‘Il y a un juge qui s’appelle le temps et qui remet tout le monde à sa place’
Accord historique : Israël et le Hamas signent un cessez-le-feu sous l’égide de Donald Trump
Sous l’égide de Donald Trump, Israël et le Hamas signent un accord historique de cessez-le-feu incluant échange d’otages, retrait partiel et aide humanitaire à Gaza.
Mise à jour le 09/10/25
Israël s’engage à un retrait militaire partiel et à la libération de prisonniers palestiniens.
Le 8 octobre 2025, un accord de cessez-le-feu marquant la première phase d’un plan visant à mettre fin à la guerre de deux ans à Gaza a été signé entre le Hamas et Israël, sous l’égide du président américain Donald Trump. Cet accord, fruit de négociations intensives menées au Caire et à Charm el-Cheikh avec la médiation du Qatar, de l’Égypte et de la Turquie, représente une avancée majeure dans un conflit ayant causé des dizaines de milliers de victimes et dévasté la bande de Gaza.
La Maison-Blanche annonce sur X un accord entre Israël et le Hamas
Les termes clés de l’accord
L’accord, annoncé par le président Trump, comprend plusieurs mesures concrètes:
- Échange d’otages et de prisonniers : Le Hamas s’engage à libérer environ 20 otages israéliens encore en vie, ainsi que les corps de défunts ultérieurement. En contrepartie, Israël libérera près de 2 000 prisonniers palestiniens.
- Retrait militaire partiel : Dans les 72 heures suivant la signature officielle, prévue ce jeudi 9 octobre à Charm el-Cheikh, Israël retirera ses forces d’environ 70 % du territoire de Gaza.
- Aide humanitaire : L’accord garantit l’entrée immédiate d’aide humanitaire et de biens commerciaux dans la bande de Gaza pour répondre à la crise humanitaire aiguë.
- Prochaines étapes : Les négociations sur les phases suivantes, incluant le désarmement du Hamas et la gouvernance future de Gaza, débuteront immédiatement, bien que des divergences subsistent sur ces points sensibles.
Le rôle clé de Donald Trump
Le président Trump a joué un rôle central dans la facilitation de cet accord, marquant un succès diplomatique notable pour son administration. En s’appuyant sur des relations renforcées avec les médiateurs régionaux, notamment le Qatar et l’Égypte, Trump a su relancer des pourparlers qui stagnaient depuis des mois.
« Je suis très fier d’annoncer qu’Israël et le Hamas ont tous deux signé la première phase de notre plan de paix. Cela signifie que TOUS les otages seront libérés très prochainement et qu’Israël retirera ses troupes sur une ligne convenue, première étape vers une paix solide, durable et éternelle », a écrit Trump sur Truth Social. « BÉNIS SONT LES ARTISANS DE LA PAIX ! »
Côté palestinien, des figures comme le poète Mosab Abu Toha ont salué l’accord tout en plaidant pour un cessez-le-feu permanent.
Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a également applaudi l’accord, appelant toutes les parties à respecter leurs engagements et à garantir un accès humanitaire sans entrave.
« J’accueille favorablement l’annonce d’un accord visant à sécuriser un cessez-le-feu et la libération des otages à Gaza, basé sur la proposition présentée par Trump. Je salue les efforts diplomatiques des États-Unis, du Qatar, de l’Égypte et de la Turquie pour parvenir à cette percée désespérément nécessaire. »
Un espoir fragile
Bien que cet accord soit une percée significative, son succès dépendra de sa mise en œuvre effective. Les précédents accords entre le Hamas et Israël ont souvent été fragilisés par des violations mutuelles. Les regards sont désormais tournés vers les prochaines négociations, qui aborderont des questions complexes comme la reconstruction de Gaza et la démilitarisation.
Sous l’égide de Donald Trump, cet accord ouvre une fenêtre d’espoir pour une désescalade durable dans la région. Reste à savoir si les parties sauront transformer cette opportunité en une paix pérenne.
Génocide à Gaza : André Bercoff et Tocsin jouent sur la précision sémantique pour cacher l’horreur
Sur Tocsin, média notoirement proche d'Éric Zemmour, l’animateur André Bercoff, sioniste militant de longue date, recevait Catherine Grynfogel-Drommelschlager. Présentée comme « enseignante-chercheuse » de l’Université Toulouse 1 Capitole, elle a, par son statut universitaire, servi de caution à une opération de déni en règle. Sous couvert d’expertise juridique, son intervention a consisté à instrumentaliser une distinction procédurale pour évacuer la substance même des crimes commis à Gaza.
Mise à jour le 09/10/25
Sous couvert de “précision juridique”, certains médias transforment le droit en alibi.
Le procédé est rodé : brandir l’absence du mot « génocide » dans les mandats d’arrêt de la Cour Pénale Internationale (CPI) contre Netanyahou et Gallant – pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité – pour en faire un argument d’acquittement. Cette focalisation sur une lacune lexicale, soigneusement détachée de tout contexte, est le pivot d’une stratégie de blanchiment. Elle ignore superbement la décision autrement plus lourde de sens de la Cour Internationale de Justice (CIJ), qui a reconnu un « risque plausible de génocide » et ordonné des mesures conservatoires contre Israël.
Tocsin@Tocsin_Media
❌ « La Cour Pénale Internationale n’a jamais condamné Israël pour génocide contrairement à ce qu’on dit les médias, qui font souvent des raccourcis de la démonstration détestable. Les gens ne vont pas lire les longues et difficiles décisions de justice, ils vont donc se fier à ce que disent les médias ! »
Réécoutez l’émission 🔗 https://youtu.be/vaRzPsN7MEU
🗣️ @CGrynfogel rappelle que la Cour pénale internationale a condamné certains hauts responsables israéliens pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, mais non pour génocide, soulignant la responsabilité des médias qui ont simplifié à l’excès les décisions de justice.
https://x.com/Tocsin_Media/status/1975855056688677317
Le choix du plateau – l’intersection entre un média identitaire et un animateur au militantisme assumé – n’est pas un hasard. Il s’agit de construire une façade de crédibilité en convoquant une universitaire, tout en s’assurant que le cadre du débat soit verrouillé idéologiquement. La « précision technique » devient alors l’outil parfait pour inoculer le doute, évacuer les images de dizaines de milliers de morts, de famines organisées et de villes rasées, et disqualifier par avance toute qualification morale des faits.
À lire aussi : L’ONU confirme le génocide israélien à Gaza : Une condamnation sans équivoque
Cette mise en scène médiatique participe d’un phénomène plus large : la délégitimation systématique de toute instance internationale dès lors que ses conclusions dérangent. La CPI est crédible quand elle poursuit d’autres régimes, mais soudain suspecte de politisation quand elle enquête sur Israël. La CIJ est une référence, sauf lorsqu’elle statue sur le risque génocidaire. Ce deux poids, deux mesures est l’armature intellectuelle de l’impunité.
Derrière le paravent des jargons juridiques se joue une bataille narrative cruciale : il s’agit de rendre acceptable l’inacceptable. En réduisant le débat à une querelle sémantique entre spécialistes, on anesthésie l’indignation que devrait provoquer la réalité quotidienne à Gaza. L’enjeu n’est pas académique ; il est humanitaire et politique. Tant que des tribunes offertes à des opinions partiales continueront d’être habillées en leçons de droit, le fossé se creusera un peu plus entre le droit international et la réalité qu’il est censé régir.
Lien de l’article et commentaires :
“Le droit international ne s’applique pas aux Juifs. C’est la différence entre le peuple élu et les autres.”
Bezalel Smotrich Ministre des finances d’Israël.
Ok d’accord, alors il faut que l’humanité se sépare définitivement de ce « peuple élu » puisqu’on ne partage strictement aucune valeur avec ce peuple, la cohabitation est impossible.
Anne Sinclair : Les 50 000 morts à Gaza ne constituent pas un génocide, mais le 7 octobre a des relents de génocide
Lors de son passage sur BFMTV, Anne Sinclair a choqué en minimisant les massacres à Gaza, malgré les 50 000 morts recensés et les appels de la Cour internationale de justice pour prévenir un génocide. Une inversion de la réalité qui ne peut être tolérée !
Mise à jour le 05/10/24
Propos biaisés d’Anne Sinclair : une distorsion de la réalité concernant Gaza.
Le 4 octobre 2024, Anne Sinclair, figure médiatique controversée et ex-femme de Dominique Strauss-Kahn, était l’invitée de l’émission Tout le monde savoir sur BFMTV pour commenter le conflit israélo-palestinien. Ses déclarations ont provoqué un tollé, notamment en raison de leur nature profondément biaisée et en décalage avec la gravité de la situation actuelle à Gaza, où des milliers de civils palestiniens ont péri sous les bombardements israéliens.
Des propos sidérants en pleine crise humanitaire
Alors que la Cour internationale de justice (CIJ) a récemment exigé d’Israël qu’il prenne des mesures immédiates pour prévenir un éventuel génocide à Gaza, Anne Sinclair a tenté de minimiser l’ampleur des massacres. À plusieurs reprises, elle a affirmé que la guerre menée à Gaza n’était pas un génocide, détournant ainsi l’attention des atrocités en cours. Elle a osé déclarer que les événements du 7 octobre, liés à une attaque de factions armées palestiniennes, avaient « des relents de génocide ». Un discours profondément insupportable quand on considère l’échelle des destructions infligées par Israël à Gaza.
Un renversement absurde de la réalité
Au lieu de reconnaître les souffrances immenses endurées par les Palestiniens, la journaliste pro-israélienne a inversé la situation, déclarant que le Hamas, et non Israël, portait la responsabilité principale des pertes humaines à Gaza. Ce type de rhétorique, qui déforme les faits en faveur d’Israël, contribue à un narratif fallacieux visant à absoudre l’État israélien de ses crimes. Tout en admettant, de manière condescendante, que la guerre à Gaza est « atroce », elle se refuse à qualifier ces massacres de génocide, malgré les 50 000 morts à Gaza recensés.
La Cour Internationale de Justice rappelle les responsabilités d’Israël
Contrairement à ce qu’affirme Anne Sinclair, la communauté internationale, par la voix de la Cour internationale de justice, a reconnu la gravité des crimes commis par Israël. La CIJ a rappelé qu’Israël doit empêcher tout acte de génocide et prendre des mesures immédiates pour protéger les populations civiles. Cette décision de la CIJ souligne l’urgence de la situation à Gaza et l’horreur des actes commis contre des civils innocents.
Anne Sinclair pense appartenir à la caste des maîtres du monde
Rappel : Le témoignage de Marcela Iacub sur Anne Sinclair dévoile un aspect glaçant de sa pensée et de sa perception des rapports humains, marqués par un mépris des classes sociales et une hiérarchie rigide entre « maîtres » et « serviteurs ». Lors de leur rencontre, Sinclair lui a confié, de manière déconcertante, qu’il n’y avait « aucun mal à se faire sucer par une femme de ménage », illustrant ainsi sa vision profondément élitiste et détachée des réalités sociales. Pour Sinclair, il semblerait que les rapports entre individus soient inéluctablement marqués par la domination des uns sur les autres, une logique d’oppression dans laquelle certains sont au sommet, tandis que d’autres sont relégués à servir, sans considération de leur dignité humaine. Une mentalité qui ne fait que renforcer l’image d’une personnalité indifférente aux inégalités criantes et aux droits fondamentaux.
Propos de Marcela Iacub :
« Je suis allée rendre visite [à Anne Sinclair] pendant que j’écrivais le livre, sous un prétexte quelconque […]. Elle a été très gentille, mais j’ai compris à quel point elle est convaincue qu’elle et son mari – car je rappelle qu’ils n’ont toujours pas divorcé – appartiennent à la caste des maîtres du monde. »
« Elle m’a dit la phrase que je rapporte dans le livre :
“Il n’y a aucun mal à se faire sucer par une femme de ménage.” J’ai failli lui répondre que sucer, ce n’est pas le travail d’une femme de ménage comme passer l’aspirateur, qu’il faut demander ce genre de choses à une pute, etc. Mais, pour elle, le monde est séparé entre les maîtres et les serviteurs, entre les dominants et les dominés et c’est normal. »
par Le Média en 4-4-2
Lien de l’article 3 commentaires :
« Je reste surpris par le fait que vous vous rendiez compte aussi tardivement d’une vieille réalité que l’on a aussi appelée « la lutte des classes » dans le rapport dominants-dominés. Sans doute par euphémisme ou comme trompe couillons. Maintenant, ceux que j’appellerai les auto-proclamés êtres supérieurs pour ne pas user d’un référent territorial comme juif donc de Judée pour des multi-races multinationaux sont dans l’inversion accusatoire. La nouvelle construction du « mensonge » du 7 octobre est dans la continuité du « mensonge référentiel » qui aura permis par le choc émotionnel induit, d’occuper la Palestine. Je rappellerai le principe de la doctrine Hannibal israélienne consistant à tuer les siens plutôt qu’être tenu de négocier la libération de prisonniers. Ce qui fut fait. »
« La dame Sinclair dont vous évoquez les errements verbaux, s’appelle Anne Schwartz. Sinclair fut le pseudonyme de son père dans la résistance. »
Fin des articles.
Avenir à suivre du pour combien de temps !
C. Rosenzwitt-Makiewsky-Santri
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire