……à l’EGLISE pierres vivantes de….
………l’île
Maurice, des Bahamas, du Nicaragua, de Hong Kong, de Singapour, de l’Inde, du
Népal, des Maldives, de Madagascar, du Kenya, du Tchad, du Bénin, d’Israël, du
Liban, d’Irlande, des États-Unis, de Belgique, d’Andorre, de la Principauté de
Monaco, du Royaume-Uni, du Brésil, d’Haïti, de Polynésie Française, de la
Nouvelle Calédonie, de Belize, d’Algérie, du Maroc, de Jordanie, du Rwanda, du
Burundi, de Suisse, d’Argentine, du Congo Kinshasa, de Guinée, du Sénégal,
d’Allemagne, de Chine, du Japon, de la Corée du Sud, de Taïwan, du Cambodge, de
Thaïlande, de Moldavie, de Hongrie, du Gabon, de Martinique, de Guadeloupe, de
Guyane Française, d'Indonésie, du Canada, des Émirats Arabes Unis, du Koweït, de
Bahreïn, d’Irak, de Pologne, de Côte d’Ivoire, du Cameroun, d’Ukraine,
d'Azerbaïdjan, de Serbie, du Portugal, d'Espagne, de l’Italie, de la Suisse, de
Bulgarie, de la République Tchèque, de Lettonie, de l'Equateur, du Vietnam, de
Russie, d’Arménie, de Suède, de Norvège, du Danemark, d'Albanie, du Sri Lanka,
du Bangladesh, du Mali, du Tchad, de Tanzanie, du Maroc, du Burkina Faso, du
Yémen, d'Egypte, du Pérou, du Honduras, de l'Estonie, d’Ouzbékistan, de
Turkménistan, du Bangladesh, de la Grèce, de Bosnie Herzégovine, de Serbie, de
Biélorussie, de Slovaquie, de Norvège, des Pays-Bas, de la Turquie, du Mexique,
du Venezuela, du Chili, des Philippines, de Finlande, de Croatie, d’Autriche,
du Pakistan, d’Australie, de Saint-Pierre-et-Miquelon, sans oublier les pierres
vivantes de France et celles de l’Ile de la Réunion que je salue.
Shabbat Shalom,
En finira-t-on vraiment avec cette grosse mascarade sur le port du
masque, avec cette maltraitance affligé à tous ! sur l’abus de nos
libertés fondamentales dont une est essentielle, à savoir :
RESPIRER ! Heureusement que des hommes et des femmes médecins ou pas se lèvent,
pour dénoncer toutes ces incohérences, tout ce cirque, tout ce cinéma, ou
plutôt ce ridicule carnaval !
Quand l’hôpital se fou de la charité !
On apprend même aujourd’hui qu’un comité de médecins aux conflits d’intérêts
très lourds a porté plainte contre le Pr Didier RAOULT. Certains vrais médecins
ont signé le serment d’Hippocrate, d’autres, celui d’hypocrite. No more
comment.
Covid-19 : Didier Raoult visé par une plainte devant l’ordre des médecins.
Le professeur
est accusé par la Société de pathologie infectieuse d’avoir fait la promotion
d’un traitement dont l’efficacité n’a pas été prouvée. Huit autres infractions
au code de la déontologie médicale sont signalées.
Bas-Rhin : l'arrêté
rendant obligatoire le port du masque rejeté par la justice.
Le tribunal administratif de Strasbourg a ordonné à la
préfète de revoir cette obligation, car elle « porte une atteinte immédiate à
la liberté d’aller et venir et à la liberté personnelle des personnes appelées
à se déplacer »
Fin de citation.
……Petite anecdocte
vécue,
Il y a de cela quelques
jours, avec un ami, nous nous sommes rendus dans une boulangerie. A l’entrée,
sur la gauche, assis à une table, se trouvait un couple sans masque, attendant
sûrement d’être servis. Je me suis alors approché pour passer ma commande et à
ce moment-là, une folle masquée jusqu’aux dents m’a demandé de bien mettre le
masque sinon je ne serais pas servi ! Alors je lui ai demandé de m’expliquer
pourquoi le couple assis près de moi ne porte-t-il pas de masque, et que moi debout,
je devais en porter un. Sa réponse : Demander à Macron. Je ne vous raconte
pas la suite de mes propos qui ont enflammé tout le magasin ! Voilà où on
en est arrivé.
……Fin de l’anecdocte.
Enfin… de plus en plus de médecins osent s’exprimer.
29 août 2020
Exaspéré, le Dr Dominique Rueff, médecin cannois,
spécialiste en médecine générale et cancérologie a partagé ce message d’un de
ses confrères, le Dr Louis
Fouché.
Bonjour à tous,
À quoi joue le gouvernement ?
À quoi jouent les médias ?
À quoi jouent les médecins ?
Quand réagirons-nous ?
Je lance ici un appel aux médecins, pharmaciens, soignants et administratifs de l’AP-HM de bonne volonté. Il faut arrêter l’instauration et la pérennisation de lois d’exception liberticides. Depuis quand le gouvernement se donne t‑il le droit de décider de ce que les médecins peuvent prescrire ?
Pourquoi les gens doivent-ils encore porter un masque aujourd’hui ? Pourquoi leur interdisait-on d’en acheter quand c’était utile ?
Pourquoi les pharmaciens n’ont-ils pas eu le droit de vendre des masques quand c’était utile ?
Ce sont désormais les supermarchés qui le peuvent avec la complicité de l’État et de ses forces de répression ?
Ceux qui constatent l’écart croissant entre le réel et la narration médiatique et politique se doivent de réagir.
Ceux qui savent lire et interpréter sans peur des courbes épidémiques se doivent de parler en masse et de ne pas laisser seul l’IHU dans cette bataille.
Il n’y a pas de seconde vague.
Nous ne sommes depuis bien longtemps plus en situation épidémique selon les définitions habituelles des standards d’épidémie pour la grippe (plus de 150 cas/j/100000 habitants).
Cette définition a été changée tout bonnement pour la COVID dans un but qui nous échappe.
Le réel est remplacé par une narration douteuse. Les « informations » diffusées par les médias sont désormais décorrélées de la réalité sanitaire.
Les courbes épidémiques sont interprétées de manière fallacieuse.
L’État aurait-il modifié les seuils épidémiques habituels pour maintenir un discours alarmiste et justifier des restrictions de liberté ?
Les nouveaux cas sont bénins.
Ils sont à la hausse du fait de l’incrémentation du nombre des tests.
C’est très rassurant quant à la bénignité de l’infection au final.
Nous n’avons pas constaté en avril le dénominateur des cas totaux faute de pouvoir tester comme le bon sens nous le recommandait.
Aujourd’hui nous testons de manière quasi systématique sans rapport avec une quelconque symptomatologie.
Nous trouvons simplement ce que nous nous sommes interdits de voir en mars, avril et en mai : le dénominateur et la foule des cas bénins.
Tous les partisans de la thèse de l’immunité collective devraient s’en réjouir.
Les hospitalisations en réanimation, les hospitalisations et les décès ne font que baisser tendanciellement !
Nous nous devons de sortir des polarisations politiques qu’on a voulu infliger au débat.
Nous devons retourner à des arguments de bon sens : médicaux en premier, scientifiques en second.
Merci à Jean-François Toussaint, à Alexandra Henrion-Caude, à Jean-Dominique Michel, à Didier Raoult, à Philippe Parola, à Jean Christophe Lagier, à Christian Perronne et à tous les autres héros que j’oublie.
La Science, la médecine et la politique sont ternies de tant de conflits d’intérêt et de corruptions.
Le « Nous » de nos concitoyens va mal. Nous devons réinformer et réouvrir l’espace du dialogue et du débat quand il se ferme.
Il y a aujourd’hui plus de morts quotidiens de suicide que de COVID.
Les soignants doivent réagir.
Nous devons libérer nos concitoyens. Veiller à leur santé. Nous avons tous prêté serment !
Chaque jour, il meurt en moyenne en France 1671 personnes selon Santé publique France :
419 personnes de maladies cardio vasculaires /460 de cancers /110 morts de maladies respiratoires /27 de suicides /10 morts d’accidents de la route /
Pour la COVID-19 : sur les 15 premiers jours d’août une moyenne de 8,3 morts hospitaliers /jour.
Je ne compte pas les morts en Ehpad puisque nous ne savons pas de quoi ils sont morts. Vous constaterez avec le sourire que du 1er au 15 août, 10 personnes auraient d’ailleurs ressuscité selon le cumul des morts en Ehpad.
Nous sommes devenus fous ?!
Merci à tous ceux qui voudront nous rejoindre pour que l’AP-HM se réveille du mirage et agisse.
Merci à tous ceux qui ne sont pas d’accord et qui voudront renouveler l’espace du débat pour une discussion courtoise et constructive.
Bien confraternellement,
Louis Fouché.
Praticien hospitalier
Centre Interrégional des Brûlés de la Méditerranée.
Contrainte sanitaire ou dictature ?
Certes, aujourd’hui,
nos institutions sont encore d’obédience démocratique, mais, comme dans une
dictature, notre quotidien devient oppressant, suffocant et insupportable.
La tentation
totalitaire n’est jamais très loin dans l’esprit d’un homme ayant quelque autorité.
Surtout quand celui-ci détient le plus haut poste gouvernemental d’un pays,
d’une région ou d’une ville. Et d’autant plus quand la situation se dégrade au
point que les institutions ne tiennent plus et que l’anarchie s’installe avec,
fatalement, son lot de corruption et d’ensauvagement. Ce terreau est toujours
favorable à la dictature !
Certes,
aujourd’hui, nos institutions sont encore d’obédience démocratique, mais, comme
dans une dictature, notre quotidien devient oppressant, suffocant et insupportable.
Nous avons eu, depuis des décennies, la dictature de la pensée unique et
maintenant, en plus, nous avons une dictature sanitaire qui exige une série
d’obligations de comportements contrariants et anormaux. Toute notre vie
sociale est soumise aux diktats du ministère de la Santé et à la répression de
la force publique. Tout contrevenant devra payer une amende et en cas de
récidive, il pourra faire de la prison. Tout cela, bien sûr, pour le bien-être
de tous et pour protéger les plus fragiles… Une dictature a toujours de bons
arguments, pour faire avaler sa pilule, une dictature avance toujours masquée
et au début, elle n’est jamais bien brutale ! Cette fois, la pandémie au
Covid-19 offre, sur un plateau d’argent, aux incapables congénitaux qui nous
gouvernent, une excuse en or massif pour faire appliquer des contraintes, qui,
ordinairement, auraient été inacceptables. Ils ne pouvaient pas rater ça ! Et
si on nous muselait, comme des animaux de dressage, pour mieux nous faire
ingurgiter, plus tard, des couleuvres bien pires ?
À part
quelques voix qui s’élèvent contre cette dictature qui s’avance masquée – mais
virulentes et pas des moindres comme celles de Michel Onfray, Charles Consigny
ou Florian Philippot – peu de réactions politiques : la plupart des partis
d’opposition laissent faire ou assurent le service minimum. La peur d’aborder
la question sensible de la liberté individuelle et de déplaire aux électeurs ?
Pourtant, il y a bien là, avec l’obligation de porter un masque et la
répression autorisée qui s’en suit, un sujet crucial qui est posé : a-t-on
encore le droit d’aller et venir, en toute liberté, en choisissant son destin,
de respirer sans filtre et d’avoir les relations sociales que l’on désire ? Il
faudra bien, à un moment donné, rappeler le droit et cette jurisprudence : « La
liberté est la règle ; la restriction, l’exception. » Et cette exception, dans
une démocratie normale, doit être sérieusement ciblée et justifiée de façon
imparable ! Dans le délire ambiant, tragiquement entretenu par un gouvernement aux abois, mort de
trouille, qui installe la peur et des médias aux ordres et une démocratie en
déliquescence, on est très loin de cette jurisprudence.
Un collectif
de médecins l’affirme : imposer le port du masque à l’extérieur est une
aberration, car aucune étude sérieuse n’a prouvé la dangerosité du virus à
l’air libre. Bien évidemment, tous les médecins ne partagent pas cet avis, mais
ils savent tous que les coronavirus ne circulent qu’en contact direct ou quand
on est à moins d’un mètre ; encore faut-il postillonner, face à l’autre ou
toucher un objet ayant reçu ces postillons. Jusqu’à ce jour, toutes les
contaminations se sont transmises en milieu clos et principalement dans les
familles, sous un même toit, où, là, effectivement, le virus peut rester en
suspension, dans l’air, plus longtemps. Alors pourquoi tout cet alarmisme ?
Dans tous
les cas, il faut faire confiance au bon sens de chacun et vite rétablir la
responsabilité individuelle. Ou, alors, appelons un chat, un chat, et l’on peut
dire, sans beaucoup se tromper, que nous sommes, effectivement, en dictature : il
n’y a pas d’autre mot pour nommer la situation actuelle que nous subissons,
contraints et forcés.
Qu’elle soit
sanitaire ou non, une dictature reste une dictature.
Claude
Picard.
…..à voir ou à revoir, lire ou à
relire.
"C'est une fausse épidémie !" déclare
Christian Perronne.
Le 31 août 2020,
au Grand Oral des Grandes Gueules de RMC, le professeur Christian Perronne a
dénoncé la propagande gouvernementale. Entre autres accusations, il a émis
l'hypothèse que l'obligation du port du masque en extérieur est peut-être une
manœuvre politique permettant de réprimer toute manifestation. Il rappelle
aussi que de nombreuse études prouvent désormais l'efficacité du traitement
hydroxychloroquine-azithromycine, et que la kabbale contre cette solution
simple et peu coûteuse est organisée par la mafia big pharma afin pouvoir
vendre un vaccin à tous les pays. En définitive il dénonce une corruption
généralisée et mondialisée.
L'interview
intégrale: https://rmc.bfmtv.com/mediaplayer/vid...
Lien vidéo
et commentaires :
« Un
grand Homme plein de courage !! Bravo Mr vraiment ! Oui, soyons fière d'être
complotiste dans ces temps troubles »
« Je
l’ai dit déjà en décembre qu’il n’y a pas de virus ni de pandémie. Event 201.
Il y a juste la grippe saisonnière. Point. Vous avez à faire à un false flag
des élites. Cela s’appelle de l’ingénierie sociale. Des acteurs de crises. Les
peuples dorment complètement et se font manipuler comme des veaux. Ils auraient
déjà dû comprendre ce monde depuis le 11/9, seulement voilà, 20 ans
d’abrutissement de la masse sont passés par là. Merci la télé poubelle, les
smartphones, les soldes, l’industrie du divertissement, l’échec scolaire
programmé, la banalisation de tout ce qui est grave, etc... Vous avez été tous
confinés dans un seul et unique but : vous contrôler. Faire taire la
contestation sociale, les manifs, les réunions. C’est de la soumission ni plus
ni moins. Et pendant ce temps à l’assemblée ils ont fait passer 60 lois par
ordonnances la nuit pendant qu’on vous empêchait d’aller sortir votre chien ou
aller acheter une baguette avec une pseudo dérogation illégale (article 111).
Macaron que
vous avez élu vous l’a mise bien profond avec les pleins pouvoirs non justifiés
(article 14) On ne m’a pas écouté. Tant pis pour les Bidochons, ils sont en
phase terminale là. Tout est verrouillé par le NOM, le plan se déroule devant
vos yeux et vous ne pourrez l’empêcher. Brevet Bill Gates ID2020, GAFI.
Direction 👉contrôle total donc l’abattoir.
+ de
commentaires :
Il n’y a aucune reprise nulle part dans le monde là
où l’épidémie a frappé violemment. Aucune.
En mars, les masques
ne servaient à rien. En juillet, les masques sont nécessaires. En mars, il ne
servait à rien de faire des tests dans les aéroports. En juillet, c’est
nécessaire. Comment fait-on pour croire ce que nous dit ce gouvernement ?
Le Dr. Yonathan Freund
est médecin urgentiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, et professeur à
l’université de la Sorbonne. Il s’est exprimé le 17 juillet sur Twitter sur
l’évolution actuelle de l’épidémie de Coronavirus et sur l’obligation de porter
un masque dans les « lieux clos recevant du public ». Voici l’intégralité de
son fil Twitter :
« C’est difficile
effectivement de rester silencieux. Quand je vois le délire alarmiste qui
envahit les médias et les RS [réseaux sociaux], et qui fait fi de toute mesure.
Des journalistes qui infantilisent, ceux qui veulent « punir » les français mal
disciplinés… Alors on va debunker un peu.
1) Allez, je fais du
#moije comme on me le reproche. Ma position n’est pas imprudente. Je livre une
analyse que j’espère circonstanciée et critique des données. Je rappelle que si
mon hypothèse est contredite par les chiffres, alors on pourra agir et ce ne
sera pas trop tard.
2) Le délire de
certains spécialistes en rien sauf en plateau télé et en consultation privée,
n’ayant jamais vu un patient COVID, qui nous « apprennent » que l’épidémie
reprend : rien ne justifie ces discours. A part la peur.
3) Voilà 2 mois qu’il
existe des arguments pour douter d’une seconde vague meurtrière et une reprise
de l’épidémie. Les épidémiologistes chefs d’entreprise vendeurs de modèles nous
prédisaient 80 000 morts à la levée du confinement même avec gestes barrières.
RAS. Il n’y a eu aucune reprise nulle part. Les évènements et comportements
qu’on adorait critiquer (fête de la musique, manifestations etc.) n’ont causé
aucune reprise. Il y a une circulation du virus. Il y a des nouveaux cas. MAIS,
4) et c’est le point
central, toujours le même, à ce jour, il y a chaque jour, chaque semaine, de
moins en moins de nouveaux cas hospitalisés ou en réanimation. Et ce partout
(hors Guyanne). Alors bien sûr, on arrive à un niveau si bas que nous allons
forcément voir des hausses. Quand on est tout en bas, ça ne peut qu’augmenter.
Le virus n’est pas mort je le rappelle. Mais est-ce nécessaire de dire qu’on a
un signal de reprise quand on passe de 1 par semaine à 3 par semaine? On va
arriver à un bruit de fond. En tout cas dans les régions déjà très touchées. Le
R est à 2 et quelques en Bretagne! Alerte alerte ! Mais non. Il y a juste eu
des clusters et des dépistages systématiques. Donc des cas. R (on l’a déjà dit)
n’a aucun sens quand l’épidémie est au point mort, outre des clusters. Aucun
sens. Sur toute la Bretagne, on est passé de 6 hospitalisations la semaine
dernière à 8. Est-ce une explosion? Soyons sérieux. Bien sûr qu’il y aura
toutes les semaines des régions qui verront une augmentation des cas. On part
de tellement bas… En Mayenne alerte rouge? Quasi zéro hospitalisations. ZERO.
5) la décision
d’imposer le port du masque est très difficile à comprendre. Pourquoi avoir
pris cette décision au moment où tous les indicateurs sont au vert? Quel est le
plan ? pour combien de temps ? Faut-il vraiment changer la société pour une
durée indéterminée sans savoir si c’est nécessaire, et surtout sans savoir ce
qui fera revenir en arrière ? Nous sommes nombreux à être d’accord : dans les
régions fortement touchées, l’immunité est importante. Probablement suffisante
– l’immunité n’est pas uniquement visible sur la sérologie. Il n’y a aucune
reprise nulle part dans le monde là où l’épidémie a frappé violemment. Aucune.
Pourquoi cette décision du port du masque obligatoire ? Pour protéger les
personnes vulnérables ? Mais les personnes vulnérables se protègent. Elles
peuvent respecter strictement les mesures de distanciations et autres.
6) En revanche, il
faut se poser la question : veut-on totalement arrêter la circulation du virus?
Je pense que c’est illusoire. Ou alors j’espère que vous avez du temps devant
vous. La solution de le laisser circuler tout en le contrôlant est probablement
la bonne.
Certains disent « pour
protéger les personnes vulnérables, protégez-vous ». C’est peut-être faux. Pour
protéger les personnes vulnérables, protégez-LES, mais si vous êtes malades
puis immunisés, vous les protégerez à vie. ATTENTION je ne dis pas qu’il faut
disséminer le virus partout. Mais vouloir à tout prix arrêter sa diffusion,
partout, est illusoire et pas forcément un bon calcul à long terme.
Quel est le plan ?
Il n’y a pas d’autre
plan cohérent que de poursuivre les mesures de distanciations sans les
renforcer, en pouvant assouplir selon l’évolution, et surveiller les vrais
indicateurs! (pas les appels à SOS médecin qui augmentent au début des vacances
et face à l’alarmisme ambiant). Il y a une part d’incertitude dans cette
maladie. Tout le monde est d’accord là-dessus. Mais pourquoi la prendre
systématiquement sur le pire scénario possible ? Pourquoi une telle symbiose
des médias, « experts », etc ? Alors que c’est incertain ? Ce n’est pas
logique. »
Source : Le Salon
Beige
Fin du partage.
Bon Shabbat à tous.
C. Rosenzwitt-Makiewsky.
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