Va te faire foutre, Israël, et tous tes partisans : les Etats-Unis, l'Allemagne et la France
Impact@ImpactMediaFR
🚨🇺🇸🇮🇱🇵🇸🇫🇷🇩🇪
"Va te faire foutre, Israël, et la France"
Marcia Cross, alias Bree Van de Kamp dans la série Desperate Housewives, FUSTIGE Israël et plusieurs gouvernements en DÉNONÇANT le GÉNOCIDE en cours en Palestine :
« Il est temps de maudire ces actions, puisque rien n’est fait. Personne ne se lève. Le monde est une monstruosité. Les pires humains sont aux commandes.
Va te faire foutre, Israël, et tous tes partisans : États-Unis, Allemagne, France. Vous êtes la bile de l’univers, la pourriture au cœur de tout ce qui est décent.
Tout humain qui pense être meilleur qu’un autre est une âme perdue. »
https://x.com/ImpactMediaFR/status/1958012290243924017
Le coup de gueule de Marcia Cross,
ex-Desperate Housewife
"Va te faire foutre Israël et tes partisans (USA, France), vous êtes le poison de l'univers" :
De Wisteria Lane à Gaza. Marcia Cross, ex-Desperate Housewives, est en rage contre la situation palestinienne qui s'enlise. Et l'actrice activiste de 63 ans le fait savoir sur ses réseaux sociaux dont X.
Pierre-Yves Paque
Publié le 25-08-2025 à 16h32
Connue pour son rôle de Bree Van de Kamp dans la célèbre série américaine culte des années 2000, l'actrice activiste de 63 ans fustige les grandes puissances mondiales et leur silence face à la guerre entre l'État Hébreu et le Hamas dans la bande de Gaza.
Et le moins qu'on puisse écrire est que l'ex-Desperate Housewives ne mâche pas ses mots sur X et dénonce les pays qui ferment les yeux sur la situation en Palestine. "Il est temps de maudire ces actions, puisque rien n'est fait. Personne ne se lève. Le monde est une monstruosité. Les pires humains sont aux commandes. Va te faire foutre, Israël, et tous tes partisans : États-Unis, Allemagne, France. Vous êtes le poison de l'univers, la pourriture au cœur de tout ce qui est décent. Tout homme qui se pense meilleur que les autres est une âme perdue !"
"Les pires humains sont aux commandes"
Cette guerre qui s'enlise à Gaza, Marcia Cross la qualifie même de "génocide". L'actrice relaie depuis plusieurs mois les nombreux appels à un cessez-le-feu et autres atrocités sévissant en Palestine. Elle en profite aussi, par la même occasion à dénoncer aussi le silence de la communauté internationale face aux actions menées par le gouvernement Netanyahou. "J'ai du mal à comprendre comment vivre parmi des gens dont les yeux ne s'humidifient pas, dont les cœurs ne tressaillent pas et dont les voix restent silencieuses", écrivait-elle récemment sur Twitter afin, une nouvelle fois, d'interpeller les politiques. "Il n'existe pas de mots pour décrire l'horreur qui a été et qui est encore déchaînée. Et ce silence me donne l'impression d'être sourde."
Maurice Rajsfus :
Juif pendant l’Occupation, anti-police à la Libération et antisioniste jusqu’à sa mort
De la rafle du Vel d’Hiv à l’Antisionisme
Lors de la rafle du Vel'd'Hiv', la famille Rajsfus a été arrêtée par un voisin policier. Grâce à la vivacité d'esprit de leurs parents et à une bienheureuse erreur administrative, Maurice, 14 ans, et sa sœur, 16 ans, ont été libérés. Depuis, et cela jusqu'à sa mort en 2020, Maurice Rajsfus a milité (sans aucune étiquette, même anarchiste) contre les discriminations (quelles qu'en soient les victimes).
Mise à jour le 26/08/25
Quand j’étais juif
Lors de la rafle du Vel d’Hiv’ le 16 juillet 1942, Maurice Rajsfus, 14 ans, voit disparaître à jamais ses parents arrêtés par la police française pour être déportés à Auschwitz. Il en réchappe par un miracle administratif. Nouveau miracle : il est sauvé d’une nouvelle arrestation par des joailliers arméniens fournisseurs de la Gestapo désireux d’avoir un « bon juif » qui puisse témoigner en leur faveur (on ne sait jamais…).
La France n’avait pas attendu l’Occupation pour ouvrir des camps sur son territoire. Déjà, en 1936 les républicains espagnols avaient été regroupés au camp de Gurs. En 1938 les Allemands juifs, communistes, tous ceux qui fuyaient Hitler, se sont retrouvés parqués dans des camps d’internement à Colombes, Montargis, Audierne (Finistère), aux Mille (Aix-en-Provence), dans des conditions de vie inhumaines. La police française les confiera ensuite à la Gestapo.
Deux évadés ont raconté leur périple : Lion Feuchtwanger, dans Le Diable en France, et Soma Morgenstern dans Errance en France. Tous deux ont été sauvés par Varian Fry en 1940 à Marseille.
À lire aussi : Varian Fry, cet Américain tranquille qui a sauvé des milliers de vies en 1940-1941
Je n’aime pas la police de mon pays
Le traumatisme vécu à 14 ans lorsque ses parents ont été raflés par la police française l’a marqué à vie. Il ne s’agit pas seulement d’une réaction personnelle, mais de l’origine d’une réflexion sur le rôle intrinsèque de cette institution.
« Dans un pays où la police parle bien plus de ses droits que de ses devoirs, quel espace de liberté peut bien subsister pour les citoyens ? Ces droits revendiqués par les policiers ne peuvent que signifier, parallèlement, le renoncement à la critique quant à la qualité de leurs activités. Lorsque la parole du policier ne peut être réfutée, c’est toute la liberté d’expression qui se trouve mise en cause. »
Je n’aime pas la police de mon pays, page 54
Je serais zébré, s’il le fallait, avec tous les opprimés
À la Libération, Maurice Rajsfus fait un passage au PCF, fréquente des trotskistes et, de bar en bar, des surréalistes. Il fait des petits boulots, devient journaliste chez Cino Del Duca, mais il part ou est viré. Sa seule certitude est qu’il ne porte ni l’armée ni la police dans son cœur. En cela il a beaucoup de points communs avec son aîné Alphonse Boudard, mais pas plus que le redresseur de torts Bibi Fricotin n’en avait avec les Pieds Nickelés, les rois de l’arnaque. Pas plus, mais pas moins. Sa rencontre avec Aimé Césaire lui ouvre enfin les yeux sur les fondements de sa propre histoire : la discrimination. La guerre d’Algérie lui rappelle ce qu’il a vécu adolescent. Il ne milite pas à droite mais plutôt à gauche.
« Aujourd’hui, je suis juif avec les victimes des ghettos mais je suis également Arabe avec les Palestiniens de Cisjordanie […] Je serais zébré, s’il le fallait, avec tous les opprimés mais, de grâce, sans doctrine justificatrice préliminaire. »
Quand j’étais juif, page 48.
Parcours d’un juif anti-sioniste
Le père de Maurice Rajsfus avait fui la Pologne et ses pogroms et tenté de s’installer en Palestine. Le contexte historique de cette époque permet de comprendre la situation actuelle.
« Tous les sionistes, même les tenants du socialisme les plus orthodoxes acceptent que les achats de terre effectués en Palestine, avec la complicité des effendis turcs, soient réalisés avec l’argent de la haute finance (certes, les collectes populaires sont un appoint qui n’est pas négligeable mais ce n’est souvent qu’un alibi). Mais qui vend les terres ? Les Bédouins, les paysans pauvres qui végètent sur les terrains souvent incultes ? Rarement, car la terre, même ingrate, est nécessaire pour faire paître les troupeaux. Ce sont les effendis, représentants de la puissance turques, qui chassent les fellahs de leurs terres et encaissent l’argent qui vient de New-York, Londres, Paris ou Amsterdam. Ainsi naîtra peut-être un socialisme factice mais plus sûrement encore la haine des Palestiniens pour les Juifs, haine soigneusement entretenue, plus tard, sous le protectorat britannique. Mon père me racontera souvent que le collectif dont il faisait partie entretenait les meilleures relations avec les paysans arabes du secteur et à cette époque, la plupart des Juifs qui s’établissaient en Palestine parlaient couramment l’Arabe, ce qui ne manquait pas de faciliter les rapports. »
Quand j’étais juif, page 122.
Ne vous laissez pas tromper par les apparences, l’homme qui est interviewé a beau avoir les cheveux blancs, son cœur a toujours 14 ans.
Son étude sur l’ancêtre du CRIF, l’UGIF, Des Juifs dans la collaboration. L’UGIF (1941-1944) (1980) a été diversement appréciée, mais peut-on s’en étonner ? La collection Que Sais-Je ? des PUF a pourtant fait appel à lui pour La Rafle du Vel’ d’Hiv’ (2002).
A 64 ans, n’ayant que le certificat d’études puisqu’il avait dû quitter le collège à 14 ans, Maurice Rajsfus a soutenu une thèse de doctorat en sociologie sur « la manipulation de la mémoire ». Ses livres sont disponibles aux éditions du Détour ou d’occasion.
Par Jacqueline
L'ancien ministre australien des affaires étrangères, M. Carr, s'exprime
sur le lobby juif ...
https://crowdbunker.com/v/ATPM8SwxaH
AP, Reuters, NBC, Al Jazeera sous le choc : leurs reporters assassinés dans une frappe israélienne
L’hôpital Nasser a été frappé : 15 morts, dont des reporters d’Al Jazeera, Reuters, AP et NBC. Israël continue de viser civils, médecins et désormais journalistes. L’impunité règne.
Mise à jour le 25/08/25
Encore un massacre, encore une impunité. La Défense civile de Gaza a confirmé à l’AFP que quinze personnes, dont cinq journalistes, ont été tuées lors de frappes israéliennes visant l’hôpital Nasser, dans le sud du territoire. Parmi eux, des reporters travaillant pour de grands médias internationaux, preuve que désormais personne n’est épargné : ni les enfants, ni les femmes, ni les vieillards, ni même les journalistes censés témoigner de ces crimes.
Des journalistes ciblés en plein travail
Selon plusieurs sources, les victimes se trouvaient sur le toit de l’hôpital au moment où un drone israélien a tiré sur les étages supérieurs du bâtiment. Alors que les secouristes tentaient de venir en aide aux blessés, une seconde frappe a suivi. Une méthode désormais tristement familière : bombarder, attendre l’arrivée des secours, puis frapper de nouveau pour maximiser les pertes.
Le bilan est lourd : quinze morts, dont cinq journalistes.
- Mohammad Salama, correspondant pour Al Jazeera, dont la mort a été confirmée par la chaîne qatarie.
- Houssam el-Masri, photojournaliste collaborant avec l’agence Reuters.
- Mariam Abou Daqa, journaliste travaillant pour plusieurs médias, notamment Associated Press et The Independent Arabic.
- Moaz Abu Taha, collaborateur de NBC.
- Ahmed Abu Aziz, qui travaillait pour le réseau Quds Feed et d’autres médias
Les réactions n’ont pas tardé. Reuters s’est déclaré « dévasté », tandis qu’Associated Press s’est dit « choquée » par la mort de ses pigistes. Mais au-delà des mots, aucune sanction internationale ne tombe.
La mécanique de l’impunité israélienne
Ce n’est pas la première fois que des journalistes sont pris pour cibles. Trois semaines auparavant, quatre autres reporters et deux pigistes d’Al Jazeera avaient déjà été tués dans une frappe israélienne. À chaque fois, les condamnations verbales fusent, mais aucune mesure concrète n’est prise. Israël continue de bombarder en toute tranquillité, couvert par ses alliés occidentaux.
Et quand les critiques s’élèvent, la réponse est toujours la même : sortir l’accusation d’« antisémitisme », brandie comme un bouclier magique pour faire taire toute remise en cause. Mais que vaut cet argument face à l’interminable liste des victimes ? Enfants mutilés, femmes ensevelies, vieillards réduits en poussière, prêtres abattus, journalistes ciblés… Gaza n’est plus qu’un cimetière à ciel ouvert.
Jusqu’à quand ?
La mort de Mohammad Salama, Houssam el-Masri, Mariam Abou Daqa, Moaz Abu Taha et Ahmed Abu Aziz s’ajoute à une longue série d’assassinats qui visent à éteindre les témoins, à effacer les preuves, à faire taire les voix qui racontent la vérité. Mais leur sang vient grossir un dossier accablant : celui d’un État qui bombarde hôpitaux, écoles, immeubles, et désormais jusqu’aux reporters qui travaillent pour ses propres alliés occidentaux.
Et le monde regarde. Et le monde se tait.
Rock en Seine maintient
Kneecap malgré la pression du CRIF et la perte de 500 000 € de subvention
Rock en Seine 2025 a maintenu le groupe irlandais Kneecap dans sa programmation malgré les pressions du CRIF et la perte de 500 000 € de subvention de la Région Île-de-France. Leur concert est devenu un acte de résistance où le cri « Free Palestine » a résonné face aux tentatives de censure.
Mise à jour le 25/08/25
Dans un monde où certains festivals se plient plus vite que des chaises de camping face aux pressions politiques, Rock en Seine 2025 a décidé de jouer les rebelles en maintenant le trio irlandais Kneecap dans sa programmation, malgré les pleurnicheries outrées du CRIF et autres lobbies pro-israéliens. On se souvient des mots de l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin à l’adresse du Conseil représentatif des institutions juives de France :
« Vous n’êtes pas une institution d’État ! Vous étouffez la liberté d’expression et divisez le pays. ».
Ces gardiens autoproclamés de la morale, toujours prompts à brandir l’accusation d’antisémitisme comme une baguette magique, ont tenté – sans succès – de faire taire un groupe qui ose parler du génocide en cours à Gaza, retransmis en direct sur nos écrans. Ce choix audacieux, rarissime dans le paysage culturel, a transformé le concert de Kneecap le 24 août 2025 en un acte de résistance face à ceux qui préfèrent fermer les yeux sur les massacres pour mieux protéger leurs agendas.
Kneecap : Le Rap Irlandais qui Dérange les Bien-Pensants
Kneecap, ce trio de Belfast composé de Mo Chara, Móglaí Bap et DJ Próvaí, n’a pas sa langue dans sa poche. Avec leurs textes en gaélique et en anglais, ils balancent des uppercuts verbaux contre l’injustice, l’oppression et, oui, l’occupation israélienne en Palestine. Leur crime ? Oser chanter « Free Palestine », brandir des drapeaux palestiniens et, horreur suprême, critiquer ouvertement un État qui bombarde des civils en temps réel. Évidemment, ça n’a pas plu au CRIF, qui a dégainé son refrain habituel : « Haine ! Terrorisme ! Antisémitisme ! » comme si dénoncer un génocide était un crime de lèse-majesté. À croire que pour ces lobbies, la liberté d’expression s’arrête là où commence leur inconfort.
Le groupe, programmé pour le 24 août sur la Scène Horizons du festival au Domaine national de Saint-Cloud, a été annoncé aux côtés de comme Queens of the Stone Age et Justice. Mais c’est Kneecap qui a déclenché l’hystérie collective des censeurs autoproclamés, toujours prêts à étouffer toute critique d’Israël sous prétexte de « sécurité » ou de « cohésion sociale ». Pathétique.
Le CRIF et ses Alliés : Une Machine à Faire Taire
Le CRIF, fidèle à sa réputation de lobby qui ne recule devant rien, a orchestré une campagne bien rodée pour faire déprogrammer Kneecap. Avec leurs amis politiques, ils ont mis la pression sur les organisateurs, menaçant de couper les vivres. Résultat ? La ville de Saint-Cloud a retiré sa subvention de 40 000 euros, et la Région Île-de-France, dirigée par Valérie Pécresse, a sabré 500 000 euros d’aide publique, invoquant l’argument usé jusqu’à la corde de l’ »apologie du terrorisme ». Parce que, bien sûr, chanter pour la liberté d’un peuple opprimé est plus dangereux que les bombes qui pleuvent sur Gaza. Bravo pour la cohérence.
Lambdactu🔻@Lambdactu
🇫🇷🇮🇪🇵🇸- Suite au maintien du groupe irlandais Kneecap à Rock en Seine, malgré l'ordre du CRIF de le déprogrammer à cause de son soutien à la Palestine, la région Île-de-France, présidée par Valérie Pécresse, retire ses 500 000€ de subvention au festival.
https://x.com/Lambdactu/status/1958887477265010745
Lambdactu🔻@Lambdactu
🇫🇷🇮🇱🇵🇸- Après avoir tenté de censurer des livres, des expositions de musée et tout un tas d’autres choses, parfois avec succès, le #CRIF demande la déprogrammation du groupe irlandais Kneecap à Rock en Seine.
- En cause : leur critique d’Israël et leur soutien à la Palestine.
Lambdactu🔻@Lambdactu
🇫🇷🇮🇱- En France, le CRIF, c’est notamment :
- La tentative de censurer des livres sur la Palestine.
- Des affiches posées à côté d’expositions qui leur déplaisent dans des musées.
- Un censeur de confiance pour l’ARCOM.
- La tentative d’interdire des mots tels que "Free Palestine".
- L’achat et la corruption de députés et de politiciens en tout genre.
- La remise en cause de la CPI et des instances internationales.
- Des pressions et des demandes d’enquête sur des citoyens français qui ne vont pas dans leur sens. Un État et des entreprises qui sanctionnent des Français sur demande.
- Entre autres…
https://x.com/Lambdactu/status/1955740936501109053
Lambdactu🔻@Lambdactu
🇫🇷🇮🇱- À quand une séparation du CRIF et de l'État, ainsi qu'une commission d'enquête sur l'entrisme sioniste en France ?
https://x.com/Lambdactu/status/1949535151794315333
Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, a même enfoncé le clou en promettant de poursuivre tout « dérapage », comme si un concert était une menace à l’ordre public. Pendant ce temps, les images d’enfants déchiquetés à Gaza continuent de défiler, mais ça, visiblement, c’est moins urgent pour nos amis du CRIF. Leur priorité ? Faire taire un groupe de rappeurs irlandais qui refuse de jouer les moutons. On applaudit l’audace.
Le Concert : Une Claque aux Censeurs
Le 24 août 2025, Kneecap est monté sur scène sous haute tension. Des manifestants sionistes, armés de drapeaux et de sifflets, ont tenté de gâcher la fête, mais le trio n’a pas tremblé.[31][32] « Nous ne sommes pas comme eux. Nous ne sommes pas comme Israël. Nous sommes ici pour l’amour, pour la Palestine », ont-ils déclaré, avant d’enchaîner sur un « Free Palestine » retentissant qui a fait vibrer le public. Une claque magistrale à ceux qui pensaient pouvoir les réduire au silence.
Marcel@realmarcel1
Grosse ambiance au concert de Kneecap à Rock en Seine où des chants pour la Palestine répondent aux quelques militants pro-israéliens qui ont tenté de perturber le concert
https://x.com/realmarcel1/status/1959664361678491871
Matthieu Ducos, directeur de Rock en Seine, a tenu bon face à ce déluge de pressions, déclarant que la programmation de Kneecap relevait de choix artistiques et non d’un agenda politique. Un discours qui tranche avec la lâcheté de tant d’autres festivals, qui préfèrent annuler des artistes pour éviter les foudres des lobbies. Rock en Seine, porté par Matthieu Pigasse et AEG, a prouvé que la culture peut encore être un espace de liberté. Rappel : En juillet 2025, Matthieu Pigasse dénonçait l’interdiction préfectorale du concert du rappeur Freeze Corleone, régulièrement accusé d’antisémitisme et d’homophobie.
Une Exception qui Dérange
Dans un monde où les Coachella et autres mastodontes culturels plient face aux menaces financières ou aux campagnes de diffamation, Rock en Seine 2025 fait figure d’ovni. En résistant aux intimidations du CRIF et consorts, le festival a non seulement donné une tribune à Kneecap, mais aussi exposé l’hypocrisie de ceux qui crient au scandale face à des paroles engagées tout en ignorant le carnage à Gaza. Parce qu’apparemment, dénoncer un génocide est plus choquant que le génocide lui-même. Logique.
Rock en Seine 2025 restera dans les annales comme un rare moment où la musique a tenu tête aux censeurs. Espérons que d’autres festivals prennent des notes, au lieu de se prosterner devant les lobbies qui veulent dicter ce qu’on peut dire, chanter ou penser.
Fin des articles.
C. Rosenzwitt-Makiewsky-Santri
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire