mercredi 14 octobre 2020

MASQUES, RECONFINEMENT, COUVRE-FEU !

Il faut terroriser la population, la plonger dans un stress permanent…

 

 

Publié le 12 octobre 2020 - par Marcus Graven - 19 commentaires.

 



Alexandra Henrion-Caude, généticienne, ancienne directrice de recherche à l’Inserm, a accordé une interview à Planètes360.

 



Elle analyse la crise provoquée par l’intrusion du virus chinois dans nos sociétés. Autour de la vingtième minute de l’interview, elle s’interroge sur le fait que l’impact de la maladie soit si différent selon les pays d’Europe de l’Ouest. L’épidémie a flambé mais pas partout. Autriche, Hongrie, Danemark, Portugal ont été beaucoup moins touchés que des pays limitrophes. « S’il n’y avait pas eu de moyens de détecter génétiquement ce Covid-19, nous n’aurions jamais rapporté la moindre épidémie parce qu’il n’y avait aucune surmortalité dans tous ces pays, je parle de l’Autriche… »

 

Alexandra Henrion-Caude pose alors les questions suivantes : « Comment explique-t-on que le Portugal n’ait subi aucune surmortalité en 2020 quand l’Espagne en a subi une très nette ? Quelles sont les explications ? C’est urgent de les avoir. »

 

Sur le site de L’Express, un papier titré « Niveau de vie, âge, origine… Le profil type des malades du Covid-19 » sur les résultats d’une enquête de l’Inserm.

 

Selon cette étude, en mai, 4,5 % de la population française avaient des anticorps prouvant une infection.

 

Les plus touchés étaient les 30-49 ans, les femmes plutôt que les hommes, les diplômés (bac +3) plutôt que les non-diplômés. Le personnel de santé (11,4 %) était deux fois plus contaminé que les autres professions (5,7 %).

 

Quand on vivait à plusieurs dans un appartement, on avait plus de risques d’être touché par le virus de Wuhan que lorsqu’on habitait seul. Pas besoin d’être un spécialiste pour comprendre pourquoi.

 

Les personnes de plus de 64 ans étaient les moins atteintes parce que se protégeant davantage. Comme d’habitude ce sont les dernières lignes de l’article qui sont les plus instructives : « On constate en effet que la séroprévalence est deux fois plus élevée observée chez les personnes immigrées de pays hors Europe (9,4 % de positifs) que chez les personnes non immigrées (4,1 %). »

 

Faut-il penser que cette observation répond un peu aux questions d’Alexandra Henrion-Caude ?

 

Le Portugal aurait-il barré l’accès à son territoire à l’immigration alors que l’Espagne demeurait toutes frontières ouvertes ?

 

L’Autriche aurait-elle cadenassé ses frontières alors que la France restait accessible sans difficultés ?

 

La Hongrie aurait-elle grillagé son pourtour alors que dans les ports italiens continuaient à se déverser les migrants ?

 

Le Danemark aurait-il compris très vite le problème alors que la Belgique laissait les envahisseurs prospérer sur son sol ?

 

En France, pas question de remettre en cause la politique migratoire.

 

Plutôt accuser les jeunes de propager la maladie, de montrer du doigt des écoles de commerce qui seraient remplies d’irresponsables. Faisant rarement partie de la diversité, ils sont les boucs émissaires idéaux du gouvernement et des médias.

 

Plutôt s’en prendre aux bars et aux salles de sport qu’aux passagers des bateaux qui atterrissent dans nos ports ou franchissent les Alpes.

 

Plutôt fermer les piscines et laisser les passagers se serrer dans les rames de métro.

 


 

Pour le professeur Toussaint, l’immunisation dans la population est en train de s’élever d’une manière très importante.

 



https://www.youtube.com/watch?v=DH164L42m3c

 

 

 

Mais il faut terroriser la population, la plonger dans un stress permanent.

 

Pourquoi ?

 

La crainte de voir les hôpitaux submergés une nouvelle fois parce que rien n’a été fait depuis mars, on a même diminué de 7 000 lits en réanimation en mars à 5 000 lits aujourd’hui ?

 

La volonté de cacher d’autres réalités – un début de guerre civile (Herblay, Champigny-sur-Marne…), une immigration incontrôlable et l’insécurité qui va avec dans nos villes (Nantes, Rennes, Paris…) ?

 

La révolte contre le masque qui ne sert à rien en milieu ouvert ?

 

Adepte de la “génomancie” (prédire tout et n’importe quoi à travers les évolutions du virus) et de la “viromancie” (prédire le comportement du virus), le gouvernement, incapable d’une politique sanitaire équilibrée, rassurante, a choisi celle de la peur.

 

Pour l’instant la population demeure en état de sidération, lapin coincé dans le faisceau des phares d’une voiture.

 


Jusqu’à quand ?

 


 

Lien et commentaires :

 

« Le masque ne sert à rien, nulle part, en “population générale” – comme le disait opportunément en mars dernier un certain Véran. Quel est en effet l’étude documentée qui indiquerait le contraire, justifiant de bâillonner toute la population (dès l’âge de 11 ans) ? Voir, à l’inverse, l’étude récente de la cellule COMETE des marins-pompiers de Marseille, indiquant que le virus se transmet quasiment uniquement par manu portage, et qu’on le trouve sur les surfaces, dans les eaux usées et les selles. »

 

http://www.francesoir.fr/amp/article/societe-sante/covid-19-le-virus-se-transmet-principalement-par-les-surfaces-les-selles-et-les-eaux

 

« Comme dans pierre et le loup, les gens commencent à ne plus croire ce qu’ils disent, même lorsqu’ils ont raison ! »

 

Plus de commentaires :

 

https://ripostelaique.com/il-faut-terroriser-la-population-la-plonger-dans-un-stress-permanent.html

 

Marcus Graven

 

 


 

...à méditer,

 

C. Rosenzwitt-Makiewsky

 

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