L'exemple à ne pas suivre!
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Celui-là Oui !
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Dangers du port continuel du masque sanitaire.
Dans sa lettre d'information, Arthur Firstenberg fait le
point sur l'obligation du port du masque. C'est une stupidité, on le sait. Ce
qu'on ne sait pas (ou du moins, moi je ne le savais pas), c'est que la
problématique du masque existe depuis longtemps ; au moins depuis 1975. Je me
dis que ça doit être un marché très lucratif. Comme beaucoup de choses inutiles
qu'on nous vend en nous faisant croire, en nous bourrant le mou, qu'elles sont
indispensables.
En aucun cas le masque protège d'un virus très contagieux.
Pour bien nous informer, Arthur Firstenberg a collecté pour nous un grand
nombre d'articles et d'études qui portent sur le port du masque et de ses
effets. (Les liens sont dans la partie non traduite)
©Marguerite Rothe
Extrait :
En Chine, les écoles interdisent désormais aux élèves de
porter des masques pendant l'exercice physique. Pourquoi ? Parce que cela les
tuait. Il les privait d'oxygène et il les tuait. Au moins trois enfants sont
morts pendant les cours d'éducation physique, dont deux en courant sur la piste
de leur école alors qu'ils portaient un masque. Et un homme de 26 ans a
souffert d'un collapsus pulmonaire après avoir couru deux miles et demi en
portant un masque.
L'obligation de porter un masque n'a fait baisser le taux
de mortalité nulle part. Les 20 États américains qui n'ont jamais ordonné aux
gens de porter un masque à l'intérieur et à l'extérieur ont des taux de
mortalité COVID-19 nettement inférieurs à ceux des 30 États qui ont rendu le
port du masque obligatoire. La plupart des États sans masque ont un taux de
mortalité COVID-19 inférieur à 20 pour 100 000 habitants, et aucun n'a un taux
de mortalité supérieur à 55. Les 13 États qui ont un taux de mortalité
supérieur à 55 sont des États qui ont imposé le port de masques dans tous les
lieux publics. Il ne les a pas protégés.
"Nous vivons dans une atmosphère de maladie
permanente, de séparation insignifiante", écrit Benjamin Cherry dans le
numéro de l'été 2020 du magazine New View. Une séparation qui détruit des vies,
des âmes et la nature.
La suite….,
…...Ti pa ti pa ! Ce qui
veut dire doucement doucement en Créole ou bien Mora mora en Malgache. La
raison l’emporte sur la folie.
La préfète du Bas-Rhin
avait imposé le port du masque à Strasbourg et dans 12 autres grosses villes du
département. Deux praticiens hospitaliers alsaciens avaient saisi la justice.
Le tribunal administratif
de Strasbourg a ordonné à la préfète de revoir cette obligation, car elle «
porte une atteinte immédiate à la liberté d’aller et venir et à la liberté
personnelle des personnes appelées à se déplacer »
« Pas de circonstances
susceptibles de contribuer à l’expansion du Covid-19 »
En vigueur depuis samedi 29
août, l’arrêté préfectoral imposait le port du masque, de jour comme de nuit,
aux « personnes de plus de 11 ans » à Strasbourg et dans les 12 autres villes
de plus de 10 000 habitants du Bas-Rhin. La préfète Josiane Chevalier justifiait
cette décision par l’accélération « inquiétante » de l’épidémie de Covid-19, «
en particulier chez les jeunes » avec un « taux d’incidence » qui doublait «
chaque semaine ». Mais pour le tribunal, « il ne ressort pas des pièces du
dossier qu’il existerait en permanence et sur la totalité des [13 communes
concernées, NDLR] une forte concentration de population ou des circonstances
particulières susceptibles de contribuer à l’expansion du Covid-19 ». « C’est
exactement ce qu’on avait plaidé » lors de l’audience, s’est réjoui l’avocat
des deux plaignants.
Fin de citation.
…à Boire, à Manger, et
à Vomir,
Le virus de la honte et de la veulerie.
La chronique de
Charles-Henri d'Elloy
Publiée dans le n°54
(été 2020) de Synthèse nationale
Seize mars 2020, le
président de la république Emmanuel Macron prend son air solennel et annonce au
journal de vingt heures que nous sommes en guerre ! Dès cet instant, tout est
fait pour théâtraliser la déclaration. Nous avons droit, chaque soir, à un
décompte macabre. À écouter les médias, nous approchons de l’Apocalypse.
Finalement, ce n’est pas plus mal, nous aurons enfin la Révélation. Après nous
avoir exhortés à nous mettre en marche lorsqu’il était candidat à la
présidence, le même homme, une fois élu président, nous intime l’ordre de
rester chez nous ! Cette manie du « en même temps » est déroutante, mais à sa décharge,
cette injonction est formulée, soi-disant, pour notre bien, puisqu’il s’agit de
ne pas attraper ou de ne pas transmettre le virus désigné sous le nom de «
coronavirus » ou encore de « COVID-19 » pour faire savant. Dans la nuit qui a
succédé l’annonce de l’assignation à résidence, j’ai reçu un texto comminatoire
du gouvernement pour m’intimer l’ordre de rester chez moi, et ce, à durée
indéterminée ! Je me suis senti puni sans motif. Dans l’armée la consigne est
une punition pour un temps donné. D’abord flatté que le gouvernement connaisse
mon numéro de portable, je l’ai trouvé un peu cavalier de m’adresser un ordre à
deux heures du matin ! Avais-je rêvé ?
Mais non, c’était bien vrai ! Évidemment, cela m’a donné l’envie d’aller
gambader. On est Français ou on ne l’est pas…
À vrai dire, cela n’a
pas bouleversé mon existence, ayant déjà une nature sédentaire. J’ai d’ailleurs
écrit un « Éloge de l’immobilité ». Voyons le bon côté des choses : cette
assignation à résidence qui est tombée en plein carême nous a offert l’occasion
de vivre une retraite, un temps où la vie ordinaire est suspendue pour nous
retrouver nous-mêmes, mais je n’apprécie pas qu’on me l’impose, surtout quand
ça vient d’une engeance. Certes, tout tourne au ralenti ou est empêché, mais cela
nous oblige à discerner l’essentiel du superflu. Il paraît que ce méchant virus
est très contagieux et peut être mortel pour les vieillards ou les personnes
déjà atteintes de certaines pathologies. Curieusement, moi qui suis du genre
hypocondriaque, je me surprends à être très détaché et n’éprouve aucune crainte
quant à cette menace. Au moment où j’écris ces lignes, il est déjà possible de
faire plusieurs constats:
En premier lieu, la
France n’est pas équipée pour hospitaliser de façon massive et soudaine des
milliers de patients. En outre, par manque de respirateurs, on délaisse les
personnes âgées au profit des plus jeunes. C’est peut-être inévitable dans les
circonstances actuelles, mais tellement triste dans la cinquième ou sixième
puissance du monde… C’est sans-doute une façon de nous habituer à la pratique
de l’euthanasie… Je vois dans cette
situation navrante le résultat d’une politique désastreuse, entreprise depuis
plusieurs décennies, de casse du service hospitalier, comme de tous les services
publics d’ailleurs. Les divers gouvernements depuis 2003 ont supprimé 70.000
lits d’hôpitaux de courts et de longs séjours. Nous avons là une fois de plus
l’aboutissement d’une domination de la logique économique et financière, au
détriment de la qualité du service et de la conscience humaine. Quand on ne
fait plus ses humanités au lycée et que l’on confie les rênes d’un pays à des
financiers ainsi qu’à d’anciens étudiants en écoles de commerce, il fallait s’y
attendre. À force de « fermer des lits pour (soi-disant) sauver l’hôpital », on
finit par laisser mourir les malades. J’ai honte pour mon pays. Les hôpitaux
étant déjà surchargés en temps ordinaire, il était prévisible qu’ils le soient
d’autant plus en cas d’épidémie. Ils seront, hélas, toujours débordés. «
Gouverner, c’est prévoir » comme dit l’adage, mais nos gouvernants ne prévoient
rien parce qu’ils ne gouvernent pas. Ils « gèrent » la France à la petite
semaine comme un épicier gère ses stocks de denrées. Le confinement n’a été
décidé que pour tenter d’enrayer le flux trop important d’hospitalisations par
rapport à notre capacité d’accueil. Qu’en serait-il en cas de guerre, au sens
militaire du terme, ou si nous subissions une véritable catastrophe ?
Il y aura toujours des
naïfs pour croire que les gouvernants sauront tirer les leçons de cette
tragédie d’opérette. Étant d’un naturel lucide donc pessimiste, j’ai la
conviction que « le monde d’après » sera le même que le monde d’avant mais en
pire, car le confinement imposé fera bien plus de dommages que le virus
lui-même. Outre la catastrophe économique pour les artisans, les commerçants,
et les PME, il démontre que nos gouvernants sont capables de priver les
Français des plus élémentaires libertés et qu’il y sera enclin de plus en plus
facilement étant donné la résignation stupéfiante avec laquelle les Français
ont accepté l’inacceptable. Quant aux hommes politiques de droite comme de
gauche, opposés au gouvernement, censés être plus circonspects que le quidam,
ils n’ont pas brillé par leur attitude. Certains ont fait de la surenchère dans
le catastrophisme, tel Nicolas Dupont-Aignan, croyant gêner les dirigeants
alors qu’ils n’ont fait qu’abonder dans le même sens que ceux-ci, légitiment
ainsi des contraintes liberticides de plus en plus sévères, au lieu de dénoncer
la mascarade.
En second lieu, je
suis choqué par l’attitude de nombreux évêques et prêtres qui ont manifesté un
zèle exemplaire pour appliquer scrupuleusement, voire au-delà, les directives
gouvernementales, jusqu’à vider les baptistères des églises et interdire la
communion par la bouche ! Pensez donc, si le diable se trouvait dans le
bénitier ou le virus dans le corps de Christ… Mais croient-ils encore à la
présence réelle ? Au moment où il conviendrait de prier et de chanter en procession,
quitte à garder une distance d’un mètre entre les paroissiens, et d’invoquer
saint Roch – protecteur et guérisseur des maladies contagieuses –, voilà que
les clercs ont peur de remplir leurs salvateurs offices. Un comble ! Que
feront-ils ces prêtres, à l’approche de l’Apocalypse ? Ils prendront des RTT ?
C’est de la désertion en temps de guerre, puisque nous sommes en guerre…
Heureusement, pour sauver l’honneur, d’autres prêtres fidèles à la tradition,
non pétochards, eux, ont continué de célébrer la messe et de donner la
communion. Bien sûr, il s’est trouvé quelques délateurs bien intentionnés pour
avertir la police… Interdire la communion par la bouche ! C’est surréaliste de
penser que la question ait pris l’ampleur d’une affaire d’État. Le pire, c’est
que ces interdictions sont venues des évêques, comme s’ils avaient voulu
réprimer la pratique du culte version ante Vatican II.
En troisième lieu, je
dois confesser ma stupéfaction de constater la couardise de mes contemporains.
Il faut dire que, comme je l’écrivais plus haut, le gouvernement a mis le
paquet pour propager la pétoche. Il est bien connu que gouverner par la peur
permet de faire accepter n’importe quoi. Cette période où tout déplacement
au-delà d’une certaine limite doit être dûment justifié par une attestation, me
fait penser à la France sous l’Occupation, pendant laquelle il fallait être en
possession d’un Ausweis pour aller en zone libre. J’ai l’impression que s’il me
prenait l’envie de recevoir du monde, mes voisins n’hésiteraient pas à appeler
la préfecture, comme l’on dénonçait à la Kommandantur. Dans la rue, des gens me
regardent comme si j’étais un pestiféré et, les mêmes qui, il y a quelques
mois, m’auraient bousculé, font un détour de dix mètres lorsqu’ils me croisent.
Je ne puis être juge de la gravité de ce virus, mais ce dont je suis certain,
c’est qu’il accentue énormément la bêtise et la couardise de ceux qui en
portent déjà les germes.
Attestation de sortie,
application numérique de flicage, rassemblements interdits... Les Français
sont-ils donc mûrs pour abandonner leur liberté ? Sommes-nous prêts à nous
soumettre et à renoncer de vivre pour un risque sanitaire aussi faible ? Voici
maintenant que l’on nous oblige à porter un masque chirurgical pour prendre les
transports en commun. Aujourd’hui le masque, et demain la burqa ? Gare à ce que
ce masque ne se transforme pas en muselière à toutou. D’ailleurs, pendant que
tous les Français sont focalisés sur la reprise d’une vie « normale » après
deux mois de privations, la majorité parlementaire en a profité pour faire
adopter une loi pour fliquer davantage et restreindre le peu de liberté qu’il
subsistait sur les réseaux sociaux. Proposition de loi présentée par la députée
Laetitia Avia, votée par une majorité de godillots. L’enfer étant pavé de
bonnes intentions, cette loi a pour prétention officielle de lutter contre la
haine sur Internet. Le seul véritable avantage du masque est qu’il souligne les
yeux et accentue le regard des femmes. Quant aux automobilistes, seuls dans
leur véhicule, qui portent un masque, je me demande s’ils enfilent aussi une
capote anglaise lorsqu’ils dorment en célibataire dans leur lit. Il paraît que
l’on pouvait se faire verbaliser en se promenant dans des bois déserts, et
qu’il y avait des hélicoptères pour survoler les immenses plages de la côte
atlantique, au cas où un individu esseulé n’aurait pas respecté les gestes
barrières… ça a dû coûter un fric dingue ! Ah, les fameux gestes barrières…
l’avantage, c’est que nous ne sommes pas obligés de serrer la main à des
personnes que nous aurions évitées en temps normal. Un après-midi durant
l’assignation à résidence, alors que le traiteur avait envoyé sa fille pour me livrer
la commande faite le matin même, celle-ci portait un masque bleu comme celui
des infirmières. Je lui demandai malicieusement pourquoi elle était masquée.
Elle me répondit que ça rassurait les clients. Voyant mon sourire narquois,
elle me dit : « Voulez-vous que je l'enlève ? ». J'acquiesçai en hochant la
tête. Elle baissa son masque comme si elle ôtait son soutien-gorge. Nous
engageâmes une conversation sur l'absurdité de cette assignation à résidence.
Nous étions d'accord sur l'imbécillité de toutes les restrictions lorsqu'en
repartant elle me lança : « Il y a au moins un bon côté, je viens chez vous
pour vous livrer… » Il est vrai que c’est agréable d’être livré à domicile,
surtout lorsque la tâche est effectuée, avec le sourire, par une charmante jeune
femme.
Pour calmer mon
agacement d’être contraint à la réclusion, j’ai regardé des bons vieux films
rediffusés des centaines de fois à la télévision mais dont je ne me lasse pas.
C’est ma conception du « télétravail », encouragé par les autorités !
Une grande partie des
gens sont matérialistes et ne croient pas en l’au-delà, ils se protègent de
tout, sauf de la bêtise. Ils ont une telle trouille de mourir qu’ils acceptent
une vie médiocre mais dans le confort. Ils ne supportent plus les mourants, les
infirmes, les vieillards. Puisqu’il n’y a rien après la vie terrestre, il leur
est impossible d’accepter le cours naturel de l’existence. Cet athéisme
provoque la peur de mourir qui devient vite une peur de vivre. Lorsqu’ils sont
aux commandes, ces mêmes peureux, tièdes de cœur et indolents, transmettent
leur veulerie par des contraintes humiliantes en les faisant passer pour de la
responsabilité, alors qu’ils ne maîtrisent rien d’autre que l’alimentation de
leur grotesque orgueil. Eh bien, puisque nous vivons le temps des pétochards,
des puritains, des procureurs du dimanche, du flicage, de l'athéisme, de
l'hygiénisme et des sycophantes, je vais goûter intensément à la jouissance des
bienfaits de la Création divine en buvant un breuvage céleste, allongé sur le
gazon de mon jardin, en compagnie d'une bien aimée sylphide, aristocrate du
plaisir, tous deux entourés de roses au doux parfum d'un bonheur fugace mais
rapicolant et nous ferons de la littérature...
Fin de citation.
Michel Onfray face à Laurence Ferrari, les vérités d’un
homme intègre.
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Fin de citation.
‘Je suis responsable de chaque mot dans mes livres. Je
peux me tromper, mais je ne triche pas. J'explique ce que je crois avoir
compris, raconte ce que je crois savoir.’
Yasmina Khadra
Encore bien des choses à dire et à partager.
….à suivre.
C. Rosenzwitt6Makiewsky
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