Nos élus sont les complices d’un empoisonnement collectif.
Au lieu d’engager sa responsabilité avec l’article 49.3 pour faire passer ses lois liberticides et illégales vis-à-vis de notre bloc constitutionnel, les traités et conventions internationales ratifiés et signées par la France, notre gouvernement a choisi la « procédure législative d’urgence » créée lors de la modification constitutionnelle de Sarkozy en 2008. Elle a été utilisée pour la loi du 5 août 2021 dite de l’« obligation vaccinale des soignants », la loi du 10 novembre 2021 dite de la « prolongation du pass sanitaire sans contrôle jusqu’en juillet 2022 » et est utilisée pour le projet de loi dite du passe vaccinal.
I – La tromperie du peuple français par les politiques avec la mascarade du
débat parlementaire et le prétendu contrôle du Conseil Constitutionnel est bien
rodée, comme le démontre la synthèse ci-dessous :
1. Le gouvernement introduit un projet de loi à l’Assemblée Nationale en
procédure accélérée.
2. Les députés votent le projet soit directement, soit en n’étant pas présents
à l’Assemblée Nationale, laissant ainsi le champ libre aux députés macronistes
(Il est moins risqué pour un député souhaitant voter « pour » de ne pas venir à
l’Assemblée Nationale le jour du vote afin d’éviter d’avoir son nom placardé
dans les « pour »).
3. Ensuite, le projet de loi part au Sénat. S’il vote pour, il revient
l’Assemblée Nationale pour validation définitive. Dans le cas contraire, il
repart à l’Assemblée Nationale qui peut reprendre le texte initial et le
valider avec un tour de manège supplémentaire Sénat / Assemblée qui ne sert à
rien. En résumé, les votes et modifications apportées par le Sénat sont
inutiles.
4. Ensuite, le projet de loi est envoyé au Conseil Constitutionnel.
Le peuple français s’attend à ce que ces fameux « sages » vérifient
rigoureusement que la loi respecte la Constitution, les traités internationaux
et les conventions internationales ratifiés et signées par la France. Eh bien
non, ils ne vérifient rien ! Oh si, pardon, le Conseil Constitutionnel ne
vérifie la légalité de la loi que si 60 députés ou sénateurs lui soumettent des
questions d’inconstitutionnalité sur des articles précis. Par exemple : si
l’article X de la loi n’est pas légal vis-à-vis de notre Constitution et
qu’aucune question n’est posée sur cet article par un groupe de parlementaires,
eh bien l’article X est laissé dans la loi même s’il est illégal !
En ne posant aucune question, les députés et sénateurs laissent sciemment des articles
illégaux dans la loi qui est appliquée. Et la conformité de la loi vis-à-vis
des traités et conventions internationales ratifiés et signées par France ? Les
fameux « sages » ne vérifient rien de cela ! Il a décidé que ce n’était pas son
rôle dans l’arrêt n° 74-54 DC du 15 janvier 1975 relatif à la loi IVG. En
résumé, de nombreux articles composant ces lois sont appliqués alors qu’ils
violent scandaleusement la Constitution et les traités et conventions ratifiés
et signées par la France.
Voilà la médiocrité du monde politique actuel !
Les députés votent des articles de loi tout en sachant qu’ils ne sont pas
légaux vis-à-vis de nos textes fondateurs de la République. Lors des débats
parlementaires sur le pass vaccinal, le député LFI, Eric Coquerel, a rappelé à
ses « chers collègues » qu’obliger les Français à la « vaccination » pour
pouvoir travailler était parfaitement illégal vis-à-vis du droit français et,
spécialement, aux normes constitutionnelles et à de nombreux traités et
conventions ratifiés et signées par la France. Eh bien les députés l’ont voté
tout en sachant qu’il allait passer le soi-disant contrôle passoire des fameux
« sages » du Conseil Constitutionnel.
Cette stratégie de tromperie du peuple par les politiques a notamment été
utilisée pour les lois liberticides suivantes :
– Projet de loi du 25 juillet 2021 relatif à la gestion de la crise sanitaire,
dite loi de l’obligation « vaccinale » des soignants devenue la loi
du 5 août 2021,
– Projet de loi du 5 novembre 2021 portant diverses dispositions de vigilance
sanitaire, dite loi de la prolongation du passe sanitaire sans contrôle
jusqu’en juillet 2022, devenue la loi du 10 novembre 2021,
Et bien entendu, elle est utilisée pour le pass vaccinal :
– Projet de loi du 5 janvier 2022 renforçant les outils de la gestion de la
crise sanitaire et modifiant le Code de la santé publique dite loi du
scandaleux et illégal passe vaccinal, actuellement en discussion. Grâce à cette
stratégie, le gouvernement peut promulguer et faire appliquer des lois
complètement illégales.
Est-ce que nos institutions protègent encore le peuple français d’un
gouvernement tyrannique ?
– Les députés censés représenter le peuple se font élire sur des étiquettes de
partis politiques et arrivés à l’Assemblée Nationale, ils votent aux ordres de
leur parti, même en violant les lois suprêmes qui nous protègent : notre bloc
constitutionnel, les traités et conventions internationales ratifiés et signées
par la France,
– Avec la procédure d’urgence introduite insidieusement par N. Sarkozy lors de
sa révision constitutionnelle, bien entendu sans demander l’avis du peuple
français par référendum, le Sénat a perdu ses pouvoirs de contrôle si tant est
qu’il contrôlait avant…
– Le Conseil Constitutionnel ne contrôle plus rien et laisse passer des lois
illégales au grand bonheur d’un éventuel dictateur au pouvoir ! Il est
habilement utilisé par le gouvernement afin de faire croire au peuple français
et aux forces publiques que les lois sont légales.
Afin de remettre de l’ordre rapidement dans nos institutions afin d’empêcher
les politiques de voter des lois illégales vis-à-vis de notre cadre juridique
suprême, il serait temps que le peuple français élise aux prochaines élections
législatives des députés qui les représentent vraiment et non des exécutants de
partis politiques.
Bien entendu, les Français peuvent encore essayer de demander l’abrogation de
ces lois illégales à travers les Questions Prioritaires de Constitutionnalité
(QPC), contrôles de conventionalité et questions préjudicielles devant la CJUE,
mais le problème est qu’ils doivent le faire dans le cadre d’une procédure
juridictionnelle. Le délai de réponse est très long et la procédure très
couteuse en frais d’avocat.
Par exemple, imaginons que le gouvernement arrive à faire voter sa loi imposant
la « vaccination » pour pouvoir travailler. Sans trop rentrer dans les détails
juridiques, cette loi viole notamment :
– L’article 23 du préambule de la Déclaration universelle des droits de l’homme
de 1948 qui affirme : « Toute personne a droit au travail, au libre choix de
son travail»,
– La directive 2001/20/CE et le règlement n°536/2014, qui affirment que l’on ne
peut pas obliger les Français à suivre des traitements y compris des thérapies
géniques préventives ; ce qui est appelé vaccin aujourd’hui n’est juridiquement
pas un vaccin, mais un traitement donc un médicament,
– Le règlement européen n°2021/935 qui indique qu’il y a lieu d’empêcher toute
discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes non vaccinées,
– La Convention d’OVIEDO de 1997, qui affirme que les essais cliniques ne
peuvent pas être obligatoires,
– Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques de 1966, qui
affirme qu’il est interdit de soumettre une personne sans son libre
consentement à une expérience médicale ou scientifique,
– La Charte des droits fondamentaux de l’U.E., qui confirme que dans le cadre
de la médecine et de la biologie, le consentement libre et éclairé doit être
respecté.
Pour combattre cette loi illégale, un salarié licencié pour cause de
non-présentation de son « schéma vaccinal » complet devra donc assigner en
justice son employeur pour licenciement abusif en application d’une loi
illégale et dans sa procédure, inclure des QPC, demande de contrôle de conventionalité,
question préjudicielle devant la CJUE.
Il devra attendre plusieurs mois avant que le Conseil constitutionnel juge
cette fois, suite à la demande en justice introduite par le salarié a
posteriori (et non plus dans le cadre de la consultation a priori, lors de la
soi-disant validation de la loi illégale) avant que les « sages » lui
retournent une réponse.
Il est inconcevable que les juges du Conseil Constitutionnel rendent une réponse
négative, la loi sur le pass vaccinal empêche un citoyen de travailler s’il ne
se fait pas injecter une thérapie génique expérimentale, ce qui est illégal.
Plusieurs mois après cette décision, le gouvernement sera obligé d’abroger sa
loi scélérate. En attendant, cette loi que tous les Français croyaient constitutionnelle
est appliquée et peut faire de graves dégâts au sein de la population !
Le problème avec ce système de passation des lois sans contrôle rigoureux d’un
vrai Conseil Constitutionnel, à la fois vis-à-vis de notre bloc
constitutionnel, mais aussi vis-à-vis des traités et des conventions
internationales signés par la France, c’est que des lois illégales peuvent être
appliquées pendant des mois voire des années si personne n’a l’idée de les
attaquer !
II – Sur l’absentéisme stratégique à l’Assemblée Nationale
Il faut rappeler que le vote de la loi ne requiert pas la présence d’un nombre
minimum de députés dans l’hémicycle. Donc, à l’exception de certaines
procédures spéciales, l’Assemblée Nationale délibère valablement, quel que soit
le nombre de députés présents.
A) Sur l’absentéisme global pour ces trois lois violant les droits fondamentaux
des Français :
– Loi du 5 août 2021 dite de « l’obligation vaccinale des soignants » : 60% de
députés absents à l’Assemblée Nationale pour le vote,
– Loi du 10 novembre 2021 dite de la « prolongation du passe sanitaire jusqu’en
juillet 2022 sans contrôle » : 64% de députés absents à l’Assemblée Nationale
pour le vote,
– Loi dite du passe vaccinal actuellement en cours de discussion : 42% de
députés absents à l’Assemblée Nationale pour le vote.
B) Sur l’absentéisme du groupe Les Républicains ou « comment voter pour sans
faire afficher son nom sur le listing des votes afin que les électeurs ne
réclament des comptes ? »
Partant, à l’analyse des trois scrutins, il apparaît que, avec 103 (105, pour
le scrutin pour la prolongation du passe sanitaire) députés à l’Assemblée
Nationale, les députés LR seraient en nombre suffisant pour contrer les députés
« Macron-compatibles », s’ils le voulaient. Examinons les votes lors des trois
scrutins :
1. Loi du 5 août 2021 dite de « l’obligation vaccinale des soignants »,
Les députés Les Républicains ont voté pour la loi à 84 %, soit directement,
soit par abstention, soit par absence !
Pour l’adoption définitive du projet de loi relatif à la gestion de la crise
sanitaire, dite loi de l’obligation « vaccinale » des soignants, le 25 juillet
2021, les votes 105 députés du groupe Les Républicains se répartissent de la
manière suivante :
CONTRE : 17 SEULEMENT
POUR par vote : 6
POUR par abstention : 5
POUR par absence : 77
TOTAL des POUR : 88
Seuls 28 députés LR étaient présents dans l’hémicycle pour le vote de la loi
sur l’obligation vaccinale des soignants, contre 77 députés LR absents.
2. Loi du 10 novembre 2021 dite de la « prolongation du pass sanitaire jusqu’en
juillet 2022 sans contrôle » :
Les députés Les Républicains ont voté pour la loi à 65 %, soit directement,
soit par abstention, soit par absence !
Pour l’adoption définitive du projet de loi portant diverses dispositions de vigilance
sanitaire, les votes 103 députés du groupe Les Républicains se répartissent de
la manière suivante :
CONTRE : 36 seulement
POUR : par absence : 67
Seuls 36 députés LR étaient présents dans l’hémicycle pour le vote de la loi
prolongeant le passe sanitaire, contre 67 députés LR absents.
3. Loi dite du « passe vaccinal » en cours de discussion
Les députés Les Républicains ont voté pour la loi à 73 %, soit directement,
soit par abstention, soit par absence !
Pour l’adoption définitive du projet de loi renforçant les outils de la gestion
de la crise sanitaire, le 5 janvier 2022, les votes 103 députés du groupe Les
Républicains se répartissent de la manière suivante :
CONTRE : 24 SEULEMENT
POUR par vote : 28
POUR par abstention : 22
POUR par absence : 29
TOTAL des POUR : 79
Le groupe LR a très permis l’adoption de textes profondément liberticides par
un vote favorable ou simplement par abstention ou par absence. Était-ce le
mandat que leur ont confié les électeurs, s’agissant d’engager l’avenir des
Français ?
Ce qu’ils font comme s’ils ne savaient pas, c’est que de tous côtés des voix de
médecins, biologistes, généticiens, virologues, s’élèvent pour dénoncer une
véritable hécatombe. Plus on « vaccine » et plus les urgentistes
voient arriver des gens ayant reçu une ou plusieurs doses, qu’hypocritement on
qualifie de « non-vaccinés ». Le nombre de sportifs de haut niveau
s’effondrant en plein match est impressionnant. Selon l’organisme officiel
Américain V.A.E.R.S. le nombre de myocardites qui était constant depuis 2010,
s’est multiplié par 500 en 2021 ! Bien sûr, les médias main Stream, financés
par ceux qui profitent de cette crise, nous cachent cette réalité. Pourtant, il
suffit de regarder les sites de l’ANSM ou Eudravigilance qui reconnaissent en
plus n’avoir connaissance que de 10% de la réalité, pour constater
l’inacceptable.
Outre le fait que (pour la première fois dans l’histoire de la vaccination) le
« vaccin » n’empêche pas de contracter la maladie, rend le sujet
contagieux, et ne « protège » que pendant six mois, en courbant
l’échine de cette manière, en votant pour cette mascarade inacceptable, nos
élus se font les complices d’un empoisonnement collectif. Il y aura forcément
des comptes à rendre à une population empoisonnée, car la vérité finit toujours
par éclater…
par Mohamed Tahiri
moa.tahiri@gmail.com
Lanceur d'alerte
Fin de l’article.
Me Fabrice Di Vizio
C'est moi le juge et puis c'est tout !
Lien vidéo et 256 commentaires :
« Alors là.... Bravo ! Tout est dit dans le sketch de Maître Di Vizio »
« Mais bon sang, comment se débarrasser de ces être toxiques, cela devient tellement dur ? Nous croyons en Vous Maître. Merci pour votre humour, votre présence attentive, vos compétences. »
« Quel cauchemar ! Merci Maître. C'est violent ce que l'on vit. On n’aurait jamais cru vivre ça. »
« La langue française est si précise que tous les menteurs et manipulateurs du droit se verront face à des juges cultivés et intelligents au profit du bien commun. Respect pour votre combat qui est pour le bien de tous. »
https://www.youtube.com/watch?v=jvDFoXHIVsA
Tous les critères de l'Etat de droit ont disparu
Cette affaire n’est plus scientifique, elle ne l’a jamais été, l’épidémie il n’y en a plus sinon peut-être de corruption
Lien vidéo et 519 commentaires :
https://www.youtube.com/watch?v=fYm8Ehn_Mj4&t=56s
Ce n'est jamais qu'une décision pourrie
Lien vidéo et 352 commentaires :
https://www.youtube.com/watch?v=twzko6nd6_o
21/01/22
Pass vaccinal : "Il y a un problème avec l'Etat de droit", dénonce l'ancienne ministre Corinne Lepage
Sur Franceinfo, la co-présidente de Cap écologie accuse ainsi le gouvernement de rendre obligatoire "de manière déguisée" la vaccination.
franceinfo : Il n'y a pas de durée d'application du pass vaccinal. C'est ce qui vous gêne ?
Corinne Lepage : Je suis juriste et j'aime bien qu'il y ait des choses précises dans les textes. Là, il n'y a aucune forme de règle. Ça peut durer le temps que le gouvernement voudra bien que ça dure. C'est même le conseil de défense sanitaire, couvert par le secret le plus absolu, qui va décider du moment où on va supprimer ce pass vaccinal, qui est quand même un moyen de contrôle de nos concitoyens. Je pense qu'il y a problème avec l'État de droit, je le dis très clairement. Le Conseil constitutionnel en est conscient puisqu'il dit il faudra que ça s'arrête le plus tôt possible, mais en droit ça ne veut rien dire.
Ce pass pose également un problème puisque, selon vous, il rend de fait la vaccination obligatoire ?
Le Conseil constitutionnel dit que ce n'est pas obligatoire pour ne pas avoir à répondre à la question, Olivier Véran dit que c'est quasi obligatoire, nos concitoyens savent très bien que c'est quasi obligatoire, donc, ça aussi, ça me pose un problème avec l'Etat de droit. Je le répète, ces vaccins ne sont pas autorisés de manière définitive. Ils ne le seront qu'en 2023. On est dans des vaccins qui sont en phase intermédiaire, en fin de phase expérimentale. Pour ces vaccins-là, toute la législation internationale prévoit qu'il faut un consentement libre et éclairé du patient, donc pas obligatoire.
Ça ne vaut pas le coup même pour remplir un objectif de santé publique ?
Je suis dans une réflexion purement du respect de l'État de droit parce que je pense que c'est quelque chose d'essentiel. Convaincre les gens d'aller se faire vacciner, oui, bien sûr. Encore une fois, je vous le dis, je suis vaccinée trois fois. Mon problème est un respect de l'Etat de droit. Quand on n'a pas le droit de rendre obligatoire quelque chose, on ne le rend pas obligatoire de manière déguisée.
.......Pendant ce temps-là, en Israël...,
Israël/Covid-19 : le ministre des Finances demande l'annulation du passeport vert :
"Il n'y a aucune logique médicale ou épidémiologique dans le pass sanitaire"
Le ministre des Finances Avigdor Lieberman a appelé à mettre fin à l'utilisation généralisée.
Suite de l’article et vidéo :
Lola Cohen Patriote@patriote_lola
Le château de carte s’effondre ! Le ministre de la Santé britannique déclare que les chiffres du Covid sont faux parce qu'ils incluent des gens... qui ne sont pas morts du Covid.
Lien vidéo :
Vidéo du jour
Une auditrice n'en peut plus des non-vaccinés -Séquence culte
https://www.facebook.com/GGRMC/videos/1600096526999004/
C. Rosenzwitt-Makiewsky
La moutarde monte au nez. Toute cette saloperie politique crie vengeance au ciel. Que le Dieu suprême entende le cri qui monte de toute la terre !
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