Plainte à la Cour de justice de la République contre le ministre de la Santé Aurélien Rousseau
Le professeur Perronne et Xavier Azalbert, directeur de la rédaction et de la publication de France-Soir ont déposé plainte à la CJR (Cour de justice de la République) contre le ministre de la Santé Aurélien Rousseau, à la suite de ses propos mensongers sur France-Inter selon lesquels il n’y aurait pas d’effets secondaires de la vaccination Covid-19. L'information a été rendue publique ce jour par un communiqué de l’association BonSens.org dont les deux plaignants sont administrateurs.
En effet, le 3 octobre, le ministre de la Santé, professeur d’histoire de formation, déclarait sur France-Inter
« Qu’il n’y a pas d’effets secondaires de la vaccination Covid-19 » en guise d’incitation pour lancer la nouvelle campagne de vaccination Covid-19.
La journaliste Léa Salamé qui l’interrogeait lui a posé la question suivante à la 20e seconde :
« On ne va pas forcer les gens à se faire vacciner (i.e contre la COVID-19) donc comment pouvez-vous convaincre les personnes qui nous écoutent ce matin d’aller tout à l’heure se faire vacciner ? »
France Inter
@franceinter
« Seuls 20% des plus de 60 ans éligibles à la nouvelle dose de vaccin anti-Covid avaient été vaccinés l’an passé. "On a un vaccin qui est plus efficace que celui de l’an dernier, il n’y a pas d’effets secondaires", assure le ministre de la Santé Aurélien Rousseau. »
A la question, le ministre de la Santé a répondu :
« Je leur dis, on a un vaccin qui est plus efficace que celui de l’an dernier, il correspond parfaitement aux souches, maintenant, on a trois ans de recul, on sait qu’on n’a pas d’effets secondaires et donc il faut y aller ! »
Le deux plaignants ont donc porté plainte contre le ministre de la Santé devant la CJR (Cour de justice de la république) pour tentative d’escroquerie au consentement à la vaccination contre la Covid-19.
En effet, ils considèrent que "cette affirmation s’avère fallacieuse" au regard des informations scientifiques disponibles dans de nombreux pays, et des documents officiels des autorités sanitaires française et européenne. Elle a entraîné de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux.
L’avocat des plaignants, Me Protat, joint ce jour, a déclaré : « En prétendant qu’il n’y a pas d’effets secondaires à la vaccination contre la Covid-19 alors que des centaines de milliers de cas sont répertoriés en France, dont 25% graves, le ministre de la Santé a employé des manœuvres frauduleuses. »
De plus, Me Protat, avocat de collectifs de victimes, qui connaît donc la réalité des chiffres sur les effets secondaires et les vies brisées, ajoute : « Si d’aventure, le ministre a réussi à convaincre des gens d’aller se faire vacciner, cela est très grave car le consentement de ces personnes aura été biaisé par les fausses informations données. »
Sur l’action intentée par le professeur Perronne et Xavier Azalbert, Me Protat explique : « Le but de cette action est de rétablir la vérité des chiffres pour que chacun puisse faire un choix éclairé conformément au droit au consentement libre et éclairé, et rétablir la dignité des victimes qui sont ici traitées comme si elles n’existaient pas du tout. »
Me Protat s’étonne que la journaliste Léa Salamé n’ait pas repris le ministre sur ses déclarations. « Il est de son devoir, pour un tel sujet d’intérêt général, de respecter pleinement la charte de Munich afin de donner un éclairage complet et impartial aux auditeurs. »
En août 2023, le Conseil d'Etat a validé la sanction de l’ARCOM (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) contre CNews pour une interview du professeur Perronne face au journaliste Ivan Rioufol, car ce dernier n’avait pas invité de contradicteur. La question se pose donc : pourquoi Léa Salamé a-t-elle laissé Aurélien Rousseau parler sans contradicteur et aussi sans rétablir les faits sur un sujet aussi important ?
Réponse au tribunal.
* modifié le 6/10/2023 à 17h15 : la journaliste qui a conduit l'interview est Léa Salamé et non Sonia Mabrouk. Avec nos excuses confraternelles auprès de Sonia Mabrouk.
Lien et commentaires:
"Le temps du jugement est proche pour tous ces criminels!"
http://echelledejacob.blogspot.com/2023/10/plainte-la-cour-de-justice-de-la.html
MàJ
Nouvelle dose de plainte pour le ministre de la Santé, Aurélien Rousseau, suite à ses propos mensongers
Le 6 octobre 2023, le professeur Perronne et Xavier Azalbert, directeur de la rédaction et de la publication de France-Soir déposaient plainte à la CJR (Cour de justice de la République) contre le ministre de la Santé Aurélien Rousseau, à la suite de ses propos mensongers sur France Inter le 3 octobre selon lesquels il n’y aurait pas d’effets secondaires de la vaccination Covid-19.
Dans un tweet daté du 8 octobre, le ministre de la Santé récidivait. Non seulement il confirmait ses propos, mais surtout, il commettait une fake news puisque ce n’est pas France-Soir qui l’attaque, mais Xavier Azalbert, directeur de la rédaction.
Aurélien Rousseau
@aur_rousseau
Le Pr. Perronne et France Soir m’attaquent devant la CJR. Le motif (si je comprends bien) : avoir dit que les vaccins à ARN messager contre le Covid sont sûrs et efficaces… Que dire ? sinon que les vaccins à ARNm sont sûrs, efficaces et essentiels pour protéger les + fragiles.
Choqués par les propos du ministre de la Santé, de nombreuses victimes d’effets secondaires de la vaccination et/ou représentants de collectifs de victimes, ou d’association, ont déposé ce 12 octobre une plainte à la CJR. BonSens avait proposé d'aider les parties qui voudraient porter plainte et elle annonce cette nouvelle plainte.
Les faits reprochés au ministre sont les mêmes que ceux de la plainte de Christian Perronne et Xavier Azalbert, à savoir l’infraction de tentative d’escroquerie au consentement à la vaccination par une personne dépositaire de l'autorité publique dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, faits prévus et réprimés par les articles 121-5, 313-1 et 313-2 du code Pénal.
Les plaignants considèrent que "l’affirmation s’avère fallacieuse" au regard des informations scientifiques disponibles dans de nombreux pays et des documents officiels des autorités sanitaires française et européenne. Me Protat avait d’ailleurs déclaré le 6 octobre à France-Soir. "En prétendant qu’il n’y a pas d’effets secondaires à la vaccination contre la Covid-19 alors que des centaines de milliers de cas sont répertoriés en France, dont 25 % graves, le ministre de la Santé a employé des manœuvres frauduleuses."
Le professeur Delfraissy, ancien président du Conseil scientifique, confirmait que le ministre Aurélien Rousseau "avait tort de dire qu’il n’y avait pas d’effets secondaires de la vaccination contre la COVID-19" ce 7 octobre dans C l'hebdo sur France 5.
A ces propos viennent s’ajouter les déclarations de l’ONIAM (Office national d'indemnisation des accidents médicaux) aux questions de la sénatrice LR Muller-Bronn à propos des effets secondaires – 91 victimes des effets secondaires de la vaccination auraient déjà été indemnisées. Un fait que ne peut ignorer le ministre de la Santé.
Laurence Muller-Bronn, sénatrice du Bas-Rhin
@MullerBronnL
#Sénat - Quels sont les effets secondaires du vaccin Covid indemnisés par l’Oniam à ce jour? Son Pdt m’a communiqué les chiffres suivants: 48% de péricardites et myocardites,11% de troubles neurologiques,9% d’AVC,8% de troubles articulaires et dermato. CQFD @aur_rousseau
Suite de l’article et vidéo :
http://echelledejacob.blogspot.com/2023/10/nouvelle-dose-de-plainte-pour-le.html
Hôtesse, victime des effets secondaires du vaccin et toujours en arrêt de travail
Par la voie de notre hôtesse, victime des effets secondaires #vaxcovid19 et toujours en arrêt de travail, les @navigantslibres s’associent pleinement à la plainte déposée ce jour à la CJR contre Aurélien Rousseau, Ministre de la Santé (1/2)
http://echelledejacob.blogspot.com/2023/10/hotesse-victime-des-effets-secondaires.html
Fin de citation
Les vaccins contre le covid-19 ne s’avèrent « ni sûrs, ni efficaces »
ZAPPING S40-2023
Lien vidéo:
« Pour les morts des injections ARNm, la justice se fera d'une manière ou d'une autre !!!!!!!!! »
https://crowdbunker.com/v/TipbbYe5VL
Les vaccins contre le COVID-19 ont été autorisés au Canada en 2020 et 2021 sans avoir été soumis aux tests de sécurité du pays, comme l’exige la réglementation établie sur les médicaments, a révélé un organisme de surveillance de la responsabilité.
Une enquête sur les vaccins COVID a révélé que ces vaccins n’étaient « ni sûrs ni efficaces », a déclaré l’organisation à but non lucratif National Citizens Inquiry (NCI) dans un message publié le 15 septembre sur X. L’organisation a publié un rapport jeudi détaillant le mécanisme défectueux par lequel les vaccins ont été « approuvés » au Canada.
« Il est important de comprendre que les vaccins contre le COVID-19 n’ont jamais été approuvés dans le cadre du processus traditionnel d’approbation des médicaments au Canada », indique le rapport (pdf). Au contraire, Santé Canada, l’agence fédérale responsable de la politique nationale de santé, a approuvé les vaccins par le biais d’une procédure d’autorisation alternative – une ordonnance provisoire.
« Dans le cadre de la procédure d’autorisation alternative, la nécessité d’établir la sécurité et l’efficacité des vaccins contre le COVID-19 de manière objective semble avoir été mise de côté. »
Le règlement canadien sur les aliments et drogues stipule qu’un médicament ne peut être approuvé dans le pays qu’après que sa sécurité et son efficacité ont été démontrées au ministre de la santé. Le ministre examine ensuite si les avantages l’emportent sur les risques, après quoi l’autorisation est accordée.
Au lieu de suivre la réglementation, le ministre de la Santé a sanctionné un arrêté provisoire le 16 septembre 2021, qui a exempté tous les vaccins contre le COVID-19 de l’examen et de l’approbation normaux. Cette disposition permet généralement au ministre d’ignorer les réglementations normales en cas de « risque important » pour la santé, la sécurité ou l’environnement.
Au Canada, quatre vaccins contre le COVID-19 ont été autorisés par l’agence de santé dans le cadre d’un arrêté provisoire : Pfizer-BioNTech, Moderna, Janssen et AstraZeneca.
Le rapport note qu’en vertu de l’ordonnance, les vaccins sont autorisés selon un « test subjectif ». Dans cette situation, l’autorisation est accordée en prouvant simplement que les avantages de la vaccination l’emportent sur les risques.
« Il ne peut s’agir d’une norme appropriée pour approuver un médicament que le gouvernement a l’intention d’administrer à l’ensemble de la population. Il est difficile de concevoir un test moins scientifique pour l’autorisation d’un médicament que celui trouvé dans l’ordonnance provisoire ».
Un enfant reçoit une dose du vaccin contre le COVID-19 de Pfizer BioNTech au centre gouvernemental du comté de Fairfax à Annandale, en Virginie, le 4 novembre 2021. (Chip Somodevilla/Getty Images)
En outre, l’ordonnance garantit que les vaccins autorisés ne pourront pas être révoqués, même s’il est prouvé qu’ils sont dangereux et inefficaces. Une fois qu’une ordonnance provisoire est émise, les règlements habituels sur les aliments et les médicaments ne s’appliquent pas.
L’ordonnance a donc exempté les fabricants de l’obligation de fournir des « preuves objectives de l’innocuité et de l’efficacité » de leurs vaccins contre le COVID-19.
En conséquence, alors que les médecins-chefs de tout le pays ont assuré à plusieurs reprises aux Canadiens que les vaccins contre le COVID-19 étaient « sûrs et efficaces », la population canadienne en général n’a pas compris que leur processus d’autorisation n’avait pas exigé de preuve objective de l’innocuité ou de l’efficacité de ces vaccins.
« Pas sûr pour un usage humain »
Le rapport du NCI a été soutenu par le Dr Peter A. McCullough, cardiologue. « Excellent travail @Inquiry_Canada avec un témoignage exhaustif et un examen des preuves. Conclusion : tous les vaccins contre le COVID-19 ne sont pas sûrs pour l’utilisation humaine et doivent être retirés du marché canadien immédiatement pour protéger le public », a-t-il écrit dans un message publié le 16 septembre sur X.
Dallas, TX-Peter McCullough, cardiologue, s’exprime lors de la Conférence d’action politique conservatrice à Dallas au Hilton Anatole le 5 août 2022. (Bobby Sanchez pour The Epoch Times)
Le Dr McCullough a récemment demandé aux législateurs européens de retirer les vaccins contre le COVID-19 du marché en raison des inquiétudes suscitées par des maladies telles que l’inflammation cardiaque, les caillots sanguins et les maladies neurologiques.
« Les vaccins contre le COVID-19 et tous leurs descendants et futurs rappels ne sont pas sûrs pour l’utilisation humaine. Je vous implore, en tant qu’organe directeur de l’Agence européenne des médicaments (EMA), d’exercer toute la pression nécessaire et de retirer d’urgence les vaccins contre le COVID-19 du marché », a déclaré le Dr McCullough lors de son témoignage du 13 septembre devant le Parlement européen.
Le rapport du NCI intervient alors que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a approuvé le 11 septembre les nouveaux vaccins anti COVID pour les enfants âgés de six mois.
« La vaccination reste essentielle pour la santé publique et la protection continue contre les conséquences graves du COVID-19, y compris l’hospitalisation et le décès », a déclaré le Dr Peter Marks, un haut responsable de la FDA, dans un communiqué.
Toutefois, de nombreux experts s’interrogent sur l’intérêt de nouveaux vaccins. Au début du mois, le Dr Joseph Ladapo, chirurgien général de Floride, a critiqué la mise à jour des vaccins.
« Nous savons tous qu’un nouveau vaccin est sur le point d’arriver, [un] nouveau vaccin contre le COVID-19 à ARNm. Et il n’y a pratiquement aucune preuve à l’appui », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse.
« Il n’y a pas eu d’essai clinique sur des êtres humains montrant qu’il est bénéfique pour les gens, ni d’essai clinique montrant qu’il s’agit d’un produit sûr pour les gens. Et ce n’est pas tout, il y a aussi beaucoup de signaux d’alarme.
M. Ladapo a déclaré que les vaccins contre l’ARNm COVID-19 ont « causé des lésions cardiaques chez de nombreuses personnes. »
Pas vraiment « provisoire »
L’ordonnance provisoire du Canada concernant les vaccins contre le COVID-19 « est devenue permanente », selon le rapport du NCI (pdf). Une ordonnance provisoire ne dure généralement qu’un an. En mars 2022, l’arrêté a été remplacé par une réglementation permanente qui codifie l' » autorisation subjective » du vaccin.
« Ainsi, en vertu du test permanent, Santé Canada ne doit plus être influencé par l’urgence, mais simplement par le besoin de santé publique lié au COVID-19. De cette façon, il semble que tant que le COVID-19 est un virus en circulation, Santé Canada doit autoriser tout vaccin pour lequel il existe un argument permettant de conclure que ses avantages l’emportent sur ses risques «, indique le rapport.
« En effet, nous craignons qu’il ne soit jamais nécessaire pour les fabricants de vaccins contre le COVID-19 de prouver [la] sécurité ou l’efficacité de leurs produits. »
Le NCI a également allégué qu’il y avait un « conflit d’intérêts » lors de l’approbation des vaccins contre le COVID-19, le gouvernement étant impliqué.
Epoch Times a contacté Santé Canada pour obtenir des commentaires.
Intérêts politiques, lettre à Trudeau
Le Canada n’autorise généralement pas l’importation de médicaments dans le pays sans l’approbation de Santé Canada. Toutefois, l’ordonnance provisoire a permis l’importation des vaccins COVID-19 non approuvés « tant que le gouvernement canadien était l’acheteur », indique le rapport.
Ce préachat et cette distribution des vaccins COVID ont été effectués pour s’assurer que les vaccins seraient disponibles pour la diffusion dès qu’ils seraient autorisés. « Cela a créé un énorme conflit d’intérêts.
« Une fois les vaccins achetés, importés et prêts à être distribués, le gouvernement du Canada aurait subi d’importantes répercussions politiques s’il n’avait pas été en mesure de les autoriser. Il fallait donc autoriser les vaccins contre le COVID-19, et il fallait le faire rapidement. »
L’administration « a commandé les vaccins, les a importés, a créé de nouvelles réglementations pour les autoriser, puis a pris des mesures importantes pour convaincre et contraindre chaque Canadien à prendre des doses multiples. Les enjeux politiques étaient élevés et le gouvernement fédéral avait toutes les raisons de faire autoriser les vaccins, indépendamment de leur efficacité ou de leur innocuité réelles ».
Le 14 septembre, le NCI a envoyé une lettre (pdf) au Premier ministre canadien Justin Trudeau, soulignant la question de l’autorisation du vaccin contre le COVID-19.
« Les Canadiens s’appuient sur des représentations quant à l’innocuité et à l’efficacité des vaccins contre le COVID-19 », que Santé Canada n’a jamais déterminées, indique la lettre. « D’aucuns pourraient en conclure que la présentation erronée aux Canadiens d’une sécurité avérée est intentionnelle, qu’elle a été faite en sachant qu’elle était fausse et dans l’intention qu’on s’y fie. »
« Le bon sens veut que la fausseté objective de l’allégation d’innocuité avérée remette en question la base du consentement éclairé à l’administration des injections, ce qui pourrait entraîner d’énormes responsabilités.
Dans le contexte actuel, l’organisation souligne que l’immunité de la population a augmenté et que les dernières variantes sont « plus douces ».
« Face à l’intention déclarée de votre gouvernement de promouvoir les injections de rappel dans les mois à venir, il est urgent de dire la vérité aux Canadiens et de prendre des mesures correctives. »
Le NCI a demandé au premier ministre de retirer les vaccins contre le COVID-19 « jusqu’à ce que l’évaluation rigoureuse normale puisse être achevée » et de rétablir le test objectif traditionnel de sécurité.
Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale
http://echelledejacob.blogspot.com/2023/09/les-vaccins-contre-le-covid-19-saverent.html
Sylvestre et les vaccins - Les Guignols
Lien vidéo 266 commentaires :
https://www.youtube.com/watch?v=pL5_p-tnA-g
Fin de l’article.
C. Rosenzwitt-Makiewsky-Santri
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