Plaquénil contre le
coronavirus ? Le témoignage d'une patiente du Docteur Raoult qui est guérie.
Publié
le 21/03/2020 à 07h26
L'hôpital
de la Timone (Institut hospitalo-universitaire de Marseille) où travaille le
professeur Didier Raoult. © CHAREYRON Pascal
Laetitia,
37 ans, avocate, d'Aix-en-Provence, était malade du Covid19. Elle ne l'est
plus. La jeune femme fait partie des 24 patients ayant pris part à l'expérience
du Dr Didier Raoult, à l'IHU de Marseille. Ce spécialiste a ouvert le débat en
affirmant avoir découvert dans l'hydroxychloroquine un remède au coronavirus.
Elle témoigne.
D'abord, comment allez-vous ?
Je
dors beaucoup. Pour l’instant le simple fait de me lever et de bouger m’épuise
et me fait tousser. Et puis je suis assez marquée psychologiquement. Mais je
n’ai plus le virus. Pour l’heure nous restons confinés avec mon compagnon et
notre fille de 27 mois comme si nous étions positifs par respect pour les
autres « au cas où ». Nous sortons dans notre jardin la journée tandis que ma
mère nous dépose des provisions devant la porte. Je suis en arrêt maladie
jusqu’à dimanche mais dès lundi j’irai chercher des dossiers au cabinet pour
faire du télétravail à la maison.
Quels étaient vos symptômes quand vous avez
contracté le Covid19 ?
Mes
premiers symptômes étaient la toux sèche, puis des migraines et une toux plus
grasse. C'était mardi 10 mars. Je ne me suis pas vraiment inquiétée parce que
je suis allergique aux pollens, je travaille sur écran, et 12 à 13 heures par
jour en ce moment. J'ai donc pris un Nurofen par jour jusqu'au jeudi. Mais
vendredi matin j'avais des quintes de toux et beaucoup de mal à respirer.
J'étais très essoufflée, épuisée. C'est mon compagnon qui m'a poussée pour que
j'aille me faire dépister alors que j'avais de plus en plus de difficultés à
respirer. Je suis donc allée à la Timone à midi.
« On ne voulait
pas me tester, mais je voulais absolument savoir »
Comment avez-vous été prise en charge ? Et comment
avez-vous appris que vous étiez positive ?
J'ai
attendu plus de trois heures confinée avec des centaines de personnes les unes
derrière les autres, il faisait très chaud. Lorsque mon tour est venu et que j'ai
expliqué mes symptômes, on m'a répondu que je ne serai pas testée car je
n'avais pas d'ordonnance médicale, ni fait de voyage récent. C'était le cas de
plusieurs personnes qui n'ont pas insisté et sont reparties. Mais moi j'avais
ma fille à la maison. On ne voulait pas me tester, mais je voulais
absolument savoir. Alors j'ai inventé un contact avec un positif...
On
a donc fini par me tester puis me renvoyer chez moi avec un masque en me disant
que je pourrai consulter le résultat sur la plateforme de l'hôpital avec un
code, et qu'on me recontacterait de toute façon si c'était positif. Je suis
donc rentrée, avec la peur de contaminer mon bébé et mon compagnon, ou
n'importe qui croiserait mon chemin. J'ai gardé le masque 24 heures et à ce
jour je n'ai toujours pas reçu le fameux code pour lire mes résultats !
Le
vendredi soir, alors que j'appelais la Timone pour avoir des nouvelles, un
monsieur m'a dit qu'il fallait 9 heures pour le test et non 6 heures comme
indiqué initialement. Le samedi matin, toujours rien, jusqu'à 12 h 15 où on
m'appelle. Un médecin m'explique que mon test est positif et que le Samu va
venir me chercher pour 48 heures d'hospitalisation. Mon compagnon et ma fille
ont été emmenés aussi, dans la même ambulance, pour un dépistage. Ils ont vécu
la même attente interminable que moi la veille. Et alors qu'il fallait prendre
de nombreuses précautions à l'aller, ils ont été renvoyés sans ménagement après
le test. C'est ma mère, qui avait un siège enfant et s'était munie de masques
et gants, qui a dû les ramener (alors que mon beau-père a 82 ans et une maladie
auto-immune). Eux, étaient finalement négatifs.
Comment êtes-vous entrée en contact avec le
professeur Raoult et pourquoi avez-vous accepté de participer à son test ?
J'ai
été admise dans son service sans le savoir, je ne l'ai jamais rencontré. Dès
mon arrivée en chambre, une infirmière m'a posé le protocole sur le lit en
m'expliquant que c'était à l'état de recherches, d'où la nécessité de signer.
En état de choc et apeurée, je n'ai rien lu, je n'ai pas réfléchi, j'ai signé.
De toute façon je ne suis pas médecin et clairement j'étais là pour être
traitée et soignée, pas pour attendre que ça passe. J'ai donc voulu leur faire
confiance, d'autant que la Timone est assez réputée. Le lendemain, une amie
médecin urgentiste qui avait fait un stage avec le Pr Raoult m'a dit que je
pouvais y aller les yeux fermés.
Si vous n'aviez pas participé, quelles alternatives
de soins aviez-vous ?
Plusieurs
patients ont refusé. Or à ce jour ils sont hospitalisés depuis quinze jours
sans amélioration...
En quoi a consisté le protocole ?
A
mon arrivée j'ai eu une prise de sang, un électrocardiogramme, un goupillon
nasal, rectal, et une analyse d'urine. J'ai pris le premier comprimé de
Plaquénil (le médicament dont le principe actif est l'hydrocychloroquine NDLR)
le samedi soir avec un antibiotique. Puis j'avais un comprimé le matin et un le
soir les jours suivants. Avec ces tests renouvelés : goupillons nasal et
rectal, analyse d'urine. Le mardi matin, le 17 mars, on m'a fait passer un
scanner des poumons afin de rechercher d'éventuels foyers du virus et
d'éventuels séquelles ou lésions sur les poumons.
Par le scanner, ils cherchaient aussi à comprendre
comment évolue le virus, où il migre...
La
même matinée, ils m'ont indiqué que mes deux derniers tests étaient repassés
négatifs, c'est à dire que le virus était parti et que je pourrai rentrer chez
moi. J'étais la seule dans ce cas, sur les sept personnes qui passaient le
scanner. Tous les autres avaient été hospitalisés le vendredi ou samedi comme
moi, mais ils restaient positifs. Certains avaient refusé le protocole le
premier jour avant de l'accepter ensuite. Mon scanner était clair. J'ai eu une
prise de sang pour voir le taux de Plaquénil dans le corps et un autre
électrocardiogramme. Et comme tout était ok je suis sortie. Dans mon cas ce fut
extrêmement rapide. Les médecins pensent que j'étais déjà arrivée en fin de
virus au moment de l'hospitalisation.
« Je suis quand
même devenue négative en quelques heures »
Avez-vous ressenti des conséquences sur votre corps
? On parle d'effets secondaires...
La
toux se calmait un peu, mais j'étais de plus en plus fatiguée. On m'a expliqué
que cela venait du fait que mon corps s'était battu et que le stress se
relâchait. J'ai eu comme des brûlures dans la poitrine quand je toussais. Des
douleurs au ventre, des migraines et le rythme cardiaque qui s'accélérait. J'ai
pris le dernier comprimé de Plaquénil le mardi soir à la maison (on le prend
jusqu'à 48 heures après le premier test négatif). Et tout a disparu depuis que
je n'en prends plus. Ce qui reste aujourd'hui c'est asthénie, quelques
migraines et une toux résiduelle au moindre effort. Le médecin m'a prévenu que
j'allais la garder plusieurs semaines.
Il est question de lancer une étude à plus grande
échelle et en plusieurs endroits, afin de confirmer les premières conclusions
du Dr Raoult. Elles suscitent la controverse chez les scientifiques... Qu'en
pensez-vous ?
Peut-être
que je n'étais pas un cas compliqué mais je suis quand même devenue négative en
quelques heures ! J'ai pu retrouver ma famille en quatre jours alors que je
croyais mourir ! Je pense surtout qu'on prend le professeur Raoult pour un
"allumé". Par rapport à son physique peut-être, ses cheveux longs.
Mais il est un scientifique reconnu et brillant. Si, en attendant de trouver un
traitement encore plus adapté, celui-ci fonctionne, alors pourquoi s'en priver
?
Vous teniez à parler à la presse. Pour quelles
raisons ?
Je
voulais souligner le travail remarquable du personnel soignant au quotidien.
Ils sont dépassés et en première ligne ! Quand j'ai fait mon entrée en chambre,
l'infirmière arrivait peine à me parler car ses deux téléphones sonnaient
sans cesse ! Et il faut savoir qu'une fois habillés, les personnels ne peuvent
plus sortir du service pendant plus de 6 heures. A chaque tour de garde, le
nouveau qui arrive monte les affaires laissées pour les patients par leurs
familles. Le premier soir, une infirmière est donc venue à 1 heure du matin
pour me donner les affaires que ma mère avait apporté : de l'eau et une
couverture, car il y avait une pénurie dans l'établissement. Et comme j'avais
été incapable de dire à ma mère à quel étage j'étais, c'est le monsieur de la
sécurité qui a passé de longues minutes à appeler les services pour la
renseigner.
Je
voulais aussi dire ma colère sur l'inconscience des gens, tous ceux qui se
sentent supérieurs au virus et ne respectent pas les règles imposées. Lors
de l'annonce au téléphone, j'ai tellement paniqué que je n'osais même plus
toucher ma propre fille de peur de lui transmettre. J'ai vécu 24 heures
d'angoisse en attendant ses propres résultats. Et je connais des personnes qui
sont parties voici encore dix jours en vacances en Italie ! Avec des enfants en
bas âge. Ils me disaient "oh ça va, c'est une grippe" ! Une fois
confrontés à mon cas, tout le monde s'inquiétait pour son propre cas. Car
finalement quand vous y êtes confrontés de plus près, ce n'est plus "une
grippe".
Finalement, avez-vous pu remonter à l'origine de
votre contamination ?
J'ai eu l'ARS au téléphone et après avoir tout retracé ensemble, je pense que ma fille de deux ans l'a eu avant moi. Ma fille a été en contact avec un petit garçon qui avaient ses grands-parents italiens chez lui. A ce moment-là, l'Italie était déjà en plein dedans mais ici ce n'était pas vraiment le cas.
Le
8 mars (dimanche suivant), ma fille avait 39 de fièvre, de la toux continuelle
et une gêne respiratoire.
Propos recueillis par Floris Bressy.
floris.bressy@centrefrance.com
Liens :
Marianne @MarianneleMag.
Didier Raoult nous l'affirme : c’est bien sur
la base de ses essais, passés de Marseille à la Maison Blanche, via Fox News et
Elon Musk, que les États-Unis ont opté pour la chloroquine. "J’aimerais
avant tout que mon pays, la France, en fasse de même."
Lien et commentaires :
« Quand je pense
que nous avons la chance d'avoir le professeur Raoult qui est une sommité
mondiale dans son domaine et qu'on préfère mettre en avant des Michel Cymes, je
me dis qu'il y a quelque chose qui ne va pas et qui est pourri dans le royaume
de France. »
« La
chloroquine est dangereuse car d’un maniement très délicat. La France a très
bien fait d’entreprendre des essais cliniques complémentaires avant d’en
confirmer l’indication contre le Covid »
« Dangereux
comme tous médicaments mal utilisés, continuons à rester dans la stratégie je
teste personne et j'attends le pic de l'épidémie, on comptera les morts, le
COVID 19 ne tue pas c'est la stratégie et la prise en charge qui n'est pas à la
hauteur »
« Tout à fait.
Le grand groupe pharmaceutique suisse Novartis produit depuis hier 130 millions
de doses de Chloroquine pour le gouvernement suisse »
« Après avoir
lu l'article, force est de constater que Donald Trump - pour lequel je n'ai
vraiment aucune tendresse particulière - semble savoir s'entourer de
conseillers intelligents et réactifs. »
+ de commentaires :
Scandale d’Etat à venir !
La #Chloroquine
ne coûte pratiquement rien à produire, est-ce pour cela que la Mafia #EnMarche
préfère attendre de pouvoir fabriquer des vaccins hors de prix ? #JePoseLaQuestion.
Et si le
#ProfesseurRaoult était nominé au prix Nobel de la médecine ? Incroyable
l'aveuglement de nos politiciens et l'incompétences des intervenants dans les
émissions TV !
« Sanofi
travaille dessus. Et puisque c'est la Sécu qui paye, pourquoi se gêner. Je serais
curieux de connaître les gros actionnaires de ce labo. »
Business is
business !
Il
ne faut pas porter de masques !
Ils
sont inutiles si nous ne sommes pas malades !
Selon
Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, Agnès Buzyn, Oliver Véran....
« Ne pas
oublier qu'ils ont tout fait pour soutenir Levy Inserm P4 Lyon-Wuhan (Wuhan ?!?
un hasard sans doute), mari de l'ex sinistre de la santé Buzyn, contre Raoult IHU
Marseille à cause de la rivalité totale entre les 2 Professeurs. »
Michel Onfray au sujet d'Agnès Buzyn: "Trahison? Haute trahison? Haute cour de justice? Quand sera venue l'heure des bilans, ceux qui auront failli auront des comptes à rendre."
Quel surnom pour notre nouveau #serialkiller ?
Michel Onfray au sujet d'Agnès Buzyn: "Trahison? Haute trahison? Haute cour de justice? Quand sera venue l'heure des bilans, ceux qui auront failli auront des comptes à rendre."
Fin de citation.
Ce que l’on retiendra !
Alors que
l'épidémie de #Covid19 commençait à se propager en Europe, les dirigeants
européens n'avaient bien qu'une obsession : sauver Schengen.
« Il faut
absolument contrer l'idée d'une fermeture généralisée des frontières
intérieures de l'Europe ! »
-Conseiller
économique du candidat F. Hollande et grand inspirateur de sa politique
économique.
-Secrétaire
général adjoint de l'Elysée.
-Ministre de
l'économie.
E. Macron est
à la fois responsable et coupable de ce cataclysme sanitaire.
Il devra être
jugé!
Le jour où tout a basculé !
Pénurie de
masques : en privé, Emmanuel Macron jette une pierre dans le jardin de François
Hollande.
Lien vidéo et
commentaires :
Quel surnom pour notre nouveau #serialkiller ?
Thierry
Paulin "le tueur de vieilles dames"
Michel Fourniret
"l'Ogre des Ardennes"
Guy Georges
"le tueur de l'Est parisien"
Francis
Heaulme "le routard du crime"
Émile Louis
"le boucher de l'Yonne"
Emmanuel
Macron ... le Pharaon et ses plaies.
…….. Pendant ce temps-là, en
Chine,
L’Asie nous
donne une sacrée leçon de réactivité et d’efficacité. 👇
La Corée du
Sud a terminé le développement d’un kit de diagnostic du Covid-19 de 10 minutes
et accélère désormais sa production. Ils prévoient d'exporter 300.000 kits de
test par semaine.
« Cette
crise et sa gestion ont montré que l’Asie n’avait plus rien à apprendre mais
plutôt beaucoup à enseigner ! Certes au
prix de libertés individuelles plus réduites... mais le résultat est là ! A
méditer!
L'infirmier💎 @Infirmier00
Un
médecin confirme que la combinaison d'Hydroxychloroquine, et d'antibiotique
Azithromycine pourrait être particulièrement efficace dans le traitement du
#coronavirus et hier sur FOX News un médecin américain déclare que c'est une
"Révolution majeure"
Lien
vidéo et commentaires :
Si
"ça marche" !!!! Pourquoi pas d’infos du gouvernement ? Pas
assez probants les résultats ?
« Parce
qu'en France, il faut des processus de validation avec des tests et
contre-tests.... bref ils vont autoriser le traitement quand les malades seront
morts et quand la molécule ne sera plus disponible puisque tous les pays font
des stocks (Usa, Maroc...) »
https://twitter.com/Infirmier00/status/1241732592593965056
Hommage
à Jean-Jacques Razafindranazy, il était médecin urgentiste à l’hôpital de
Compiègne, il est le premier médecin français décédé du #Coronavirus.
Mort
au front. Respect et Gratitude.
Je
veux une nouvelle fois rendre hommage à l’ensemble du corps médical qui lutte
sans relâche pour vaincre cette pandémie.
« Si
nous avions eu un gouvernement à l’écoute des scientifiques ...cet homme et
beaucoup d’autre seraient encore vivants !!.. »
« Macron
et son gouvernement devront rendre des comptes et être jugés pour non-assistance
à personne en danger et assassinat. »
FLASH - Pandémie de #coronavirus : en #Espagne, 3 475 médecins, soignants et
agents médicaux sont infectés par le #COVIDー19 - soit 12 % des cas confirmés et
détectés. Jeudi, une infirmière de 52 ans est morte du #Coronavid19, une
première. (El Pais).
L'Espagne
en 1918 et maintenant.
....... à suivre,
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