jeudi 14 mai 2020

CORONA, MAGOUILLES ET CORRUPTION…



Cela est extrêmement préoccupant. Mensonges à répétition, magouilles, intérêts privés, politique opaque, dictature médicale et pharmaceutique…Peut-on encore faire confiance à l’OMS ? Personnellement je pense que non. Et vous ?



Louise Guersan






Le Corona et les magouilles de l’OMS. Bon, j’intitule mon article « le Corona et les magouilles de l’OMS », mais avec l’OMS, on a l’habitude des magouilles depuis bien plus longtemps qu’avant l’apparition du Coronavirus.



Petite piqûre de rappel sur l’OMS.






L’OMS a été créée en 1948, dans un esprit très louable de venir à bout des pandémies et épidémies dont souffre la planète. En tant qu’organisation onusienne, son financement devait provenir des cotisations des États membres. Grâce à l’OMS, la variole, cette maladie terrible, aurait été éradiquée depuis quelques décennies. Nous ne pouvons qu’en louer l’organisation.



Son directeur de 1973 à 1988, le Danois Mahler, fait adopter en 1978 par l’OMS le principe du droit d’égal accès pour tous aux soins de santé primaires, visant non seulement les populations des pays développés, mais aussi et surtout les populations des pays en voie de développement, alors appelés tiers-monde. Des « agents de santé communautaires », chargés de dispenser ces soins, sont alors envoyés dans les régions du monde les plus pauvres… Mais le programme ne sera jamais réalisé par manque de ressources, et les maladies des pays pauvres continuent donc à faire des victimes en grand nombre. Cependant Mahler parvient à faire établir une liste de médicaments essentiels vendus à bas prix dans ces pays.



Mais voilà ! Si lors de sa création et dans les premières décennies de son existence l’OMS était financée à 80 % par les États membres, peu à peu les laboratoires privés se sont immiscés grâce à la corruption interne qui s’est lentement mise en place par des fonctionnaires pourris, et la part des États membres aujourd’hui n’est plus que de 21 % quand celle des sociétés privées atteint le chiffre record de 79 %. Les principaux donateurs étant aujourd’hui la fondation de Bill Gates et l’industrie pharmaceutique. Une inversion très problématique dont nous allons examiner les effets néfastes, puisque l’OMS serait contrainte pour continuer à exister de servir les intérêts privés et non ceux de la population mondiale.



La raison en est simple : la Banque mondiale et le FMI, complètement noyautés par les lobbys, font admettre dès 1970 que l’amélioration des systèmes de santé ne pourra se faire que grâce aux spécialistes, aux experts que sont les laboratoires privés, toujours à la pointe de la recherche. Et cette idée s’impose aux États, eux-mêmes lobbyisés. À cet égard, savez-vous qu’à l’Assemblée nationale et au Sénat les lobbys ont des bureaux ? Voilà une pratique qui devrait être bannie une fois pour toutes. Mais comme nous l’indiquions dans notre article XXXX, notre démocratie est corrompue. Et cela, comme le montre l’existence des lobbyistes dans nos plus hautes institutions politiques, ouvertement. Depuis 1980 la Banque mondiale investit donc le champ de la santé, prêtant des fonds aux États pour améliorer leurs services de santé.



Des « Affaires » à répétition.



Déjà en 2010, le Monde alertait sur les dérives de l’OMS, dénonçant la mainmise de l’industrie pharmaceutique sur l’organisation et des « pratiques contestables ».




 

L’affaire faisait suite à la divulgation, le 8 décembre 2009, d’un rapport sur une étude de sept ans consacré aux « maladies négligées » dans les pays « en développement » par les laboratoires qui n’y trouvaient aucun intérêt économique, ce qui avait contraint la directrice générale de l’OMS, Margaret Chan, à déclarer le 20 janvier 2010 qu’une enquête était en cours et que l’immunité diplomatique des membres du groupe d’experts chargé de rédiger le rapport, pourrait être levée.



Mais l’affaire s’était arrêtée là, comme c’est toujours le cas. Rappelez-vous « le grand débat » de Macron l’année dernière et la rédaction de ces nouveaux cahiers de doléances dont personne n’entendit plus jamais parler. Pfff ! Disparus, les résultats. Disparus, les commentaires des journaux télévisés. Un soi-disant débat, très dirigé, aux questions posées à l’avance, celles-là et pas d’autres, qui n’avait abouti strictement à rien sinon à bâillonner un peu plus le peuple sous ce faux prétexte. Ainsi en était-il allé de la soi-disant enquête au sein de l’OMS. Pfff ! Envolée, oubliée, disparue dans les souterrains glauques de l’Histoire.



On apprenait rapidement que le rapport des experts qui prônait nombres de solutions pour faire face à une situation qui à l’époque causait tout de même quelques 11 millions de morts, avait été remis confidentiellement à l’IFPMA, l’International Federation of Pharmaceutical Manufacturers and Associations – on aimerait savoir par qui -, et que cette Fédération surpuissante l’avait expurgé de tout ce qui ne lui plaisait pas, en particulier la taxe que le Brésil voulait mettre sur les produits pharmaceutiques importés, mais surtout la possibilité pour les pays en développement d’utiliser les brevets sur les traitements contre le Sida. Une attitude éminemment criminelle. Et c’est sur ce dossier expurgé qu’avait ensuite travaillé à Genève le Conseil exécutif de l’OMS. La fameuse revue scientifique britannique dont nous avons déjà parlé dans notre enquête sur l’origine du Coronavirus, The Lancet, avait alors accusé à juste titre l’IFPAM de « saboter le travail du groupe de travail de l’OMS », et « de rançonner les pauvres du monde. »



Et le rapport du député européen britannique Paul Flynn à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe dénonça le manque de transparence dont avait fait preuve l’OMS dans la gestion de la crise. Oui mais… comme nous le disions, l’affaire en était restée là.



Or, cette même année 2010, l’OMS était encore mise en cause pour sa gestion concernant le virus H1N1. Le 4 juin 2010, un rapport de la Commission sur les questions sociales, de la santé et de la famille de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) établi par Paul Flynn (Royaume-Uni) révélait « l’évidence écrasante que la gravité de la pandémie a été largement surestimée par l’OMS » et que « la pandémie n’a jamais vraiment existé ». Le manque de transparence de l’OMS était mis en avant, en particulier sa réticence à publier les noms et les déclarations d’intérêts des membres de son Comité d’urgence, et la question sur les intérêts des grands groupes pharmaceutiques était largement évoquée.



Et le Conseil de l’Europe s’étant interrogé sur l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la gestion de la pandémie, on accusa certainement avec raison l’OMS d’avoir gaspillé les fonds publics pour le seul intérêt des groupes pharmaceutiques, mais l’organisation s’en défendit fermement et là encore l’affaire fut peu après enterrée, toujours dans le même dépotoir.






Mais qu’importait à l’OMS liée aux groupes pharmaceutiques ! Les directives concernant la grippe A (H1N1) allaient rapporter des millions de dollars à l’industrie pharmaceutique alors que des chercheurs jugeaient sans effets les médicaments préconisés ! Idem pour la tuberculose, l’OMS ayant mis dans la liste de prescription un médicament alors que les tests effectués montraient un taux de mortalité plus élevé dans les groupes traités par ce médicament. Attitude criminelle donc de l’OMS devenue un outil au service de Big Pharma. D’autres sombres affaires d’intérêts purement privés allaient encore polluer la confiance qu’on aurait pu accorder à l’OMS.



Le reportage de ARTE.



Le 3 avril 2017, Arte faisait un reportage sur la corruption au sein de l’OMS. J’attire votre attention sur le fait que le Coronavirus n’existait pas alors.






Or ce reportage concernant en grande partie le financement de l’OMS par des privés et les bénéfices qu’ils en retirent, met en lumière la fondation Bill et Melinda Gates. Comme le déclare alors l’ancienne directrice de l’OMS, Margaret Chan, celle-là même qui avait déclaré en 2010 que l’OMS n’avait rien à se reprocher comme nous l’avons vu plus haut, « Les pratiques financières actuelles font de l’OMS une organisation fondée sur les ressources et non sur les résultats. L’ARGENT DICTE CE QUI EST ACCOMPLI. »



Le reportage très fouillé d’Arte porte sur le financement de l’organisation par les groupes pharmaceutiques, son manque de transparence, sa neutralité douteuse, et… sa capacité ou son incapacité à accomplir ses missions du fait que la priorité consiste à faire le jeu de ses donateurs, laissant plus ou moins de côté son objectif primaire : éradiquer autant que possible les maladies et apporter à tous, nantis ou non, les soins dont ils ont besoin.



Dans le collimateur de ce reportage et entre autres, les effets du glyphosate de la colossale société américaine Monsanto. Un scandale déjà dénoncé par une journaliste indépendante, Marie Monique Robin, dans un documentaire majeur, Le Monde selon Monsanto, en 2008, que je vous invite à regarder car, en définitive, il raconte la même histoire de lobbying et de corruption politique au plus haut sommet des États. Le travail d’Arte complétant très avantageusement les travaux de madame Robin. Dans son reportage, Arte démontre que les études faites sur cet herbicide cancérigène se basent exclusivement sur celles, frauduleuses, produites par les fabricants, et que beaucoup d’experts de l’OMS ont jugé sans faire des essais, ce qui n’est pas du tout déontologique. Les résultats ont donc été biaisés et en 1884, quand Monsanto a voulu imposer ses sojas modifiés, l’OMS a osé déclarer le glyphosate contenu dans l’herbicide Roundup indispensable au traitement de tels sojas sans danger, malgré un nombre important de victimes et les procès publics et donc connus faits par ces gens.






Le reportage aborde également la Fondation Bill Gates. Selon Arte, la Fondation de Bill Gates dont l’objectif affirmé est de combattre la malnutrition et de fournir des soins médicaux, ce qui est très louable en soi, aurait versé plus de 2 milliards de dollars à l’OMS depuis 1990. Fort bien. Cette fondation aurait également participé à de vastes projets pour éliminer la polio et des maladies infectieuses. OK. Mais il y a un échange dans cette affaire, car la fondation, qui est un organisme privé, est entrée dans le conseil décisionnel de l’OMS qui est un organisme public. Et c’est là tout le problème. En se montrant indispensable financièrement, le Lobby met la main sur les instances publiques, qui dès lors, ne sont plus indépendantes. Avec le risque de faire le jeu du privé. Ce qui est le cas et a été démontré par Arte. L’organisation se trouve au centre d’un jeu de luttes d’influences.



Le documentaire d’Arte aborde encore d’autres scandales, et se trouve accusé de gabegie et de négligence dans la considération des maladies tropicales délaissées au profit de marchés qui rapportent davantage.






Un autre scandale : EBOLA



Entre novembre 2018 et juin 2019 sévissait en République démocratique du Congo une épidémie du redoutable Ebola. Les équipes de décontamination, si elles faisaient à peu près leur devoir lors d’une opération au budget dépassant les 800 millions d’euros, codirigée par le ministère de la Santé congolais et l’OMS, en profitaient pour s’enrichir personnellement au détriment d’une population qui n’en était pas dupe, ce qui provoqua des émeutes dues à la colère dans ce pays où l’on vit en moyenne avec la valeur de 50 euros par mois.



Pour transporter les équipes de décontamination, près de 700 véhicules avaient été loués à l’OMS pour une facture de quelques 2 millions de dollars. À ceci près qu’un certain nombre d’entre elles appartenaient aux membres de ces équipes ou à leurs parents et amis. Autrement dit, ils se versaient à eux-mêmes des émoluments sur le compte de l’OMS pour laquelle ils travaillaient. On a appelé cela « l’Ebola business ». Un conflit d’intérêts allant à l’encontre des règles de l’OMS. Parmi ces tricheurs, le Dr Shako Lomami qui, ayant été joint par Libération, avait déclaré que le propriétaire du véhicule « était son frère jumeau : « Moi je suis Shako Lomami et mon jumeau c’est Lomami Shako qui travaille la clinique Graben à Butembo », avait-il raconté. Lequel y était inconnu… Quant au responsable de la sécurité de l’antenne de l’OMS, Blaise Amaghito, il se serait mis dans la poche plus de 90 000 euros. Et les exemples sont nombreux, par dizaines.



À préciser que là encore, l’OMS avait fait la sourde oreille aux demandes des journalistes pour connaître la vérité.



Les intérêts de la Fondation Bill Gates.



On apprend aujourd’hui que la fondation Bill et Melinda Gates a versé plus de 2 milliards de dollars à l’OMS depuis la fin des années 90. Deux milliards de dollars !!! Or, l’un des principaux objectifs de la Fondation Gates était, à l’époque, de fournir le plus de vaccins possibles à travers le monde. Vous avez compris ? Ces 2 milliards de dollars sont un investissement. Si Bill Gates a donné à l’OMS ces 2 milliards de dollars, c’est qu’il espère toucher beaucoup plus avec les vaccins, non ?






Alors aujourd’hui, voici Bill Gates transformé par le miracle de sa colossale fortune en expert médical faisant la loi sur la scène mondiale comme il en a l’habitude. Au demeurant, l’enquête d’Arte dont nous avons parlé plus haut montrait que des employés de l’OMS (dont un haut dirigeant) appartiennent également à la fondation Gates. Nous sommes donc en présence d’un conflit d’intérêt majeur.



Cela expliquera mieux le problème des 11 vaccins obligatoires dans la France de Macron. Et pour les faire admettre, « ils » ont encore utilisé leur super invention des fake news alors que des médecins et des scientifiques critiquaient l’excès des onze vaccins, tel le professeur Bernard Bégaud, ancien président de l’université de Bordeaux, spécialiste de santé publique, qui accusait le gouvernement de mentir dans Libération du 12 juillet 2019 : « Il est malhonnête et contre-productif de nier » que 2 000 personnes sont touchées par la sclérose en plaques après qu’on leur a injecté le vaccin de l’hépatite B. déclarait-il.



Immédiatement, un premier sommet de la vaccination mondiale était organisé à Bruxelles en septembre, et le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, un grand valet de l’oligarchie mondiale dont Bill Gates est l’un des membres actifs, dénonçait ceux qui « jouent avec le feu » en refusant la vaccination. Ces instances sonnaient la garde et l’arrière-garde, regroupant à Bruxelles membres du monde politique, de la société civile, des experts de la santé ou encore des représentants des réseaux sociaux. C’est que l’enjeu financier portant sur des dizaines de milliards de dollars était d’importance. Et à défaut de convaincre, on rendit en France ces vaccins obligatoires sous peine de sanctions. En France, ce fut le rôle de Macron.






Alors, maintenant, avez-vous encore confiance en l’OMS pour le coronavirus ?






Ce mois-ci, le mois de mai 2020, le capital mondial représenté en l’occurrence par Bill Gates, la chancelière Merkel et son pote le Français Macron, la Première ministre norvégienne Erna Solberg, le directeur général de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus, et autres sangsues de la planète, se sont réunis pour parler du Coronavirus. Notez bien que monsieur Ghebreyesus, dans son discours d’ouverture, a appelé Bill Gates « mon frère ». C’est tout un programme. Mais nous avons vu plus haut que le jeu des chaises existe entre l’OMS et la fondation Gates. Mais nous le savons depuis longtemps, Big Brother existe vraiment, c’est l’alliance des politiques au service du capital-mondialisme représenté par des gens comme Bill Gates.



La réalité est que de tels hommes possèdent tout. Gates paie des milliards à l’OMS donc celle-ci lui mange dans la main. Gates possède des entreprises pharmaceutiques, des installations médicales, la production de vaccins, et peut acheter qui bon lui semble, fût-il un chef d’État. Gates décide de la politique à suivre, et on lui obéit le doigt sur la couture du pantalon. Et Gates a décidé de nous imposer ses vaccins ? Car l’homme n’est jamais assez riche. Il aimerait sans doute être l’empereur du monde. Cela a mis en colère le Président Trump qui a suspendu la contribution américaine à l’OMS. Ce que Macron aurait dû faire, cela va de soi. Mais que pèsent les 400 millions de contribution du gouvernement américain face aux milliards de Gates ?






Savez-vous que le Dolder Club qui réunit chaque année ou tous les deux ans, cela depuis l’année 1970, les patrons des plus grands groupes pharmaceutiques, s’est tenu entre les 7 et 9 juillet 2018 à Paris ? Une dépêche de l’AFP, relayée par divers médias, a révélé qu’ils ont été reçus au soir du 9 juillet par Macron, sans que cela soit inscrit à l’agenda présidentiel ni qu’aucun compte rendu n’ait été fait. Ça devait être du joli pour nous, peuple méprisé. Car comme par hasard, à l’issue de la réunion, Édouard Philippe a annoncé les deux mesures qu’attendait de lui le lobby de l’industrie pharmaceutique :



La réduction à 180 jours des autorisations de mise sur le marché des nouveaux produits, au lieu de 300 jours qui étaient jusque-là la norme, malgré les scandales sur un certain nombre de produits tel entre autres Médiator, Lévothyrox, Dépakine (les mères qui en prennent accouchent d’enfants au comportement anormal et il y aurait chez nous environ 30 000 victimes).



La garantie annuelle d’au moins 0,5 % de croissance du chiffre d’affaire pendant les trois ans et jusqu’à 3 % pour les médicaments dits « innovants ». Deux questions se posent : d’abord sur la définition de molécule innovante et sur la prise de décision d’un tel label. Ensuite sur cette croissance promise. Comment ? En forçant les médecins à les prescrire sous peine de sanctions par un Conseil de l’Ordre… aux ordres ? La question est posée. En obligeant les gens à les utiliser sous peine de sanctions de toutes natures, comme on l’a vu pour les 11 vaccins et le refus d’inscription à l’école quand les familles refusent ?








Cela est extrêmement préoccupant. Mensonges à répétition, magouilles, intérêts privés, politique opaque, dictature médicale et pharmaceutique…Peut-on encore faire confiance à l’OMS ? Personnellement je pense que non. Et vous ?


Louise Guersan


Lien et commentaires :


https://ripostelaique.com/corona-magouilles-et-corruption.html


 



Bill Gates est « propriétaire de l’OMS » 



……et voilà, tout est dit! tout s'explique parfaitement !






Robert Kennedy Jr. revient à la charge contre la 5G ainsi que Bill Gates en affirmant qu’il « est propriétaire de l’OMS »



« La 5G n’a pas pour but de vous aider à télécharger votre jeu vidéo rapidement », a-t-il déclaré. « La 5G, c’est de la surveillance et de la collecte de données ».



Reuters a publié un article le 5 mai dernier qui prétends déconstruire l’affirmation de Kennedy concernant la micropuce.



Note ExoPortail : Je conseillerai à Reuters de lire ces articles sourcés qui peut être affineraient leur discernement :








Bill Gates souhaite des « certificats numériques » pour révéler qui a été testés ou vaccinés contre le Covid-19.









…Sujet à suivre,



C. Rosenzwitt-Makiewsky



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