lundi 8 décembre 2025

JEAN MICHEL L'HABITE ALIAS BRIGITTE MACRON : PAROLES DE PUTE / FLAGRANT DELI :

 

Micro ouvert 

L’enregistrement qui trahit Brigitte Macron

 

Lien vidéo et commentaires :

 

« Arrêtez de parler de première dame svp. Nous ne sommes pas en Amérique ! Chez nous, les premières dames n'existent pas. Ne l'oubliez pas je vous prie !!!!! »

 

« Premier "homme" peut-être mais pas de dame s'il vous plaît »

 

« Ces gens ne sont que des profiteurs. Ils sont l'ennemi du peuple français qu'ils ne respectent pas. »

 

« A quand le réveil des citoyens ?? »

 

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Brigitte Macron défend Ary Abittan : « S’il y a des sales connes, on les fout dehors » – la phrase qui met le feu aux réseaux

 

Hier soir dans un cinéma parisien, Brigitte Macron a balancé devant Ary Abittan : « S’il y a les sales connes, on va les foutre dehors ! » en parlant des militantes qui ont dénoncé l’acteur malgré un certificat médical accablant (lésions anales et vaginales graves). La vidéo fait vomir la moitié de la France.

 

Mise à jour le 09/12/25

 

Spectacle pitoyable offert par Brigitte Macron hier soir dans le hall d’un cinéma parisien. Tailleur noir impeccable, sourire carnassier : la Première dame a jugé utile de voler au secours d’Ary Abittan – tout juste blanchi (pour absence de preuve) en appel dans une affaire de viol – en balançant avec la finesse qu’on lui connaît :

 

    « S’il y a les sales connes, on va les foutre dehors ! »

 

Rires complices… Le petit cercle (Tiphaine Auzière comprise) est aux anges. « Les certificats médicaux, on s’assoit dessus ».

 

Parce que, rappelons les faits (ça gêne, mais bon)

 

La plaignante, elle, n’a pas juste eu « une soirée un peu mouvementée ». Le médecin légiste avait constaté en 2021 :

 

    Lésions anales et vaginales graves : Déchirures (fissures), hématomes internes et externes, et saignements abondants aux niveaux génital et anal. Ces blessures sont qualifiées de « traumatiques » et « compatibles avec un rapport sexuel anal non consenti ou forcé ».

 

    Traces de violence externe : Contusions (bleus) sur les cuisses, les hanches et la joue gauche (gifles présumées), ainsi que des griffures sur les bras et le torse. La plaignante évoque aussi une strangulation légère, avec des marques au cou.

 

    Éléments matériels corroborant : Du sang frais sur une serviette de bain saisie au domicile d’Ary Abittan, analysé comme provenant de la plaignante. Des messages envoyés à une amie juste après les faits décrivent une « douleur insoutenable » et une « panique totale ».

 

Mais bon, détails. Un non-lieu en première instance, un appel qui confirme, et hop : circulez, y a plus rien à voir. La justice a parlé, donc tout va bien, n’est-ce pas Brigitte ?

 

Les « sales connes », ce sont les militantes qui osent rappeler ces faits

 

Celles qui, quelques jours plus tôt, avaient perturbé l’avant-première en criant « violeur ». Comment osent-elles perturber la digestion culturelle d’un homme blanchi (pour une raison qui nous échappe) ? Alors Brigitte sort l’artillerie verbale : dehors les emmerdeuses. On protège ses amis, voyons. Ce qui n’est pas sans rappeler la caste qui défendait Polanski, ce pauvre innocent qui sodomisait une gamine 13 ans après l’avoir drogué…

 

Cette sortie crue pour défendre Abittan — pourtant moins drôle que Dieudonné —, on comprend mieux la ligne officielle : quand t’es connu et que t’as des potes au pouvoir, les lésions anales graves, c’est juste un détail technique. Les vraies victimes, ce sont les pauvres stars qu’on empêche de rigoler tranquilles et de ramasser un peu de pognon au passage.

 

Merci Brigitte, vraiment

 

Grâce à toi, on sait désormais où placer le curseur de l’élégance française : quelque part entre l’insulte de bistrot et la solidarité de caste. Les « sales connes », elles, continueront probablement à lire les rapports médicaux.

 

Pendant ce temps, la vidéo continue de tourner, les commentaires de pleuvoir, et la nausée de monter. Mais rassurez-vous, dans le petit cercle des tapis rouges, on rigole encore.

 

Mais pour combien de temps ?

 

par Le Média en 4-4-2

 

https://lemediaen442.fr/brigitte-macron-defend-ary-abittan-sil-y-a-des-sales-connes-on-les-fout-dehors-la-phrase-qui-met-le-feu-aux-reseaux/

 

France : Polémique :

 

« S’il y a les sales connes, on va les foutre dehors », lâche Brigitte Macron à propos des militantes féministes

 

Brigitte Macron, le premier homme trans de l’Elysée, (c’est moi qui rajoute), qui traite les féministes de « sales connes » » : Le couple présidentiel en roue libre insultante

 

Les Macron, ce duo intouchable qui se pavane à l’Elysée comme si la France était leur salon !

 

Dernière perle en date :  Brigitte Macron, alias Jean-Michel Trogneux (c’est moi qui rajoute), la prof de français recyclée en Première Dame peroxydée, lâche cash devant les caméras :

 

« S’il y a les sales connes, on va les foutre dehors ! »

 

Des militantes féministes de Nous Toutes, qui osaient manifester contre l’humoriste Ary Abittan ce héros du non-lieu pour viol, pardon, « innocenté par la justice » selon ses fans en rut. Scandaleux ? Non, pour Brigitte, c’est juste du ménage de printemps chez les « sales connes !

 

Les Macron se croient à l’abri de tout, planqués derrière leur pouvoir et leur fric, insulter des militantes en public ?

 

Hallucinant ! Mais c’est ça l’élite : se permettre le viol verbal (et peut-être plus) parce que « nous, on est au-dessus ». Pathétique duo qui méprise la France entière. Réveillez-vous, les « sales connes » et les fainéants » : ces gens-là ne valent pas mieux que les pantins qu’ils dénoncent. Finie la roue libre, les Macron : Dehors, les sales cons !

 

Toi et ton travelo, dégagez.

 

Suite de l’article et vidéo :

 

https://qactus.fr/2025/12/08/france-polemique-sil-y-a-les-sales-connes-on-va-les-foutre-dehors-lache-brigitte-macron-a-propos-de-militantes-feministes/

 

Réactions des sales connes

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Gibritte insulte les victimes.

 

Lien vidéo et commentaires :

https://crowdbunker.com/v/xjxnGS7NUF

 

Une guenon avec une drôle de perruque au zoo. Mais c'est quoi, ce bordel ????

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 Rappel:

 

“Je pardonne”, dit Ary Abittan. 

Le certificat médical, lui, évoque : Lésions anales/vaginales et saignements abondants

 

« Je pardonne », dit-il à la télé. Mais il pardonne quoi, exactement ? Les lésions anales et vaginales, les hématomes internes et externes, les saignements abondants ? Les contusions sur les cuisses, les hanches, la joue gauche ?

 

Mise à jour le 08/12/25

 

On vous laisse imaginer : une femme arrive aux urgences avec des lésions anales, des hématomes et un état de choc patent. Elle porte plainte pour viol. Trois ans plus tard, l’accusé, un humoriste vedette, se confie à la télé : « Je pardonne. » Et les médias applaudissent presque ce grand seigneur. En France, l’affaire Ary Abittan n’est pas qu’un fait divers. C’est le miroir d’un système qui, sous couvert de présomption d’innocence, laisse trop souvent les victimes sur le carreau.

 

Retour sur les faits : une nuit de 2021 qui bascule tout

 

Tout commence le 2 novembre 2021, dans un appartement parisien. Ary Abittan, alors au sommet de sa carrière avec des rôles dans Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu ? et des one-man-shows bondés, est accusé de viol par une ancienne compagne. Les détails, sordides, sortent vite : la plaignante décrit une agression brutale, un refus clair de consentement. Le soir même, un certificat médical atteste de déchirures anales, de bleus et de griffures – des preuves physiques incontestables, comme un coup de poing dans un mur de verre.

 

L’humoriste est placé en garde à vue, l’instruction s’étire sur trois ans. Des expertises s’enchaînent, des témoignages se croisent. La défense ? Une relation consentie, certes intense, mais mutuelle. Pas de caméras, pas de témoins oculaires : le doute s’installe, ce fameux doute qui, en droit français, profite toujours à l’accusé.

 

Le non-lieu : innocence ou absence de preuves ?

 

Avril 2024 : le juge d’instruction prononce un non-lieu. Pas de charges suffisantes pour un procès. La plaignante fait appel, mais le 30 janvier 2025, la cour d’appel de Paris confirme.

 

En droit pénal français, un non-lieu n’équivaut pas à une relaxe ou à une déclaration d’innocence. C’est simplement : « On ne peut pas prouver l’absence de consentement au-delà du doute raisonnable. »

 

Imaginez un puzzle où il manque la pièce centrale – le viol (article 222-23 du Code pénal) exige non seulement un acte sexuel non consenti, mais aussi l’intention de l’auteur de passer outre. Pourtant, ces lésions graves ? Elles existent, elles sont documentées, et personne ne les conteste médicalement. Mais sans le « non » irréfutable, pas de condamnation pour viol. Et pour des violences volontaires ? Rien non plus : la plainte portait sur le viol, et les juges n’ont pas requalifié.

 

Un médecin légiste rédige un certificat médical initial, versé au dossier d’instruction. Ce document, établi dans les heures suivant l’agression alléguée, décrit :

 

  • Lésions anales et vaginales graves : Déchirures (fissures), hématomes internes et externes, et saignements abondants aux niveaux génital et anal. Ces blessures sont qualifiées de « traumatiques » et « compatibles avec un rapport sexuel anal non consenti ou forcé ».

 

  • Traces de violence externe : Contusions (bleus) sur les cuisses, les hanches et la joue gauche (gifles présumées), ainsi que des griffures sur les bras et le torse. La plaignante évoque aussi une strangulation légère, avec des marques au cou.

 

  • Éléments matériels corroborant : Du sang frais sur une serviette de bain saisie au domicile d’Ary Abittan, analysé comme provenant de la plaignante. Des messages envoyés à une amie juste après les faits décrivent une « douleur insoutenable » et une « panique totale ».

 

Résultat : des blessures réelles, un traumatisme latent, et zéro sanction. Ah, la justice comme un filet trop large…

 

Le « pardon » d’Abittan sur BFMTV : un retournement théâtral

Journaliste :

 

« Vous en voulez à votre accusatrice, qui vous a gâché la vie pendant trois ans ? »

 

Le 6 novembre 2025. Sur le plateau de BFMTV, Ary Abittan fait son grand retour. Invité pour promouvoir un nouveau spectacle, il lâche, l’air magnanime :

 

« Je pardonne. Vous savez, le pardon n’est pas un cadeau qu’on fait à l’autre : c’est un cadeau qu’on se fait pour se libérer. »

 

  — Ary Abittan, BFMTV, 6 novembre 2025

 

Il ajoute que ces trois ans ont « gâché sa vie », qu’il n’a « aucune colère » envers elle, mais qu’il n’a eu aucun contact depuis. Un monologue poignant, presque victimisant : l’humoriste, pilier du rire français, se pose en martyr d’une procédure « cauchemardesque ». La plaignante ? Absente du récit. Pas un mot sur son calvaire, ses nuits blanches, son combat solitaire. Et les internautes ? Divisés, mais furieux pour beaucoup : « Pardonner à qui ? À la victime qui a osé parler de ses hématomes internes et externes, et saignements abondants aux niveaux génital et anal ? »

 

Et là, le sarcasme pointe le bout de son nez. BFMTV titre : « Ça a été très dur : Ary Abittan dit pardonner la femme à l’origine des accusations. » Closer renchérit : « Il pardonne à son accusatrice et les internautes n’en reviennent pas. » Comme si le scoop, c’était le cœur généreux de l’humoriste, pas les faits médicaux ni le non-lieu ambigu.

 

C’est un pattern bien rodé dans les affaires de violences sexuelles en France : les médias, avides d’audience, humanisent l’accusé – surtout s’il est célèbre – et marginalisent la victime.  Les chaînes comme BFMTV, en invitant Abittan sans contrepoint fort, alimentent ce narratif : l’homme qui pardonne, la femme qui accuse à tort. Un zeste d’empathie sélective, en somme.

 

Vers une justice qui protège vraiment ? L’appel au réveil

 

Derrière les paillettes d’Abittan et les plateaux télé, il y a une femme – anonyme, blessée – qui porte encore les stigmates. Son portrait ? Pas de one-woman-show triomphal, juste une procédure qui l’a usée. Des associations comme Osez le Féminisme crient au scandale, et des pétitions bloquent ses spectacles à La Réunion en février 2025. L’analyse est claire : sans réforme – consentement explicite, requalification automatique des violences – l’impunité régnera.

 

Ary Abittan reprend la scène, et c’est son droit. Mais à quel prix pour les autres ? En attendant, ce « pardon » médiatisé sonne comme un écho amer : dans le grand théâtre de la justice française, les victimes applaudissent-elles du second rang ?

 

par Le Média en 4-4-2

 

Lien de l’article et vidéo :

 

https://lemediaen442.fr/je-pardonne-dit-ary-abittan-le-certificat-medical-lui-evoque-lesions-anales-vaginales-et-saignements-abondants/

 

Articles à suivre. 

 

Note: On attend avec impatience le jugement de Brigitte Macron pour de nombreux chefs d'accusations dont usurpation d'identité, faux usage de faux, falsification de documents administratifs, sans oublier le plus grave, détournement de mineur. Parjure pour sa fille avocate, le dossier est lourd, très lourd. Candace Owens ne compte lâche rien lâcher malgré les menaces de mort à son encontre. Affaire à suivre. 

 

..... De dernière minute,


Sales connes

 

Brigitte exporte la honte planétaire

 

BBC, Daily Mail, Asia Daily… : le « sales connes » de Brigitte Macron fait le tour du monde

 

En deux jours, la phrase "sales connes" de Brigitte Macron a été reprise par la BBC, le Daily Mail, Politico, Asia Business Daily et des dizaines de médias étrangers. La France exporte enfin quelque chose qui fait l’unanimité : la honte planétaire.

 

Mise à jour le 09/12/25

 

Qui a dit que le français était en déclin ? Merci Brigitte !

 

C’est une phrase qui n’aurait jamais dû franchir les murs des coulisses des Folies Bergère, mais qui, en l’espace de 48 heures, a enflammé les débats en France et commence à déborder bien au-delà des frontières.

 

Dimanche 7 décembre, Brigitte Macron, épouse du président Emmanuel Macron, glisse à l’humoriste Ary Abittan, visiblement tendu avant son one-man-show : « S’il y a des sales connes, on va les foutre dehors. » Des mots prononcés avec un sourire, capturés par une caméra et balancés en ligne par l’hebdo Public le lendemain. Résultat ? Un tollé général, des hashtags qui explosent et une couverture qui s’étend maintenant à la presse internationale.

 

Rappelons le contexte, pour ceux qui auraient loupé l’affaire. La veille, le 6 décembre, quatre activistes du collectif #NousToutes ont fait irruption lors de la première parisienne d’Ary Abittan. Masquées à l’image de l’artiste, elles ont hurlé « Abittan violeur ! », en écho à l’accusation de viol portée contre lui fin 2021. La plaignante avait décrit des déchirures anales et vaginales graves. Après trois ans d’enquête, un non-lieu est prononcé en avril 2024, confirmé en appel en janvier 2025.

 

Ce qui frappe, c’est la vitesse à laquelle la vidéo a muté d’une confidence privée en arme de combat collectif. Sur X (ex-Twitter) et Instagram, #SalesConnes est devenu un cri de ralliement : des milliers de posts où des femmes – et des hommes – se revendiquent fièrement « sales connes solidaires ». L’actrice Judith Godrèche, pilier du mouvement contre les abus dans le cinéma, a lancé les hostilités sur Insta : « Moi aussi je suis une sale conne. Et je soutiens toutes les autres. ».

 

La presse mondiale s’emballe

 

  • La BBC : « Les féministes françaises outrées par le commentaire de Brigitte Macron sur les militantes »

 

  • Le Daily Mail : « Le moment où Brigitte Macron traite de ‘sales connes’ les féministes protestant contre un violeur »

 

  • Le Politico : « Brigitte Macron critiquée après avoir qualifié les militantes féministes de ‘sales connes’ »

 

  • The Asia Business Daily : « Brigitte Macron suscite la polémique avec des propos injurieux envers des militantes féministes »   

France 24, TV5 Monde, La Presse (Québec), i24NEWS et de nombreux médias belges et suisses relaient également l’affaire. Le couple Macron arrive encore à faire rayonner la France à travers le monde…

 

À l’Élysée, on tente de désamorcer : « C’était juste une critique des méthodes radicales, pas une attaque contre le féminisme », jure un proche. Mais face à un #SalesConnes qui cumule déjà des centaines de milliers d’interactions et à une presse mondiale qui traduit et relaie sans filtre, la machine semble hors de contrôle.

 

Cette gaffe pourrait-elle entacher durablement l’héritage « pro-femmes » de Brigitte Macron ? Ou restera-t-elle un épisode cocasse dans la saga macronienne ? Une chose est sûre : en insultant celles qui dénoncent les silences sur les viols, la Première dame a, malgré elle, remis les violences sexuelles sous les projecteurs. À charge pour les « sales connes » de transformer cette bourde en levier durable.

 

par Le Média en 4-4-2

 

https://lemediaen442.fr/bbc-daily-mail-asia-daily-le-sales-connes-de-brigitte-macron-fait-le-tour-du-monde/

 

Capucine - Une plainte explosive

 

Lien vidéo 16 commentaires :

 

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« Il s'agit de la plainte déposée par M. Christian Cotten contre X, enregistrée le 13.01.2025. Cette même vidéo a déjà été publiée il y a 11 mois par « L'autre son de cloche » !... 👉 htt...

 

Ça y est, ça bouge, plainte contre Jean-Michel

https://crowdbunker.com/v/EQiLsUjue3

 

« Les services de renseignement français doivent être au courant de la réelle identité de Brigitte. Notre France est gangrénée de toute part. IL serait temps que les puissances étrangères qui ont profité de la situation finissent par lâcher ce couple maudit. »

 

« Une dame ça ? »

 

« Celui qui a déposé la plainte va se faire suicider encore ! »

 

« J'espère qu'elle remboursera à la France tout l'argent qu'elle a volé !? »

 

« Qu’elle montre ses burnes »

 

« Ben on attend ???!!! »

 

« Faut faire vite pour les accusations tout cela prendra fin le 21 décembre le couple joue la montre dommage »

 

« Du réchauffé, et toujours sans suite. »

 

« C’est vieux tout ça et pour l’instant rien n’a abouti »

 

« Il va finir à la potence celui-là !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »

 

« Question : Comment se fait-il que le fils du conjoint de Mr Emmanuel Macron du nom de Jean-Jacques Trogneux ressemble au Président de la République française. »


« Tic-tac tic-tac... »

 

« Y tombe de très très haut ! Pas de bol pour Eux Youpi pour Nous ! »

 

« Encore un coup d'épée dans l'eau ? »

 

« Ouais c’est comme Amanda Lear, aucune preuve »

 

« Des preuves qu’Amanda Lear était un homme, il y en a plein, pour cela il suffit de faire aussi des recherches. Son vrai nom est Alain Maurice Louis René Tap / Péki d’Oslo

 

https://le-blog-de-la-pintade.over-blog.com/2018/02/amanda-lear-un-phenomene.html

 

C. Rosenzwitt-Makiewsky-Santri

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