‘La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive’
Romains 1 : 18
‘La mort sera préférable à la vie pour tous ceux qui resteront de cette race méchante, dans tous les lieux où je les aurai chassés, dit l'Eternel des armées.’
Jérémie 8 : 3
‘Les rois de la terre, les grands, les chefs militaires, les riches, les puissants, tous les esclaves et les hommes libres, se cachèrent dans les cavernes et dans les rochers des montagnes. Et ils disaient aux montagnes et aux rochers: Tombez sur nous, et cachez-nous devant la face de celui qui est assis sur le trône, et devant la colère de l'agneau; car le grand jour de sa colère est venu, et qui peut subsister?’
Apocalypse 6 : 15-17
Fin de citation.
Retenez ce qui est bon
Âmes sensibles et oreilles chastes s’abstenir
Jim Leveilleur
Ça va être chaud n°43
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Le JournaLoup 249
Joyeux Noël ! ... ou Joyeux Hanouka ?
Loup divergent 2024.12.27
Note : Pour ceux qui ont été éclairés, il n’y a ni Noël, ni Hanoukka, ni de 25 décembre, ni de crèches, et encore moins de nouvel an païen.
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Vu dans la vidéo:
Guatemala. La police mène un raid dans le camp d’un groupe juif ultraorthodoxe
Les autorités ont secouru 160 mineurs et 40 femmes et enquêtent sur des allégations d’agressions sexuelles et grossesses forcées dans la secte Lev Tahor.
“Il ne s’agit en aucun cas d’une action contre une communauté religieuse”, a affirmé un officiel guatémaltèque, cité par La Prensa Libre, après une perquisition dans une ferme isolée appartenant à la secte Lev Tahor. Ce groupe juif ultraorthodoxe est installé à Santa Rosa, environ 80 kilomètres au sud de la capitale Guatemala Ciudad. “Toutefois, il est important d’insister sur le fait qu’aucune croyance, organisation ou profession n’évite à ses membres d’échapper à la loi”, a poursuivi l’officiel.
Vendredi, plusieurs centaines de policiers, assistés par des militaires, des psychologues et des procureurs, ont pénétré dans le camp de la secte pour secourir 160 mineurs, placés désormais sous la protection des autorités. Cette opération fait suite à une plainte déposée en novembre et stipulant de possibles grossesses forcées, abus sur mineurs et viols au sein de la communauté, rapporte La Hora. Les recherches menées sur place ont mis au jour les ossements présumés d’un mineur. Dans le cadre de l’enquête, la police a perquisitionné du matériel électronique et des téléphones.
Une secte présente dans d’autres pays
Lev Tahor - cœur pur en hébreu - a été impliqué dans au moins une autre affaire de trafic d’enfants, note le New York Times. Le quotidien explique que la secte, formée dans les années quatre-vingt, pratique une forme de judaïsme ultraorthodoxe. Les femmes s’habillent par exemple en noir de la tête aux pieds.
Cette année, deux leaders de la secte, présentent également aux États-Unis, en Israël, au Mexique et au Canada, ont été condamnés à plus de dix ans de prison pour kidnapping à New York. En septembre, rappelle le Times, un porte-parole de Lev Tahor au Guatemala avait dénoncé un “harcèlement et une persécution continue” de la part des autorités.
M documentaire sur la pédophilie dans la communauté ultra-orthodoxe de Tel-Aviv
Lien vidéo 827 commentaires :
https://www.youtube.com/watch?v=SMM_CsHQy3k
“M” ou l’enfer de la pédophilie en milieu juif ultraorthodoxe
Alors que l’Église catholique est engluée dans les scandales de pédophilie, 'M' de Yolande Zauberman nous rappelle qu’aucune religion n’échappe à ce fléau. Tourné en Israël, à Bnei Brak, la capitale du judaïsme hassidique, ce documentaire émouvant donne la parole à des victimes d’agressions sexuelles. Il sort en France le 20 mars.
Sur une plage de Tel-Aviv, un trentenaire chante nuitamment un air yiddish. Il est filmé en gros plan, on ressent d’emblée quelque chose de sombre, d’oppressant. Derrière sa voix d’ange, une souffrance.
Menahem Lang prend la caméra à témoin : “J’étais un porno kid, un garçon destiné au plaisir des hommes.” On plonge alors avec lui dans la ville ultraorthodoxe de Bnei Brak, fondée dans les années 1920 [dans la banlieue de Tel-Aviv] par des familles hassidiques. Y vivent les haredim, ou “craignant Dieu”. On a l’impression d’une secte à ciel ouvert.
Violence de la sexualité en milieu hypocrite
Menahem, alors qu’il avait 7 ans, peut-être même moins apprendra-t-il plus tard, a été violé par plusieurs rabbins et membres des autorités religieuses. Accompagné de la documentariste française Yolande Zauberman, qui a notamment travaillé auprès d’Amos Gitaï [le réalisateur israélien des films Kaddosh et Kippour, entre autres], il a accepté de revenir sur les lieux du crime, au cœur d’une ville divisée en clans et régie par une ségrégation des genres moyenâgeuse.
Suite de l’article :
Israël : crimes sexuels dans la communauté ultra-orthodoxe
Lien vidéo et commentaires :
https://www.youtube.com/watch?v=gEhfyLVI7SU
"M" : documentaire choc sur la pédophilie dans le milieu juif ultra-orthodoxe
"Grâce à Dieu", de François Ozon, sur le scandale pédophile dans le diocèse de Lyon vient de sortir, ainsi que "Les Chatouilles", sur la même perversion dans un milieu familial. Dans les salles depuis le 20 mars, "M" enquête sur un sujet semblable, dans le quartier ultra-orthodoxe de Bnei Brak, ville de la banlieue de Tel-Aviv : un terrible témoignage, doublé d’une rédemption.
Libérer la parole
Documentariste ("Paradise Now") autant que réalisatrice de fictions ("Moi Ivan, toi Abraham"), Yolande Zauberman a suivi pendant deux ans Menahem (M) dans sa ville natale de Bnei Brak, en Israël, à la recherche des prédateurs qui ont abusé de lui de 4 à 12 ans. Cette quête les a amenés à rencontrer nombre d’autres victimes, toutes de confession juive hassidique ultra-orthodoxe, comme la quasi-totalité des habitants de cette ville de la banlieue de la capitale d’Israël.
Yolande Zauberman a choisi de filmer son documentaire uniquement de nuit. Car la nuit ouvre à une vie autre, l’on y fait des rencontres spécifiques, et la parole s’y libère parfois plus que le jour. Déambulant en voiture de rue en rue, filmant des fêtes nocturnes rassemblant des membres de la communauté hassidique, Yolande Zauberman ne s’attendait pas à avoir une telle liberté de filmer dans ce milieu a priori très fermé. Comme dans cet étrange cimetière, lieu de rendez-vous, où elle recueille avec M la confession spontanée d’une victime qui devint elle-même prédatrice, une fois devenue adulte. La documentariste compile de la sorte nombre d’autres témoignages, tous semblables, comme si ces faits, réprimés par la loi comme partout dans le monde, étaient tacitement intégrés aux mœurs.
Cercle vicieux
Il ressort de cette parole presque dénuée de culpabilité l’impression d’une fatalité qui formerait un cercle vicieux. Le passage de victime à tortionnaire semble inéluctable. Mon bourreau n’a pas été inquiété par la loi, je peux donc le devenir moi-même, semblent-ils tous signifier. Le sujet reste tabou, mais est connu de tous.
Autre témoignage troublant dans le film, sur la sexualité mais en dehors de la pédophilie, celui de ce juif de 19 ans, marié dans deux jours, et qui ne conçoit pas d’homosexualité féminine, puisqu’"une femme n’a pas de sexe"…
Hallucinant dans ces déclarations, filmées avec une liberté étonnante, "M" retrace surtout le cheminement de Menahem vers sa rédemption. Par son témoignage, la recherche de ses bourreaux et surtout celle de son père, qui l’a banni de la maison familiale quand il a appris que son fils avait été violé, M va se libérer du traumatisme et des fantômes qui le hantent. Dans ce voyage au bout de la nuit, il va trouver la lumière de sa libération, ne lâchant pratiquement jamais son large sourire, comme confiant de l’aboutissement inéluctable de sa quête. Troublant dans l’investigation d’un univers totalement déconnecté du monde contemporain, à travers le récit d’un homme, "M" est comme l’exploration d’une autre planète.
Lien de l’article et vidéo :
Dénoncer la pédophilie et les échecs judiciaires en Israël
Les défaillances du système juridique israélien, notamment en matière de pédophilie, révèlent des problèmes de justice et de responsabilité profondément ancrés dans la société. Les délinquants exploitent la loi israélienne du retour pour échapper aux conséquences de leurs actes, et des affaires très médiatisées comme celle de Malka Leifer mettent en évidence les obstacles à l’extradition et à la loi. Malgré des réformes mineures, des mesures juridiques plus fortes et une coopération internationale sont nécessaires pour relever efficacement ces défis.
Exploitation criminelle de la loi sur la citoyenneté israélienne
De nombreux pédophiles américains accusés ont fui vers Israël, profitant de la loi du retour, qui accorde automatiquement la citoyenneté aux personnes juives et à leurs familles, avec un minimum d’obstacles. Bien que des vérifications des antécédents criminels existent, les délinquants peuvent contourner ces exigences de diverses manières, ce qui leur permet d’échapper à la justice (Walker, 2016).
Jewish Community Watch (JCW), une organisation américaine qui traque ces individus, s’efforce de les traduire en justice depuis 2014. Elle signale plus de 60 suspects fuyant les États-Unis vers Israël, bien qu’elle pense que le nombre réel est plus élevé en raison des ressources limitées (Lee, 2020).
Suite de l’article :
https://www.humanium.org/fr/denoncer-la-pedophilie-et-les-echecs-judiciaires-en-israel/
Fin de citation.
Mike Borowski GPTV
Scandale :
Ce que l’on vous cache sur l’énorme réseau pédo démantelé
Lien vidéo :
https://crowdbunker.com/v/2E4UPgRrfc
....... Pendant ce temps-là,
Les plus riches raffolent des abris anti-atomiques... Mais les experts affirment qu'ils ne servent à rien
Selon eux, ces bunkers ne seront d'aucune utilité en cas d'apocalypse nucléaire, malgré leur prix exorbitant.
Les forteresses pour ultra riches ont le vent en poupe. Mark Zuckerberg, le patron de Meta, en aurait truffé le sous-sol de sa propriété hawaïenne, et des entrepreneurs se sont lancés dans la course au bunker de luxe, censés satisfaire les plus fortunés des survivalistes. Des experts affirment cependant que ces abris ne seraient qu'un mécanisme de défense psychologique, permettant à leurs propriétaires de ressentir un contrôle sur notre monde de plus en plus imprévisible –même si ce contrôle est totalement illusoire.
Un rapport de l'Associated Press relayé par le site Futurism nous en dit plus sur ce secteur en plein essor. L'industrie du bunker valait 137 millions de dollars (131,8 millions d'euros) en 2023 et pourrait atteindre 175 millions de dollars (168, 3 millions d'euros) d'ici 2030, si on en croit les chiffres de BlueWeave Consulting. Mais ces constructions ne répondraient qu'aux angoisses des clients, sans réellement apporter de solutions aux réalités nucléaires.
« Les bunkers ne sont, en réalité, pas un outil pour survivre à une guerre nucléaire, mais un outil permettant à une population d'endurer psychologiquement la possibilité d'une guerre nucléaire», explique Alicia Sanders-Zakre, de la Campagne internationale pour l'abolition des armes nucléaires. Selon elle, les radiations qui suivent la détonation d'une bombe nucléaire sont telles que même ceux bien planqués sous le sol ne pourraient échapper aux effets sanitaires à long terme.
Vivant, mais tout seul sous terre (mais vivant)
Autrement dit, vous pouvez avoir des stocks pour quelques années, ça ne vous sauvera pas: certes, vous pourrez mourir de vieillesse (ou d'une crise cardiaque) tranquille dans votre bunker, mais c'est à peu près votre seule perspective d'avenir. À l'extérieur ne vous attendront que la pollution nucléaire, les famines, l'effondrement de la société –bref, la mort. « En fin de compte, explique Sanders-Zakre, la seule solution pour protéger les populations d'une guerre nucléaire est d'éliminer les armes nucléaires. »
Les promesses faites par les constructeurs de maisons souterraines pour survivalistes sont vaines, explique l'expert en non-prolifération Sam Lair. « Bien qu'il soit peut-être plus facile de survivre à un échange de tirs nucléaires que beaucoup ne le croient, je pense que les conséquences seraient également plus horribles que beaucoup ne l'imaginent, affirme le chercheur au James Martin Center for Non proliferation Studies. La déchirure fondamentale que cela causerait à notre mode de vie serait profonde. »
Lair rappelle qu'à une époque pas si lointaine, notamment pendant la Guerre froide, les politiques encourageaient la population à se construire de tels abris. Désormais, « les coûts politiques engendrés par le fait d'amener les gens à réfléchir à nouveau aux abris ne valent pas la peine ». Comprenez : le contexte est déjà bien assez anxiogène comme ça, pas la peine d'agiter en sus le risque d'une guerre nucléaire. Ces considérations ne semblent pas s'appliquer aux plus fortunés, bien décidés, eux, à survivre à l'apocalypse nucléaire.
Dans ce domaine, si les Américains font figure de précurseurs, la culture du bunker semble avoir dépassé les frontières des États-Unis. Le gouvernement suisse a investi des centaines de millions d'euros pour moderniser ces abris datant de la Guerre froide, et pour cause: chaque résident suisse est garanti d'y avoir une place réservée en cas de guerre nucléaire. Quant à ceux proposés aux ultra riches, leur prix est compris entre 500.000 et 10 millions de dollars (entre 462.000 et 9,24 millions d'euros)… Ça fait cher le tombeau.
Fin de citation.
Vidéo choc
Un détenu meurt sous les coups d’agents pénitentiaires : des vidéos dévoilent l’agression fatale
Un nouvel épisode tragique vient secouer le système pénitentiaire américain. Vendredi dernier, des vidéos glaçantes dévoilant les derniers instants de Robert Brooks, un détenu afro-américain de 43 ans, ont été rendues publiques. Les images, captées dans la prison de Marcy Correctional, située dans le nord de l’État de New York, mettent en lumière des actes de violence extrême perpétrés par des agents pénitentiaires.
Mise à jour le 28/12/24
Une agression brutale filmée mais sans son
Sur les vidéos, dépourvues de son, on distingue Robert Brooks, le visage ensanglanté, immobilisé sur un lit d’infirmerie par au moins six agents pénitentiaires. Alors qu’il est déjà menotté et visiblement blessé, plusieurs coups lui sont portés, et il est agrippé violemment par le cou à plusieurs reprises. Une scène choquante montre un agent le saisir par le col avant de le projeter brutalement contre un mur avec l’aide d’un collègue.
Ces enregistrements, réalisés par les caméras portatives des surveillants, laissent cependant des zones d’ombre. « Les caméras tournaient mais n’avaient pas été activées correctement, ce qui explique l’absence de son », a précisé Letitia James, procureure générale de l’État de New York, lors d’une conférence de presse.
Une mort par asphyxie
Incarcéré pour purger une peine de 12 ans pour violences, Robert Brooks est décédé quelques heures après l’agression, dans la nuit du 9 au 10 décembre. Selon l’autopsie préliminaire, sa mort a été causée par une « asphyxie due à une compression au cou ».
Les vidéos, bien qu’incomplètes, ont suscité une onde de choc auprès de l’opinion publique et de la famille de la victime. « Sa famille est dévastée par ce qu’elle a vu », a déclaré leur avocate, Elizabeth Mazur.
« Nous ne nous reposerons pas tant que nous n’aurons pas obtenu justice pour la mémoire de Robert et la sécurité des prisonniers du centre correctionnel de Marcy. », a déclaré la famille de Brooks.
Une réponse tardive mais ferme des autorités
Face à l’indignation croissante et aux révélations troublantes, la gouverneure démocrate de l’État de New York, Kathy Hochul, a pris des mesures rapides. Treize agents pénitentiaires ainsi qu’une infirmière impliquée dans l’incident ont été suspendus et font désormais l’objet de procédures de licenciement.
« Nous ne tolérerons jamais les abus, les violences inutiles ou les comportements contraires à la loi dans nos institutions », a-t-elle déclaré dans un communiqué officiel.
par Le Média en 4-4-2
Lien de l’article et vidéo :
Fin des partages.
Image du jour:
L'ESCROLOGIE EN ACTION
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Articles à suivre.
C. Rosenzwitt-Makiewsky-Santri