mercredi 9 juillet 2025

ETRANGES SUICIDES EN MACRONIE ......

 

Mike Borowski GPTV

 

Le Député anti-corruption Olivier Marleix mystérieusement ‘suicidé’ : Ce que l’on sait

 

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"Qui pour reprendre le flambeau avec autant de courage?"


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Zapping :

L’hommage faux-cul de Bayrou à Olivier Marleix, et Raffarin lèche Macron comme pas deux

 

François Bayrou agite le spectre de l’apocalypse financière puis se lance dans une comédie larmoyante, Raffarin encense encore notre cher président. La pantomime du pouvoir atteint des sommets.

 

Mise à jour le 09/07/25

 

Le premier ministre-catastrophe a encore frappé : fervent soutient de la macronie qui a méthodiquement dépecé la souveraineté industrielle française (Alstom, Alcatel…), le voilà qui s’émeut devant la dépouille d’Olivier Marleix, défenseur… de cette même souveraineté. Le cynisme, version macronie, consiste à pleurer ceux dont on a saboté le combat.

 

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« Il ne fait pas bon dénoncer les scandales d’État ! »

 

« Quels abjects personnages… Leur cynisme est vomitif. »

 

https://www.youtube.com/watch?v=k3qVF59ZZPk

 


Clémence Houdiakova Tocsin la Matinale

 

Hommage à Olivier Marleix, celui qui a osé dénoncer la vérité sur Alstom-GE - Florian Philippot

 

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Deux patriotes suicidés - Le silence qui tue !

 

« Ne pas oublier aussi le chirurgien esthétique proche de celui qui aurait opéré Brigitte Macron. Suicidé par déforestation… »

 

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Louis de Dreslincourt

 

Le député LR O. Marleix, retrouvé pendu ! En cause, ses révélations ? Macron,.. pauvreté, pari tenu ?

 

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La ripoublique française fait éliminer les voix discordantes !!

 

Invité Olivier Marleix (Président des députés LR à l’A.N)

 

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« Macron fait buter tous ces opposants avant de se faire brûler par le peuple, t'inquiètes manu, nous venons te chercher. Sincères condoléances à la famille et aux proches de Feu Mr. Olivier Marleix, le seul qui défendait la France les autres, Pécresse, Copé, Walls, Hollande, Mélenchon, sont tous des traitres qui ne pensent qu'à en.uler les Français »

 

« Beaucoup refusent encore de voir : le système est pourri jusqu’à la moelle.  « La justice » Complice. La milice (police) Bras-armé d’un pouvoir aux ordres. Big Pharma ? Marchand de maladies. Éducation nationale ? Usine à conformisme et la fabrique de crétins. Agroalimentaire et agriculture industrielle ? Poison quotidien. Médias ? Propagande déguisée. Cinéma ? Distraction contrôlée.

 

💀 Tout est gangrené par une élite sans scrupules, prête à tout pour conserver son pouvoir : mensonges, manipulations, trahisons. Ils ont vendu leur âme au diable, piétinant la vérité, la liberté et la dignité humaine. Ce ne sont pas des dérives, c’est un système. Et il est temps de le regarder en face. »

 

« La majorité est dans l'illusion, (et pourtant tous les partis ont menti une fois au pouvoir depuis plus de 40 ans) comme pour la plandémie. Ils sont naïfs ou ont peur du réveil qui peut rendre fou, quand on s’est planté toute une vie sur la confiance des politiques escrocs. De plus la peur de perdre son confort de vie, par contre j'élimine tous ceux qui ont une famille à protéger qui est compréhensible, et les derniers s'en foutent. »

 

« Nous avons à faire à un gang de mafieux assassins »

 

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Mort d’un gêneur : Olivier Marleix emporte ses doutes sur Alstom dans la tombe

 

La disparition brutale d’Olivier Marleix, député LR, clôt un chapitre tumultueux. L’homme qui accusait Macron de corruption dans l’affaire Alstom s’est éteint, laissant derrière lui plus de questions que de réponses.

 

Mise à jour le 08/07/25

 

Entre soupçons opaques et bras d’honneur à son encontre, Olivier Marleix incarnait une opposition rugueuse. ll avait reçu, en 2020, un Prix éthique de l’association Anticor. Ses interrogations sur les donateurs macronistes, ses passes d’armes avec Dupond-Moretti, son combat contre le pass vaccinal… Autant de dossiers où sa voix s’est éteinte trop tôt. « On » lui a peut-être fait payer d’avance le contenu de sa prochaine publication : Dissolution française – La fin du macronisme, chez Robert Laffont, à paraître le 30 octobre (si son éditeur en a le courage), suite de Les Liquidateurs – Ce que le macronisme inflige à la France et comment en sortir?

 

Par Yoann

 

https://lemediaen442.fr/mort-dun-geneur-olivier-marleix-emporte-ses-doutes-sur-alstom-dans-la-tombe/

 

Olivier Marleix disparition tragique

 

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« Delawarde, Denécé, Faivre, Marleix...le tout en quelques mois. »

 

« Ça fait bcp de « suicidés « autour de Macron »

 

« De nombreux opposants à la macronie disparaissent, vous ne trouvez pas cela bizarre ? »

 

« Tous les opposants à la macronie et lanceurs d'alerte doivent, pour le moins, bien préciser qu'ils ne sont pas suicidaires... »

 

« Il était le premier à avoir signé l'article 68 pour la destitution du poudré... »

 

« Décidément les "suicides " vont bon train dans ce pays actuellement, surtout chez des personnes intègres, lucides et désireuses de faire avancer la vérité. C’est effarant et terrible de voir ce qui se passe en France. »

 

https://www.youtube.com/watch?v=XRDZE-UEGo0

 

Alstom, l’un des scandales d’Emmanuel Macron que les médias préfèrent oublier

 

Emmanuel Macron a construit sa carrière sans scrupules. Il a bradé les fleurons industriels de la France, s'attaquant à Alstom, Alcatel, Technip et Lafarge. Son ascension a culminé avec les derniers scandales McKinsey et Rothschild. Jean-Philippe Tanguy, invité par TVLibertés, revient sur les dessous de l'affaire Alstom que les médias préfèrent oublier ou traiter selon la version « autorisée » en campagne électorale.

 

Mise à jour le 23/04/22

 

Ministre de l’Économie en 2015, Emmanuel Macron a autorisé la vente des turbines des centrales nucléaires d’Alstom à l’Américain General Electric. Il avait préparé cette vente depuis 2012, lorsqu’il était secrétaire général adjoint du cabinet de François Hollande à l’Élysée. Cette décision fatale pour l’indépendance énergétique de la France, le candidat l’a niée devant les ouvriers de Belfort le 10 février 2022, ouvrant ainsi sa campagne électorale avant la date prévue (10 avril). Le coût de cette vente est de 4 000 licenciements en France, la perte d’une technologie française, et un finalement un rachat de la partie nucléaire de General Electric deux fois plus cher que son prix de vente. Les turbines vendues 585 millions en 2015 sont rachetées par EDF 1,050 milliard d’euro, selon Le Canard Enchaîné.

 

Le Média en 4-4-2.

 

par Jacqueline

 

https://lemediaen442.fr/alstom-lun-des-scandales-demmanuel-macron-que-les-medias-preferent-oublier/

 

Macron, les scandales de l’oligarchie démasqués – Nicolas Vidal dans Le Samedi Politique

 

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https://www.youtube.com/watch?v=4Us1Ug1K6OE

 

https://www.facebook.com/tvlofficiel/posts/-lsp-macron-les-scandales-de-loligarchie-d%C3%A9masqu%C3%A9s%C3%A9lise-blaise-re%C3%A7oit-le-journal/1117020153788808/

 

Le PDG Patrick Kron menaçait Arnaud Montebourg de virer 5 000 personnes s’il n’acceptait pas l’accord de vente d’Alstom

 

Arnaud Montebourg accuse Patrick Kron, ex-PDG d’Alstom, d’avoir trahi les intérêts de la France au profit de General Electric. Chantage, silence complice, millions en jeu : un scandale d’État qui refait surface.

 

Mise à jour le 08/07/25

 

Pour faire suite à notre article précédent où Arnaud Montebourg témoignait de la crapulerie des grands patrons qui vendent les entreprises françaises au prix de la trahison « entre 10 et 15 millions ». Il dénonçait lors de la commission d’enquête sur la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France, la défaillance de l’intelligence économique dans l’affaire Alstom et nous raconte les menaces de Patrick Kron, ancien PDG du groupe Alstom.

 

Alors ancien ministre de l’Économie, Arnaud Montebourg évoque sa rencontre avec Mme Clara Gaymard — qui était à l’époque présidente de General Electric — lors d’un voyage d’État du président de la République à Washington. Elle lui a demandé si Alstom était à vendre, mais il a répondu que non. Peu de temps après, il a interrogé le dirigeant d’Alstom, Patrick Kron, sur sa stratégie internationale lors d’un voyage à Abou Dhabi. Il voulait savoir où en était l’actionnariat de l’entreprise, et voulait faire cracher le morceau au PDG du CAC 40 car Montebourg soupçonnait des manœuvres souterraines d’une puissance étrangère. Il dénonce le comportement déloyal de M. Kron, qui ne l’a pas informé des agissements secrets de General Electric pour racheter les deux tiers du chiffre d’affaires d’Alstom.

 

Arnaud Montebourg déplore également le chantage exercé par M. Kron sur le gouvernement tout en jouant la carte « d’enfant de déporté » :

 

    « Mais surtout, M. Kron a privilégié son sort personnel à celui de la France. Il excipait [NDLR : se prévalait] de son statut d’enfant de déporté, ce que je n’ai jamais accepté. Je lui ai dit :

 

« Vous êtes dirigeant d’une entreprise fondamentale pour notre pays ». Et il a même fait du chantage sur le gouvernement puisqu’il m’a menacé que si je n’acceptais pas l’accord de vente d’Alstom, qu’il ferait un plan social de 5 000 personnes. »

 

Frédéric Pierucci, cadre chez Alstom, a été laissé à l’abandon par Emmanuel Macron, Patrick Kron et Rothschild, et a été emprisonné pendant deux ans sans bénéficier de la protection juridique qu’Alstom avait pourtant promis. Il a été libéré sous caution le 12 juin 2014, la semaine où le gouvernement français a accepté le rachat de la branche énergie d’Alstom par General Electric. Cette situation a été interprétée comme une forme de chantage exercé par General Electric.

 

Lien de l’article et vidéos :

 

https://lemediaen442.fr/le-pdg-patrick-kron-menacait-arnaud-montebourg-de-virer-5000-personnes-sil-nacceptait-pas-laccord-de-vente-dalstom/

 

Fin de citation.

 

Nazis ukrainiens, Eric Denécé : Jean-Noël Barrot s’enflamme – la diplomatie française à vif (et à côté de la plaque)

 

Jean-Noël Barrot, notre super ministre des Affaires étrangères, a visiblement oublié que son rôle était d’éclaircir, pas d’esquiver. Lors des Rencontres économiques d’Aix-en-Provence, un spectateur a osé rappeler l’histoire trouble de Stepan Bandera – et le soutien français à l’Ukraine, ainsi que le décès très suspect d'Eric Denécé. Réaction du ministre ? Un coup de sang digne d’un adolescent contrarié.

 

Plutôt que de répondre sur le fond, Barrot s’est emporté, invoquant la « résistance héroïque » de l’Ukraine… Une diversion bien pratique pour éviter de parler des liens historiques entre nationalistes ukrainiens et nazis, et la mort dans des conditions troubles d’Eric Denécé, ex-agent du renseignement. Mais après tout, pourquoi s’embarrasser de faits quand on peut brandir l’émotion ? La macronie excelle dans l’art du contournement – et Barrot en est désormais le parfait ambassadeur.

 

Mise à jour le 08/07/25

 

https://lemediaen442.fr/nazis-ukrainiens-eric-denece-jean-noel-barrot-senflamme-la-diplomatie-francaise-a-vif-et-a-cote-de-la-plaque/

 

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https://www.youtube.com/watch?v=j4--GdKjkew

 

AH-DEBRIEF du mardi 8 juillet

 

Début des infos 11 : 53

 

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« 1ere partie très bien, mais que de blablabla dans la seconde »

 

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Fin de citation.

 

ChemSex – Mort du franc-maçon Laurent Kupferman après une nuit de débauche marquée par l’usage de drogues

 

Laurent Kupferman, figure maçonnique et essayiste, a été retrouvé mort à Fontainebleau après une nuit marquée par l’usage de drogues. Deux hommes sont en garde à vue. L’affaire secoue les cercles de pouvoir.

 

Mise à jour le 06/07/25

 

Dans le petit monde feutré de la haute société française, où les idéaux républicains se murmurent entre deux coupes de champagne, la nouvelle a fait l’effet d’un pavé dans la mare. Laurent Kupferman, essayiste, chroniqueur, et figure éminente du Grand Orient de France, a été retrouvé mort le mercredi 2 juillet 2025 dans un appartement de Fontainebleau.

 

À 59 ans, cet intellectuel s’est éteint dans des circonstances troubles, entouré de deux hommes, aujourd’hui en garde à vue. Derrière les hommages vibrants à son « érudition » et son « humanisme », une réalité plus crue émerge : une nuit de débauche, ponctuée de drogues de synthèse comme le GHB et la 3-MMC, aurait scellé son destin. Une histoire qui rappelle, avec un certain cynisme, que les élites ne sont jamais loin des scandales qu’elles dénoncent.

 

Une nuit fatale au cœur de Fontainebleau

 

C’est au petit matin, dans un logement discret de la rue de la Paroisse, que le drame s’est noué. Selon les premiers éléments de l’enquête, relayés par Le Figaro et Le Parisien, Laurent Kupferman aurait rejoint deux hommes, âgés de 39 et 58 ans, rencontrés via une plateforme en ligne. Vers 2h40, les trois comparses se seraient lancés dans une soirée où les substances illicites – GHB et 3-MMC, cocktails prisés des nuits sans fin – tenaient le rôle principal. Quelques heures plus tard, vers 8h, l’essayiste est retrouvé inanimé. Malgré les tentatives désespérées de réanimation par ses compagnons d’un soir, il est déclaré mort en fin de matinée.

 

Une enquête pour « homicide involontaire » a été ouverte, et les deux hommes, interpellés sur place, ont été interrogés. Les investigations devront faire la lumière sur la cause exacte du décès : overdose ? Mauvaise réaction aux substances ? Et surtout, d’où venaient ces drogues ? Qui les a fournies ? Des questions qui, dans ce genre d’affaires, finissent souvent par révéler des réseaux bien plus vastes.

 

Une figure maçonnique, un scandale bien terrestre

 

Laurent Kupferman n’était pas un inconnu. Chroniqueur, consultant en communication, fils de l’historien Alfred Kupferman, il portait haut les valeurs de la franc-maçonnerie, au sein du prestigieux Grand Orient de France. Le site 450.fm, autoproclamé porte-voix de la franc-maçonnerie, n’a pas tardé à lui rendre hommage, saluant un homme « dévoué aux idéaux républicains ». Mais derrière les épithètes flatteuses, c’est un autre tableau qui se dessine : celui d’une élite qui, à l’abri des regards, s’adonne à des excès que le commun des mortels paie souvent au prix fort.

 

À lire aussi : Chemsex : Une pratique en expansion qui inquiète les députés (dont certains connaissent bien le sujet) 

 

Car oui, cette histoire n’est pas sans rappeler d’autres dérapages retentissants. On pense à Pierre Palmade, dont les frasques sous influence ont défrayé la chronique et mis en danger des innocents. Ou encore à Richard Descoings, emporté en 2012 à New York dans des circonstances troubles, où le chemsex et les drogues n’étaient pas loin. À chaque fois, le même refrain : des puissants qui jouent avec le feu, protégés par leur statut, jusqu’à ce que la réalité les rattrape.

 

La haute société et ses petits secrets

 

Ce n’est plus un secret pour personne : dans les sphères du pouvoir, qu’il s’agisse de sénateurs, d’intellectuels ou de grands patrons, les soirées où l’on sniffe, consomme et s’abandonne ne sont pas rares. GHB, 3-MMC, cocaïne… Les drogues de synthèse, reines des nuits interminables, ont remplacé les vieux whiskys des salons d’antan. Mais quand ces excès débordent, c’est le citoyen lambda qui trinque. Un accident de voiture, une overdose médiatisée, un scandale qui éclabousse : les conséquences, elles, ne restent pas confinées aux appartements cossus.

 

À lire aussi : Les nuits agitées de nos députés à l’Assemblée nationale : Cocaïne, 3-MMC, alcool et cannabis 

 

Avec la mort de Laurent Kupferman, c’est une nouvelle fissure dans le vernis de la haute société française. Une de plus, dira-t-on, dans un monde où les leçons de morale s’écrivent en public, mais s’oublient en privé. Les analyses médico-légales en cours diront peut-être si la drogue a directement causé ce décès. Mais une chose est sûre : cette affaire, comme tant d’autres, continuera d’alimenter le sarcasme de ceux qui observent, de loin, les puissants chuter de leur piédestal.

 

par Le Média en 4-4-2

 

https://lemediaen442.fr/chemsex-mort-du-franc-macon-laurent-kupferman-apres-une-nuit-de-debauche-marquee-par-lusage-de-drogues

 

Fin de citation.

 

Dominique de Villepin fracasse le CRIF : « Vous n’êtes pas une institution d’État ! Vous étouffez la liberté d’expression et divisez le pays. »

 

Dominique de Villepin a violemment critiqué le CRIF sur RMC le 4 juillet 2025, dénonçant son arrogance et son influence antirépublicaine après les attaques de Yonathan Arfi lors du dîner du CRIF. Il accuse l’association de se comporter comme un État dans l’État, menaçant la laïcité et la cohésion nationale.

 

Mise à jour le 07/07/25

 

Le 3 juillet 2025, au très chic Carrousel du Louvre, le Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (CRIF) déroulait le tapis rouge pour son 39e dîner annuel, un événement où le Tout-Paris politique se presse pour prêter serment d’allégeance. Enfin, presque. Car Dominique de Villepin, lui, n’a pas eu besoin d’y poser un orteil pour faire trembler les dorures. Invité des Grandes Gueules sur RMC ce vendredi 4 juillet 2025 (voir vidéo en bas de l’article), l’ancien Premier ministre a dégainé une réplique qui restera dans les annales, visant directement le président du CRIF, Yonathan Arfi :

 

« Le CRIF devrait se rappeler qu’il n’est ni une institution d’État, ni un ministère des Affaires étrangères israélien. En France, on a encore le droit de critiquer un État, même Israël, sans être accusé d’antisémitisme. Le vrai danger, c’est cet amalgame systématique que vous faites entre juif et israélien, entre critique politique et haine raciale. Vous croyez défendre une communauté ? En réalité, vous la mettez en danger. Vous étouffez la liberté d’expression. Vous divisez le pays. La France n’est pas une extension du Likoud. Et vous n’êtes pas l’arbitre de ce qui peut être dit ou pensé ici. »

 

Boum. Un résumé qui claque comme un uppercut, et qui met en lumière l’arrogance d’une organisation qui, sous couvert de représenter la communauté juive française, se comporte comme un État dans l’État.

 

Un CRIF qui se rêve en censeur de la République

 

Reprenons. Lors de ce dîner, Yonathan Arfi, dans un élan de suffisance, a cru bon de qualifier de Villepin de « Mélenchon des beaux quartiers ». Une attaque mesquine, lancée devant un parterre de ministres et d’élus, qui n’a pas bronché – habitués, sans doute, à courber l’échine face à ce genre de sermon. Mais de Villepin, lui, n’a pas laissé passer. Sur RMC, il a démonté, avec la verve qu’on lui connaît, l’outrecuidance du CRIF. Car soyons sérieux : qui est ce CRIF pour se permettre de distribuer des bons et des mauvais points à des figures politiques de premier plan ? Une association, rappelons-le, qui prétend parler au nom de la communauté juive française – un sixième à peine de cette communauté, elle-même 1 % de la population hexagonale. Et pourtant, chaque année, c’est le même cirque : les politiques, de gauche comme de droite, se bousculent pour s’asseoir à la table du CRIF, comme si leur carrière en dépendait. Pathétique.

 

À lire aussi : Dominique de Villepin recadre Apolline de Malherbe sur la chaine pro-israélienne BFM TV : « À qui appartient votre chaîne ? » 

 

Ce que de Villepin a pointé du doigt, c’est la confusion savamment orchestrée par le CRIF entre la politique israélienne, l’État d’Israël et la communauté juive française. Une équation toxique, qui nourrit l’amalgame et fragilise la lutte contre l’antisémitisme. « Quand on préside une institution comme le CRIF, on a le devoir de respecter les principes républicains », a-t-il martelé. Et il a raison. En s’érigeant en gardien autoproclamé de la vérité, le CRIF prend le risque de diviser, de stigmatiser, et de réduire au silence ceux qui osent critiquer la politique de Netanyahou sans pour autant remettre en cause l’existence d’Israël ou la douleur de la communauté juive face au 7 octobre. Cette posture, c’est tout sauf républicain. C’est même un danger pour la cohésion nationale.

 

La laïcité à géométrie variable : où sont les catholiques ?

 

Et pendant ce temps, que voit-on ? Une République qui brandit la laïcité comme un étendard dès qu’il s’agit de pointer du doigt les musulmans ou de sermonner les catholiques, mais qui ferme les yeux quand le CRIF joue les petits chefs. Où est la cohérence ? Les catholiques, majoritaires en France, se voient régulièrement rappeler à l’ordre au nom de cette laïcité – un concept que certains soupçonnent de n’être qu’un faux nez pour la franc-maçonnerie et son agenda. Mais le CRIF, lui, peut se permettre de convoquer des ministres et de sermonner des anciens Premiers ministres sans que personne ne moufte. Deux poids, deux mesures. Et après, on s’étonne que la fracture sociale s’élargit.

 

Un CRIF qui falsifie et harcèle

 

Pire encore, de Villepin a rappelé un épisode sordide : les accusations mensongères portées contre lui par Arfi sur BFM, où il aurait soi-disant évoqué une « domination financière juive ». Des propos qu’il n’a jamais tenus, et pour lesquels l’Arcom a mis en demeure la chaîne, tandis que le conseil déontologique des journalistes a condamné cette manipulation. Mais Arfi, lui, n’a jamais présenté d’excuses. Au contraire, il persiste et signe, lançant ce que de Villepin qualifie de « chasse à l’homme » contre ceux qui osent penser différemment. Résultat ? L’ancien ministre, sa famille, ses enfants, reçoivent des menaces de mort quotidiennes. Voilà où mène l’arrogance du CRIF : à une polarisation dangereuse, à un climat de peur, et à une République qui vacille.

 

Pour une diplomatie française libre

 

Au-delà de cette passe d’armes, de Villepin a plaidé pour une diplomatie française qui retrouve son indépendance et son équilibre, loin des injonctions du CRIF ou des alignements atlantistes. « La France doit être un bouclier pour tous ses citoyens », a-t-il insisté, rappelant l’urgence de défendre les otages français en Iran ou les prisonniers en Algérie. Mais pour cela, il faut cesser de plier face aux pressions, qu’elles viennent du CRIF ou d’ailleurs. La France, a-t-il conclu, doit redevenir une voix de la nuance, de la justice, et de l’humanisme républicain. Un message qui, espérons-le, résonnera au-delà des plateaux de RMC.

 

Le CRIF doit redescendre sur terre

 

Le CRIF peut bien se rêver en faiseur de rois, en arbitre des consciences républicaines, il n’en reste pas moins une association parmi d’autres. Sa légitimité ne dépasse pas celle que lui accordent ses membres – une fraction minuscule de la population française. Alors, qu’il cesse de se prendre pour le nombril de la République. Et que les politiques, pour une fois, aient le courage de lui rappeler qu’en France, la souveraineté appartient au peuple, pas à une poignée de convives réunis autour d’un dîner mondain.

 

https://lemediaen442.fr/dominique-de-villepin-fracasse-le-crif-vous-netes-pas-une-institution-detat-vous-etouffez-la-liberte-dexpression-et-divisez-le-pays/

 

Israël, les ministres du chaos

 

Depuis leur entrée au gouvernement Netanyahou, les deux ministres d'extrême droite Bezalel Smotrich et Itamar Ben-Gvir n’ont cessé de jeter de l'huile sur le feu dans le contexte explosif du Moyen-Orient. Nous immergeant dans l'histoire récente d'Israël, cette enquête donne la mesure de leur influence.

 

Convergence idéologique ou opportunisme ? En 2022, Benyamin Netanyahou s'est allié avec deux hommes issus des franges radicales de l'extrême droite israélienne. Poursuivi pour corruption et abus de confiance, il est redevenu premier ministre, parvenant ainsi à échapper à la justice. Bezalel Smotrich, à la tête du parti sioniste religieux, a hérité du portefeuille des finances et de l'administration civile des colonies tandis qu’Itamar Ben-Gvir, patron de la formation suprémaciste Force juive, s'est vu confier la sécurité intérieure. Réforme liberticide, distribution d'armes, provocations, complaisance vis-à-vis de la violence envers les Palestiniens... : ils ont pour stratégie de semer le chaos, avec en ligne de mire l'annexion des territoires occupés et l'instauration d'une théocratie autoritaire en Israël – des idées qui avaient infusé avant leur arrivée au pouvoir. En 2018, le gouvernement, déjà sous l'égide de Netanyahou, autorisait officiellement le Qatar à financer le Hamas, à la tête de Gaza depuis 2007. Cette stratégie, qui vise à affaiblir l'Autorité palestinienne, Smotrich la prônait déjà en 2015.

 

Dédiabolisation

 

Au vu de leurs itinéraires sulfureux, retracés dans ce documentaire, il est sidérant que ces deux hommes soient parvenus au sommet de l'État. Obsédé par l'idée d'expulser les Arabes d'Israël, Itamar Ben-Gvir est un émule du rabbin Meir Kahane, le fondateur de l'ex-parti raciste Kach, où il a fait ses classes en manipulant des jeunes sans repères. Parmi eux, le journaliste Gilad Sade, aujourd'hui repenti, avoue, adolescent, avoir fabriqué des prospectus haineux et vandalisé des voitures palestiniennes avec l’assentiment d'Itamar Ben-Gvir, qu'il considérait comme son grand frère. Autre modèle de Ben-Gvir (renié depuis qu'il s'est "dédiabolisé" afin d'accéder au Parlement) : Baruch Goldstein, l'auteur du massacre d'Hébron. Smotrich, lui, est soupçonné d'avoir planifié un attentat, à 24 ans, en 2005, peu avant le retrait d'Israël de la bande de Gaza, et l'évacuation musclée de 8 000 colons par l'armée. "Je sais que nous avons empêché quelque chose de très gros mais j'aurais préféré qu'on parvienne à le démontrer avec des preuves matérielles", commente Dvir Kariv. Cet ancien du Shin Bet, le renseignement intérieur israélien, fait partie des nombreux intervenants de ce documentaire fouillé : parmi eux, les anciens premiers ministres Ehud Barak et Ehud Olmert, la physicienne Shikma Bressler, devenue l'égérie de la contestation contre la réforme judiciaire, Gil Dickmann, qui se bat pour la libération des otages, des journalistes, militants ou historiens. Le documentaire montre comment ces ministres usent de divers leviers pour instaurer un "Grand Israël" au mépris de la démocratie et du droit international : force, intimidation, bataille des idées, mais aussi procédures et lois, tous deux étant juristes. Ils ont ainsi contribué à rendre plus inflammable la poudrière du Proche-Orient, comme l'ont confirmé les événements tragiques de l’année passée : le massacre du 7 octobre 2023 perpétré par le Hamas, puis la riposte sanglante de l’armée israélienne à Gaza. À travers l'ascension de ces deux extrémistes, ce documentaire, riche en images d'actualité et en vidéos amateurs, nous replonge aussi dans l'histoire récente d'Israël, et sa violence – jusque dans la Knesset. Une dérive populiste, plus spectaculaire qu'ailleurs, mais non sans parenté avec celle qui sévit partout sur la planète.

 

https://www.arte.tv/fr/videos/115065-000-A/israel-les-ministres-du-chaos/

 

Fin de citation.

 

....... Pendant ce temps-là,


Affaire Epstein : Le FBI fouille 300 Go de données et ne trouve rien. Ni clients, ni chantage, ni réseau ?

 

Le FBI affirme qu’aucun client d’Epstein n’a été identifié malgré des centaines de gigaoctets de données. Une version officielle bourrée d’incohérences, qui relance les soupçons de dissimulation au plus haut niveau.

 

Mise à jour le 09/07/25

 

Suite de l’article et vidéos :

 

https://lemediaen442.fr/affaire-epstein-le-fbi-fouille-300-go-de-donnees-et-ne-trouve-rien-ni-clients-ni-chantage-ni-reseau-circulez-il-ny-a-rien-a-voir/

 

Fin des partages.

 

....... De dernière minute, et sans surprise,

 

Marc Doyer sur la décision de justice concernant Buzyn, Véran et E. Philippe : « Non-lieu pour les puissants, non-droit pour les victimes ! »

 

La Cour de justice de la République (CJR) vient de rendre un non-lieu dans l’affaire Covid visant Édouard Philippe, Agnès Buzyn et Olivier Véran. Une décision qui enterre toute responsabilité politique, malgré des « manquements » reconnus.

 

Mise à jour le 08/07/25

 

Une justice à deux vitesses

 

Marc Doyer, voix engagée des oubliés du Covid, interpelle directement la CJR : « Vous avez nos morts, vous avez les preuves, et pourtant, vous choisissez l’impunité. » Les contrats Pfizer, toujours sous embargo judiciaire, contiendraient pourtant des clauses accablantes sur les risques ignorés. Mais la justice préfère ne pas savoir.

 

À ne pas rater : Reportage en 4-4-2 : Deuxième édition des Rencontres Citoyennes Internationales à Vierzon

 

L’omerta des vaccins

 

« Permettez-nous de diffuser ces contrats, mettez-nous en procès ! », lance Marc Doyer. Entre cancers inexpliqués, effets secondaires massifs et décès liés aux injections, le scandale sanitaire persiste. Mais la CJR, comme l’État, semble avoir déjà tourné la page. Sans les victimes.

 

Marc Doyer@Marc_Doyer

 

Scandale ! Les lâches de la république ! La cour de justice de la république rend un non-lieu pour la plainte contre Buzyn, Veran et Philippe pour la crise Covid 👉 j’interpelle les juges!

 

👉 @verity_france #Mauricette #MaximeBeltra @afpfr @PascalPraud@andrebercoff @Tocsin_Media

 

https://lemediaen442.fr/marc-doyer-sur-la-decision-de-justice-concernant-buzyn-veran-et-e-philippe-non-lieu-pour-les-puissants-non-droit-pour-les-victimes/

 

Ni oubli ni pardon

 

Michel Cymes, ou l’art médiatique de la peur et du mépris

 

Trois ans après la fin des mesures dites "sanitaires", Michel Cymes persiste et signe dans son rôle de donneur de leçons anxiogène. Le médecin des plateaux TV, auréolé de ses certitudes télévisuelles, semble avoir oublié ses propres excès – pourtant gravés dans le marbre de l’absurdité pandémique.

 

Mise à jour le 08/07/25

 

Qui pourrait oublier ses conseils dignes d’un scénario post-apocalyptique en mars 2020 ? « Ne touchez pas vos courses pendant quelques heures », sermonnait-il, comme si une pomme contaminée allait anéantir l’humanité.


Ni Oubli Ni Pardon@NiONiPardon

 

🔴 CoronaCircus

 

03/2020 Les conseils santé de notre éminent docteur Michel Cymes : Aller faire ses courses, c'est prendre le risque de ramener le coronavirus chez soi. Sac de courses, peau des fruits et légumes, emballages plastiques, pain… « Ne pas toucher à ses courses pendant quelques heures », conseille Cymes.

 

Lien vidéo 1701 commentaires :

 

https://www.youtube.com/watch?v=FOb6fox4d9Y

 

https://x.com/Seto_64/status/1903840069452025861

 

Tous les liens :

👉 https://linktr.ee/nionip

 

Le même homme, deux mois plus tard, louait les mérites des couturiers amateurs en vantant les masques en tissu « faits maison » – une farce sanitaire rapidement balayée par la science, mais jamais par son ego.

 

Ni Oubli Ni Pardon@NiONiPardon

🔴 CoronaCircus

 

05/2020 Le tuto tout pourri sur le masque en tissu fait maison. Avec en bonus le conseil santé du télétoubib Michel Cymes.

 

En décembre 2020, il fustigeait Christian Perronne pour « désinformation »…tout en traitant les manifestants anti-pass de « rien » quelques mois plus tard. Puis vint l’apothéose moralisatrice : « Ne pas se vacciner, c’est tuer des gens ». Une rhétorique culpabilisatrice qui, sous couvert d’autorité médicale, a divisé des familles et stigmatisé des millions de Français.

 

Aujourd’hui, Cymes recycle son discours contre RFK Jr, qualifié de « complotiste » pour avoir osé demander des preuves sur les vaccins. Ironie suprême : celui qui a enchaîné les approximations et les intimidations se pose en gardien de la vérité. Le tsunami de fake news, docteur, ne viendrait-il pas plutôt de vos plateaux ?

 

Stratégie d’un opportuniste

 

Le 10 mars 2020, invité de l’émission d’Anne Roumanoff Ça fait du bien, Michel Cymes assure que le coronavirus est « un virus de plus, qui ressemble à la grippe ». Il rappelle que la grippe fait, les années les plus sévères, entre 8 000 et 10 000 morts. On croirait entendre du Didier Raoult.

 

À la suite de ces déclarations, il disparaît des plateaux télé.  Un an plus tard, il tentera d’expliquer sa très brève exclusion :

 

« Il y avait tellement de médecins et d’experts qui s’exprimaient que l’on n’avait plus besoin de moi. » Ben voyons ! En réalité il a très vite compris comment faire son retour. ainsi, dès le 25 mars 2020 il conseillera au retour des courses : « Pendant quelques heures, vous n’y touchez pas. »

 

Ah ! comme il a regretté d’avoir parlé sincèrement :

 

« Je laisse dire que le masque, porté dans la rue, ne sert à rien, sauf pour les gens qui sont porteurs du Covid-19. À ce moment-là, je me demande si je suis bien sûr de ça. » Il n’y croyait pas et d’ailleurs ce n’est pas de sa faute :

 

« Et en même temps, j’ai le ministre de la Santé et tous les responsables qui disent que le masque ne sert à rien. Que voulez-vous ? Que je les contre et que je crée une émeute dans la rue ? »

Michel Cymes est revenu sur les écrans pour éviter une guerre civile (sans blague !), mentir autant qu’un ministre de la Santé et certainement toucher des royalties.

 

Cet article s’appuie sur l’excellent travail de compilation de Ni Oubli Ni Pardon, dont vous pouvez retrouver les révélations dans son livre « Covid-19 : Chronologie d’une plandémie », disponible sur Contre Propagande.

 

Ce livre retrace, preuves à l’appui, le rôle clé des médecins médiatiques, politiques et influenceurs dans l’emballement sanitaire – une mémoire indispensable pour ceux qui refusent l’amnésie.

 

par Yoann

 

https://lemediaen442.fr/ni-oubli-ni-pardon-michel-cymes-ou-lart-mediatique-de-la-peur-et-du-mepris/

 

Articles et sujets à suivre.

 

C. Rosenzwitt-Makiewsky-Santri

 

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