Michel Onfray :
Ce virus risque de
précipiter la mort de plus que des hommes… Il accélère le processus de
décomposition de nos fausses démocraties qui montrent dans la lumière
aveuglante des scialytiques hospitaliers ce qu’elles sont véritablement : de
véritables autocraties libérales -pour ne pas dire des dictatures.
© Michel Onfray,
autorisation de réplication avec copyleft ; réplication depuis Dreuz.
A l’heure où
j’écris, une loi dite d’urgence permet à l’employeur d’imposer à son salarié de
prendre ses congés pendant la durée du confinement. Le sénat a limité la
disposition à six jours ouvrables et l’Assemblée nationale a confirmé la chose
en commission ! Quel humanisme ! Quelle humanité ! Quelle générosité ! Quelle
grandeur d’âme !
Ce sont les mêmes
élus du peuple qui, il y a peu, crachaient sur la douleur de parents qui
avaient perdu un enfant et auxquels il était refusé l’aumône de quelques jours
de congés supplémentaires afin qu’ils puissent tenter de faire face, un peu, au
malheur.
Quand les
gilets-jaunes se sont dirigés un samedi vers l’Assemblée nationale pour y faire
entrer enfin le peuple, même symboliquement, ils visaient juste : car le peuple
n’est pas dans cette enceinte dans laquelle on ne trouve plus que des
politiciens professionnels qui prétendent le représenter mais qui se contentent
de jouir du pouvoir et de ses avantages.
Ce qui veut dire que
la facture de cette épidémie, qui va être terriblement salée, va être partagée
entre les pauvres et … les pauvres -ne parlons pas des assureurs dont le métier
consiste toujours à échapper aux remboursements des dommages par des
finasseries contractuelles. Les riches y échapperont car leur argent est déjà
ailleurs, inaccessible à ce qui reste d’un pouvoir d’État qui, de toute façon, sous
régime maastrichtien, ne leur cherchera pas noise !
Macron et les siens,
les maastrichtiens de droite et de gauche, n’ont en effet pas décidé de
réquisitionner les fortunes planquées dans les paradis fiscaux. Pas question
que les riches paient alors qu’ils ont constitué leurs fortunes en fraudant le
fisc, ce qui veut dire : en ne payant pas l’impôt avec lequel on peut, entre
mille autres choses, construire des hôpitaux et les maintenir en état de
marche… Tout citoyen français qui dispose d’un compte en Suisse ou dans un
quelconque paradis fiscal doit être tenu pour responsable de la mort de qui
n’aura pas pu bénéficier d’un respirateur hospitalier, responsable et coupable.
On lira la liste de quelques-uns de ces assassins en appendice.
Il serait pourtant
légitime de dénoncer enfin ce qui a mis la santé publique dans cet état que des
soignants se trouvent dans l’obligation de trier les vieux à l’entrée des
services d’urgence, une terrible responsabilité qui réactive une pratique de
sinistre mémoire : à droite ceux qui vont vivre, à gauche ceux qui vont mourir.
Le personnel hospitalier n’a pas fait autant d’années d’études pour
sélectionner dans un genre de Jugement Dernier dont ils seraient les dieux des
élus à sauver et des damnés à tuer ! Ils n’ont pas vocation à travailler dans
un abattoir ! Il en va pour eux d’une insupportable souffrance psychique,
mentale et spirituelle qui s’ajoute à leurs fatigues professionnelles, à leur
épuisement. Eux ne disposent pas de ces pitoyables cellules psychologiques qui
sont envoyées sur place pour toute une classe, comme quand une diarrhée de
cantine envoie six enfants d’une école en observation hospitalière pour une
demi-journée…
Car, ceux qui tuent,
ce ne sont pas ceux qui, sur le terrain, sont obligés de tourner le pouce vers
le bas en présence d’un corps trop atteint, de poumons ravagés comme jamais, ce
ne sont pas ceux qui, sans masques, se retrouvent au contact de la mort, ce ne
sont pas ceux qui, couverts de sang et de bave, de morve et des postillons des
grabataires, touchent et portent ces corps comme la piéta le corps de son
enfant mort, mais ceux qui, dans les bureaux, depuis des années, ont rayé des
lignes comptables sur des budgets sous prétexte de rentabilité.
Ce genre de criminel
tue avec un silencieux : en fermant les hôpitaux après avoir estimé qu’ils
perdaient de l’argent ou qu’ils ne dégageaient pas assez de bénéfices ; en
donnant l’ordre de privilégier les actes rentables, au risque de les multiplier
sans raisons véritables ; en décrétant que, dans les petites villes de
province, ces structures de proximité sont trop dangereuses sous prétexte que
les chirurgiens n’y effectuent pas assez d’actes pour être professionnels et
efficaces ; en incitant les hôpitaux à développer l’activité ambulatoire parce
qu’elle réduit la durée des séjours, ce qui expose les malades aux
complications faute de suivi ; en traitant par le mépris l’appel au secours des
personnels soignants qui manifestent depuis plus d’un an et à qui Macron promet
d’agir sans procéder autrement qu’en saupoudrant ici ou là, mais sans jamais
entamer la véritable révolution qui consisterait à découpler la santé publique
du critère de rentabilité.
Ce qui doit primer
dans un hôpital n’est pas qu’il soit rentable, mais qu’on y soigne tout le
monde, riches et pauvres. De même, ce qui doit primer dans une école n’est pas
qu’elle soit rentable, mais qu’on y fasse triompher l’instruction publique sans
distinctions sociales. Mais aussi : ce qui doit primer dans la police ou dans
l’armée n’est pas qu’elles soient rentables, mais qu’elles disposent des moyens
d’assurer partout l’ordre public et républicain. Et l’on pourrait ajouter à la
liste la culture, le renseignement, la justice, etc.
La République, c’est
cela : le souci de l’intérêt général et du bien public avant l’intérêt privé de
quelques-uns, d’un groupe ou d’une aristocratie de milliardaires. Hélas, le
marché a gangrené la totalité du corps social au point qu’il a évincé la
politique et qu’il se fait passer pour une politique, pour la seule politique
d’ailleurs : or, il n ‘est pas une politique mais le seul intérêt du Capital.
Voilà pourquoi
Macron, qui ne connait que ce logiciel, ignore ce qu’est la politique et se
retrouve chef de l’État alors qu’il n’a pas quarante ans -c’est d’ailleurs pour
cette raison, son innocence, que l’État profond a tout mis en oeuvre pour le
placer là où il se trouve, c’est un formidable pantin désarticulé, un pion
jadis rutilant, un second couteau ébréché. Voilà aussi pourquoi, dans cette
situation exceptionnelle, il décide tout et le contraire de tout, n’importe
quoi, c’est le triomphe historique du « en même temps » ! On ne craint pas le
virus mais on le craint, on ne confine pas mais on confine, on ne ferme pas les
frontières mais on les ferme, on ne sort pas mais on peut sortir pour voter, on
ne porte pas de masques, c’est inutile, mais on en fait fabriquer des millions,
etc…
Dès lors, quand
Ségolène Royal, tout au gonflement de sa propre baudruche, attaque Olivier
Veran, l’actuel ministre de la santé, pour sa responsabilité passée, elle
oublie juste de dire qu’avant de grossir le rang des macroniens, ce monsieur
vient lui aussi, comme tant d’autres, du Parti socialiste, dont elle fut la
candidate aux présidentielle, et que ce Parti socialiste n’a plus de socialiste
que le nom depuis qu’en 1983 un certain François Mitterrand l’a jeté à la
poubelle afin de pouvoir rester au pouvoir -ce qui lui a d’ailleurs plutôt bien
réussi puisqu’avec cette forfaiture il a effectué deux septennats qui ont
initié la casse de tout ce qui était public, hôpital compris, et qu’on lui doit
aussi, comme autre héritage notable, d’avoir a mis la famille Le Pen au-devant
de la scène politique…
Nous avions des
millions de masques, nous n’en avons plus, où sont-ils passés ? Guéguerre
picrocholine pour savoir si c’est à l’impéritie passée de la « gauche » qu’on
doit cette pénurie ou à celle de la « droite » : mais c’est au deux, à la
droite maastrichtienne et à la gauche maastricthienne qui, l’une et l’autre, en
même temps comme dirait l’autre, copines comme cochonnes, ont mis la France
dans cet état : merci Mitterrand ! Merci Chirac ! Merci Sarkozy ! Merci
Hollande ! Merci Macron ! Car ce sont eux qui ont rendu possible cette
incroyable monstruosité que, dans cet hôpital public qu’ils ont tué pour en
faire des usines à fric, le résultat soit qu’on trie les gens pour diriger les
malades les plus atteints, dont les vieux, vers les pompes funèbres, pour ne
soigner que les cas les moins préoccupants. De sorte qu’avec ces hôpitaux
libéraux, le plus malade est le plus vite mort.
L’hôpital libéral,
c’est un nouveau concept orwellien : on pourrait imaginer des slogans peints
sur les murs de ces usines de mort que sont devenus ces hôpitaux-là, nos
hôpitaux : « Plus vous serez malade, plus vite on vous expédiera au fond du
trou ! ». Ou bien, sur la porte du bureau des personnels soignants : « Aux
urgences, évitez ce qui est urgent ». Au bureau des soignants : « Aux mourants,
prodiguez la mort ». Au bureau du comptable : « Un bon patient est un client à
tondre ». Et puis, à l’entrée du funérarium, ceci : « Aux morts, Maastricht
reconnaissant », car l’action des PFG doit se trouver bigrement en hausse.
Un dernier mot :
chaque soir, au journal de vingt-heures, les journalistes, qui disposent ainsi
de leur séquence « vivre-ensemble » (c’est leur moment homéopathique positif)
nous montrent les gens qui, aux fenêtres, applaudissent le personnel soignant
en faisant des pitreries, en tapant sur des casseroles, en chantant, en criant.
Ils manifestent, nous dit-on, leur solidarité avec ces héros de notre époque
qui bravent la mort dans leur métier ! Très bien, très bien… Tout cela est
vrai.
Mais combien, parmi
ceux-là, postillonnant du haut de leurs balcons, gavés par la propagande
maastrichtienne, ont voté pour des candidats qui, droite libérale et gauche
libérale confondues, ont justement fabriqué cet hôpital kafkaïen où l’on
contraint de pauvres soignants à distribuer la mort ou à conférer la vie en
vertus de plans de route décidés depuis un quart de siècle par cette Commission
européenne, qui n’est pas élue, et qui impose sa loi, aujourd’hui dans le sang
et les larmes, les glaires et les crachats, aux sujets de l’Empire
maastrichtien ?
Combien ?
Je n’ai pour ma part
pas envie d’aller sur mon balcon pour bêler avec les moutons. Je pense à ces
gens formidables, en effet, qui m’ont sauvé d’un infarctus quand j’avais
vingt-huit ans, qui ont été près de moi lors de mes deux AVC, qui ont si bien
accompagné ma compagne pendant les dix-sept années de son cancer et de ses
chimiothérapies avant qu’elle finisse par mourir, et qui, de fait, méritent
notre profond salut. Mais pas depuis dix jours…
J’ai plutôt envie de
pleurer sur ce qu’est devenue la France tuée par ces assassins qui, eux, se
portent bien…
© Michel Onfray
Appendice 1 :
Dans la Notice
Wikipédia intitulée « Évadés fiscaux », on peut lire ceci : » Challenges a
fourni dès juin 2013 une liste de 86 contribuables apparaissant sur cette liste
et faisant l’objet de poursuites. On comptait notamment Nina Ricci, Arlette
Ricci, Jean-Claude Guidicelli, Simon Benharrous. Le 27 janvier 2014, le journal
Le Monde a publié d’autres noms, dont Christian Karembeu, les frères Christian
et François Picart, Alain Afflelou, Cédric Klapisch, Gérard Miller, Michel
Tubiana, et Richard Prasquier. Tiens tiens, Gérard Miller, psychanalyste chez
Drucker et Drucker chez les psychanalystes !
Arlette Ricci,
héritière des parfums Nina Ricci, est condamnée le 13 avril 2015 à trois ans de
prison dont un ferme et un million d’euros d’amende, pour fraude fiscale,
blanchiment de fraude fiscale et organisation frauduleuse d’insolvabilité pour
échapper à l’impôt ».
Appendice 2 :
Français établis
fiscalement à l’étranger
Sportifs :
Jean Alesi, réside en Suisse
Marion Bartoli, réside en Suisse
Julien Benneteau, réside en Suisse
Arnaud Boetsch, réside en Suisse
Arnaud Clement, réside en Suisse
Nicolas Escudé, réside en Suisse
Guy Forget, réside en Suisse
Richard Gasquet, réside en Suisse
Jean-Claude Killy, réside en Suisse
Henri Leconte, réside en Suisse
Sébastien Loeb, réside en Suisse
Paul-Henri Mathieu, réside en Suisse
Gaël Monfils, réside en Suisse
Christophe Moreau, réside en Suisse
Amélie Mauresmo, réside à Genêve en Suisse
Stéphane Peterhansel, réside en Suisse
Cédric Pioline, réside en Suisse
Alain Prost, réside en Suisse
Fabrice Santoro, réside en Suisse
Florent Serra, réside en Suisse
Gilles Simon, réside en Suisse
Jo-Wilfried Tsonga, réside en Suisse
Vincent Rives, réside en Irlande
Jean-Philippe Gatien, réside au Delaware aux
Etats Unis
Chanteurs :
David Hallyday, réside en Suisse
Patricia Kaas, réside en Suisse
Florent Pagny, réside en Patagonie (Argentine)
Michel Polnareff, réside aux Etats-Unis
Yannick Noah, réside aux USA (le « personnage
préféré des français… !!!)
Acteurs :
Daniel Auteuil, réside en Belgique
Emmanuelle Béart réside en Belgique
Laetitia Casta, réside au Royaume-Uni
David Habibi, réside au Canada
Alain Delon, résident et citoyen Suisse
Auteurs :
Anne Marie Mitterrand (3), réside en Begique
Christian Jacq, réside en Suisse
Marc Levy, réside au Royaume-Un
Patrons et
Actionnaire :
Jacques Badin (Carrefour) réside à Bruxelles
en Belgique
Thomas Bata (marque de chaussures Bata) réside
en Suisse
Famille Baud (dont Jean Baud), (marques
Franprix et Leader Price), résident en Suisse
Lotfi Belhassine, (président d’Air Liberté),
réside en Belgique. Il a fui la France car l’ISF représentait 93% de ses
revenus
Claude Berda, (AB Groupe), réside à Cologny en
Suisse
Des membres de la famille Bich (Groupe Bic)
résident en Suisse
Michèle Bleustein-Blanchet, une des héritières
de Publicis, réside à Cologny en Suisse
Corinne Bouygues, réside à Genève en Suisse
Pierre Castel, PDG du groupe Castel Frères
(Cristalline, Thonon, Vichy Célestins, 33 export, Saint-Yorre) réside près du
Lac Leman en Suisse
Des membres de la famille Mulliez (Auchan,
Décathlon, Mondial Moquette, Norauto et Kiabi), résident en Belgique
Georges Cohen, groupe Sogeti, (informatique et
armement), réside en Suisse
Bernard Darty, fondateur de Darty, réside en Belgique
Jean-Louis David, fondateur des salons de
coiffure, réside en Suisse
.
Des membres de la famille Defforey, à
l’origine de la société Carrefour, résident en Belgique
Des membres de la famille Despature, dont
Paul-Georges Despature, propriétaire des
marques Damart et
Somfy, résident en Suisse et en Belgique
Paul Dubrulle, (co-créateur du Groupe Accor)
et ancien sénateur-maire de Fontainebleau, réside à Cologny en Suisse
Des membres de la famille Ducros résident à
Cologny en Suisse
Pierre-François Grimaldi (iBazar), réside en Belgique
Eric Guerlain, (Groupe Christian Dior), réside
en Grande-Bretagne
Daniel Hechter, créateur réside en Suisse
Philippe Hersant, (groupe Hersant presse)
réside en Belgique
Philippe Jaffré, (ancien président dElf)
Robert Louis-Dreyfus et des héritiers Louis-Dreyfus
(Groupe Louis-Dreyfus, Olympique de Marseille) résident à Zurich en Suisse
Des membres de la famille Mimram, dont
Jean-Claude Mimram, (Compagnie sucrière sénégalaise…) résident à Gstaad en
Suisse
Alexandra Pereyre de Nonancourt et des membres
de la famille, (propriétaire des champagnes Laurent-Perrier), résident en
Suisse
Denis Payre (1), (fondateur de Business
Objects), réside en Belgique ou il a démarré une nouvelle société, Kiala, qui a
embauché 100 personnes
Des membres de la famille Peugeot, (Groupe
PSA), résident en Suisse
Jean Pigozzi, (héritier des voitures Simca),
réside en Suisse
Michel Reybier, (ancien PDG de Justin Bridou,
Cochonou, Aoste), réside en Suisse
Jacques Tajan (2), (ancien premier
commissaire-priseur de France), réside en Belgique
Des membres de la famille Wertheimer,
(Chanel), résident à Cologny en Suisse
Antoine Zacharias, (ancien PDG de Vinci),
réside à Genève en Suisse
Roger Zannier, (Kookaï, Z, Kenzo, Oxbow,
Chipie et Absorba), réside à Cologny en Suisse
Alain Ducasse, cuisinier, a troqué sa
nationalité française pour rejoindre Monaco
Famille Primat (Schlumberger Limited)
Benjamin de Rothschild (Groupe financier
Edmond de Rotschild)
Famille Lescure (Seb, Tefal, Rowenta, Krups,
Moulinex, Calor…)
Famille Murray
Nicolas Puech (Hermès…)
Famille Zorbibe (Lancel)
Famille Lejeune (SEITA…)
Philippe Jabre (Jabre Capital Partners)
Famille Harari (laboratoire Negma)
Famille Taittinger (4) (Champagne Taittinger)
Denis Dumont (Enseigne Grand Frais)
Michel Lacoste (Vêtements Lacoste)
Nicole Bru-Magniez (Laboratoire UPSA)
Alain Duménil (Acanthe Développement)
Bruno Moineville (Réseaux câblés de France)
Hugues de Montfalcon de Flaxieu (Maxiris)
Christian Picart (Buffalo Grill)
Thierry Roussel (Carat Group, SGFC, Onassis)
Paul Dubrule (Accor)
Maurice et David Giraud (Pierre et Vacances)
Jérôme De Witt (Horlogerie De Witt)
Dominique Frémont (Mauboussin)
Liste dressée par
Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
Fin de citation.
Lien et 113 commentaires :
« Entièrement
d’accord avec cet article. Moi-même infirmier, ayant traversé plusieurs burn
out, j’aurais aimé que M. Onfray nous parle de Me Bachelot qualifiée de grande
dame aujourd’hui pour sa gestion de la grippe. Nous, à l’hôpital, n’oublions
pas qu’elle est, parmi d’autres, une des grandes destructrices de notre hôpital
.et qu’elle l’a mené sur ce chemin désastreux avec grande violence. Il serait
bon que les gens s’en souviennent. »
« Tiens,
tiens... après Causeur, avec Dreuz.info, Onfray a son cachet « pro-israélien »
...Comme quoi, tous les chemins mènent au sionisme, bras armé du judaïsme...Onfray
nous surprendra toujours ! Sur le fond, rien à redire à l’analyse d’Onfray. »
« Michel Onfray
porte la voix du petit peuple, dirons-nous, sorte de Léopold Senghor des
Blancs. Aussi répète-t-il bien des évidences à la base pour le sommet, qui
l’extrême-droitise pour ne pas l’entendre. Néanmoins, Michel Onfray passe pour
un saint à bien des yeux populaires, alors qu’il pompe beaucoup ce qu’il lit de
par internet pour s’avoyer. Il a au moins le mérite de porter haut, et de
s’avoyer, dirons-nous, bien qu’il se fasse passer pour authentique. Ne crachons
pas dans la soupe. »
+ de commentaires :
https://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/michel-onfray-voici-venu-le-temps-222619
Confinement: l'avis de Michel Onfray.
Lien vidéo
et commentaires :
......... Demain est un autre
jour !
C.
Rosenzwitt-Makiewsky.
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