vendredi 18 juillet 2025

DE DERNIERE MINUTE......

 

Église bombardée à Gaza : deux morts, un prêtre blessé… et Sarah Knafo muette comme une tombe

 

Israël bombarde une église catholique à Gaza. Deux morts. Un prêtre blessé. Et en France ? Silence radio. Du moins du côté de Sarah Knafo, grande défenseuse d’Israël et accessoirement vice-présidente de l’intergroupe Chrétiens d’Orient.

 

Mise à jour le 17/07/25

 

Jeudi 17 juillet, au petit matin, l’armée israélienne a frappé l’église de la Sainte-Famille à Gaza, unique paroisse catholique latine de l’enclave palestinienne. Bilan : deux fidèles tués, plusieurs blessés, dont le père Gabriel Romanelli, prêtre emblématique de la communauté locale. Une église endommagée. Un lieu de refuge transformé en champ de ruines. Mais bon, « dommages collatéraux », diront certains.

 

Alors que l’indignation traverse une bonne partie de la planète chrétienne, Sarah Knafo, la “défenseuse” autoproclamée des Chrétiens d’Orient, est étrangement muette. Ni tweet. Ni communiqué. Pas même une larme de crocodile médiatique. Pourtant prompte à dégainer quand il s’agit de dénoncer une statue décapitée dans un village français, elle semble subitement frappée d’amnésie quand le canon israélien vise une église. Coïncidence ?

 

Une frappe militaire sans justification

 

Selon le Patriarcat latin de Jérusalem, ce n’est ni une erreur ni un dégât collatéral flou : un tank israélien aurait directement frappé l’église. Le cardinal Pierbattista Pizzaballa a confirmé la mort de deux civils et plusieurs blessés, précisant que les lieux servaient d’abri à des centaines de déplacés palestiniens. La paroisse, régulièrement visée depuis décembre 2023, n’avait aucune valeur stratégique. À moins que la prière et la charité soient devenues des menaces terroristes.

« Cette frappe n’est justifiée par aucun objectif militaire », dénonce Mgr Gollnisch, directeur de L’Œuvre d’Orient. On confirme : les crucifix ne tirent pas de roquettes.

 

Sarah Knafo, la grande absente

 

Pendant ce temps, Sarah Knafo, élue française, vice-présidente de l’intergroupe parlementaire censé défendre les Chrétiens d’Orient, reste soigneusement à l’écart. Celle qui, aux côtés d’Éric Zemmour, nous parle souvent d’“identité chrétienne” et de “civilisation” n’a pas trouvé un mot pour ses frères d’Orient massacrés dans un lieu saint. Il est vrai que critiquer Israël quand on l’adule aveuglément devient un exercice acrobatique.

 

Les Français catholiques devraient peut-être lui rappeler à quoi sert un mandat public. Parce qu’à ce rythme-là, même la République laïque fait plus pour les chrétiens que leur prétendue protectrice.

 

La France complice par son silence ?

 

La classe politique française, dans son ensemble, se distingue surtout par son mutisme embarrassé. Et ce n’est pas nouveau : quand Israël bombarde un hôpital, une école, une mosquée ou maintenant une église, le logiciel diplomatique made in Paris se contente de “regretter les pertes civiles”. Des formules creuses pour couvrir une impunité armée, sous prétexte de lutte antiterroriste.

 

Alors, combien de fidèles faudra-t-il enterrer pour que nos élus lèvent un sourcil ? Combien de croix faudra-t-il renverser avant que la protection des Chrétiens d’Orient ne serve à autre chose qu’à flatter un électorat ?

 

Appel aux citoyens

 

Il est temps que les Français demandent des comptes : à leur gouvernement, à leurs représentants, et à Sarah Knafo, qui ne peut pas défendre la croix d’un côté et l’aplatir de l’autre. Le double discours est devenu insupportable. Le silence n’est plus de la neutralité, c’est une complicité par omission.

 

par Le Média en 4-4-2

 

https://lemediaen442.fr/eglise-bombardee-a-gaza-deux-morts-un-pretre-blesse-et-sarah-knafo-muette-comme-une-tombe/

 

Fin de l’article.

 

Alerte : Israël bombarde la Syrie, le ministère de la Défense en flammes

 

Damas suffoque sous les bombes israéliennes. Le ministère de la Défense syrien est en flammes, la peur envahit la capitale. Après Gaza, le Liban et l’Iran, jusqu’où ira l’agression d’Israël ?

 

Mise à jour le 16/07/25

 

Des panaches de fumée épaisse s’élèvent dans le ciel de Damas en Syrie. Ce mercredi, le ministère syrien de la Défense a été la cible de violentes frappes aériennes, attribuées à l’État hébreu, qui continuent de semer la terreur dans la capitale syrienne. Ces attaques s’inscrivent dans une série d’agressions répétées contre des pays arabes, après Gaza, le Liban et l’Iran, confirmant l’acharnement d’Israël à déstabiliser la région.

 

Une capitale sous le choc

 

Selon Al Jazeera, vers 14h30, heure locale, plusieurs explosions ont secoué le cœur de Damas. Selon des témoins, au moins trois ou quatre frappes ont visé le siège du ministère syrien de la Défense, précédées, il y a quelques heures, par une attaque de drone à l’entrée du bâtiment. Les images diffusées en direct par des médias internationaux montrent un nuage gris en forme de champignon s’élevant au-dessus du quartier, tandis que des avions de combat israéliens survolent la ville à basse altitude, amplifiant la panique parmi les habitants.

 

« Les gens courent dans tous les sens, les rues se vident, tout le monde veut rentrer chez soi », raconte un résident du centre-ville, encore sous le choc. La population, déjà éprouvée par des années de conflit, vit dans la crainte d’une intensification des raids israéliens.

 

Une stratégie d’agression continue

 

Cette nouvelle offensive intervient dans un contexte où Israël multiplie ses interventions militaires dans les pays voisins. Après avoir ravagé Gaza, bombardé le Liban et ciblé des sites en Iran, l’État sioniste semble désormais décidé à frapper la Syrie avec une intensité accrue. Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, a revendiqué ces attaques dans un message provocateur publié sur X, accompagné d’une vidéo montrant un présentateur syrien se mettant à l’abri après une explosion dans le centre de Damas.

 

par Le Média en 4-4-2

 

Lien de l’article et vidéos :

 

https://lemediaen442.fr/alerte-israel-bombarde-la-syrie-le-ministere-de-la-defense-en-flammes/

 

C. Rosenzwitt-Makiewsky-Santri

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