mardi 20 juillet 2021

ON N'OUBLIERA PAS !

Je vous invite de nouveau à écouter l’excellent dernier sujet de Chris du site « Vivre sainement » et de le partager.

 

 

On aura bien compris qui du peuple ou du gouvernement est un complotiste ! Dénoncer les mensonges ce n’est pas être complotiste, c’est remuer la merde du ‘Marais’, les odeurs nauséabondes qui en remontent, pour essayer de sauver des vies, par contre, piquer en utilisant une injection expérimentale, c’est criminel, c’est un crime, et un crime contre l’humanité.

 


E. Macron recadrage du traître.

 


 

Game over.

 



 

Lien vidéo :

 

https://www.infovf.com/video/macron-recadrage-traitre-game-over--9867.html

 



"Macron est un psychopathe", l’analyse d’un psychiatre italien.

 

Le professeur Adriano Segatori est un psychiatre et psychothérapeute italien. Son analyse du profil d’Emmanuel Macron, basée notamment sur sa biographie et ses images de campagne, le pousse à conclure, de manière très argumentée : « Macron est un psychopathe qui travaille uniquement pour lui-même. »

 

Lien vidéo et commentaires :

 

https://www.youtube.com/watch?v=YOhKBWTaOlY

 



La seule solution contre le covid, c’est de vacciner, vacciner, vacciner matin et soir, 7 jours sur 7 !

 

Lien vidéo :

 

https://www.facebook.com/TF1leJT/videos/nicolas-sarkozy-linterview/767796923852068/

 


 

100 euros à chaque vaccin pour les 18-25 ans : voilà une bonne idée !

 

Il paraît que la France est de nouveau au bord du gouffre, la quatrième vague approche… le virus Delta nous attend à tous les coins de rue, ses petits picots bien dressés pour mieux nous sauter dessus.

 

Les contaminations (ou les tests ?) augmentent… mais les hospitalisations en réa et le nombre de victimes ne cesse de diminuer. Pourtant, le matraquage continue : il faut dire qu’il est plus rentable d’inoculer la trouille que de convaincre les gens de prendre en main leur santé. Alors chaque soir continuent de défiler sur nos écrans les chiffres de la pandémie : 9 morts hier soir ; 8.300 nouveaux cas, dit TousAntiCovid, et « tension réa » à 18 %. Pour 67 millions d’habitants. Pourquoi n’affiche-t-on pas aussi, chaque soir, le nombre de morts d’AVC, d’infarctus, de cancers multiples et variés, d’accidentés de la route ? Ce serait intéressant, non ?

 

Ben non, en fait, car si l’on appliquait les mêmes raisonnements débiles que ceux qui président aux dernières mesures sanitaires, il faudrait dare-dare interdire les voitures, les deux-roues, les cigarettes, l’alcool et sans doute, aussi, la respiration pour ne pas succomber à la pollution.

 

L’urgence, c’est de piquer tout le monde. Puisque tous les vieux, les cacochymes et les fragilisés y sont passés ou presque, il faut maintenant s’attaquer à la jeunesse. Pour les petits en âge scolaire, l’affaire est dans le sac : ce sera obligatoire. Le problème, c’est la tranche d’âge des 18-25 ans. « Les jeunes », ces inconscients qui rêvent de vivre. Ce n’est pas tant qu’ils soient contre la vaccination, non, mais ils traînent des pieds. Alors, en haut lieu, on cherche des carottes pour faire avancer les ânes.

 

Ainsi le préfet de Vaucluse vient-il, lui aussi, de lancer sa loterie. Une cause noble : un jeu concours sur Instagram « pour valoriser les jeunes ayant décidé de se faire vacciner ». Le principe est simple, relate La Provence : « publier un post, format photo ou vidéo promouvant la vaccination ». Façon McFLy et Carlito, un truc dans le genre. Les deux vainqueurs sont ceux qui auront récolté le plus de « like ». Waouhh ! Il faut dire que les lots font rêver : deux places pour le concert de David Guetta, le 14 août, à Orange, et « une journée au sein de la base aérienne BA115 à Orange durant laquelle le gagnant pourra expérimenter les sensations d’un simulateur de vol hélicoptère et d’un simulateur de tir ».

 

Reste que les loteries n’attirent pas vraiment le client. Il reste encore « des réservoirs de populations non vaccinées auprès desquels insister », nous dit Julien Damon, professeur à Sciences Po (Le Point). Pour les vieux, l’affaire est réglée ou presque, du coup, « c’est auprès des jeunes qu’il faut agir ». D’ailleurs, « les hésitants et les indolents (sic) peuvent être assez aisément incités ». Bien des choses ont déjà été tentées, mais « les grands discours sur le civisme sanitaire étant tenus en permanence, il importe d’innover afin de hâter leurs décisions et leurs déplacements ». Sa solution : payer les jeunes ».

 

« La France pourrait parfaitement consentir cet effort budgétaire », assure Julien Damon. Pensez, 100 euros à chaque dose de vaccin, soit environ 1 milliard d’euros pour cette tranche d’âge, « ce n’est pas grand-chose au regard des conséquences d’un nouveau confinement ». Et puis, « avec des titres de paiement fléchés, ce double soutien à la vaccination et à la consommation contribuerait à la relance. Pourquoi se priver d’essayer ? »

 

On imagine que ce monsieur est aussi partisan du vote rémunéré pour en finir avec l’abstention ? Et puis le revenu universel, la Sécu et le chômage à vie, en attendant la retraite…

 

Lien et 61 commentaires :

 

« On achète les jeunes pour 100 €. Quel mépris ! Toujours plus loin dans la bassesse. »

 

« De pire en pire dans la bassesse ce gouvernement …quelle honte ...et nous n’avons pas encore tout vu. !!!! »

 

« C’est surtout cette publicité et propagande incitant à la vaccination qui fait que je n’ai aucune confiance. C’est du jamais vu pour un médicament. »

 

« Du grand n’importe quoi ! Quelle honte ! Et ces journalistes propagandistes qui pousse dans le sens de l’absurdité …Même Cnews y participe, à vomir !!! »

 

« 100 euros pour ces jeunes… et quand les méfaits de cette vaccination se fera sentir, combien toucheront ils s’ils survivent ? C’est scandaleux. Les chiffres des décès par sois disant Covid sont faux. Ceux qui meurent à l’hôpital suite à un cancer généralisé ou autre grave maladie installée, sont dans les statistiques Covid afin d’apeuré la population et la faire obéir aux ordres du choupinet et sa clique de faux culs… »

 

« J’ai honte pour ma pauvre France ! Aujourd’hui, on paye les gens pour obtenir ce qu’on veut: les Français seraient-ils des vendus? On a dépensé des centaines de milliards pour les distribuer afin de faire tenir tranquille (“restez chez vous !”). Maintenant, on pourrait acheter les bulletins de vote? Et regardez bien: les millions de repus, payés pour soutenir la dictature, que font-ils ? Ils la soutiennent, bien sûr. Le prix du Français (au poids ?) va t’il bientôt être coté en bourse? 73 Ans: je n’ai jamais vu dans mon pays une telle ABJECTION. »

 


 

« Tout s’achète : la vaccination, le vote, sans parler de beaucoup d’autres choses moins avouables… »

 

https://www.bvoltaire.fr/100-euros-a-chaque-vaccin-pour-les-18-25-ans-voila-une-bonne-idee/

  

.....En partage....,

 


 

On a enfermé, mais libre maintenant, un éminent Professeur et Expert en pharmacologie et en toxicologie, pour laisser Oliver Véran, un sérial killer sinistre ministre de la mort, en liberté, piquer le peuple et interdire tous recours à des traitements efficaces. 

 

Le temps du jugement est proche. No more comment.

 


Ecoutez et partagez l’interview du Professeur Fourtillan lors de son entretien avec Pierre Barnérias qui a réalisé l’excellent documentaire Hold-Up qui a fait polémique et qui a été très controversé au point que certains journalopes suceurs de profession, ont même osé dire que ce documentaire était DANGEREUX pour le public !!! les procès pour les collabos arrivent !!!

 


 


 

*

 


 

Jean Bernard FOURTILLAN

 

Interview Hold-up complète - Malaria, Sida, Covid19 créé en labo et breveté depuis longtemps !

 

Lien vidéo et commentaires :

 

« De tout cœur avec vous, depuis le début, protégez-vous, ce sont des démons »

 

« Claire Séverac in memoriam. RIP”

 

https://odysee.com/@TheMagicWhispers:3/Jean-Bernard-Fourtillan-Grand-Format_1:c

 


 

https://vimeo.com/522355569

 

....De dernière minute,

 

La loi du 21 juillet d’extension du pass sanitaire était déjà dans les tuyaux il y a 7 mois !

 



19 juillet 2021

 

Rappelez-vous, le 21 décembre 2020 (par ailleurs date d’anniversaire de notre Président actuel), le premier ministre Jean Castex déposait un projet de loi souhaitant instituer un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires. Prévue au départ pour être débattue rapidement, la présentation de ce projet de loi a finalement été repoussée de quelques mois suite aux vives critiques du texte à droite, à gauche et à l’extrême droite, que certains interprétaient alors comme une obligation vaccinale détournée. Cette fois, ce n’est plus avant Noël, mais le 21 juillet 2021, soit une semaine avant le mois d’août que le Gouvernement revient à la charge. Au mot près. Sans susciter cette fois beaucoup de vagues au sein de la classe politique… Comparons.

 

Première tentative d’un « régime pérenne de gestion des urgences sanitaires »

 

21 décembre 2020, le projet de loi n°3714 arrive au bureau de l’Assemblée nationale. Son ambition, explique le Premier Ministre est de « bâtir un cadre robuste et cohérent à partir des dispositions qui préexistaient à la crise et de celles mises en place à cette occasion ». En clair « de substituer à ces dispositions, conçues dans des circonstances particulièrement contraintes et pour faire spécifiquement face à l’épidémie de covid‑19, un dispositif pérenne dotant les pouvoirs publics des moyens adaptés pour répondre à l’ensemble des situations sanitaires exceptionnelles. »

 

« La refonte prévue par le présent projet de loi distingue deux niveaux d’intervention selon la gravité de la situation et la nature des mesures à prendre pour y faire face : l’état de crise sanitaire, d’une part, et l’état d’urgence sanitaire, d’autre part. Ces deux régimes pourront rester parfaitement autonomes mais ils pourront également s’inscrire dans le prolongement l’un de l’autre, car l’état de crise sanitaire pourra être déclenché avant comme après l’état d’urgence sanitaire, soit pour juguler une crise naissante qui n’a pas encore l’ampleur d’une catastrophe sanitaire, soit pour mettre un terme durable aux effets d’une catastrophe qui n’aura pu être empêchée. Pendant la catastrophe sanitaire elle‑même, c’est le régime de l’état d’urgence sanitaire qui s’appliquera avec ses prérogatives propres auxquelles s’ajouteront celles de l’état de crise sanitaire, applicables de plein droit », précise le Premier Ministre.

 

Qui ajoute : « Il est en outre proposé de bâtir un cadre pérenne des systèmes d’information de crise, une disposition législative étant nécessaire pour autoriser, dans la stricte limite nécessaire à leur objet, des dérogations au secret médical, comme c’est actuellement le cas pour les systèmes créés pour la crise de la covid‑19. »

 

Exit le secret médical ?

 

Le projet de loi prévaut notamment l’ajout dans le Code de Santé Publique d’un chapitre spécifique aux « Systèmes d’informations » comprenant une « sous-section qui établit un régime pérenne autorisant la création, par décret en Conseil d’État, après avis de la Commission nationale de l’informatique et des libertés, de traitements de données personnelles dérogeant au secret médical dans les situations sanitaires exceptionnelles qui le justifient. »

 

 


 

Mais c’est une autre disposition que celles « des dérogations au secret médical » ou celles, nouvelles, de la mise en quarantaine ou en isolement des personnes contaminées ou cas contact, qui va particulièrement faire débat et entrainer le report du projet de loi. Celle de « subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, (…) au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin. »

 

Retrait en décembre

 

Car fin décembre 2020, les réactions au projet de loi 3714 se sont multipliées au sein de la classe politique, certains n’hésitant pas à exprimer leurs craintes quant à la mise en place d’un « passeport sanitaire » pour pouvoir se déplacer ou pratiquer certaines activités, alors que l’expression ne figure pas dans le texte.

 

Ces critiques sont d’abord liées à une phrase qui cristallise l’opposition : « subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif. »

 

Après les vives polémiques suscitées par son projet de loi sur la gestion pérenne des crises sanitaires, l’exécutif décide finalement le jour-même ou presque de mettre le pied sur le frein. Annonçant repousser de quelques mois l’examen de ce projet de loi. Et ces quelques mois… c’est maintenant !

 

Retour en juillet ?

 

Le ton est donné avec l’article 1 du projet de loi sur l’adaptation de nos outils de gestion de la crise sanitaire. Présenté au conseil des ministres le 19 juillet, puis à l’assemblée nationale le 21 juillet 2021, ce texte prévoit de : « Subordonner l’accès des personnes à certains lieux, établissements ou événements à la présentation soit du résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid-19, soit d’un justificatif de statut vaccinal concernant la covid-19, soit d’un certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la covid-19 pour :

 


 


« a) Les activités de loisirs ;


« b) Les activités de restauration ou de débit de boisson ;

 


 


« c) Les foires ou salons professionnels ;


« d) Les services et établissements accueillant des personnes vulnérables, sauf en cas d’urgence ;


« e) Les grands établissements et centres commerciaux. »

 

La feuille de route a été divulguée le 12 juillet dernier. Et l’examen par le Conseil d’État de ce nouveau projet de loi est en cours.

 


Regardons les mots employés entre les versions de décembre et de juillet. C’est à dire à peine 7 plus tard. Les similitudes sont frappantes. Le procédé aussi. Exit en revanche la référence à une « gestion pérenne », place cette fois à « l’adaptation de nos outils de gestion ». Si l’intitulé a changé, le contenu des mesures restent étonnamment proche. Quant à la période choisie, il ne s’agit plus non plus de la période de Noël cette fois, mais bien du cœur des vacances d’été. Il est certain que cette période est la plus représentative d’une vie démocratique exemplaire.

 

Il est toujours question de pass sanitaire, mais aussi d’isolement. Ce qui concerne le secret médical a disparu en revanche de l’avant-projet de loi du 21 juillet 2021.

 

Un plan bien préparé ?

Premièrement, on l’aura compris, ce qui nous arrive est en fait tout sauf improvisé, ni fignolé à la va-vite.

 

Le cadre annoncé le 12 juillet s’avère en réalité proposé dès le 21 décembre 2020.

 

Et le projet de loi du 21 décembre 2020 soumis à l’avis du Conseil d’État le 3 décembre.

 

Et en ce qui concerne la dérogation au secret médical, le projet de loi du 21 juillet 2021 bénéficie fort opportunément de l’avis de la CNIL remis le 1er juillet dernier. Délibéré faisant suite à une demande de modification de décret datant du 12 mai 2021 et pour laquelle la CNIL rappelle, « qu’en principe, elle n’est pas favorable à la constitution, pour les médecins, de listes de leurs patients non vaccinés. » La CNIL « estime néanmoins que le contexte sanitaire peut justifier l’envoi aux médecins traitants, de façon sécurisée, de la liste de leurs patients non vaccinés à la COVID-19, mais uniquement s’ils en font la demande (…) l’obligation pour le médecin de détruire la liste à l’issue de la campagne de sensibilisation. »

 

Des mesures disproportionnées

 

Une autre réflexion porte sur la proportionnalité des mesures annoncées. L’avis du conseil d’état du 20 décembre 2020, ne cesse de le rappeler les mesures doivent être proportionnées, et que seule une menace ou une crise sanitaire « grave » peut justifier de telles décisions.

 

Alors que le nombre de décès ne cesse de diminuer, et que le taux de vaccinés « prémunis » contre les formes graves du virus augmentent, voire que les traitements précoces font de mieux en mieux la preuve de leur efficacité, sommes-nous dans une situation sanitaire « grave » justifiant ces mesures autoritaires et restrictives ? La menace justifie-t-elle l’instauration d’un « état policier » pour reprendre les mots du philosophe et député européen François-Xavier Bellamy, chef de file des Républicains à Bruxelles ? Comme beaucoup, je le ne crois pas.

 

Et c’était aussi officiellement l’avis du gouvernement en décembre 2020. « À Matignon, on insiste sur le fait que ces mesures ne s’appliqueront pas forcément pour l’épidémie que nous vivons actuellement », rapportait, rassurant, le quotidien 20 minutes le 22 décembre dernier.

 

 


 

C’était aussi l’avis du Conseil d’État le 20 décembre 2020. « En repoussant l’étude de ce texte, le gouvernement a ainsi suivi les recommandations du Conseil d’État », expliquait Capital le 23 décembre 2020. Dans son avis publié en début de semaine, l’institution a jugé ce texte un peu prématuré. Elle « estime que la réflexion engagée pour définir un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires devra être poursuivie à l’issue de l’épidémie afin de tirer les enseignements de l’évaluation de la gestion de la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19 ».

 

La suite, vous la connaissez. Elle a été annoncée sur les ondes le 12 juillet 2021. Elle s’appelle désormais « pass sanitaire », « incitation vaccinale » et « accompagnement à la vaccination », dans le silence aussi surprenant qu’assourdissant des ténors politiques pourtant vent debout sept mois plus tôt.

 

Charles-Maxence Layet #PassSanitaire

 


 

Sources :

 

– 21 décembre 2020 : Franceinfo relate le tollé politique qui accompagne le projet de loi sur le « régime pérenne des gestion des urgences sanitaires »

 

Projet de loi nº 3714 du 21 décembre 2020 instituant « un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires »

 

– La citation de 20 minutes rappelant la position de Matignon

 

– L’avis du Conseil d’État du 20 décembre 2020, sur le projet de loi du 21 décembre…

 

– L’article de Capital du 23 décembre 2020, qui rappelle les réserves du Conseil d’État

 

– L’avant-projet de loi du 21 juillet 2021, relatif à « l’adaptation de nos outils de gestion de la crise sanitaire »

 

– La délibération de la CNIL du 1er juillet 2021

 

https://www.nexus.fr/actualite/news/extension-pass/

 

Fin de l’article.

 

Fin du sujet.

 

On n’oubliera pas !

 

@ suivre,

 

C. Rosenzwitt-Makieswky

 

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