aines d'articles ici-même prouvant le contraire. Petite vidéo rigolote pour le mouton lambda mais beaucoup moins pour les autres.
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« Ne pas croire à une seconde vague, c'est une position qui se tient mais tu affirmes qu'il n'y en a jamais eu de première. Que veux-tu dire par là ? Tu nie l'existence du virus ? »
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« Je dis qu'ils naviguent à vue car ils ne donnent pas l'impression de savoir ce qu'ils font. On l'a vu avec le masque et toutes les mesures contradictoires. Une semaine ils ferment les bars et restaurants à Marseille puis quelques jours après ça réouvre. ça pu l'amateurisme. Ils ne savent pas réellement quoi faire donc ils font n'importe quoi et enchaînent les gesticulations pour donner l'impression qu'ils font quelque chose de concret pour limiter la propagation du virus. Si tu crois que ça ressemble à un plan s'en est un vraiment foireux alors. »
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« Bonsoir, le virus il existe c'est indéniable, mais ils l'exploitent à fond pour activer leur agenda avec lequel ils semblaient avoir pris du retard. Donc du coup entre penser qu'il a été créé il n'y a qu'un pas. Par-contre ce qui pourrait faire douter c'est qu'il est faible leur virus, à tel point qu'ils doivent fausser les chiffres et du coup prendre le risque qu'au final les gens doutent et c'est ce qu'il se passe. Auraient-ils pêché par orgueil ? »
Plus de commentaires :
https://www.fawkes-news.com/2020/10/blachier-fait-volte-face-et-parle.html?spref=tw
Le Professeur Perronne de retour dans les médias : "On nous invente une deuxième vague catastrophique"
"On est dans l'instrumentalisation de la peur", déclare avec force le Professeur Perronne. Alors qu'"en Allemagne ou en Italie, on n'a pas d'explosion de l'épidémie", en France "on nous invente une deuxième vague catastrophique" sur la base de tests PCR à l'origine d'énormément de "faux positifs".
"J'en conviens, dit-il, l'épidémie continue de circuler", mais la virulence du virus a baissé et, surtout, ce qui compte dans les statistiques, c'est le nombre d'hospitalisations et le nombre de décès".
Et il assène : "Ces tests-bidon sont en train de ruiner la Sécurité Sociale. C'est de la politique, ce n'est pas de la médecine, ce n'est pas de la science, franchement c'est un grand scandale sanitaire et politique, on instrumentalise la peur". Pr. Perronne.
Lien et commentaires :
« Sa franchise lui coûte son absence des plateaux télé ! Journalistes complices »
« Parfait pour la mise en place d’un système de santé privatisé à l’américaine. Bien pratique ce virus à plus d’un titre. »
« Exactement professeur, Il ruine la Sécurité sociale car ils vont la fermer. Seules les mutuelles hors de prix seront mises en place »
Patrick Cohen et Anne-Elisabeth Lemoine, le confinement « annoncé »
Lien vidéo et 1581 commentaires :
« On ne coupe pas la main de celui qui vous nourrit ! Tous sont à vomir, quelle bassesse de la part de ces médecins corrompus vendus à Gilead et à tant d’autres lobbys !
https://www.youtube.com/watch?v=9EEGJlcmmT8
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Couvre-feu : scandaleux coup d’Etat sanitaire de Macron.
Lien vidéo et commentaires :
« "Ils" nous testent, voient jusqu'où ils peuvent nous soumettre, et pour l’instant ils s'aperçoivent qu'il ne semble pas y avoir de limites à ce qu'on peut faire subir aux français, donc ils n'ont aucune raison d'arrêter, c'est aussi simple que ça !!! S’il y' a 2 ou 3 millions de gens dehors, à l'heure du couvre-feu, et sans masques par-dessus le marché, et bien que pourront-ils faire ? Rien ! C'est TOUJOURS la même rengaine : ils ont le pouvoir qu'on veut bien leur laisser, ni plus ni moins ! Donc soit on se rebelle, soit on se retrouve réduits en esclavage, l'équation est toute simple ! »
https://www.youtube.com/watch?v=tT6ZwYkao5I&feature=emb_logo
‘Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre et finit par perdre les deux.’
Benjamin Franklin
Comme l’écrit Benjamin Wittes, chercheur à la Brookings Institution, la citation est extraite d’une lettre adressée en 1755 par Franklin au gouverneur colonial, au nom de l’Assemblée de Pennsylvanie. Et dans sa formulation exacte, elle diverge sensiblement de la version massivement indexée sur Google :
‘Ceux qui abandonnent une liberté essentielle pour acheter un peu de sécurité temporaire ne méritent ni liberté, ni sécurité.’
Loin d’évoquer les libertés individuelles, Benjamin Franklin s’adresse en réalité à la famille Penn, qui exerce sa tutelle sur la province et refuse la taxation de ses terres pour financer la protection des frontières contre les attaques des Indiens et les Français. Sous sa plume, la « liberté essentielle » ne désigne pas le droit inaliénable pour chacun de disposer de lui-même, mais l’importance de l’autonomie politique de l’Assemblée pour assurer la sécurité collective des Pennsylvaniens. « Franklin n’écrivait pas en tant que sujet qui cède sa liberté au gouvernement, mais en tant que législateur à qui l’on demande de renoncer à son pouvoir de taxer les terres théoriquement placées sous sa juridiction », écrit encore Wittes.
Vingt ans plus tard, au moment de la Révolution américaine, Franklin répète son apophtegme, comme en attestent ses Mémoires. Mais là encore, loin de s’offusquer contre l’émiettement des libertés individuelles, il plaide pour la souveraineté des Etats en gestation, « qui ne doivent pas accepter l’altération de leurs lois par le Parlement ».
La suite...,
Fin du partage,
Sujet à suivre.
C. Rosenzwitt-Makiewsky
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