Big Pharma achète pour 40 millions de dollars le silence du Dr Hill afin d’enterrer l’ivermectine
Publié le 31 décembre 2021
Le 18 janvier 2021, lors d’une conversation avec le Dr Tess Lawrie, le Dr Andrew Hill, qui a étudié et promu les propriétés de l’ivermectine pour le traitement du covid, a reconnu avoir préféré les dollars aux vies humaines. L’université de Liverpool, dont il est chercheur principal au département de pharmacologie et de thérapeutique, a reçu 40 millions de dollars d’UNITAID.
L’UNITAID est soutenue par le lobby des vaccins, dont la Fondation Bill et Melinda Gates. Andrew Hill a admis que ses sponsors ont fait pression pour modifier ses conclusions. En effet, l’article est optimiste : « L’ivermectine a permis de réduire significativement la durée d’hospitalisation, significativement plus courte que celle du groupe témoin ». En revanche la conclusion est totalement inverse : « De nombreuses études incluses n’avaient pas encore été publiées ou revues par des pairs. Les méta-analyses sont sujettes à des problèmes de confusion. En outre, les normes de soins variaient considérablement d’un essai à l’autre, et la dose d’ivermectine et la durée du traitement étaient hétérogènes. L’ivermectine doit être validée dans des essais randomisés de plus grande envergure, randomisés et contrôlés. » Le rédacteur de la conclusion n’est de toute évidence pas le même que celui du corps du texte.
Les effets de la lâcheté du Dr Andrew Hill et de l’avidité de Big Pharma
Depuis la décision fatidique d’Andrew Hill d’autoriser son sponsor à « modifier » la conclusion de son article, 2,475 millions de personnes [11 mois x 30 jours par mois x 7500 décès par jour] sont mortes, dont 80% auraient pu être sauvées si l’ivermectine avait été approuvée. Donc, précisément 1,98 million de vies ont été perdues à cause de son revirement. Quarante millions de dollars, c’est la valeur de la donation faite à l’Université de Liverpool par UNITAID. Cette somme équivaut à 20 dollars et 20 cents par vie. C’est ce que nous valons tous dans le calcul du lobby des vaccins. (Le fait que le Dr Andrew Hill ait permis à une autre personne de modifier la conclusion de son article est connu et a été publié dans le livre Ivermectin for the World, de Justus Hope.)
Transcription du dialogue entre le Dr Hill et le Dr Lawrie sur l’ivermectine.
Dr Andrew Hill – Je pense que je suis dans une position très sensible ici.
Dr Tess Lawrie – Beaucoup de gens sont dans des positions sensibles ;
ils sont à l’hôpital, dans des unités de soins intensifs en train de mourir, et
ils ont besoin de ce médicament. C’est ce que je ne comprends pas, vous savez,
parce que vous n’êtes pas un clinicien. Vous ne voyez pas des gens mourir tous
les jours. Et ce médicament prévient les décès de 80%. Donc 80 % des personnes
qui meurent aujourd’hui ne devraient pas mourir puisqu’il y a l’ivermectine.
Dr Hill – Le NIH [Instituts américains de la santé] n’accepterait pas de
recommander l’ivermectine.
Dr Lawrie – Oui, parce que le NIH appartient au lobby des vaccins… C’est
une mauvaise recherche. Donc, à ce stade, je suis vraiment, vraiment inquiète
pour vous.
Dr Hill – Oui. Je veux dire, c’est une situation difficile.
Dr Lawrie – Non, vous pourriez être dans une situation difficile. Je ne
le suis pas parce que je n’ai pas de financeur. Je peux dire la vérité… Comment
pouvez-vous délibérément essayer de foutre le bordel… vous savez ? Alors,
combien de temps allez-vous laisser les gens mourir inutilement — ça dépend de
vous ? Quel délai avez-vous prévu pour cela, sinon ?
Dr Hill – Eh bien, je pense… je pense que cela relève de l’OMS et des
NIH, de la FDA [Food & Drug administration] et de l’EMEA [Agence européenne
pour l’évaluation des médicaments]. Et ils décideront quand ils jugeront que
trop c’est trop.
Dr Lawrie – Vous préférez… risquer la vie de nombreuses personnes. Vous
savez que si vous et moi étions ensemble sur ce sujet, nous pourrions présenter
un front uni et nous pourrions obtenir cela. Nous pourrions faire en sorte que
ça arrive. Nous pourrions sauver des vies ; nous pourrions empêcher les gens
d’être infectés. Nous pourrions empêcher les personnes âgées de mourir…
Je suis médecin, et je vais sauver autant de vies que je peux. Et je vais le
faire en faisant passer le message sur l’Ivermectine… D’accord.
Malheureusement, votre travail va nuire à cela, et vous semblez être capable de
supporter le fardeau de beaucoup, beaucoup de morts, ce que je ne peux pas
faire.
Dr Lawrie (à propos de la modification des conclusions) – Alors, qui
est-ce, à UNITAID ? Qui vous donne des avis sur vos preuves ?
Dr Hill – Eh bien, ce sont les gens qui sont là-bas. Je ne…
Dr Lawrie – Pourriez-vous me donner le nom de quelqu’un à UNITAID à qui
je pourrais parler, afin que je puisse partager mes preuves et espérer les
convaincre de les comprendre ?
Dr Hill – Oh, je vais devoir réfléchir à quel nom vous communiquer… Mais
je veux dire que c’est très difficile parce que je suis, vous savez, j’ai ce
rôle où je suis censé produire ce document et nous sommes dans un équilibre
très difficile, délicat… Oui, c’est un lobby très fort…
Dr Lawrie – Alors, combien de temps pensez-vous que l’impasse va durer?
Dr Hill – De mon côté. D’accord… Je pense que fin février, nous y serons
dans six semaines.
Dr Lawrie – Combien de personnes meurent chaque jour ?
Dr Hill – Oh, bien sûr. Je veux dire, vous savez, quinze mille personnes
par jour.
Dr Lawrie – Quinze mille personnes par jour fois six semaines… Parce
qu’à ce rythme, tous les autres pays reçoivent de l’ivermectine, sauf le
Royaume-Uni et les États-Unis, parce que le Royaume-Uni, les États-Unis et
l’Europe sont détenus par le lobby des vaccins.
Dr Hill – Mon objectif est de faire approuver le médicament et de faire
tout ce que je peux pour qu’il atteigne le maximum…
Dr Lawrie – Vous ne faites pas tout ce que vous pouvez, parce que tout
ce que vous pouvez impliquerait de dire aux personnes qui vous paient : « Je peux voir que cela empêche les décès.
Je ne vais donc plus soutenir cette conclusion, et je vais dire la vérité. »
Eh bien, vous ne serez pas approuvé de la manière dont vous avez rédigé cette
conclusion. Vous vous êtes, en fait, tiré une balle dans le pied, et vous nous
avez tous tiré une balle dans le pied. Tous… tous ceux qui essayent de faire
quelque chose de bien. Vous l’avez en fait complètement détruit… Je ne sais pas
comment vous arrivez à dormir la nuit, honnêtement.
La censure des publications scientifiques
À lire cette note éditoriale, l’article du Dr Hill sur l’ivermectine a été carrément enterré : « Le 6 juillet 2021, Open Forum Infectious Diseases a publié une version de ce préprint. Les auteurs ont appris par la suite que l’une des études sur lesquelles cette analyse était basée avait été retirée en raison de données frauduleuses. Une déclaration de préoccupation a été publiée le 9 août 2021. Les auteurs ont soumis une version révisée excluant l’étude problématique, et l’article publié initialement a été rétracté. La version révisée est désormais disponible sur le site du journal.
Le rouleau compresseur des médias grand public
Le 13 octobre 2021, le Guardian (financé par la Fondation Bill & Melinda Gates) a offert une page de publicité pour les vaccins et, bien entendu, contre l’ivermectine. Elle est signée Andrew Hill ! Disons que le rédacteur n’a eu aucun scrupule à utiliser la signature du chercheur (lequel a déjà accepté que Big Pharma réécrive la conclusion de son étude sur l’ivermectine). Voici l’article : « Nous avons […] trouvé plusieurs exemples de fraude médicale dans les essais cliniques de l’ivermectine : certaines bases de données avaient été tout simplement inventées par des médecins peu scrupuleux. Lorsque nous avons éliminé tous les essais cliniques de mauvaise qualité, l’ivermectine ne présentait plus aucun avantage clinique. […] Après notre reportage sur la fraude médicale en juillet 2021, les abus ont empiré. On m’a envoyé des images de criminels de guerre nazis pendus à des lampadaires, des images vaudoues de cercueils qui se balancent, des menaces vives selon lesquelles ma famille n’était pas en sécurité, que nous allions tous brûler en enfer. […] Ma réputation scientifique a également été menacée par courrier électronique. Je connais de nombreux autres scientifiques qui ont été menacés et maltraités de la même manière après avoir encouragé la vaccination ou remis en question les avantages de traitements non éprouvés comme l’ivermectine. Si les scientifiques ne peuvent pas communiquer par peur des menaces et des abus, comment peut-on contrôler toute la désinformation ? Si nous laissons cette désinformation se répandre sans contrôle, il y a un réel danger que les gens ne se fassent pas vacciner — ils croiront qu’ils peuvent prendre un traitement alternatif et être protégés, même s’il n’y a aucune preuve réelle. Ces personnes pourraient alors être infectées, hospitalisées et même mourir du Covid. Il y a tellement de patients non vaccinés qui sont hospitalisés au Royaume-Uni, alors qu’ils auraient pu faire un choix différent avec les bonnes informations. »
Big Pharma fait feu de tout bois : des articles scientifiques réécrits aux ragots de la presse poubelle, tout est bon pour éviter qu’un traitement puisse guérir du covid et empêcher la vente de vaccins. À l’ivermectine, l’université de Liverpool donnait la préférence au molnupiravir plus rentable (710 $ la dose aux États-Unis). Un traitement tellement prometteur (de dividendes) que Oliver Véran a annoncé le 26 octobre en avoir commandé 50 000 doses pour 30 millions d’euros. Mais patatras ! la Haute Autorité de Santé a refusé de l’autoriser. Deux fonctionnaires du ministère de la Santé de l’île Maurice en ont commandé. Résultat : ils se retrouvent en prison. Olivier Véran est toujours en liberté. Tout cela pour vendre (très cher) des médicaments ou de pseudo vaccins, quand des molécules d’un prix ridicule peuvent soigner. Rappelons que la boîte de 4 comprimés d’ivermectine ne coûte que 8,53 €.
Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.
Fin de l’article.
C. Rosenzwitt-Makiewsky
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