mercredi 21 octobre 2020

SCANDALE OBONO .....

 


Joséphine Bakhita apporterait son soutien à Valeurs Actuelles.

 


Bakhita est un prénom qui signifie « la chanceuse ». Qui la connaît dans cette France soumise aux diktats gauchistes ? Pas même Obono, ni même Diallo et autres Asia et N’Diaye venues d’Afrique récemment, et par avion.

 


Toute la classe politique de droite comme de gauche, y compris le Rassemblement National, vient au secours d’une immigrée de fraîche date, Daniele Obono, devenue députée dans un pays qu’elle juge raciste. Allez savoir pourquoi.

 


Il y a-t-il des députés blancs en Afrique autre qu’en Afrique du Sud ? Est-ce que des Blancs sont ou ont été ministres au Sénégal, en Côte d’Ivoire, au Cameroun, au Tchad, au Mali, etc. ?

 

La France n’a pas attendue le XXe siècle pour avoir d’éminents descendants d’Africains dans des postes de haut niveau. Il serait fastidieux de les nommer dans cet article que je veux court.

 

Daniele Obono est scandalisée que Valeurs Actuelles la mette en avant à travers un roman d’été, des dessins, la représentant captive d’arabo-musulmans en Afrique et enchaînée, maltraitée si ce n’est plus vu les mœurs de l’époque, puis vendue à des marchands musulmans et à la fin, rachetée par un blanc et libérée. Ce récit est imaginaire, mais des femmes noires ont vécu cette réalité en cent fois pire !

 

Les réactions idiotes de toute la classe politique de droite et de gauche a dû bien faire rigoler les indigénistes et autres.

 

Plutôt que s’aplatir, la gauche comme la droite auraient dû se souvenir d’un article paru dans La Croix, qui rappelait la terrible vie de sœur Bakhita, ancienne esclave soudanaise noire, razziée à 9 ans et vendue comme un vulgaire paquet de lessive, utilisée comme bonne à tout faire, et esclave sexuelle en particulier.

 

Danièle Obono ne sait même pas ce qu’est l’esclavage, hormis dans les livres, et encore. Pas plus d’ailleurs que les demeurés noirs de la LDNA qui ont envahi les locaux de Valeurs Actuelles en bon nazis noirs qu’ils sont, comme le faisaient dans les années trente les SA de Röhm ! Au nom de la liberté…  Ils pillent, salissent en attendant mieux et sans doute plus tard.

 

La terre de France n’est pas une terre africaine, mais les Africains bien intégrés qui acceptent les lois de France ne posent aucun problème aux Français, sauf ces attardés mentaux qui considèrent que la terre de France est devenue une terre africaine. Cela finira par un conflit violent.

 

Qui était Joséphine Bakhita ? Une esclave, vendue, violentée, passant de mains arabes en mains arabes et qui a fini par être rachetée par un Italien blanc pour obtenir sa liberté.

 

Issue d’une famille composée de quatre sœurs et de trois frères, elle n’a que cinq ans lorsque sa sœur Kishmet est enlevée sous ses yeux par des trafiquants d’esclaves en 1874. À son tour, alors qu’elle avait près de 9 ans, elle est la victime de négriers musulmans qui la vendent et la revendent plusieurs fois, sur les marchés d’El Obeid et de Khartoum, en lui infligeant de mauvais traitements. Le traumatisme est si grand qu’elle en oubliera son premier nom. C’est ainsi qu’on lui donne le nom de Bakhita, qui signifie « la chanceuse » en arabe.

 

Qu’en pense Danièle Obono ? Elle s’en fout très sûrement.

 



Bakhita se souviendra toute sa vie de ce que lui a fait subir un propriétaire turc. Il l’aura traitée comme du bétail, lui aura fait subir de cruelles scarifications. Elle fut vendue au consul d’Italie à Khartoum, un certain Calisto Legnani, en 1883. Celui-ci lui donne le second prénom de Joséphine. Bakhita a alors 14 ans et sa vie change alors radicalement.

 

Qu’en pense Rokhaya Diallo ? Elle s’en fout très sûrement !

 


 

Valeurs Actuelles“, dans son roman d’été, n’a fait que raconter une histoire imaginaire, mais ce qui est bien réel, c’est l’histoire de ces femmes africaines razziées par les Arabo-musulmans. Mises en esclavage, violées, torturées, exploitées et vendues. Les hommes étaient castrés. C’est celle de Joséphine Bakhita ! Elle est bien réelle, contrairement à celle de la gauchiste, indigéniste, et raciste anti-Blancs, Danièle Obono.

 

Alors, les grandes voix humanistes de gauche et de droite, y compris celle de Wallerand de Saint-Just, trésorier du Rassemblement National, poussent des cris d’orfraies. Quelle pitoyable mascarade. Même Emmanuel Macron qui a tant à faire se fend d’un appel téléphonique à Danièle Obono qui doit encore se tordre de rire depuis, avec son pote Mélenchon.

 

Revenons à Joséphine Bakhita, qui vit à Venise et sert de nounou à une bourgeoise italienne qui l’avait emmenée avec elle. Durant un court séjour chez les religieuses à l’institut des Catéchistes, elle décide de rester. « Les sœurs firent mon instruction avec beaucoup de patience, dit-elle, et me firent connaître ce Dieu que tout enfant je sentais dans mon cœur sans savoir qui il était (…) Elle est baptisée le 9 janvier 1890 et elle dit « Ici, je suis devenue fille de Dieu ».

 

Qu’en pense Sibeth N’Diaye ? Elle s’en fout très sûrement !

 


Ce monde de Blancs si raciste d’après ces Noirs vivant grassement en France, et qui libéra Joséphine Bakhita, a même dit, à travers la sœur Supérieure, Anna Previtali « Ni la couleur de la peau, ni la position sociale ne sont des obstacles pour devenir sœur ».

 

Qu’en pense Lætitia Asia, la mordeuse de taxi ? Elle s’en fout très sûrement.

 


Tout cela pour dire que ce personnel politique français est une honte. Aucune morale, aucune culture historique, un vide politique sidéral, et plus grave encore, une absence de courage. Ces hommes sans couilles paradent sur les plateaux, avec des femmes vides qui leur donnent la réplique. Ce ne sont que des marionnettes. Tous sont sides, si creux, et si lâches !

 

Tous ceux qui osent dire la vérité sont condamnés à être vomis par cette presse et ces partis politiques sans colonne vertébrale. En fait, nous sommes en face d’un corps politique mou, visqueux, glissant. Il n’y a plus de gauche, plus de droite, plus de femmes et plus d’hommes de caractère et de convictions. Seulement des planches pourries. On le voit et on les entend d’autant plus, depuis qu’ils sont masqués. 

 


Voyons la réaction de cette Danielle Obono lorsqu’il s’agit de défendre la liberté d’expression des rapeurs et autres artistes du Nique la France. Des arguments très pauvres, des “voilà” à chaque  phrase, et une pauvreté du langage effarant.

 

 

Lien Vidéo et commentaires :

 

https://www.youtube.com/watch?v=1crUfsWmy3c&feature=emb_logo

 

Chère Joséphine Bakhita, toi qui a souffert d’un cancer douloureux, qui eut une pénible agonie où tu revivais dans tes délires de souffrance, ta mise en esclavage en murmurant, « Lâchez mes chaînes, elles me font mal ».

 


 

Photos de Herodote

 

Histoire de la traite négrière par les Arabo-musulmans

 

Toi qui es décédée en 1947 en invoquant : « Notre Dame ! Notre Dame ! » qui fit des miracles, ne pourrais-tu pas en faire un autre. Ne pourrais-tu pas faire un geste envers cette pauvre France, fille aînée de l’Église, pour donner à son personnel politico-médiatique français, non seulement du cœur, un cerveau, des reins, et pour les hommes des couilles, ce qui nous serait bien utile et salutaire.

 

Gérard Brazon

 

Lien et commentaires :

 

« Bravo monsieur il n’y a pas un seul mot à retirer de votre édito. Des millions de Français espèrent le sursaut d’une France car il y a des hommes comme vous dans ce pays. Merci »

 

« Ce billet est magnifique. J’ai la chair de poule et les larmes aux yeux tant il y a là de vérités. Il faut que ce texte soit lu par une multitude. »

 

« Pour rafraîchir la donzelle obono et les abrutis qui gémissent avec elle Google n’est pas fait pour les imbéciles ...lien pour leur cloués le bec a ses incultes. Taper Tidiane N’Diaye sur l’esclavage : « Il ne faut pas oublier la traite négrière arabo-musulmane ! » BREIZH-INFO. »

 

« Extrait du site: BREIZH-INFO ...sur L’anthropologue Tidiane N’Diaye l’évoque d’ailleurs dans son livre Le Génocide voilé, une enquête historique sur cette traite, passée sous silence en France alors qu’elle constitue sans doute la partie majeure de l’esclavage. Cette étude éclaire un drame passé à peu près inaperçu : la traite des Noirs d’Afrique par le monde arabo-musulman. Cette traite a concerné dix-sept millions de victimes tuées, castrées ou asservies, pendant plus de treize siècles sans interruption. Les razziés étaient contraints de traverser le désert à pied pour rejoindre le Maghreb, l’Égypte ou la péninsule arabique via Zanzibar, par bateaux… »

 

« Sainte Joséphine- Bakhita du Soudan, que ses paroissiens italiens surnommaient affectueusement “petite mère noire” était aimée de ces mêmes italiens et adorée par les enfants. Et c’est bien “le méchant et soi-disant monde blanc raciste” qui va lui rendre le plus beau des hommages. Joséphine-Bakhita sera canonisée le 1er octobre 2000 par le Pape Jean-Paul II et toutes les cloches de Rome carillonneront à la volée pour annoncer à la face du monde, que le “monde des blancs” honore une nouvelle et grande sainte “la petite mère noire”, sainte Joséphine-Bakhita. »

 

« Gérard Brazon @Batigoal. Ces sujets de culpabilisation par l’esclavage ne tiennent plus la route. L’esclavage fut la chose la mieux partagé par l’humain d’Europe, d’Asie et d’Afrique. L’esclavage existe depuis la nuit des temps, depuis qu’un prisonnier était une force de travail gratuite. Dénoncer un esclavage n’est pas en nier un autre. Les deux sont dégueulasses. Pour autant, la Reine Ndinga en Angola et le Roi Behenzin au Bénin, à deux époques différentes, ont pratiqué un esclavage violent, des rituels de cannibalisme, des sacrifices humains, etc. Tous deux ont existé, et aucun africain en parle, ce sont même des héros en Afrique. Aucun africain ne se sent coupable? Même pas Obono. Ils ne sont pas responsables comme les blancs d’aujourd’hui. Comme les arabes auteurs de 14 siècles d’esclavagisme. »

 

+ de commentaires :

 

https://ripostelaique.com/scandale-obono-josephine-bakhita-apporte-son-soutien-a-valeurs-actuelles.html

 

MàJ

 


En 2011, Rokhaya Diallo avait signé une tribune “contre le soutien à #CharlieHebdo “, dénonçant leur “obsession islamophobe”. Bruckner le lui rappelle et elle n’apprécie pas..

 

Lien vidéo et commentaires :

 

Fatiha Agag-Boudjahlat@AgagBoudjahlat

 

Total soutien à Bruckner. Qui a déjà gagné un procès intenté par l’asso de Diallo. Sans toucher un euro des dommages et intérêts prévus par la justice.

 

« Collector ! Acculée au mur on sent tout le mépris qui habite Rokhaya Diallo....Il ne faut rien leur laisser passer, bravo !!!! »

 

« Il faut censurer #RokhayaDiallo au nom de la lutte contre le #séparatisme et contre #l’obscurantisme et contre# l’islamisme »

 


« Miss #Diallo, n'est qu'une #racialiste, racialisée qui ne fonctionne qu'en termes de races. Attentat contre #CharlieHebdo : une vague d’émotion pour la #Libertedexpression « Charlie Hebdo nous a appris quelque chose de la liberté »

 


 

« Cette dinde colorisée aurait dû être censurée depuis longtemps...et puis ce terreau idéologique merdique doit être liquidé...c'est une gangrène qui nous amène à la situation où ns sommes. A BRUCKNER...je dis bravo. Bien joué. »

 

https://twitter.com/fmomboisse/status/1319011191784656898

 



Le texte est là, indigne, 3 jours après un attentat du cocktail molotov contre Charlie

 

La liberté d'expression n'est pas à défendre, elle est à conquérir.

 

Pour la défense de la liberté d’expression, contre le soutien à Charlie Hebdo !

 

Publié le 5 novembre 2011 par Saïd Bouamama, Youssef Boussoumah, Houria Bouteldja, Henri Braun, Abdelaziz Chaambi, Ismahane Chouder, Olivier Cyran, Christine Delphy, Thomas Deltombe, Rokhaya Diallo, Sébastien Fontenelle, Nawel Gafsia, Laurent Lévy, Hassina Mechaï, Ndella Paye, Faysal Riad, Arielle Saint Lazare, Karim Tbaili, Pierre Tevanian, Sylvie Tissot, et Najate Zouggari.

 

Parce que la liberté d’expression est pour nous un principe précieux, nous refusons catégoriquement l’instrumentalisation bouffonne et intéressée qui en est actuellement faite par le couple Guéant-Charb, par la classe politique et par les grands médias.

 

Nous affirmons :

 

Qu’un cocktail molotov lancé la nuit dans des locaux vides et n’occasionnant que des dégâts matériels ne mérite pas une mobilisation médiatique et politique supérieure à celle, pour le moins discrète, qu’occasionne l’incendie ou la mise à sac d’une mosquée ou d’un cimetière musulman.

 

Que la disproportion entre les unes alarmistes sur l’incendie de Charlie Hebdo et les brèves de dix lignes sur les saccages de lieux de culte musulmans entretient une vision du monde raciste : si un saccage est plus grave qu’un autre, c’est que les biens des uns sont plus précieux que les biens des autres, et c’est en définitive que les uns valent plus que les autres.

 

Que le climat d’état d’urgence et d’union sacrée qui s’instaure aujourd’hui autour de Charlie Hebdo est d’autant plus odieux qu’il tombe au même moment qu’un silence et une indifférence quasi générale face à un autre incendie, lui aussi parisien, lui aussi d’origine criminelle, à ceci près qu’il visait un bâtiment occupé par des Roms et qu’il a entraîné une mort d’homme : Ion Salagean.  

 

Que Charlie Hebdo, en acceptant la visite intéressée de Claude Guéant, qui incrimine avec empressement des « extrémistes musulmans », en l’absence du moindre élément de preuve, participe, comme il l’a déjà fait dans le passé en publiant des articles ou des dessins antimusulmans, à la confusion générale, à la sarkozisation et à la lepénisation des esprits.

 

qu’il n’y a pas lieu de s’apitoyer sur les journalistes de Charlie Hebdo, que les dégâts matériels seront pris en charge par leur assurance, que le buzz médiatique et l’islamophobie ambiante assureront certainement à l’hebdomadaire, au moins ponctuellement, des ventes décuplées, comme cela s’était produit à l’occasion de la première « affaire des caricatures » – bref : que ce fameux cocktail molotov risque plutôt de relancer pour un tour un hebdomadaire qui, ces derniers mois, s’enlisait en silence dans la mévente et les difficultés financières.

 

que, contrairement à ce qui dit et se répète jusqu’à la nausée à la faveur de ce nouveau buzz antimusulman, la liberté de critiquer l’islam est tout sauf menacée, et que toute personne dotée d’un minimum de bon sens peut même constater, en inspectant semaine après semaine la devanture de son kiosque ou les programmes de télévision, que concernant l’islam, non seulement la critique mais aussi la caricature et l’injure prospèrent en toute tranquillité et en toute bonhomie depuis au moins une décennie.

 

qu’en revanche, il est une liberté d’expression qui est bel et bien menacée, et même plus d’une : celle pour commencer des femmes qui voudraient s’habiller comme bon leur semble, sans qu’un Etat national-laïque leur impose par la loi un dress-code de bonne musulmane cheveux aux vents ; celle de ces mêmes femmes lorsqu’elles voudraient faire entendre leur ras-le-bol des regards, injures et discriminations qu’elles subissent quotidiennement au motif qu’elles portent un foulard ; celle des sans-papiers qui aimeraient avoir la parole et informer le public sur la réalité de leurs conditions de vie ; celle des SDF, des chômeurs, des précaires, qui sont les perpétuels recalés de l’espace public officiel – cet espace de « libre expression » qu’il s’agirait aujourd’hui de défendre, main dans la main avec Charb, Luz, Riss et leurs supporteurs Claude Guéant, Ivan Rioufol et Marine Le Pen.

 

Que les leçons de tolérance adressées par l’élite blanche aux musulmans, présumés coupables de l’incendie, sont pour le moins malvenues puisque, contrairement à ce qui se dit et se répète, le délit de blasphème existe en France : depuis les lois Sarkozy de 2003, de très lourdes amendes et peines de prison sont prévues contre toute « offense au drapeau ou à l’hymne national ».

 

que la liberté d’expression consiste à donner la parole aussi à la masse de celles et ceux, musulmans ou pas, qui n’éprouvent absolument aucune sympathie pour Charlie Hebdo, y compris « dans ce moment difficile », à toutes celles et ceux qui n’ont, depuis des années, aucun espace dans les grands médias pour dire leur écœurement face à la nouvelle marque de fabrique de cet hebdomadaire : un anticléricalisme primaire doublé d’une obsession islamophobe.

 

Que, pour commencer, la liberté d’expression consisterait, pour que les amis de Charlie Hebdo retrouvent une once d’honneur, à donner abondamment la parole aux proches de Ion Salagean, à ses amis résidents du 163 rue des Pyrénées, et plus largement aux Roms qui subissent depuis de nombreux mois, et depuis bien plus longtemps en fait, le plus brutal et le plus assumé des racismes d’Etat.

 

P.-S. Saïd Bouamama est sociologue et militant antiraciste ; Youssef Boussoumah et Houria Bouteldja sont membres du Parti des Indigènes de la République ; Abdelaziz Chaambi est porte-parole du Collectif contre le racisme et l’islamophobie ; Ismahane Chouder et Ndella Paye sont membres du Collectif des Féministes Pour l’Egalité, de Mamans Toutes égales et de Participation et Spiritualité musulmanes ; Christine Delphy et Sylvie Tissot sont sociologues et militantes féministes ; Olivier Cyran, Thomas Deltombe, Rokhaya Diallo, Sébastien Fontenelle et Hassina Mechaï sont journalistes ; Henri Braun et Nawel Gafsia sont avocats ; Arielle Saint Lazare est militante féministe ; Laurent Lévy, Faysal Riad, Karim Tbaili, Pierre Tevanian et Najate Zouggari sont militants antiracistes.

 

Source : Les Mots Sont Importants.

 

http://indigenes-republique.fr/pour-la-defense-de-la-liberte-dexpression-contre-le-soutien-a-charlie-hebdo/

 

 

Zineb El Rhazoui@ZinebElRhazoui

 

 

 

Le Collectif des Frères Musulmans pour le Vivre-ensemble soutient naturellement #RokhayaDiallo, comme notre frère #Erdogan avant nous. Le bras armé c'est les terroristes, pas les "intellectuel.l.e.s" qui les inspirent. #CharlieHebdo.

 

 


 

Ce citoyen turc ordinaire à l’accent rural prononcé réclame qu’Erdogan soit jugé sur-le-champ pour « haute trahison ». Il demande au journaliste de ne rien censurer de ses propos et ajoute même : « Alhamdoulillah, je suis athée ». Épique !

 

Lien vidéo et commentaires :

 

Uniquement en Turquie!

 

« Quel courage ! »

 

« Cet homme risque des représailles dans une palette répressive qui va du lynchage à la prison. Cet homme est un héros. »

 

« Quel courage ! Il risque sa vie, chez nous, on invite dans une émission "populaire" une femme supportant Erdogan. »

 

https://twitter.com/Kimyongur/status/1319394312304660486

 

MàJ

 

Ismail Demirbaş, citoyen turc, a été arrêté ce matin à Antalya par 9 policiers à cause de cette interview où il réclame qu'Erdogan soit jugé pour « haute trahison »

 

https://limportant.fr/infos-monde/3/t/1576616

 

 Fin du partage.


C. Rosenzwitt-Makiewsky.

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire