Michel lanceur alerte
Les Clinton et les victimes dont vous n’avez jamais entendu parler….
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Les films du jour = 2025-10-23
2 : 56 : Immigration : L’alerte de l’ancien patron de la DGSE
Pierre Brochard, ex directeur de la DGSE lance un cri d’alarme sur les conséquences de l’immigration de masse :
@mbockcote : ‘l’immigration massive c’est l’expérimentation sociale la + exceptionnelle à l’échelle de l’histoire, on modifie en l’espace de 3 générations, la population d’un continent, et à travers cela, on modifie la civilisation d’appartenance, le peuple d’appartenance, l’identité d’appartenance’.
6 : 25 Sarkosy, ancien chef d’Etat entre en prison.
8 : 13 : Sabotage du Nord Stream : L’Italie et la Pologne ont enfin arrêté des ukrainiens, dont un ex-officier du renseignement ! Pourtant l’UE garde le silence sur les coupables alors que tous les indices pointent vers l’Ukraine. En couvrant Kiev, Bruxelles est complice.
10 : 58 : Ouverture de plusieurs enquêtes pour corruption au sein de l’OTAN.
13 : 22 : Sarkosy : ‘On ira ensemble vers le nouvel ordre mondial et personne ne pourra s’y opposer’
On y est. La France en ruine n’a plus aucune souveraineté, on est entièrement soumis à d’autres pays grâce à Sarkosy, Macron et nombreux politicards français aux ordres des USA.
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Louis de Dreslincourt
Casse du siècle au Louvre ! Note de la France dégradée ! Macron, coupable, mais pas responsable
« Silence on déconstruit »
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Louis Rigaudière, journaliste Ligne Droite
Patrick Sébastien
coupé en plein direct pour avoir critiqué Macron
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Louvre : l'info
que l'on vous cache
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Didier Rykner
« La Présidence du Louvre doit démissionner ! »
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LES BANDITS DE LA RÉPUBLIQUE
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Le Live d’Antoine du 21/10/2025
« Etre athée s'est avouer n'appartenir à aucune religion ni mouvement religieux quel qu'il soit, et ne pas croire en Dieu, se dit expressément quand on parle des choses religieuses et donc rien à voir avec l’explication erronée et stupide d’Antoine. Qu’on se le dise »
Dictionnaire : Athée : nom et adjectif : Personne qui ne croit pas en Dieu
(13 : 25 : Début des infos)
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Croix de Quasquara retirée : Les corses indignés
C'est loin de nous faire rire Monsieur Praud
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« Moi aussi je ri avec Pascal Praud (que l’on dit être FM) mais pas pour les mêmes raisons que lui et des commentaires à charge et à juste raison sur la FM. L’ignorance tue et rend aveugle, et tous ces idolâtres se perdent »
« Oh Marie si tu savais ! Mais elle sait quoi Marie ? »
« Ce ne sont pas vos croix, vos prières à Marie, vos sacrifices humains, vos pendentifs, vos symboles et votre appartenance religieuse qui vous sauvera de votre idolâtrie et de l'adoration de la bête, du veau d’or; et arrêter de croire aux miracles de Lourdes. Seuls ceux qui ont été éclairés et qui ont reçu par grâce le don de discernement comprennent »
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Les Corses continuent à installer des croix supplémentaires dans leurs villages
Lien vidéo 11 commentaires :
« Je suis agnostique. Je comprends que des gens aient besoin de croire en quelqu'un ou quelque chose pour avancer. C'est leur droit. Mais ce que je n'admets pas, c'est le prosélytisme de beaucoup, ouvertement ou sous-entendu avec leurs vêtements ostentatoires trop visibles sans la moindre discrétion et imposant leurs US et COUTUMES en terre chrétienne quand ils débarquent chez nous. »
« N'oubliez pas les explosifs à leurs bases pour qui les enlèvera ...Surpriiiiiise !!!.... »
« Moi quand je suis invité, je n'impose pas qu'on change la déco. Et si je n'aime pas, alors je m'en vais, en respectant le goût des autres même si je n'y adhère pas. »
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Selon le Canard Enchaîné, Macron va dissoudre l’Assemblée
Législatives 16 et 23 novembre
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« Ce serait bien s'il pouvait se dissoudre lui-même! »
« Il y a une 3eme option l'article Ceaucescu vous connaissez? »
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Chloé Frammery [officiel]
UER : L’Union européenne de radio & télévision, le cartel des médias publics qui veut formater nos esprits
L'Union européenne de radio-télévision (UER) se présente comme le premier consortium mondial de médias de service public. Pourtant, cette organisation fondée en 1950, qui négocie les droits sportifs et produit l'Eurovision, cultive une opacité troublante sur son rôle de ciment idéologique. Chloé Frammery nous la présente.
Mise à jour le 22/10/25
Son siège genevois, voisin de l’OMS, interroge sur la nature de son partenariat avec les puissances globalistes.
Installée au Grand-Saconnex, en face de Gavi et à deux pas de l’OMS, l’UER n’est pas un simple club technique. Regroupant 69 membres dans 56 pays, de l’Europe au Maghreb en passant par Israël, elle promeut un « contenu de classe mondiale » et un avenir « durable » aligné sur l’Agenda 2030, suscitant l’interrogation.
À lire aussi : « Endetter et tenir en joue les peuples » : La monnaie des banques, un piège pour nous asservir – Chloé Frammery
Dirigée depuis 2021 par la Française Delphine Ernotte – Présidente de son Conseil d’Administration, qui déclarait à l’Assemblée nationale ne pas représenter « la France telle qu’elle est mais telle qu’on voudrait qu’elle soit » et redouter « l’événement qui crée un mouvement de foule » –, l’alliance semble davantage conçue pour prévenir la contestation que pour nourrir le débat. Ses propres rapports le constatent : la défiance envers les médias, qu’elle incarne, atteint des sommets, creusant un fossé entre le discours officiel et « le petit peuple » qu’elle prétend servir.
Par Yoann
Lien YouTube:
https://www.youtube.com/watch?v=4EY5PVC7mVE
Liberté d’expression en péril : Soutien à Michel-Ange Flori, le satiriste de nouveau poursuivi par la macronie
Michel-Ange Flori, afficheur varois et satiriste impénitent, sera de nouveau confronté à la machine judiciaire le 24 octobre 2025 au tribunal correctionnel de Toulon. Initialement prévu le 10 septembre, son procès pour « provocation publique à la haine ou à la violence en raison de la religion » ressemble davantage à une mise en scène de la censure qu’à un exercice de justice. Derrière le paravent des bonnes intentions, c’est bien la satire politique que la macronie cherche à étouffer.
Mise à jour le 22/10/25
La République défend la liberté d’expression. Sauf quand ça la dérange.
L’affiche qui dérange : quand la critique se fait missile
En juin 2025, Michel-Ange Flori placarde sur son fameux panneau toulonnais une image sans concession : un missile à tête de rabbin, surmonté de la mention « Missile rabbin pour écoles, hôpitaux, etc. ». Une charge explicite contre les frappes israéliennes à Gaza, aussitôt retirée des réseaux sociaux sous la pression. L’intention, pourtant, ne prête guère à équivoque : il s’agit de dénoncer ce que Michel-Ange Flori nomme un génocide, non de s’en prendre à une confession. La satire vise un État et sa politique, non une communauté.
Le Crif, la Licra et l’Observatoire juif de France y voient pourtant de l’antisémitisme. Le préfet du Var saisit le parquet, la police judiciaire enquête. Résultat : des poursuites qui sentent bon l’intimidation. Depuis Hara-Kiri, la tradition satirique française assume sa brutalité comme une forme de lucidité. Accuser Michel-Ange Flori de haine, c’est confondre le trait d’esprit avec un coup de couteau. Si critiquer Israël relève du délit, que reste-t-il de la liberté d’expression ? Un droit fantôme, réservé aux tièdes.
Flori Michel-Ange@MichelFlori
Le préfet appelle le journal local pour faire modifier un article.
Le directeur du dit journal et un journaliste convoqués à l’hôtel de police.
Je suis l’objet d’une nouvelle tentative de procédure bâillon.
On ne naît pas libre, on le devient.
https://x.com/MichelFlori/status/1980517769473921048
Michel-Ange Flori devant les tribunaux : itinéraire d’un irréductible
Ce n’est pas la première escarmouche judiciaire de l’afficheur. En mars 2025, il est relaxé pour son « Rabbi Macron » – le parquet a fait appel. En 2021, 10 000 euros d’amende pour un Macron en Hitler, condamnation qui interroge sur la tolérance de l’État face à la caricature. En 2022, la Cour de cassation lui donne raison dans une affaire d’injure publique, lui offrant même l’occasion de porter plainte contre le président.
Ces épisodes forment un tout cohérent : Michel-Ange Flori s’attaque aux symboles du pouvoir, et le pouvoir répond par la procédure. Pourtant, la justice, parfois, lui donne raison. L’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme protège la satire, même la plus corrosive. Michel-Ange Flori ne prêche pas la violence ; il réveille les consciences. Dans un paysage médiatique aseptisé, ses panneaux sont des brûlots de liberté.
La procédure bâillon : un pouvoir qui s’inquiète
Le 21 octobre 2025, Michel-Ange Flori alerte sur X : le préfet aurait fait pression sur un journal local pour modifier un article. Le directeur et un journaliste sont convoqués à l’hôtel de police. « Je suis l’objet d’une nouvelle tentative de procédure bâillon », dénonce-t-il, accompagnant son message d’une photo de son dernier panneau : « À Toulon, la liberté d’expression est-elle menacée ? » La question, désormais, vaut réponse.
À lire aussi : Michel-Ange Flori : « Mon rôle est celui d’un lanceur d’alerte qui parle pour ceux « qui ne sont rien » comme l’a dit Macron. »
Une inégalité raciale devant la loi
Cette affaire s’inscrit dans un contexte plus large : la criminalisation croissante de la critique d’Israël en France, au nom de la lutte contre l’antisémitisme. Michel-Ange Flori n’est ni l’un ni l’autre ; il est antisioniste, anticolonialiste, et refuse la guerre. Le 19 septembre 2025, le ministre de la Justice démissionnaire Gérald Darmanin a adressé une circulaire aux parquets : « la circonstance aggravante prévue par le Code pénal doit être systématiquement retenue » lorsqu’un acte est motivé par l’antisémitisme. Défendre le droit de Michel-Ange Flori à s’exprimer, c’est préserver le nôtre.
Flori Michel-Ange@MichelFlori
Liberté d’expression consacrée une nouvelle fois, hier à Toulon par le tribunal.
Relaxe totale des poursuites
https://x.com/MichelFlori/status/1905864625100411213
Le 24 octobre : une date pour la satire
Le 24 octobre 2025 ne sera pas qu’une audience de plus. Si Michel-Ange Flori est condamné, la satire devra se résigner à n’être qu’un folklore inoffensif. S’il est relaxé, ce sera une victoire pour tous ceux qui croient encore que la liberté d’expression n’est pas négociable.
Michel-Ange Flori est un empêcheur de tourner en rond, et c’est précisément pour cela qu’il mérite d’être défendu. La liberté, disait-il, ne se donne pas. Elle se prend.
par Yoann
...... Pendant ce temps-là, les tentatives d'assassinat se multiplient,
Assassinat manqué de la rédactrice en chef de RT : une récompense de 50 000 dollars était promise aux exécutants
par RT France
Les enquêteurs russes ont révélé que les membres du groupe néonazi chargés d’assassiner Margarita Simonian avaient accepté une récompense de 50 000 dollars. L’opération, commanditée par des personnes non identifiées, a été interrompue par le FSB avant son exécution.
Le Comité d’enquête de la Fédération de Russie a annoncé la clôture de l’enquête sur le projet d’attentat visant Margarita Simonian, rédactrice en chef de RT. Selon sa porte-parole, Svetlana Petrenko, deux membres d’une cellule néonazie auraient accepté de commettre le meurtre contre une prime de 50 000 dollars.
D’après Petrenko, l’attentat aurait été planifié par Mikhaïl Balachov, fondateur de la cellule de l’organisation terroriste National Socialism/White Power (interdite en Russie). Celui-ci, avec son complice Egor Saveliev, aurait accepté la commande d’interlocuteurs non identifiés.
« Sur ordre de personnes non identifiées, Balachov et un autre membre du groupe, Egor Saveliev, ont accepté d’assassiner la journaliste Margarita Simonian pour une rétribution financière de 50 000 dollars. À cette fin, les complices ont recueilli des informations sur sa localisation et ses déplacements, et, après avoir reçu des armes et des munitions de personnes non identifiées, ils devaient commettre son assassinat. Les complices n’ont pas pu mettre en œuvre leur projet criminel, ayant été arrêtés par des agents du FSB ».
Le Comité d’enquête précise que l’affaire pénale est désormais close et transmise au parquet pour examen judiciaire.
Les investigations ont révélé qu’en 2022, Balachov avait constitué à Moscou une cellule prônant le national-socialisme, à laquelle il avait rallié plusieurs adeptes, y compris des mineurs. De septembre 2022 à juillet 2023, les membres du groupe ont mené six attaques contre des migrants et des partisans de la communauté LGBT+, publiant ensuite les vidéos de leurs violences pour promouvoir leurs idées extrémistes.
Balachov et Saveliev ont également participé à la création d’un autre groupement nommé « Sang pur », avant de recevoir la commande d’assassiner Simonian. Tous les inculpés sont poursuivis pour création et participation à une organisation terroriste, incitation à la haine, attaques violentes, vols avec violence, ainsi que préparation de meurtre.
Les arrestations liées à l’affaire
En été 2023, le FSB, avec le soutien du ministère de
l’Intérieur et du Comité d’enquête, a déjoué un projet d’assassinat visant
Margarita Simonian et Ksenia Sobtchak, orchestré par les services spéciaux
ukrainiens.
Des néonazis appartenant au groupe «Paragraphe-88» ont été interpellés à Moscou et dans la région de Riazan. Ils menaient des repérages aux adresses personnelles et professionnelles des deux femmes. Les agents ont saisi un fusil d’assaut Kalachnikov, des cartouches, ainsi que plusieurs armes blanches et matraques.
Lors des interrogatoires, les suspects ont reconnu avoir préparé les assassinats sur ordre du Service de sécurité d’Ukraine (SBU), en échange de 1,5 million de roubles (environ 18 500 dollars) pour chaque meurtre. Au total, sept individus ont été arrêtés. Outre les préparatifs d’attentats, ils sont accusés d’avoir agressé des étrangers sur le territoire russe.
source : RT France
Alexis Poulain
Momotchi :
Nous sommes en train de perdre internet
« Internet, qui représentait la liberté à ses débuts, est devenu un outil d’influence et une arme »
Interview avec la lanceuse d'alerte Momotchi sur l'obsession de l'UE et de Macron de censurer les réseaux sociaux, mais aussi sur l'invasion de bots et le dead internet, un appauvrissement de la mémoire du web qui changent notre rapport à l'internet "libre".
L'ingénieur et lanceur d'alerte Momotchi dresse un constat sans appel sur l'évolution du réseau. Selon elle, la censure directe, qui prévalait hier, a été supplantée par des méthodes bien plus insidieuses pour étouffer la dissidence.
Mise à jour le 21/10/25
La censure a laissé place à une stratégie plus subtile : noyer l’information sous un flot de contenus et de robots pour épuiser et désorienter les internautes.
La stratégie consiste désormais à submerger l’espace numérique sous une abondance d’informations, où se mêlent contenus insignifiants et faux comptes automatisés, afin de provoquer une fatigue cognitive chez l’utilisateur et de rendre toute vérité inaudible. Cette « censure par le bruit », couplée à l’émergence d’une intelligence artificielle capable de capter l’attention et de créer un lien émotionnel, sonne le glas de l’Internet libre et peer-to-peer des origines, au profit d’un écosystème militarisé et instrumentalisé, un simple « enclos numérique » où la liberté n’est plus que surveillée.
par Yoann
Lien YouTube 580 commentaires :
https://www.youtube.com/watch?v=2UkUro6_BCw
L'effondrement d'Israël a commencé
Lien vidéo 11 commentaires :
« Bien résumé, Israël qui dit souffrir d'antisémitisme crée lui-même l'antisémitisme par sa conduite immorale et le génocide en cours. »
« Ceux qui quittent Israël agissent avec sagesse, car ils savent qu'Israël ressemblera à Gaza d'ici quelques mois, quand tous ceux qui sont las des agressions de Netanyahu décideront, tous ensemble, d'en finir et d'éradiquer le plus grand nuisible de ces dernières décennies. Rester sur place c'est se condamner à mort. Il n'y a plus aucune perspective d’avenir en Israël. Netanyahu a fait une croix sur l'avenir de ce pays pour sauver son avenir personnel. »
« Israël est tellement fier de ce qu'il a fait à Gaza, qu'il a créé un camp de concentration encore plus grand, un camp ou les habitants n'aurons plus la possibilité de fuir, car ils seront rejetés et haïs par le monde entier. Ce camp s'appelle Israël ☝️🥸 »
« Et du coup on est obligé de croire ce que cette représentation malaisante générée par IA raconte sans possibilité de vérifier quoi que ce soit »
« IA ou pas ce qu'elle dit est vrai »
L’émigration des Israéliens atteint des chiffres records, soit “une véritable menace stratégique”
Un média hébreu a cité un membre de la Knesset accusant Tel-Aviv d’avoir “négligé le front civil” tout au long de la guerre, responsable d’une émigration massive.
Suite de l’article :
« Si Israël croit que 200 milles morts de palestiniens leurs donnera le paradis et bien sur terre et dans des autres après fuit leurs massacrés alors ils ont tort... Je rappelle que le peuple israélien n'est pour rien de ce génocide... Ce sont les sionistes-arabo-catholique qui sont responsables »
« Vous devriez revoir la définition, et ce qu'est réellement un sioniste. La contradiction Sioniste-arabo-catholique, n'existe pas. De plus, ils ne parlent pas de paradis, leurs textes ne sont qu'un prétexte pour récupérer des terres, peuples nomades, turciques, ni juif, ni chrétiens, ni musulman... Allez voir ce que sont les Kazars/Ashkénazes et d'où ils viennent. »
« Vous oubliez le 7octobre? Arrêtez de baver sur les juifs qui n’y peuvent rien. Ce peuple a le droit de vivre. Prouvez ce que vous dites. Le peuple a 5786 ans et il vivra alors que toutes les autres civilisations se sont effondrées »
« L’état d’Israël est le bourreau du vrai peuple juif, et ça depuis longtemps !!!! »
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Plus de 450 personnalités juives exigent des sanctions contre Israël
par Sputnik Afrique
Sur fond de conflit à Gaza, des centaines d’hommes politiques, intellectuels et artistes de renom ont signé une lettre ouverte accusant l’État hébreu de « violer systématiquement les garanties créées en réponse à l’Holocauste ».
Parmi les signataires :
• Avraham Burg – ancien président du parlement israélien
• Jonathan Glazer – réalisateur oscarisé (La Zone d’intérêt)
• Wallace Shawn – acteur américain
Leurs demandes :
• Respect des décisions de la justice internationale ;
• Arrêt des livraisons d’armes à Israël ;
• Aide humanitaire garantie aux Palestiniens.
«La rhétorique qui assimile toute critique d’Israël à de l’antisémitisme a eu pour effet de discréditer indûment ceux qui œuvrent pour une paix juste», lit-on dans la lettre adressée au SG de l’ONU.
source : Sputnik Afrique
Affaire à suivre.
La voie de la Palestine : Le retour et une volonté inébranlable
par Muhammad Hamid ad-Din
L’échange de prisonniers a mis en lumière la cruauté des prisons israéliennes, mais à la joie fugitive de la libération ont succédé de nouveaux massacres et la certitude que la victoire de la résistance n’est qu’une question de temps.
Le Retour des fantômes : Une joie assombrie par la douleur
Le premier jour de l’échange de prisonniers de guerre devait être un jour de jubilation générale. Une vague d’émotions profondes, contenues pendant de nombreuses années, a déferlé dans les rues de Ramallah et de Khan Younes. 1 968 prisonniers de guerre palestiniens, pour la plupart des civils enlevés par les forces israéliennes à Gaza, descendaient des bus. Ils rentraient chez eux dans le cadre de la première phase d’un accord d’échange.
Mais la joie était amère, et le retour, un spectacle douloureux. Ils sont descendus sous un ciel pâle et indifférent, leurs corps n’étant plus que l’ombre d’eux-mêmes. Au lieu de solides étreintes, des médecins interceptaient les proches et emmenaient des dizaines de libérés directement aux urgences. Presque tous souffraient d’épuisement sévère, étaient traumatisés, et beaucoup avaient perdu des membres.
Les histoires qu’ils ont rapportées brossent un tableau de cruauté et de sadisme systémiques. Naseem al-Radi a passé 100 jours dans une cellule souterraine, sa vision endommagée de façon permanente après de nombreux passages à tabac. Mohammed al-Asalya a décrit la « discothèque » – une cellule de torture sensorielle avec une musique assourdissante, où les détenus étaient forcés de rester à genoux pendant des heures, menacés par des chiens sauvages et privés de sommeil. Shadi Abu Sido, photojournaliste, a raconté comment on l’avait forcé à se déshabiller, à manger à genoux, et comment on lui avait menti en lui annonçant la mort de ses enfants.
Les scènes les plus déchirantes se sont déroulées lorsque les libérés ont été confrontés à la réalité qui les attendait hors des murs de la prison. Haytham Salem, sorti en fauteuil roulant, a appris que toute sa famille avait été tuée lors du bombardement de leur tente à Khan Younes. « Ma joie est partie avec eux », a murmuré un autre prisonnier, et ils étaient nombreux dont les proches avaient subi le même sort.
Ces cas ne sont pas le fait d’une cruauté ponctuelle. Ils révèlent une politique systémique d’humiliation et de répression, dont les conséquences sont particulièrement visibles lorsque l’on compare le sort des otages libérés. Alors que les otages israéliens, malgré leurs épreuves, étaient globalement en bonne santé et en bon état physique et ont pu, à leur retour, regagner immédiatement leurs foyers, beaucoup de Palestiniens, détenus pendant des années dans les prisons, n’ont tout simplement plus de maison – elles ont été détruites de manière barbare et vindicative par des frappes israéliennes. Ce même système de destruction méthodique de la dignité humaine se manifeste également dans les conditions de détention des Palestiniens: menottage prolongé, positions stressantes, déshabillage forcé, privation de sommeil, refus de soins médicaux et tortures psychologiques régulières. Le tristement célèbre camp de « Sde Teiman » est devenu le symbole de ce système, où, selon des témoignages de médecins israéliens, les amputations sont souvent la conséquence non pas d’une nécessité médicale, mais de tortures et de négligence.
La trêve violée : La guerre se poursuit
Alors que certains Palestiniens célébraient la libération de leurs proches, d’autres pleuraient de nouvelles victimes. Seulement un jour après l’échange, les forces d’occupation israéliennes ont impunément et effrontément violé l’accord de cessez-le-feu, tuant au moins neuf civils palestiniens dans le quartier de Choudjaiya, au nord de Gaza, et près de Rafah, au sud. Un drone a largué des explosifs dans le centre de Deir el-Balah, et l’armée a procédé à des arrestations dans la ville de Nasr.
Il ne s’agissait pas d’un incident isolé. Le jour même où la libération des captifs était célébrée dans toute la région, Israël a repris les bombardements, tuant sept Palestiniens. Le porte-parole du Hamas, Hazem Qassem, a déclaré que le régime d’occupation violait ouvertement l’accord, tandis que la résistance palestinienne continuait de respecter ses engagements, y compris la remise des corps de soldats israéliens tués.
Les violations ne se sont pas limitées aux actions militaires. Israël a bloqué le point de passage crucial de Rafah, stoppant le flux d’aide humanitaire vers Gaza assiégée. Cela est survenu malgré les promesses d’augmenter le nombre de camions à 600 par jour. Des images en provenance d’Égypte montrent une file interminable de camions d’aide à qui les autorités d’occupation interdisent l’entrée dans l’enclave. Le directeur général du Bureau gouvernemental d’information de Gaza a averti d’une catastrophe environnementale due à l’accumulation de 250 000 tonnes de déchets et à une pénurie aiguë de machines lourdes, détruites pendant la guerre.
Une volonté inébranlable : La logique de la résistance et l’échec d’Israël
En coulisses des cessez-le-feu temporaires et des échanges de prisonniers, une bataille plus vaste se déroule – une bataille de volontés. Et par tous les indicateurs, comme l’affirment des analystes et des partisans de la résistance, la volonté palestinienne de vaincre reste intacte, tandis que les objectifs israéliens se sont révélés hors de portée.
Depuis le début de la guerre en octobre 2023, Israël a libéré un peu plus de 2000 prisonniers palestiniens dans le cadre de deux échanges. Cependant, sur la même période, il a arrêté environ 30 000 Palestiniens. Le ratio de un pour quinze démontre clairement que le système carcéral reste un outil de répression de masse. Après octobre 2023, le nombre de prisonniers politiques palestiniens a presque doublé – passant de 5250 à près de 10 000 en avril 2025, avec un nombre record détenus en détention administrative sans inculpation.
Mais cette tactique n’a pas apporté la victoire à Israël. Du point de vue de la logique de la résistance, la « Tempête d’Al-Aqsa » du 7 octobre 2023 a été un tournant, démontrant la capacité des forces palestiniennes à porter un coup massif au cœur même de l’administration occupante israélienne. Le but n’était pas de détruire Israël ce jour-là ; il était de secouer les fondements du statu quo et de faire passer la lutte à un niveau supérieur.
En proclamant le début d’une opération militaire massive dans la bande de Gaza, la direction israélienne a formulé une série d’objectifs stratégiques ambitieux : démanteler les capacités militaires du Hamas, stabiliser le contrôle du territoire et libérer les otages. Cependant, avec le temps, il devient de plus en plus évident que la tactique de la pression militaire totale n’a permis d’atteindre aucune de ces tâches clés, révélant des erreurs fondamentales dans la planification stratégique.
Le premier et peut-être principal échec est l’incapacité à stabiliser l’occupation. Les troupes de Tsahal ont certes réussi à occuper la majeure partie de la bande de Gaza, mais le concept même d’« occupation » s’est révélé inadéquat dans les conditions modernes. Au lieu d’établir un contrôle, l’armée israélienne a été confrontée à un vide politique et à une guerre de partisans permanente. L’absence d’alternative politique viable au Hamas a conduit à ce qu’une anarchie remplace un gouvernement centralisé, et la sécurité dans les zones « nettoyées » reste illusoire. Les troupes ne contrôlent que la surface, tandis que sous terre, l’infrastructure clandestine de la résistance continue d’exister et d’agir.
Cette incapacité à établir un contrôle total sur un territoire relativement petit et isolé constitue le deuxième échec stratégique. Malgré une supériorité militaire écrasante, Israël n’a pas réussi à renverser la situation en sa faveur. L’environnement urbain densément peuplé, le labyrinthe de bâtiments détruits et le réseau préétabli de fortifications ont fait de Gaza une plateforme idéale pour la guerre asymétrique. Les tentatives de «nettoyer» les zones se sont soldées par le déplacement des combattants via les tunnels, réapparaissant à l’arrière ou dans des zones déjà « nettoyées », réduisant à néant les succès tactiques israéliens.
L’objectif clé – la destruction du Hamas en tant que force militaire et politique – est également resté hors de portée. Certes, le groupe a subi des pertes significatives en vies humaines et en infrastructures.
Cependant, sa structure organisationnelle, son système de commandement et, plus important encore, sa base idéologique ont survécu. La résistance démontre une résilience remarquable, continuant à tirer des roquettes sur le territoire israélien et à mener des combats localisés. L’immense réseau de tunnels, comparé à une mégalopole souterraine, s’est avéré bien plus résilient que prévu. Sa destruction complète demande des efforts, et un temps démesuré, et il sert lui-même de symbole montrant que la puissance militaire ne peut résoudre un conflit politique profond.
Enfin, l’échec le plus significatif a été l’incapacité à libérer par la force un nombre significatif d’otages. Ce fait a clairement démontré les limites de l’approche militaire. La grande majorité des captifs libérés sont rentrés chez eux non pas à la suite d’opérations spéciales, mais grâce à des négociations ardues et des accords diplomatiques qui incluaient des gestes réciproques, tels que la libération de prisonniers palestiniens. Cela prouve que même sous une pression militaire totale, la diplomatie reste le seul outil réellement efficace pour résoudre de telles crises humanitaires.
En fin de compte, la campagne militaire massive, malgré les immenses pertes humaines et les destructions, n’a apporté à Israël ni sécurité, ni stabilité, ni la réalisation de ses desseins stratégiques. La situation actuelle est un rappel sévère que les conflits asymétriques du XXIe siècle se prêtent rarement à des solutions par la force, et que miser exclusivement sur la puissance militaire sans un plan politique clair pour « le jour d’après» mène inévitablement à une impasse stratégique.
« La résistance a réussi à élargir le champ de la lutte à des arènes bien plus vastes », note la presse internationale. La guerre a renforcé ce qu’on appelle l’ « Axe de la Résistance », et, malgré sa supériorité militaire écrasante, Israël se trouve dans une impasse. L’échec des tentatives pour écraser complètement la résistance signifie que la guerre ne lui apportera pas les résultats escomptés.
Des blessures qui exigent une réponse
Le retour des prisonniers palestiniens a exposé au grand jour les plaies non cicatrisées du système carcéral israélien. La violation de la trêve a montré que le cycle de la violence est loin d’être terminé. Et la volonté inébranlable du peuple palestinien, alimentée par la mémoire des victimes et de la brutalité de l’occupation, reste un facteur clé dans ce conflit de longue date.
Pour le monde qui observe ces événements, la tâche est claire : appeler les
choses par leur nom. Abandonner les euphémismes, exiger des enquêtes
indépendantes sur les tortures documentées et écouter les témoignages qui sont
corroborés par les hôpitaux et les organisations de défense des droits de
l’homme. Ceux qui sont revenus de captivité ne sont plus des victimes
silencieuses. Leurs blessures – visibles, nommées et nombreuses – sont un
réquisitoire muet contre le monde et un appel retentissant à la justice.
La nouvelle phase de la lutte, comme le prédisent les analystes, se concentrera sur la transformation de l’énorme capital populaire accumulé par la résistance en actions politiques cohérentes. Les fantômes rentrés chez eux ce jour-là ont apporté avec eux non seulement la douleur, mais aussi une détermination inébranlable à poursuivre la lutte jusqu’à la victoire.
source : New Eastern Outlook
https://reseauinternational.net/la-voie-de-la-palestine-le-retour-et-une-volonte-inebranlable/
Fin de citation.
......Petite vidéo comme on les aime en partage,
Foi ou gluten, il faut choisir
https://crowdbunker.com/v/cQCDqLmjNh
Fin du partage.
Articles à suivre.
C. Rosenzwitt-Makiewsky-Santri
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