De dernière minute,
Fin du piège de la trêve à Gaza et début de l’opération Chariots de Gédéon III
par German Gorraiz Lopez
La trêve à Gaza n’était qu’un piège visant à faire remporter le prix Nobel de la paix à Trump et à libérer les otages israéliens, donnant ainsi à Netanyahou le feu vert pour achever la dévastation de Gaza.
Israël accusait le Hamas d’avoir tué deux terroristes de Tsahal, mais il s’agissait en réalité d’une munition non explosée touchée par un bulldozer israélien, une fausse image utilisée par le Hamas pour lancer de lourdes frappes aériennes qui ont tué 26 Palestiniens et mis fin au piège de la trêve.
Plan Trump-Blair
Le plan Trump-Blair était une proposition de paix globale visant à mettre fin à la guerre à Gaza, présentée par le président Trump lors de sa rencontre avec Netanyahou à la Maison-Blanche. Ce plan prévoyait un cessez-le-feu immédiat si les deux parties l’acceptaient, la fin de l’offensive israélienne à Gaza dans les 72 heures et la libération de tous les otages israéliens vivants (20) et des restes des personnes décédées (plus de 24) dans les 72 heures. De son côté, Israël s’est engagé à libérer 250 prisonniers condamnés à la réclusion à perpétuité, ainsi que 1700 Gazaouis détenus depuis octobre 2023.
Le plan prévoyait la reconstruction de la bande de Gaza par des experts des «villes miracles» du Moyen-Orient et la déclarait «zone de développement spéciale pour l’investissement». Cependant, des sources palestiniennes l’ont qualifié de «désastre» séparant Gaza de la Cisjordanie. Cette annonce a reçu le soutien de pays arabes comme l’Égypte, la Jordanie, les Émirats arabes unis, la Turquie et le Qatar, qui y ont vu «un effort sincère pour mettre fin à la guerre».
Dans une interview, comme rapporté par le média Qactus, l’officier juif des services des renseignements israéliens Ari Ben Menashe a déclaré : «Netanyahou fait chanter le président Trump, et son administration est piégée par les Israéliens. Jeffrey Epstein était l’un de ses outils pour leur tendre un piège».
Tucker Carlson a, selon Globe Eye News, un média traitant des affaires internationales, de politique, aussi affirmé que Netanyahou a déclaré à plusieurs personnes : «Je contrôle les États-Unis. Je contrôle Donald Trump».
Cependant, le Premier ministre israélien s’est exprimé sur Fox News pour déconstruire les accusations infondées portées par des voix marginales comme Tucker Carlson. Faisant fi du cliché éculé selon lequel il «contrôle» le président américain Donald Trump, Netanyahou a livré une réfutation retentissante : «Moi ? Contrôler Trump ? Ridicule ! Je ne décide rien à la place du président Trump. C’est le dirigeant le plus indépendant et le plus extraordinaire que j’aie jamais vu».
Ainsi, la trêve à Gaza n’était qu’un piège pour Trump, qui visait à remporter le prix Nobel de la paix et à obtenir la libération des otages israéliens, donnant ainsi à Netanyahou le feu vert pour achever la dévastation de Gaza. Israël a accusé le Hamas d’avoir tué deux terroristes de Tsahal, mais en réalité, il s’agissait d’une munition non explosée, touchée par un bulldozer israélien, une fausse image utilisée par le Hamas pour lancer de lourdes frappes aériennes qui ont tué 26 Palestiniens et mis fin au piège de la trêve.
Opération Chariots de Gédéon III
Israël a déjà lancé l’opération Chariots de Gédéon III pour prendre le contrôle total de la bande de Gaza. L’objectif ultime de cette opération militaire est le confinement forcé de la population gazaouie à Rafah afin de faire pression sur l’Égypte pour qu’elle ouvre sa frontière et réinstalle les Palestiniens dans la péninsule du Sinaï et en Libye. Après cela, Israël déclarerait unilatéralement sa souveraineté sur Gaza et ses zones maritimes et annexerait ensuite la Cisjordanie, aboutissant à la deuxième Nakba qui pourrait effacer la Palestine de la surface de la Terre, dans le cadre de la stratégie de Netanyahou visant à accélérer la mise en œuvre du Grand Israël (Eretz Israël).
source : Observateur Continental
L’ONU recense 71 attaques de colons en une semaine en Cisjordanie occupée
par The Cradle
Selon un rapport de l’ONU publié le 16 octobre, les colons israéliens ont mené 71 attaques contre des Palestiniens en Cisjordanie occupée entre le 7 et le 13 octobre.
Ces attaques, dont beaucoup étaient armées, ont fait un mort et 99 blessés, comme l’a documenté le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA).
La plupart des agressions des colons ont touché des zones cultivables au moment où débute la récolte des olives, affectant 27 villages palestiniens, près de la moitié de toutes les attaques signalées étant liées à la récolte qui a débuté le 9 octobre.
Dans la ville de Deir Jarir, à l’est de Ramallah, des colons israéliens et des forces militaires ont ouvert le feu conjointement sur des habitants après que des colons ont attaqué des véhicules palestiniens à coups de pierres, tuant un homme de 26 ans et en blessant deux autres.
Cette attaque fait suite à plusieurs mois d’expansion des colons dans la région, avec notamment la création d’un nouvel avant-poste et la construction d’une route reliant une base militaire israélienne à l’entrée ouest du village.
Deux jours plus tard, des colons armés de fusils et de bâtons ont fait une descente dans le village d’Atara, également dans le gouvernorat de Ramallah, attaquant les habitants et ouvrant le feu sur des véhicules palestiniens.
Trois personnes ont été blessées, dont un homme de 74 ans. Les forces israéliennes ont ensuite bouclé l’entrée du village plusieurs heures, tirant du gaz lacrymogènes sur les habitants.
L’OCHA a noté que les agressions des colons à Atara ont augmenté depuis la création d’un avant-poste à proximité en août.
Le 13 octobre, des colons accompagnés par les soldats israéliens ont attaqué une famille palestinienne qui récoltait du raisin à Beit Fajjar, dans le gouvernorat de Bethléem, blessant quatre personnes, dont un ambulancier du Croissant-Rouge palestinien.
Les colons ont lâché des chiens, lancé des cocktails Molotov et incendié la camionnette de la famille.
Dans le village de Burqa, également dans le gouvernorat de Ramallah, des colons originaires de l’avant-poste de Ramat Migron ont déraciné plus de 800 jeunes oliviers et vandalisé des réservoirs d’eau.
À Al-Jwaya, un village près d’Hébron, des cocktails Molotov ont incendié la tente d’une famille, déplaçant cinq personnes.
Selon la Commission de résistance à la colonisation et au mur, les forces israéliennes et les colons juifs ont mené au moins 158 attaques contre des cueilleurs d’olives dans toute la Cisjordanie occupée depuis début septembre.
Depuis janvier de cette année, plus de 3200 Palestiniens ont été blessés dans toute la Cisjordanie occupée, y compris à Jérusalem-Est occupée, soit une augmentation de près de 30% par rapport à l’année dernière.
Depuis le 7 octobre 2023, 7154 attaques de colons israéliens ont été perpétrées contre des Palestiniens et leurs biens en Cisjordanie occupée.
Près de 1000 personnes ont été tuées par des soldats et des colons depuis lors, dont plus de 200 enfants.
L’OCHA a également signalé qu’une demande palestinienne sur trois pour obtenir un permis médical afin de se rendre dans des hôpitaux de Jérusalem-Est occupée ou en Israël a été refusée ou retardée, et que les équipes d’ambulanciers continuent d’être victimes d’agressions et d’obstruction de la part des colons et des soldats israéliens.
Au début de l’année, The Cradle a révélé comment les forces israéliennes et l’Autorité palestinienne (AP) ont collaboré lors de raids à Jénine et Tulkarem, fermant les hôpitaux et empêchant les ambulances d’atteindre les blessés.
Les travailleurs médicaux ont été interrogés, certains ont été détenus et des unités d’urgence entières ont été encerclées pendant des heures.
Les mêmes tactiques de blocus qui ont paralysé le réseau de santé de Jénine se sont depuis étendues à tout le nord de la Cisjordanie occupée, privant de nombreuses villes de soins vitaux.
source : The Cradle via Spirit of Free Speech
Fin de citation.
Jim Leveilleur
Israël a repris les tueries
Lien vidéo 128 commentaires :
Netanyahu avertit que la guerre à Gaza ne prendra fin qu'avec le désarmement du Hamas
➡️ https://go.france24.com/T6N
Wcrt L@L_Wcrdt
Hier, il affirmait que la "guerre" s'arrêterait après la libération des otages.
Aujourd'hui, il brise le cessez-le-feu en expliquant que la "guerre" s'arrêtera avec le désarmement du Hamas.
Demain, il confirmera que la "paix" verra le jour sans les Palestiniens.
Génocide.
https://x.com/L_Wcrdt/status/1979977197176725794
Citizen Média 🗞️ @CitizenMediaFR
🇮🇱🇵🇸 ALERTE INFO
« On frappera fort (…) Étant donné l'absence d'otages à Gaza, l’armée n’a plus de retenue. On doit agir fermement » Déclare le ministre Kish, sur les récents bombardements et la violation du cessez-le-feu par Israël.
Vidéo :
https://x.com/CitizenMediaFR/status/1979910553284837551
Antoine CUTTITTA@AntoineAH2020
Pour ceux qui auraient encore des doutes sur la monstruosité de ces gens:
« Bande de fils de putes !!! »
https://x.com/AntoineAH2020/status/1979923121139286069
Citizen Média 🗞️ @CitizenMediaFR
🔴 ALERTE INFO
Le ministre israélien Ben Gvir propose d'adopter en urgence la loi instaurant la PEINE DE MORT pour les détenus PALESTINIENS.
« Il n'est plus à une puterie près ce psychopathe de serviteur de Yahvé :
https://x.com/CitizenMediaFR/status/1980254570316972148
Camille Moscow 🇷🇺 🌿 ☦️ @camille_moscow
Ben-Gvir Ministre israélien de la Sécurité nationale dévoile la tromperie du cessez-le-feu : après le retour des otages, il réclame la reprise des opérations :
“Maintenant que nous avons récupéré les otages, nous devons reprendre la guerre et ouvrir les portes de l'enfer sur Gaza.”
« Qu’est-ce que je vous disais ? une truie reste une truie ! un sérial killer reste un psychopathe ! il n'y aura jamais de cesser le feu tant que ces tarés seront armés :
Vidéo :
https://x.com/camille_moscow/status/1980038070469591352
Fin de citation.
Israël lance une « vague massive » de frappes aériennes sur Gaza
par PressTV
20 Octobre 2025
Les forces d’occupation israéliennes ont lancé une «vague massive» de frappes aériennes sur la bande de Gaza, en violation majeure du cessez-le-feu négocié par le président américain Donald Trump.
L’armée israélienne a annoncé dimanche mener une « vague massive et étendue » de frappes sur des dizaines de cibles à travers le territoire, accusant le Hamas d’« avoir attaqué ses forces à Rafah ».
L’armée israélienne prétend que ces frappes visent des « cibles terroristes » liés au Hamas.
Le Hamas pour sa part a réitéré son « plein engagement » envers le cessez-le-feu.
Selon des sources hospitalières locales, au moins cinq Palestiniens ont été tués lors des attaques du régime sur le centre de Gaza, tandis que deux autres ont été tués et de nombreux autres blessés lors de frappes dans le nord.
Une source à l’hôpital Nasser a rapporté qu’une personne a été tuée et plusieurs blessées lorsque des avions israéliens ont ciblé une tente abritant des personnes déplacées dans le quartier d’al-Mawasi, à l’ouest de Khan Younis, dans le sud de Gaza.
Deux autres Palestiniens, dont un journaliste, ont été tués lors d’une frappe aérienne contre un bâtiment abritant des journalistes à az-Zawayda, dans le centre de Gaza, a indiqué l’hôpital des Martyrs d’al-Aqsa.
Le nombre total de Palestiniens tués lors de la vague d’attaques israéliennes de dimanche s’élève à 15, et des dizaines d’autres ont été blessés.
Plus tôt dans la journée, des sources médiatiques israéliennes ont fait part des opérations militaires ayant ciblé la région de Rafah, dans le sud de l’enclave assiégée, faisant suite à une attaque présumée du Hamas contre des positions militaires israéliennes.
La chaîne Telegram de « Resistance News Network » a pour sa part, rapporté que ces frappes visaient à protéger les membres d’une milice soutenue par Tel-Aviv et affiliée à Daech, dirigée par Yasser Abou Shabab, après une offensive surprise des combattants palestiniens contre ce groupe criminel.
La même source a fait état d’un raid aérien israélien à l’est de Jabalia, dans le nord de la bande de Gaza, qui a causé la mort de deux Palestiniens et blessé plusieurs autres personnes.
Parallèlement, la chaîne israélienne Channel 12 a indiqué que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, s’était entretenu par téléphone avec son ministre des Affaires militaires, Israël Katz, et d’autres hauts responsables militaires pour discuter de la situation.
Dans un contexte particulièrement alarmant, le ministre israélien d’extrême droite des Finances, Bezalel Smotrich, a appelé à une nouvelle compagne de génocide à Gaza en écrivant « Guerre ! » dans un message d’un seul mot.
Face à cette escalade, Izzat al-Risheq, haut responsable du Hamas, a réaffirmé l’engagement du mouvement à respecter l’accord de cessez-le-feu. Il a ajouté : « C’est le régime occupant qui continue de violer le cessez-le-feu et de justifier ses crimes. Netanyahou tente de se soustraire à ses engagements sous la pression de sa coalition terroriste ».
À l’issue de négociations indirectes en Égypte, Israël et le Hamas ont accepté, le 9 octobre, un plan de trêve à Gaza proposé par le président américain Donald Trump.
La phase initiale de cet accord, négocié sous médiation américaine et entrée en vigueur le 10 octobre, stipulait la libération par le Hamas de 20 captifs israéliens survivants et le transfert des dépouilles de 28 autres. En contrepartie, Israël s’est engagé à libérer près de 2000 Palestiniens détenus et à transférer les dépouilles de 360 Palestiniens tués durant l’offensive sur Gaza.
Jusqu’à présent, le Hamas a remis les 20 prisonniers israéliens encore en vie et les dépouilles de 12 autres, tandis qu’Israël a libéré près de 2000 Palestiniens, détenus illégalement par le régime sioniste, et a restitué les corps de 135 Palestiniens.
L’acceptation par Israël de cet accord de trêve a eu lieu après deux années de conflit, marquées par l’échec des objectifs officiellement annoncés d’éradication du Hamas et de libération de l’ensemble des captifs par la force. Ce renoncement militaire survient malgré un bilan humain particulièrement lourd, comptant 68 116 Palestiniens tués, majoritairement des femmes et des enfants, et 170 200 blessés.
source : PressTV
Lien de l’article 12 commentaires :
« ISRAËL FRAPPE LE CENTRE DE GAZA – LES FISSURES DU CESSEZ-LE-FEU S’ÉLARGISSENT
Il y a quelques minutes, (en tenant compte, du décalage du post), l’aviation israélienne bombardait le centre de Gaza avec des frappes les plus lourdes depuis le début du cessez-le-feu. L’armée israélienne affirme que le Hamas a tiré en premier. Le Hamas affirme le contraire. Les deux camps revendiquent la supériorité morale ; les civils se retrouvent dans le cratère.
Le ministre de la Défense Katz a promis une « action énergique » et il l’a tenue. Des explosions ont illuminé l’horizon, de Deir al-Balah à Nuseirat, où des familles déblayaient encore les décombres du raid de la semaine dernière. La trêve ne tenait déjà qu’à un fil. Aujourd’hui, elle se défait en temps réel. Chaque frappe procure la sécurité à l’un, la colère à l’autre et un sentiment de déjà-vu aux autres. Les négociations de paix, n’ont pas échoué, (ce n’étaient qu’un simulacre, pour justifier le « grand cirque » du rouquin), elles ont juste été bombardées. »
https://reseauinternational.net/israel-lance-une-vague-massive-de-frappes-aeriennes-sur-gaza/
Gaza : la résistance élimine un à un les gangs qui ont collaboré avec les occupants
par Tareq S. Hajjaj
20 Octobre 2025
La vaste campagne de sécurité menée par le Hamas pour éliminer les gangs armés qui ont collaboré avec l’armée israélienne pendant la guerre s’intensifie. « Nos opérations les élimineront tous, sans exception », a déclaré une source sécuritaire du Hamas à Mondoweiss.
À présent, la vidéo est devenue virale. Des hommes armés masqués affiliés au Hamas dans le camp de réfugiés de Nuseirat, au centre de Gaza, alignent un groupe d’hommes aux mains liées tandis que des spectateurs se rassemblent autour d’eux.
Les combattants du Hamas crient que ces hommes sont des collaborateurs de l’armée israélienne. « Assassins ! » crie un spectateur. Ils sont exécutés par un peloton d’exécution.
Dans une autre vidéo, une scène similaire se déroule. Un combattant du Hamas s’adresse à la foule, affirmant que les accusés « se sont associés » à l’armée israélienne « pour tuer leur propre peuple » et ont été condamnés à mort.
Avant l’exécution, le combattant masqué lance un avertissement : « Nous disons à tous les collaborateurs – au grand collaborateur Yasser Abu Shabab, au grand collaborateur Rami Hilles et au grand collaborateur Ahmad Jundiyya – que vous serez tous amenés ici, aux pieds des combattants de la résistance ».
Depuis l’entrée en vigueur du cessez-le-feu avec Israël, le Hamas a lancé une vaste campagne de sécurité pour réprimer les gangs armés responsables du pillage de l’aide humanitaire pendant la guerre.
Dans certains cas, ces gangs ont été chargés par l’armée israélienne de combattre directement le Hamas, tout en recevant, selon les médias locaux et israéliens, des armes, une formation, un financement et un soutien logistique sur le terrain de la part d’Israël. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a également admis publiquement cette politique en juin.
Cette situation chaotique a été rendue possible par le vide politique créé par la politique déclarée d’Israël consistant à cibler systématiquement les fonctionnaires du Hamas, y compris les forces de police locales chargées de maintenir l’ordre public et de lutter contre la criminalité.
Cela a contraint la police de Gaza à se cacher après la rupture du précédent cessez-le-feu en mars, permettant ainsi aux clans et autres groupes armés de piller l’aide humanitaire sous la protection d’Israël.
Les Palestiniens affirment que cela s’inscrit dans le cadre d’une politique israélienne délibérée consistant à donner l’impression de laisser entrer l’aide à Gaza, tout en s’assurant qu’elle ne parvienne pas à ceux qui en ont besoin.
Parmi les groupes les plus tristement célèbres qui sont aujourd’hui la cible de la répression du Hamas figurent les « Forces populaires » dirigées par Yasser Abu Shabab à Rafah, la Force de frappe antiterroriste dirigée par Hussam al-Astal à Khan Younis, une milice dans l’est de la ville de Gaza dirigée par un ancien membre des forces de sécurité de l’Autorité palestinienne, Rami Hillis, un groupe armé dans la ville de Gaza dirigé par un ancien membre des services de renseignement de l’Autorité palestinienne, Ahmad Jundiyya, et des membres armés du clan Doghmush.
Le Hamas offre l’amnistie aux membres de gangs « non impliqués dans des effusions de sang »
La campagne du Hamas a débuté peu avant l’entrée en vigueur du cessez-le-feu. Le 4 octobre, des membres du Hamas ont éliminé des collaborateurs du clan Majadla à Khan Younis, prétendument pour avoir tué deux combattants de la résistance.
Lorsque les forces du Hamas ont pris d’assaut le bloc résidentiel du clan où vivaient les accusés, la famille s’est affrontée avec les forces du Hamas. Selon des informations locales, l’armée israélienne est intervenue pendant la fusillade et a bombardé les combattants de la résistance, tuant sept d’entre eux.
Lorsque le cessez-le-feu a été conclu, l’armée israélienne a reçu l’ordre de se retirer et de ne plus intervenir. Les soldats israéliens ont déclaré avoir observé la scène depuis leurs postes d’observation, « les mains liées ».
« Ceux qui s’attendent à ce qu’Israël aide ces mêmes clans se trompent. Il semble qu’Israël les ait laissés se débrouiller seuls », a déclaré un officier israélien au journal Haaretz.
Le président américain Donald Trump a déclaré qu’il n’était pas gêné par la répression du Hamas, admettant qu’elle « avait éliminé quelques gangs très dangereux ».
Le Hamas a profité de l’occasion pour éliminer les forces complices de la famine, un effort qui se poursuit. Mais certains groupes, comme celui de Yasser Abu Shabab, restent dans des zones encore sous contrôle israélien.
Le 12 octobre, le ministère de l’Intérieur de Gaza a annoncé qu’il ouvrait une « fenêtre d’amnistie » pour tous les collaborateurs de l’armée israélienne qui n’étaient pas eux-mêmes « impliqués dans des effusions de sang ». La fenêtre d’amnistie prendra fin le dimanche 19 octobre, a déclaré le ministère dans un communiqué, ajoutant que ceux qui se rendraient verraient leur casier judiciaire effacé.
Le premier jour du cessez-le-feu, le Hamas a pris d’assaut le complexe familial Doghmush dans la ville de Gaza et a assiégé tout le quartier pendant trois jours. Les membres du clan Doghmush ont été accusés d’avoir tué le journaliste palestinien Saleh Aljafarawi, ainsi que Naim Naim, le fils du haut responsable du Hamas Bassem Naim.
Le deuxième jour du cessez-le-feu, le Hamas a annoncé avoir tué le bras droit de Yasser Abu Shabab, Ahmad Tarabin, à Khan Younis. Mardi, les forces du Hamas ont attaqué le gang dirigé par Rami Hillis dans le quartier d’al-Shuja’iyya, à l’est de la ville de Gaza.
« Nous traitons les criminels et les hors-la-loi selon deux cadres », a déclaré une source sécuritaire du ministère de l’Intérieur de Gaza à Mondoweiss. « Le premier cadre nous permet de leur accorder l’amnistie ou de les juger devant un tribunal s’ils se rendent et coopèrent avec les forces de sécurité. Mais dans le second cadre, nous poursuivons tous les hors-la-loi de toutes nos forces, où qu’ils se trouvent. Nos opérations les élimineront tous, sans exception ».
La source policière du ministère a déclaré que les forces de police s’efforçaient de rétablir l’ordre public dans la bande de Gaza et de poursuivre les gangs armés qui ont des liens avec l’armée israélienne.
« Ces familles ont profité de la proximité de leurs zones avec les opérations militaires de l’armée israélienne pour agir contre Gaza et sa population », a expliqué la source. « Elles ont attaqué des convois, pillé des aides humanitaires, enlevé et terrorisé des citoyens ».
La source sécuritaire a fait référence au clan Doghmush – sans le nommer – comme étant « une grande famille qui a formé l’un de ces gangs » dans le quartier de Sabra, à l’ouest de la ville de Gaza, où les opérations militaires de l’armée israélienne étaient concentrées avant le cessez-le-feu.
« Les forces de sécurité ont neutralisé ce groupe et l’ont traité de manière décisive, en particulier après qu’il ait refusé de répondre à l’ultimatum que nous lui avions lancé de rendre ses armes et de revenir dans le giron de son peuple », a déclaré la source.
« Plus dangereux qu’Israël lui-même »
Les réactions à Gaza aux vidéos d’exécutions sommaires ont été mitigées. Certains ont déclaré en ligne que les habitants de Gaza avaient vu suffisamment d’horreurs au cours des deux dernières années, condamnant sans équivoque ces meurtres.
D’autres ont déclaré que les gangs visés étaient « plus dangereux que l’occupation » elle-même, affirmant que ces exécutions devaient servir de message à la population pour qu’elle réfléchisse à deux fois avant de collaborer avec l’occupant contre son propre peuple.
« Tous nos actes visent à imposer l’ordre et la loi, et nous avons le soutien total des clans », a déclaré la source policière du ministère de l’Intérieur. « Nous nous efforçons également d’empêcher les tentatives de création du chaos, qui sont fomentées par des étrangers et des groupes liés à l’Autorité palestinienne ».
Au début de la semaine, le chef du Comité supérieur des affaires tribales à Gaza, Cheikh Husni al-Mughni, a réagi à l’une des vidéos d’exécution dans une interview accordée à la chaîne saoudienne al-Hadath.
Il a déclaré que les clans de Gaza soutenaient « de tout cœur » les efforts du Hamas et a affirmé que « justice avait été rendue ».
« Le Hamas a averti ces personnes à plusieurs reprises, par l’intermédiaire de médiateurs et de membres de leur famille, qu’elles devaient se rendre et faire face à la justice », a déclaré al-Mughni.
« Franchement, elles mériteraient une punition encore plus sévère si vous saviez ce qu’elles ont fait », a-t-il ajouté. « Un homme qui bat et tue un enfant de 10 ans pour lui voler sa farine mérite d’être exécuté, voire pire ».
source : Mondoweiss via Chronique de Palestine
Lien de l’article 13 commentaires :
Le rêve d’Israël est terminé.
C’est ainsi que commence un article du journal israélien Haaretz, sous le titre : « Les Palestiniens sont les meilleurs sur terre pour défendre leur patrie.
Peut-on croire que le principal quotidien israélien admet la vérité à propos des Palestiniens, les présentant comme un peuple noble qui s’est levé, uni, pour défendre ses droits après soixante-seize ans ?
Voici l’idée d’ouverture, traduite en arabe : l’une des choses les plus belles qu’une conscience vivante puisse éprouver, la plus pure manifestation de liberté intellectuelle, et la voie vers la maîtrise.
L’auteur poursuit : durant la guerre à Gaza et les tirs de roquettes de la résistance, nos pertes dépassent 912 millions de dollars tous les trois jours — coûts des avions, des missiles Patriot, du carburant, et de la consommation massive de munitions et de missiles de toutes sortes.
À cela s’ajoutent la suspension du commerce, la chute de la bourse, la paralysie des institutions et du secteur du bâtiment, les perturbations dans l’agriculture et l’industrie, la perte de volailles dans les fermes pour plusieurs millions, la fermeture d’aéroports et de lignes de train, et les dépenses liées aux abris et aux évacuations — sans oublier les destructions causées par les roquettes dans les maisons, magasins, voitures et usines.
Nous avons déclenché cette guerre et attisé son feu, mais nous n’en maîtrisons pas la conduite, et nous ne sommes pas ceux qui la termineront. Son issue ne nous est pas favorable, surtout depuis que les villes arabes à l’intérieur d’Israël se sont soulevées contre nous — alors que nous pensions leur identité palestinienne disparue. C’est un mauvais présage pour un pays dont les responsables découvrent que leurs calculs et stratégies étaient erronés, qu’ils n’avaient pas prévu une telle tournure.
Les Palestiniens sont vraiment les propriétaires de cette terre.
Qui d’autre la défendrait avec une telle force, avec leur âme, leur argent et leurs enfants, avec tant d’orgueil et de détermination ?
En tant que Juif, je mets au défi toute l’Israël d’afficher ce même attachement profond et cette même appartenance à la terre.
Si notre peuple tenait réellement à la terre de Palestine, nous n’aurions pas vu tant de Juifs se ruer vers les aéroports pour émigrer depuis le début du conflit.
Nous avons essayé de briser ce peuple : assassinats, emprisonnements, siège, séparation ; nous l’avons drogué moralement et tenté de gagner ses esprits par des idées déstabilisantes — libéralisme extrême, athéisme, doute, corruption, déviances.
Pourtant, il est stupéfiant de voir qu’un ancien toxicomane se lève pour défendre sa terre et sa fin, criant « Dieu est grand » comme s’il éprouvait un renouveau intérieur.
Malgré la menace d’humiliation et d’arrestation, beaucoup n’ont pas hésité à prier à la mosquée Al-Aqsa. Ironiquement, les armées de plusieurs États n’ont pas accompli en quelques jours ce que la résistance palestinienne a réalisé, au moment même où la légende du soldat israélien invincible s’effondrait : certains soldats ont été tués et enlevés.
Depuis que les roquettes de la résistance ont atteint Tel Aviv, il est temps d’abandonner le grand rêve illusoire d’Israël.
Les Palestiniens méritent un État voisin avec lequel nous pourrions vivre en paix mutuelle — ce qui pourrait seulement prolonger notre séjour sur cette terre de quelques années supplémentaires.
Je crois que, même si nous survivions mille ans ou tenions dix ans en tant qu’État juif, viendrait un jour où nous paierions pour tout cela. Le Palestinien reviendra encore et encore, et cette fois il reviendra à cheval, se dirigeant vers Tel Aviv
Les palestiniens se battent pour la liberté
« Félicitations Nourredine d’avoir exhumé et partagé une telle pépite, Respect ! »
L’armée sioniste est accusée de vol d’organes sur des cadavres
20 Octobre 2025
1500 corps de palestiniens détenus sur la base militaire de Sde Teiman au sud d’Israël
par Faouzi Oki
À en croire les informations annoncées par la chaîne israélienne Channel 12 révélant que la Cour pénale internationale (CPI) a rejeté en ce mois d’octobre 2025 une demande officielle présentée par Israël visant à suspendre temporairement les mandats d’arrêt émis à l’encontre du Premier ministre Benjamin Netanyahou et du ministre de la Défense Yoav Gallant, dans le cadre du dossier relatif à la guerre à Gaza.
Selon la chaîne, Israël avait soumis cette requête par l’intermédiaire de son équipe juridique auprès de la Cour de La Haye, arguant que les enquêtes en cours étaient motivées politiquement et qu’elles entravaient les efforts visant à mettre fin au conflit à Gaza. Mais la Cour, d’après le rapport, a rejeté aussitôt cette demande et réaffirmé son attachement aux procédures juridiques en vigueur, soulignant que les mandats d’arrêt restent valides et que l’affaire demeure suivie de près par le procureur de la Cour.
Cette décision marque un nouveau tournant dans la crise entre Israël et la Cour pénale internationale, crise qui s’est intensifiée après l’annonce par cette dernière de son intention de poursuivre des responsables israéliens pour des violations potentielles du droit international lors des opérations militaires dans la bande de Gaza. Dans ce contexte il faut signaler que les autorités de Gaza accusent l’armée d’occupation israélienne d’avoir volé des organes sur des cadavres palestiniens et demandent la création d’une commission internationale chargée d’enquêter sur ce crime horrible.
« L’occupation israélienne a remis 120 corps par l’intermédiaire du Comité international de la Croix-Rouge au cours des trois derniers jours », a déclaré vendredi 17 octobre Ismail Thawabta, directeur du bureau des médias du gouvernement, ajoutant que «la plupart sont arrivés dans un état déplorable, présentant des traces d’exécutions sur le terrain et de torture systématique », déclare-t-il. Il a indiqué que certains des corps avaient été ramenés les yeux bandés et les mains et les pieds liés, tandis que d’autres présentaient des signes de strangulation et des marques de corde autour du cou, indiquant un homicide volontaire.
Selon son témoignage : « Des parties de nombreux corps manquaient, notamment des yeux, des cornées et d’autres organes », a-t-il noté, ce qui confirme que l’armée israélienne a volé des organes humains tout en détenant les corps, qualifiant cet acte de « crime barbare ». Le responsable palestinien cité par les médias a exhorté la communauté internationale et les organisations de défense des droits humains à former immédiatement une commission d’enquête internationale afin de tenir Israël responsable des graves violations commises contre les corps des martyrs et du vol de leurs organes.
Israël détient actuellement les corps de 735 prisonniers palestiniens, dont 67 enfants, selon la Campagne nationale palestinienne pour la récupération des corps des martyrs. Selon le journal israélien Haaretz, Israël détient près de 1500 corps de Palestiniens de Gaza sur la base militaire de Sde Teiman, dans le désert du Naqab (Néguev), au sud d’Israël. Le Hamas a libéré 20 captifs israéliens encore vivants et remis les dépouilles de 10 autres captifs en échange de près de 2000 prisonniers palestiniens, conformément à un accord de cessez-le-feu conclu entre le Hamas et Israël au début du mois.
Cet accord repose sur un plan en 20 points présenté par le président américain Donald Trump, qui prévoit également la reconstruction de Gaza et la mise en place d’un nouveau mécanisme de gouvernance sans le Hamas. Depuis octobre 2023, les attaques sionistes ont tué près de 68 000 Palestiniens à Gaza, en majorité des femmes et des enfants, et ont rendu la ville en grande partie inhabitable. Une terre brulée.
Lien de l’article 9 commentaires :
Noureddine@
Trafic d’organes, quelques informations importantes sur Israël.
Rapport de l’ONU (EAFORD, 2010)
* Description : Déclaration à la 13e session du Conseil des droits de l’homme accusant des médecins, centres médicaux et l’armée israélienne de trafic d’organes palestiniens pour le marché mondial, citant des enquêtes américaines et suédoises.
Enquête du New York Times (2014)
* Description : Révèle un rôle disproportionné d’Israéliens dans le trafic mondial de reins, identifiant six patients et trois intermédiaires israéliens opérant au Costa Rica.
Enquête Der Spiegel (2025)
* Description : Découverte d’un réseau de trafic en Kenya impliquant des nationaux israéliens, avec des donneurs pauvres payés une fraction des 200 000 $ facturés aux receveurs européens.
On résume le reste :
* Scandale de l’Institut Abu Kabir (années 1990-2004) : Yehuda Hiss, ancien directeur de l’institut de médecine légale à Tel Aviv, a admis en 2000 avoir prélevé des organes (cornées, peau, valves cardiaques et os) sans consentement sur des corps, y compris ceux de Palestiniens, de soldats israéliens et d’autres.
* Affaire Rachel Corrie (2003) : L’autopsie de l’activiste américaine tuée par un bulldozer israélien a révélé que des tissus et organes ont été conservés par Yehuda Hiss sans restitution à la famille. Cela s’inscrit dans le scandale Abu Kabir, sans lien direct avec un trafic commercial.
* Arrestation du professeur Zaki Shapira (2007) : Ce chirurgien israélien a été arrêté en Turquie pour implication présumée dans un réseau de transplantation illégale d’organes à Istanbul. Il accompagnait des patients israéliens pour des greffes provenant de donneurs vulnérables, sans autorisation appropriée. Shapira avait déjà été interdit de transplants en Israël en 1996 pour suspicions similaires.
* Affaire du rabbin Levy Izhak Rosenbaum (2009) : Ce rabbin américain d’origine israélienne a été arrêté par le FBI à Brooklyn pour avoir orchestré un réseau de trafic de reins, impliquant des donneurs israéliens et des receveurs aux États-Unis. Il a plaidé coupable en 2011 et a été condamné à 30 mois de prison en 2012 pour trois transplants illégaux.
* Affaire Medicus au Kosovo (2008-2013) : Un réseau international de trafic d’organes opérant à la clinique Medicus à Pristina impliquait des recruteurs israéliens. Cinq médecins kosovars ont été condamnés en 2013 pour trafic organisé, avec des donneurs issus d’Europe de l’Est et de Turquie, vendus à des receveurs principalement israéliens. Moshe Harel, citoyen israélien décrit comme le cerveau du réseau, a été arrêté en 2018 à Chypre et extradé vers le Kosovo.
* Rapport du Parlement Européen (2015) : Ce rapport sur le trafic d’organes humains identifie Israël comme un pays central impliqué, en tant qu’importateur et consommateur d’organes issus de trafics internationaux.
* Rapport Euro-Med Human Rights Monitor (2023) : Ce rapport allègue des signes de vol d’organes (cornées, foie, reins, cœurs) sur des corps palestiniens restitués par Israël à Gaza, basés sur des examens médicaux. Il appelle à une enquête internationale.
x.com/Jean_Padovani_…
https://x.com/pblanrue/status/1979937692952490140?s=46
La plus grande banque de peau au monde est située en Israël
On trouve toujours des juifs derrière tout ce qui abjecte vol, viol, pédophilie, trafics humains, trafics d’organes etc. etc.
Et c’est à ces déchets de l’humanité que les oxydés et traîtres arabes apportent leurs soutiens inconditionnels.
« On trouve toujours des juifs derrière tout ce qui abjecte vol, viol, pédophilie, trafics humains, trafics d’organes etc. etc... « Charlie Kirk, le naïf qui avait défendu bec et ongles l’entité, voulait dénoncer le trafic d’enfant opéré par les Israéliens qu’il venait de découvrir. D’autant plus motivé, lorsqu’il a découvert que sa propre femme (liée au Mossad) était impliquée via sa fondation d’adoption qui était une couverture »
« Dans la religion juive, le don d’organes est interdit. Par contre, cette religion autorise un juif à se faire greffer un organe d’un non juif. Il s’en suit un manque chronique d’organes disponibles, à greffer, en Israël. Pour pallier ce manque, Simone Veil, alors ministre de la santé sous Giscard, a signé un accord engageant la France à fournir régulièrement, à Israël, un nombre conséquent d’organes, dont les hôpitaux du pays ont besoin. Très peu de publicité a été faite à ce sujet et les familles des donneurs ne sont pas informées que les organes de l’être cher, qui vient de décéder, iront sauver un juif israélien … et non un citoyen français.
Le site de la chambre de commerce franco israélienne, au moment du décès de Simone Veil, a publié un article pour la remercier pour toutes les vies sauvées en Israël (au détriment de Français).
https://israelvalley.com/2017/06/30/disparition-de-simone-weil-beaucoup-disraeliens-lui-doivent-vie
Bien sûr, d’après Rudy Reichstadt (Franc-Tireur -déc 23), tout cela ne serait qu’une sordide rumeur complotiste, … même si toutes les preuves sont là ».
« « Par contre, cette religion autorise un juif à se faire greffer un organe d’un non juif » »
« Alors, c’est nouveau, et ce doit être dans la Torah.2 de l’an 2025. »
« Parce que, d’après les archéologues, les greffes d’organes, il a 2000 ans, étaient relativement rares. »
« Quand on n’a ni cœur, ni estomac, ni couilles, il faut bien en trouver quelques parts… »
« Décidément, voler est chez les sionistes une 2ème nature! »
« Il y a un gugusse, Kouchner (ancien ministre) qui est interdit de séjour au Kosovo pour le même motif (j’ai vécu 1 an au Kosovo) »
« Le prélèvement d’organes s’effectuent sur des corps à peine morts, sinon les prélèvements peuvent se révéler de « mauvaise qualité ». »
« Ils servent alors pour leur « culte » satanique … »
https://reseauinternational.net/larmee-sioniste-est-accusee-de-vol-dorganes-sur-des-cadavres/
Fin des articles.
C.Rosenzwitt-Makiewsky-Santri
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