Brigitte bientôt démasquée ?
La réalité finira par vous rattraper, et elle sera difficile à accepter.
« Tout cela n’a été qu’une préparation mentale. Le formatage est en marche … Brigitte va passer pour une victime des méchants transphobes et tout le monde va oublier à qui on a à faire réellement … »
« Ce n’est qu’une question de temps avant que toute la vérité ne soit étalée. »
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Candace Owens :
C’est la seule manière de prouver la vérité, un test ADN
« Nous allons exiger que Brigitte soit examinée par un médecin indépendant... Nous allons demander son dossier médical ! »
"Nous allons exiger…" : Candace Owens réclame des examens médicaux intimes à Brigitte Macron
Par Yvan Styve - Publié le 25 Sep 2025
Brigitte Macron est une fois de plus confrontée aux accusations répétées de Candace Owens qui exige désormais des examens médicaux intimes controversés.
Les attaques personnelles contre les figures publiques atteignent parfois des sommets inédits. Effectivement, les réseaux sociaux amplifient désormais les polémiques les plus sensationnelles. Dans ce contexte troublant, Brigitte Macron se retrouve au cœur d'une tempête médiatique particulièrement virulente. Par ailleurs, l'influenceuse américaine Candace Owens multiplie les provocations à son encontre. Cette escalade judiciaire transatlantique révèle néanmoins les dérives contemporaines de la désinformation organisée. Désormais, l'affaire prend une tournure judiciaire qui interroge sur les limites de la liberté d'expression.
Candace Owens enflamme les réseaux avec ses accusations explosives contre Brigitte Macron
Il y a plusieurs mois, une rumeur incendiaire a embrasé la toile mondiale. Effectivement, Candace Owens, polémiste américaine influente et proche de Donald Trump, a publié une vidéo dévastatrice. Sur sa chaîne YouTube, comptabilisant plus de quatre millions d'abonnés fidèles, elle a affirmé que Brigitte Macron serait née homme. Selon ses dires controversés, la Première dame française porterait initialement le prénom Jean-Michel Trogneux.
Par conséquent, cette information non vérifiée a rapidement enflammé les réseaux sociaux internationaux. D'ailleurs, certains internautes malveillants ont falsifié des documents officiels concernant les avis d'imposition de Brigitte Macron. Face à cette campagne de diffamation orchestrée, la Première dame a riposté juridiquement avec fermeté. Elle a déposé une plainte comportant plus de vingt-deux chefs d'accusation précis contre l'influenceuse américaine. Néanmoins, Candace Owens a répondu avec une agressivité déconcertante dans une nouvelle vidéo provocante. "Tu es né homme et tu mourras homme", a-t-elle déclaré sans ambages, selon ses propres termes. Puis, elle a enchaîné avec virulence : "Je pense que tu es malade. Je te trouve dégoûtant absolument". Cette escalade verbale annonce effectivement un affrontement judiciaire sans précédent.
Brigitte Macron sommée de subir des examens médicaux intimes par son accusatrice américaine
Désormais, Candace Owens franchit un nouveau palier dans cette guerre médiatique implacable. Dans une déclaration récente au Daily Mail britannique, elle révèle ses intentions les plus intrusives.
L'influenceuse américaine souhaite contraindre Brigitte Macron à subir un examen médical intime complet. "Nous allons exiger que Brigitte soit examinée par un médecin indépendant rigoureux", a-t-elle annoncé catégoriquement.
Par ailleurs, elle entend réclamer l'intégralité du dossier médical de la Première dame française. Cette demande choquante intervient dans le cadre du procès en diffamation intenté devant un tribunal du Delaware.
Cependant, les avocats de Brigitte Macron dénoncent ces manœuvres comme une "distraction" particulièrement nuisible. Ils affirment que leurs clients démontreront "de manière générale et spécifique" la fausseté de ces accusations malveillantes. Néanmoins, si la procédure judiciaire progresse favorablement à Candace Owens, elle assignera effectivement les dossiers médicaux complets.
Cette escalade diplomatique choque profondément les cercles officiels français par son caractère particulièrement intrusif. Toutefois, les Macron comptent sur des preuves tangibles, notamment photographiques, pour neutraliser définitivement cette campagne diffamatoire. Cette bataille judiciaire transatlantique révèle par conséquent les nouveaux défis de la vie politique contemporaine.
Intervention de Morad El Hattab dans l'affaire Brigitte Macron-Jean-Michel Trogneux
Preuves irréfutables contre Brigitte Macron alias Jean-Michel Trogneux
Lien vidéo 12 commentaires :
« Les preuves émergent, le mensonge se fissure de toutes parts. »
« Très sensé comme toujours M Hattab ! »
« Bravo Mr tout est dit »
« Tout est faux chez les Macrons et tous les français finiront par le savoir malgré toutes les manipulations qu'ils exercent. »
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Merci Morad El Hattab.
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‘Toute vérité passe par trois étapes, d'abord elle est ridiculisée, ensuite elle est violemment combattue et enfin elle est acceptée comme une évidence.’
Arthur Schopenhauer
Affaire Brigitte Macron :
Une preuve en carton-pâte pour un procès en trompe-l’œil
Le procès dit du « cyberharcèlement » de Brigitte Jean-Michel, se pavanant dans le tout-Paris, tenu les 27 et 28 octobre 2025, aura surtout révélé la panique sourde qui règne à l’Élysée. Face à des questions gênantes mais légitimes sur l’identité de "Brigitte Macron", le pouvoir et ses relais médiatiques ont sorti l’artillerie lourde : une preuve si parfaite qu’elle en devient suspecte. L’affaire tourne à la farce tragique pour une justice instrumentalisée.
Mise à jour le 01/11/25
Une image générée par IA devient la pièce à conviction d’un procès bien réel.
Une preuve fantôme pour un frère fantôme
Le 27 octobre, BFMTV tente une opération de contre-feu en diffusant une photographie censée clore le débat. On y voit Brigitte Macron aux côtés de Jean-Michel Trogneux, son frère supposé, lors de l’investiture de 2022. Le triomphe est de courte durée. Une analyse sommaire de l’image la disqualifie immédiatement. Le bras de l’homme traverse l’épaule de Brigitte comme un spectre, une main présente des doigts fusionnés ou manquants, et les proportions anatomiques défient les lois de la physique (Proposez à votre conjoint(e) de réitérer la pose des Trogneux : Mission impossible). Les outils de détection Hive Moderation ou Illuminarty confirmeront ce que l’œil nu perçoit : cette image est une génération artificielle, probablement créée à la hâte pour les besoins de la cause. Son absence totale des archives officielles achève de la discréditer.
À lire aussi : Procès Brigitte Macron J2 : Le châtiment des sceptiques, la liberté d’expression condamnée
Le théâtre judiciaire
Pendant ce temps, le tribunal correctionnel de Paris joue une sinistre comédie. Dix citoyens, dont la médium Amandine Roy et l’ex-publicitaire Aurélien Poirson-Atlan, sont poursuivis pour avoir osé s’interroger publiquement. Les réquisitions sont sévères : jusqu’à douze mois de prison avec sursis et des milliers d’euros d’amende. On invoque sans preuve la santé dégradée de la Première Dame, on évoque des procédures pour transphobie, mais on refuse obstinément de produire les seules preuves qui calmeraient les esprits : des photographies d’époque, un test ADN, ou simplement la présentation physique de ce frère si présent dans les discours et si absent dans la réalité. Le délibéré est renvoyé au 5 janvier 2026, laissant planer le doute sur l’indépendance de la justice.
GÉOPOLITIQUE PROFONDE@GPTVoff
💥 Même le communicant de l’Élysée s’y met : pour faire parler du régime, il fait apparaître “Jean-Michel” sur les impôts. À force de mensonges, la propagande macroniste ne sait plus faire autre chose que de vendre ses propres scandales.
Quand le pouvoir s’amuse de ses zones d’ombre, c’est qu’il n’a plus rien à défendre. L’effondrement est en marche — et la continuité de la France ne dépend plus de lui.
@XavierPoussard balance tout avec @NicolasStoquer, en direct dans La Matinale de GPTV.
https://geopolitique-profonde.com/videos/brigitt
L’énigme Xavier Poussard
Dans ce paysage étouffant, le livre « Devenir Brigitte » de Xavier Poussard fait figure d’exception. Paru en février 2025, cet ouvrage documenté dresse un récit troublant de disparitions, d’archives manquantes et d’incohérences biographiques. Or, contrairement aux prévenus du procès, Xavier Poussard n’est pas poursuivi pour diffamation. Ce silence de l’Élysée est assourdissant. S’il s’agissait de calomnies, une plainte aurait été déposée dans les délais impartis par la loi de 1881. L’absence de procédure, huit mois après la publication, ressemble à un aveu implicite : les preuves avancées sont trop solides pour être contredites juridiquement. Cette stratégie de l’évitement est plus éloquente que toutes les communications officielles.
À lire aussi : Face à Zoé Sagan, le juge Pascal Praud a tranché : « Il faut tout lui piquer ! »
L’impasse
La chronologie de cette affaire dessine une imposture qui se fissure. Depuis les premiers doutes en 2017 jusqu’à l’explosion médiatique de 2025, chaque tentative d’étouffement n’a fait qu’alimenter la suspicion. La solution serait pourtant simple : une interview télévisée de Jean-Michel Trogneux, la production d’images d’archives incontestables. Le refus persistant de recourir à ces démonstrations simples interroge. Il suggère que le pouvoir préfère la censure et la mise en scène à la transparence, une stratégie dont l’échec devient chaque jour plus visible.
par Yoann
Louis de Dreslincourt
Brigitte et Jean-Michel, le mensonge des médias. Lourdes défaites de Macron, dissolution ?
Lien 823 commentaires :
« Merci à vous Mr Louis de Dreslincourt pour vos analyses toujours très pertinentes »
https://www.youtube.com/watch?v=nkZueh22E9U
Affaite Brigitte Macron : François Asselineau met en lumière l’étrange impunité judiciaire de Xavier Poussard
L'étrange immunité dont jouit Xavier Poussard, auteur du livre "Devenir Brigitte", interroge plus que les condamnations pour cyberharcèlement. François Asselineau souligne cette anomalie judiciaire : pourquoi le fond de l'affaire n'est-il jamais contesté ?
Mise à jour le 01/11/25
Pour François Asselineau, l’absence de poursuites contre Xavier Poussard en dit long sur la solidité de sa thèse.
Alors que des citoyens lambda sont condamnés pour avoir relayé l’hypothèse d’une substitution d’identité, le livre de Xavier Poussard, pourtant best-seller, n’a fait l’objet d’aucune plainte en diffamation. Cette abstention est lourde de sens. Porter plainte pour diffamation aurait obligé la plaignante à apporter la preuve que les affirmations de l’auteur sont fausses, l’exposant à une contradiction sur le fond que l’oligarchie semble vouloir éviter à tout prix.
À lire aussi : Affaire Brigitte Macron : Une preuve en carton-pâte pour un procès en trompe-l’œil
Le pouvoir semble ainsi préférer une justice instrumentalisée, ciblant la forme – le harcèlement – pour étouffer un débat de fond qu’il redoute d’affronter. Cette stratégie du silence, sous couvert de protéger, ressemble fort à un aveu de faiblesse selon François Asselineau.
Par Yoann
Lien YouTube 133 commentaires :
https://www.youtube.com/watch?v=WI78xzjoBqo
Le peuple de France demande des comptes à :
Jean-Michel dit ‘Brigitte’
1- Usurpation d’identité.
2- Crime de faux par représentant de l’Etat.
3- Usage de faux.
4- Atteinte sexuelle et viol sur mineur par personne ayant autorité.
5- Mariage illégal.
6- Usurpation de fonction.
7- Escroquerie au jugement.
8- Crime d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation.
Fact-checking. Brigitte Macron est-elle un homme ?
FAUX. ‘Brigitte est indubitablement une femme’, annoncent les chercheurs du CNRS et de l’institut Pasteur après avoir séquencé l’ADN d’une goutte de sperme de la première Dame.
A voir ou à revoir car analyse très édifiante.
Bertrand Scholler
Procès Brigitte Macron : cyberharcèlement versus liberté d’expression | Schiappa
Pour Tribune Libre, le 29 octobre 2025, Stéphanie Reynaud s’entretient avec Bertrand Scholler au lendemain du procès Brigitte Macron pour lequel il est sur le banc des prévenus #LoiSchiappa #AffaireTrogneuxMacron
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Juan Branco et les pros de la rébellion à Bistro Libertés - TVL
Lien vidéo 2193 commentaires :
« Juan Branco est d'une intelligence remarquable, il a toujours le contrôle de ce qu'il dit ! Quelle mémoire ! »
« Respect à tous ceux qui animent cette émission intéressante. Grand soutien à Maître Juan Branco. »
« Je suis à 80 ans une "FAN" de Juan Branco que je suis depuis 2017 ? C'est un être d'une intelligence hors du commun mais en même temps d’un grand humanisme. On ne se lasse jamais de l'écouter. Qu'il fasse très attention à LUI. On l'aime trop pour le perdre. »
« J'adore Maître Branco. Un bel Humain, pugnace, défendant la Vérité...au risque de sa vie ! Un HÉROS de notre temps. Profond soutien de 🇨🇭❤ »
« Courage Mr Branco vous êtes tellement au-dessus de ces voyous de politiques depuis que je vous connais je vous admire merci de résister pour nous » ❤❤❤❤❤❤❤
« J'ai bien aimé l'émission, mais j'en ai marre d'entendre que l'affaire Brigitte n'est pas importante, que c'est risible, que l'on veut pas vraiment savoir....enfin bref de minorer des délits extrêmement graves. La pédophilie et l'usurpation d'identité c'est pas un vol de riz au super marché, surtout quand le type en question gère le pays via sa marionnette lobotomisée depuis ses 14 ans. Savoir qui est réellement cette personne devrait être le sujet principal de la justice en ce moment. »
« Faudrait quand même que quelqu'un dise à Morillot d'arrêter de couper en permanence les invités, c'est chiant »
Cet animateur de l'émission est digne du comportement de ceux des médias de masse. Couper la parole et empêcher de développer sa pensée en utilisant des mots valises. »
« Tout le monde écoute quand Juan Branco parle »
https://www.youtube.com/watch?v=G_1D3PRPnGE
...... A voir ou à revoir
Tocsin La Matinale
AUBONTOUITE DEBRIEF L’ACTU
Sarko : Harcelé par les détenus concernant l’affaire Kadhafi, il demande sa libération
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Fin de citation.
Jim Leveilleur
C'EST CHAUD N°37
Retenez ce qui est bon
Âmes sensibles et oreilles chastes s’abstenir
https://vk.com/jimleveilleur?w=wall418567800_113287
Des Palestiniens témoignent des sévices subis dans les prisons israéliennes
Les conditions de détention des Palestiniens en Israël ont de nouveau empiré depuis le 7 octobre 2023, de nombreux témoignages faisant état d'actes de torture, de violences physiques et de violences sexuelles.
Nina Bailly
ven. 31 octobre 2025
Des bus transportant des Palestiniens libérés des prisons israéliennes dans le cadre d'un cessez-le-feu à Gaza arrivent à Khan Younès, dans la bande de Gaza, le 13 octobre 2025. | Majdi Fathi/NurPhoto via AFP
Dans la nuit du mardi 28 au mercredi 29 octobre, l'armée israélienne a bombardé la bande de Gaza. Le bilan s'élève à plus de 100 morts –dont pas moins de 35 enfants– selon la défense civile palestinienne, qui accuse donc l'État hébreu de « violation claire et flagrante du cessez-le-feu ». L'accord entre le Hamas et l'armée israélienne, mis en place depuis le 10 octobre, a permis de libérer 2.000 Palestiniens des geôles israéliennes en échange des 20 derniers otages vivants détenus par le Hamas.
S'il s'agit d'un grand soulagement pour leurs familles, les détenus palestiniens qui reviennent à Khan Younès et Ramallah portent parfois des blessures visibles, quand d'autres peinent à marcher. La plupart sont traumatisés: « Nous avons été battus jusqu'à la dernière minute », raconte l'un d'entre eux au Financial Times, qui a recueilli plusieurs témoignages faisant état de maltraitances et de tortures.
Les violences dans les prisons israéliennes se sont aggravées depuis le 7 octobre 2023. Ainsi, selon l'association Palestinian Prisoners Society, une organisation qui soutient les détenus et leurs familles, 80 Palestiniens sont morts en détention israélienne depuis le début des combats, soit un quart des 317 morts dans les prisons israéliennes depuis 1967.
D'anciens prisonniers, des responsables palestiniens et des groupes de défense des droits de l'homme ont parlé au Financial Times avant et après l'échange, au cours duquel Israël a libéré 250 Palestiniens purgeant pour la plupart des peines de prison à perpétuité et 1.700 Gazaouis arrêtés et détenus sans charges depuis le 7 octobre. Ces derniers ont détaillé des abus allant du maintien des prisonniers dans de mauvaises conditions sanitaires et des refus de soins médicaux à des violences physiques et sexuelles.
Une violation systémique des droits humains
Amani Sarahna est membre de la Palestinian Prisoners Society. Elle raconte qu'un prisonnier ayant témoigné auprès de son organisation avait été aspergé d'eau bouillante, tandis qu'un autre avait perdu la vue d'un œil après avoir été attaqué par un chien. Un autre prisonnier, s'exprimant auprès du Financial Times après sa libération, a raconté de son côté avoir été violé avec un bâton par des membres du personnel pénitentiaire, qui riaient pendant l'agression. Ses blessures ont saigné durant 22 jours.
L'administration pénitentiaire israélienne et l'armée nient ces violences et affirment avoir agi conformément à la loi. Cependant, les responsables israéliens reconnaissent ouvertement avoir durci les conditions de détention depuis l'arrivée au pouvoir du gouvernement du Premier ministre Benyamin Netanyahou en 2022. Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, figure de l'extrême droite, s'est même vanté à plusieurs reprises d'avoir mis fin à la soi-disant transformation des prisons en « colonies de vacances ».
Les témoignages recueillis par le Financial Times corroborent les recherches menées par d'autres organisations de défense des droits humains, notamment B'Tselem et la branche israélienne de Physicians for Human Rights (PHRI), qui ont publié l'an dernier un rapport détaillant les « violations systématiques des droits des Palestiniens ». Ces deux organisations ont également documenté des cas de violences sexuelles.
Naji Abbas, directeur du département des prisonniers et des détenus du PHRI, a déclaré que l'ONG avait rencontré 400 prisonniers palestiniens au cours des deux dernières années et que «100% d'entre eux ont déclaré avoir été torturés et avoir subi des violences physiques ».
Le Live d’Antoine du 31/10/2025
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....... A voir ou à revoir,
Louis de Dreslincourt
Macron à 11 % de satisfaits ! Réaction ? Il veut censurer les RS ! P. Cohen, Joffrin, applaudissent !
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.... à 91 ans Brigitte Bardot se déchaîne et révèle un secret sur la France la laideur règne en France!
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« Merci et respect Madame »
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Articles à suivre.
Bon Shabbat.
Le JournaLoup 284
Un Hôpital Psychiatrique à Ciel Ouvert...
Loup
Divergent 2025.10.31
Lien vidéo 6 commentaire :
"Analyses pertinentes et édifiantes sur Israël, sur l'immigration, le métissage, le racisme, tout ça tout ça ...... et + encore ! Merci Loup"
"OK pour la fabrique de catapultes"
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Vu dans la vidéo:
Julien Dray, de SOS Racisme à l’apologie d’Israël : le revirement de l’ex-leader « antiraciste » et ses « Arabes de service »
Il y a 40 ans, Julien Dray lançait SOS Racisme avec "Touche pas à mon pote". Il confiait les caisses de la Fête de la Concorde à son frère, chef du Bétar (groupe sioniste armé). Aujourd’hui ? Il avoue avoir choisi Fatima Ogbi comme "Arabe de service" pour gagner les banlieues.
Mise à jour le 02/11/25
Dray avoue avoir utilisé Fatima Ogbi. De la gauche antiraciste à l’extrême droite pro-Israël : même combat, même division. Les Français sont manipulés depuis trop longtemps.
Imaginez : un ancien pilier de la gauche, cofondateur et président de SOS Racisme, qui avoue avoir utilisé une élue musulmane comme « Arabe de service » pour rafler les voix des banlieues. Puis, des années plus tard, ce même homme invite une entrepreneuse franco-maghrébine à quitter la France parce qu’elle ose critiquer Israël. C’est l’histoire de Julien Dray. Entre son passé chez SOS Racisme, la Fête de la Concorde gérée par le Bétar sioniste, et son alignement actuel sur Zemmour et Knafo, décryptage d’un parcours qui sent la manipulation à plein nez.
Le clash viral avec Fatima Ogbi : « Arabe de service assumée »
Tout a explosé cette semaine sur X. Fatima Ogbi, maire-adjointe de Grigny et ex-suppléante de Dray au PS, balance un thread furieux. Dans une vidéo du collectif « agir ensemble », l’ex-député PS lâche :
« J’ai été député d’une circonscription où la majorité des électeurs étaient musulmans. Ma suppléante s’appelait Fatima. J’avais fait exprès de la prendre pour ça. Elle me faisait des scores incroyables à la Grande Borne et dans les quartiers. » — Julien Dray.
Pour Fatima Ogbi, c’est du mépris pur. Elle répond dans son thread :
« Il a parlé de moi comme d’une ‘Arabe de service assumée’ […] Il réduit des populations à des clientèles électorales, comme si un nom ou un visage suffisait à convaincre. » — Fatima Ogbi, 31 octobre 2025.
Suite de l’article et vidéos :
........ Pendant ce temps-là....,
‘Ne fais rien contre ta conscience même si l’Etat te le demande’
Albert Einstein
« Le choix le plus humain » : une jeune Israélienne condamnée à la prison pour son refus de servir dans l’armée
par Oren Ziv
Daniel Schultz, 18 ans, a grandi en croyant que l’armée israélienne était « la plus morale » du monde. Aujourd’hui, elle va en prison pour éviter d’y servir.
Dimanche, Daniel Schultz, 18 ans, a été condamnée à une peine initiale de 20 jours de prison militaire pour avoir refusé de rejoindre l’armée. Fait inhabituel, après avoir exprimé son refus et écopé d’une peine de 20 jours de prison au bureau de recrutement de Tel Hashomer, près de Tel-Aviv, Schultz a été renvoyée chez elle par les autorités militaires en attendant un rendez-vous avec la commission de conscience.
« Mon refus n’a rien d’héroïque », a-t-elle écrit dans une déclaration publiée avant son procès. « Je ne refuse pas parce que j’estime que mon action individuelle changera la réalité, et je ne pense pas que mes choix en tant qu’Israélienne méritent une attention particulière dans le débat autour de la libération palestinienne. Je refuse parce que c’est le choix le plus humain à faire. Face à des bébés morts de faim, à des villages entiers violemment expulsés et à des civils envoyés dans des camps de torture, le choix est évident ».
« À Gaza, en Cisjordanie et dans le reste du pays, l’État d’Israël et ses citoyens imposent un cauchemar au peuple palestinien, et l’opinion dominante en Israël est que chaque mesure de ce type est une « nécessité sécuritaire », poursuit la déclaration de Schultz. « Un pays dont la sécurité nécessite l’extermination d’un autre peuple a perdu le droit à la sécurité ».
« Une société capable de tels actes est une société malade », a-t-elle ajouté. « La société israélienne n’a aucune chance de se réhabiliter tant que le sionisme lui servira de principe fondamental ».
Deux jours plus tôt, des dizaines de manifestants se sont rassemblés sur le boulevard Rothschild à Tel-Aviv pour exprimer leur solidarité avec Schultz, à l’appel du réseau d’objecteurs de conscience Mesarvot. Des passants, parmi lesquels un soldat en uniforme, ont agressé physiquement et insulté les manifestants.
L’objection de conscience est extrêmement rare en Israël. Schultz rejoint ainsi une vingtaine d’adolescents israéliens emprisonnés pour avoir publiquement refusé la conscription depuis le début du génocide, il y a deux ans. Selon Mesarvot, l’armée adopte une ligne de plus en plus dure à l’égard de ces jeunes réfractaires, les renvoyant en prison après l’expiration de leur peine, car elle considère leur refus de se soumettre comme une « nouvelle » infraction.
Le premier à avoir été emprisonné après le 7 octobre, Tal Mitnick, a purgé une peine de 185 jours, tandis qu’un autre, Itamar Greenberg, a été incarcéré pendant près de 200 jours, soit la peine la plus longue infligée à un objecteur de conscience depuis plus de dix ans. Mesarvot a également déclaré que l’armée a cessé d’exempter les réfractaires après 120 jours de prison, alors que c’était auparavant une pratique courante.
Des policiers israéliens arrêtent le militant Itamar Greenberg lors d’une manifestation contre la guerre à Tel-Aviv, le 24 mai 2025. (© Oren Ziv)
Yuval Peleg, un autre objecteur de conscience, attend actuellement une nouvelle condamnation, après avoir déjà purgé 90 jours de prison en trois fois. Deux soldats, Omer Yoran et un soldat connu uniquement sous l’initiale R., qui ont commencé leur service militaire puis ont refusé de continuer à servir, ont également été condamnés la semaine dernière à une peine initiale de 20 jours de prison.
Dans une interview accordée au magazine +972 avant de se présenter au bureau de recrutement, Schultz a expliqué qu’elle n’a pas grandi sous l’influence d’opinions radicales de gauche :
« J’étais plutôt centriste, avec des valeurs libérales et humanistes », a-t-elle déclaré. « L’idée que l’armée israélienne serait « l’armée la plus morale au monde » était ancrée dans ma vision du monde ».
Cette vision a toutefois commencé à évoluer lorsqu’elle s’est inscrite, à l’âge de 16 ans, dans un internat international à Givat Haviva, dans le nord d’Israël, où des étudiants israéliens, palestiniens et internationaux étudient ensemble.
« C’était la première fois que je rencontrais et que je parlais avec des Palestiniens », se souvient-elle. « Les six premiers mois, j’ai été confrontée aux injustices : la réalité en Cisjordanie, l’apartheid dont sont victimes les Palestiniens à l’intérieur de la Ligne verte, et la situation à Gaza, même avant le début du génocide ».
Quand avez-vous décidé de dire non ?
J’ai décidé que je ne voulais pas m’engager à cette époque, pendant mes études à Givat Haviva. J’avais une colocataire palestinienne avec qui je discutais tard dans la nuit les six premiers mois de l’école. Je l’écoutais, abasourdie.
Elle m’a raconté comment son oncle avait participé à des manifestations en Cisjordanie, dispersées par l’armée israélienne à balles réelles en mai 2021. J’ai appris comment ses parents, citoyens israéliens, tremblaient de peur à chaque fois qu’ils voyaient un soldat. J’ai écouté sa colère et le sentiment de trahison face au choix de certains de ses amis de s’enrôler. Tout cela m’a profondément touchée.
Je rentrais chez moi le week-end et demandais à mes parents s’ils étaient au courant de tout cela. Leurs réponses étaient variables. Ils percevaient la réalité comme étant plus complexe que moi. Je vois le mal et mon premier réflexe est de lui résister. Nous avons eu de nombreuses discussions, mais ils se sont toujours montrés très compréhensifs. Ils acceptaient mon point de vue et ne me reprochaient pas mes idées sur l’État ou l’armée.
Une Palestinienne arrêtée par des soldats israéliens accompagnant des colons dans la vieille ville d’Hébron, en Cisjordanie occupée, le 25 octobre 2025. (Mosab Shawer/Activestills)
Au début, je pensais obtenir une exemption pour pacifisme ou pour raisons psychologiques. Mais avec le temps, j’ai réalisé que mon choix de ne pas m’enrôler est intrinsèquement politique et implique une déclaration politique. Je ne peux donc pas faire ce choix dans le plus grand secret et prétendre que le système est parfait et que c’est moi le problème. Je déclare que le système est le problème et je choisis de ne pas m’enrôler.
J’ai des amis dont toute la famille a été décimée en une nuit à Gaza. Cette souffrance et ce traumatisme sont insoutenables.
Comment votre famille et vos amis ont-ils réagi à votre refus ?
Ma famille n’est pas vraiment d’accord avec moi. Ils ont du mal à accepter cette notoriété publique, mais ils m’aiment et me soutiennent quand même. Je ne pense pas qu’ils soient en colère contre moi ou me jugent, et ça me donne de la force.
La plupart de mes amis et connaissances sont dans la même sphère radicale. Mon compagnon vient de sortir de prison pour avoir refusé de s’enrôler en août ; il m’apporte un soutien total et infaillible.
Votre refus est-il un message adressé aux autres jeunes Israéliens avant l’enrôlement ?
Je pense que le message le plus clair que je puisse adresser à la société israélienne à travers mon refus est que l’enrôlement est toujours un choix. Beaucoup pensent que le service militaire nous est imposé : vous avez 18 ans, vous recevez une convocation, c’est un processus passif. Mais en réalité, on a toujours le choix.
Je connais des gens qui ne soutiennent pas les actions de l’armée, mais pensent que l’enrôlement leur est imposé. Je veux leur faire comprendre que ce n’est tout simplement pas vrai. Si l’on vous demande de faire quelque chose qui va à l’encontre de vos convictions morales, vous êtes toujours en droit de refuser.
Essayez-vous également d’envoyer un message aux Palestiniens à travers ce refus ?
J’espère que mon refus leur donnera un peu d’espoir. Mais nous ne sommes que quelques dizaines de réfractaires sur des dizaines de milliers de conscrits. Ce n’est pas suffisant. Mais si, par mes actions et mes paroles, je peux faire en sorte que les Palestiniens, en particulier mes amis d’école, se sentent pris en compte, alors j’aurai fait ma part.
Refuser publiquement a-t-il été difficile, compte tenu de toute la haine et de l’incitation à la violence qui accompagnent un tel acte?
J’ai peur, mais je pense que mon refus m’a permis d’accéder à une tribune importante, à laquelle je n’aurais pas eu accès autrement. Je parle hébreu et je m’adresse à un public israélien pour exprimer une position qui n’est pas représentée dans les médias israéliens. Je pense qu’il est de mon devoir de profiter de cette occasion pour m’exprimer haut et fort et dire ce que je pense, même si c’est effrayant.
Vous avez le droit d’emporter quelques livres et CD, sous réserve d’inspection et d’approbation à l’entrée. Que choisirez-vous d’emporter ?
Beaucoup de livres. J’emporte La Désobéissance civile d’Henry David Thoreau et Whose Daughter Are You ? de Yali Hashash, un essai sur le féminisme mizrahi. Mais je ne pense pas que les refuseniks se contentent de théorie en prison. Je vais de toute façon souffrir là-bas, alors j’emporte quelques bons livres, comme Hunger Games et le premier tome, Lever de soleil sur la moisson.
J’emporte aussi des albums de Queen, Rona Kenan et Nurit Galron, l’intégralité des œuvres de Hanoch Levin, ainsi que l’album « Brat » de Charli XCX.
Lien de l’article 16 commentaires :
« Sûrement une lesbienne mais là n’est pas le sujet même si il y aurait tant de choses à dire ! »
« Je pense que le message le plus clair que je puisse adresser à la société israélienne à travers mon refus est que l’enrôlement est toujours un choix » Et oui il, suffit d’avoir de fermes convictions et du courage aussi pour les défendre. Il est vrai qu’il en faut en Palestine occupée pour s’opposer au système démoniaque. Elle au moins pourra être en paix avec elle-même, de ne pas avoir participer à ces massacres. Cela vaut bien 20 jours de prison. »
« Prochaine étape : récuser la nationalité israélienne et demander à en être déchu. Dernière étape : quitter définitivement la Palestine occupée »
« Chapeau très bas mademoiselle Courage et Merci. »
« Tout ceci est
un théâtre, ne soyons pas dupe. Comme si il y avait de gentils sionistes et de
très méchants sionistes. Le sionisme est une forme de colonialisme, exacerbé
par une dimension pseudo ethnique et religieuse poussé à son paroxysme
messianique et eschatologique.
En réalité ce sont des extrémistes fascistes et racialistes donc racistes au
sens étymologique. Le sionisme est un suprémacisme. »
« Je suis d’accord avec vous, mais il faut avouer qu’elle a vraiment des cojones de refusé d’aller assassiner des civils tout en sachant qu’elle va passer des mauvais moments en prison. C’est vrai qu’ils sont une très petite minorité mais c’est toujours ça de pris. »
« Je n’accorde
aucune crédibilité à un sioniste, même de gauche.
Je n’accorderai de la crédibilité uniquement à ceux qui récuseront la
nationalité israélienne et quitteront définitivement la Palestine occupée. Le
reste c’est du théâtre, d’ailleurs regardez la photo, elle prend la pose, c’est
littéralement une posture. Cette photo est tellement travaillée qu’elle en est
surfaite. Comment se fait-il qu’elle ne soit pas déjà incarcérée … Bref je n’y
crois pas une seconde et encore une fois qu’elle quitte la Palestine occupée si
elle est vraiment dérangée par ce génocide. »
« A 18 ans elle
est très probablement née là-bas, donc elle n’a pas choisi d’être colon. Les
sabras sont comme vous et moi, ils n’ont pas choisi leur lieu de naissance. A
un an ou deux près, j’aurais été conscrit et susceptible d’être envoyé
guerroyer en Algérie ; ce n’était pas marrant et pas vraiment propice à se
concentrer sur la préparation du bac.
Comme j’étais jeune dans ma classe je voyais la majorité aller se taper la
préparation militaire le soir après les cours – une condition du sursis.
A l’époque il n’existait pas de statut d’objecteur et la désertion à l’étranger
valait la peine de mort. Les objecteurs allaient en taule pour de bon.
A 18 ans nous avions le droit d’aller tuer des gens qui voulaient être maîtres
chez eux mais nous n’avions pas le droit de vote (majorité à 21 ans) ; version
enfant-soldat de l’époque. J’admire donc ces jeunes qui choisissent la prison
et l’opprobre plutôt que le déshonneur.
Leur courage pourrait d’ailleurs leur sauver la peau puisque la honte amène
certains de ceux qui ont porté l’uniforme à se suicider. »
« Bravo Daniel, tu n’es pas seule, nous sommes des millions avec toi! »
« Une commission de conscience »,
c’que c’est beau !
Mais fallait quand même oser l’inventer. »
Lien de l’article :
279 soldats israéliens ont tenté de se suicider depuis début 2024, selon un rapport de la Knesset
par PressTV
Un rapport publié mardi par le Centre de recherche et d’information du Parlement du régime israélien révèle qu’entre janvier 2024 et juillet 2025, 279 soldats israéliens ont tenté de mettre fin à leurs jours.
Ce rapport, qui a été rédigé à la demande du député Ofer Cassif, membre du parti d’extrême gauche Hadash-Taal, a fait savoir que pour chaque militaire décédé en raison d’un suicide, sept tentatives de suicide avaient été enregistrées.
Selon le rapport, les soldats représentaient 78% de tous les cas de suicide en Israël en 2024, soit une forte augmentation par rapport aux années précédentes : le taux oscillait entre 42% et 45% de 2017 à 2022, et s’élevait à seulement 17% en 2023.
Au total, 124 soldats se sont suicidés entre 2017 et juillet 2025, selon le rapport. Parmi ces personnes, 68% étaient des conscrits, 21% des réservistes et 11% des militaires de carrière.
Le rapport de la Knesset a révélé que seulement 17% des soldats qui se sont suicidés au cours des deux dernières années avaient consulté un psychologue dans les deux mois précédant leur décès.
L’augmentation du nombre de suicides et de tentatives de suicide a été liée à la montée en puissance de la mobilisation des réservistes tout au long de la guerre à Gaza, déclenchée le 7 octobre 2023, qui a ramené des dizaines de milliers de soldats au service actif.
La plupart des données proviennent du centre de santé mentale du Corps médical de l’armée israélienne, ainsi que des discussions menées au sein de différentes commissions de la Knesset.
Le rapport précise que ces chiffres concernent uniquement les soldats en service au moment de leur décès ou de leur tentative de suicide – qu’ils soient en service actif ou dans la réserve – et n’incluent pas les anciens militaires qui se sont suicidés après avoir quitté l’armée.
Une enquête militaire interne menée en août dernier a révélé que la plupart des suicides récents parmi les troupes étaient dus aux traumatismes psychologiques liés à la guerre, notamment les déploiements prolongés en zones de combat, le spectacle d’horreurs insoutenables et la perte de camarades.
Cassif, qui avait commandé le rapport, a averti mardi, en réaction à ses conclusions, que cette « épidémie de suicides » allait probablement s’aggraver dans les mois à venir.
En juillet, les médias israéliens ont révélé que près de quarante-huit soldats s’étaient suicidés ces derniers mois en raison de profonds traumatismes psychologiques et de l’exposition à des violences indicibles lors du génocide perpétré par le régime dans la bande de Gaza assiégée
Malgré les tentatives de l’armée israélienne de censurer les rapports sur les suicides de soldats et les circonstances qui les entourent, des preuves révèlent une forte augmentation de ces cas. L’armée aurait enterré certains de ces soldats sans funérailles militaires ni annonces publiques, dans un effort désespéré pour dissimuler l’ampleur de la crise.
source : PressTV
Lien de l’article 17 commentaires :
« Qu’ils aillent en enfer tous autant qu’ils sont pour les massacres commis contre la population palestinienne, femmes et enfants principalement. Que les survivants soient hantés par les images de leurs camarades déchiquetés par les embuscades des combattants palestiniens »
« Mort aux génocideurs barbares. »
« 🇮🇱 Pour leurs innombrables crimes à jamais injustifiables, impardonnables et inexpiables, le prix à payer par les monstres parias génocidaires israéliens est celui de l’insupportable déshumanisation intégrale, l’autodestruction. 🇮🇱 »
« 279 ont tenté, mais guère de mort d’homme…….donc :……….. »
… donc… PressTV le laisse du reste entendre, comme TOUT ce qu’affirme Israël, ces déclarations doivent être accueillies avec plus encore qu’un maximum de scepticisme! »
« Combien de victimes Palestiniennes déjà …? plus de 500000, femmes enfants vieillards compris, alors 279 TENTATIVES de jeunes non humains seulement, c’est bien trop peu. »
« Professeur Norman Finkelstein à l’université de Waterloo »
Lien vidéo 827 commentaires :
https://www.youtube.com/watch?v=6O5zgXeCynQ
« I dont take the crocodile tears » « Puissant, merci pour le partage ! »
« Je vous en prie. »
« Toutes les vies innocentes fauchées et volées par ces barbares nazis, qu’on a tout de même vu danser sur des cadavres, ivres de joie, dans une sauvagerie vengeresse tribale indéfendable, sont donc revenues les hanter. Il ne manquerait plus qu’ils se plaignent, et jouent les victimes ces connards: ce serait la goutte de trop. Marx nous avait prévenu: « Tous les grands évènements de l’histoire se déroulent une première fois en drame, et toutes les autres fois en farce ». J’espère qu’il y aura un jour un Nuremberg 2 et que ces sauvages peu civilisés et sans limite, qui sont un danger pour l’humanité, seront exécutés, tous, un par un. Rien ne serait plus juste. »
« Je suggère de préférence un Tribunal International de TEL-AVIV sur tous les crimes de guerre et contre l’humanité commis impunément par Israël… »
« Puisqu’ils mentent comme ils respirent, alors il faut multiplier ce nombre par dix ou vingt et c’est pareil pour le nombre qui se sont suicidés et aussi le nombre de ceux qui sont devenus complètement fou. De toute façon aucun humain sur terre ne va les pleurer. Ils ont fait un choix celui de partir à Gaza. Ils savaient qu’ils allaient assassiner des civils, bombardés des civils, alors qu’ils crèvent. »
« Ils devraient tous se suicider ces maudits, au moins ça éviterait à quiconque de devoir se salir les mains… »
« 279 suicides ratés, un record ! Plus facile de tirer sur des personnes désarmées que de se tirer un pélot en bouche. »
« Un bouddhiste ne saurait leur souhaiter de souffrir davantage puisque le but du bouddhisme est l’abandon de toutes les causes et de tous les effets de la souffrance pour qui que ce soit, sans jugement de valeur des êtres vivants qui sont de toute façon interdépendants, que ça. leur plaise ou non — et que de plus, tout le monde possède dans les profondeurs de ses consciences variées et diverses, même sans le savoir, les germes d’un karma latent non moins merdique que celui de l’ennemi ( comme celui de prendre malencontreusement naissance dans une famille sioniste : super merdique comme destination temporaire). Cependant, le sage constaterait stoïquement que décidément, « karma is a bitch » et conseillerait donc doctement à celui qui le vit, comme un Jedi à un guerrier Sith, de méditer sur sa condition véritable. »
« Bourreau d’aujourd’hui, victime de demain, où que ce soit. Tel est le drame que se tisse quand on déroule le rouet sans fin de la stupidité, de la cruauté et de l’avidité. Le drame est qu’on peut renaître dans le ventre ennemi par la loi de l’interconnexion des êtres. C’est alors l’ironie, qui est cruelle.
Voici pour l’illustrer :
Un jour, un ermite, retiré dans sa grotte où il était resté depuis des siècles absorbé dans la plus profonde des éditations, se leva et vint contempler le village en contrebas. Il vit une femme donnant le sein à son bébé goulu et son mari, furieux, chasser d’un caillou bien senti, le chien galeux qui souhaitait s’approcher.
Aussitôt, l’ermite fondit en larmes à la vue de ce spectacle apparemment banal.
Un paysan passant par là, étonné de voir l’ermite si profondément affecté, lui demanda pourquoi.
Le sage, entre deux sanglots sincères, hoqueta :
« Quel spectacle misérable !
— Quoi donc, l’ermite ? répondit le paysan.
— Vois la scène en contrebas.
— Oui, eh bien ? Il me semble que cette maman et ce père de famille font de leur mieux pour leur enfant.
— Oui, je sais, c’est ce qu’ils croient. Mais vois-tu, la sagesse que j’ai accumulé toutes ces années vient de me révéler quelque chose qui à l’instant, me bouleverse.
— Quoi donc, l’ermite ? S’enquit le paysan.
Le sage, entre deux hoquets, articula du mieux qu’il put, ses yeux anciens pleins de chagrin :
« Il s’avère, vois-tu, que le bébé si goulu au sein de la femme était dans la vie précédente son pire ennemi : un orphelin devenu cruel par jalousie et dépit de n’avoir connu ni père ni mère, et qui n’avait de cesse de tourmenter les jeunes mères qu’il abandonnait enceintes.
Le chien galeux que le mari vient si cruellement de chasser, c’était un enfant bien-aimé dans une autre existence.
La femme avait été autrefois un mari levant son nouveau-né au ciel, tout à sa fierté de jeune papa ; et le mari, à l’inverse, une mère éplorée et miséreuse abandonnant son enfant à l’hospice.
Nul ne le sait, mais si le bébé que tu vois est tant avide qu’il blesse le sein de sa mère en tétant, c’est qu’il a gardé quelque insatiabilité et cruauté de son existence précédente.
Quant au chien, c’est par accident qu’il est rené comme cela, mais il se souvient, vois-tu, de sa mère d’autrefois. Or, il venait tout juste de la reconnaître ; c’est pourquoi il s’approchait si joyeusement. Hélas, son apparence actuelle est devenue repoussante, tant le monde fut cruel avec lui tandis qu’il la cherchait partout. Et voilà que celui qui, dans la vie précédente, avait été une femme regrettant si amèrement l’abandon de son bébé à l’hospice, ne se souvenait plus de lui — le chassait sans pitié comme un intrus… »
Quelle misère que nous devions tous renaître encore et encore en laissant à chaque fois que nous trépassons, la mémoire de l’amour que nous éprouvions pour nos mères, pères et enfants d’autres temps sur le perron de l’exitence suivante !
Quelle tristesse que nous soyons incapables de nous reconnaître les uns les autres pour les proches, les chers parents, amis, amants que nous fûmes les uns pour les autres au moins une fois et à chacun notre tour ! »
Le paysan , pour la première fois de sa vie, versa lui aussi, des larmes d’ermite.
https://essentiels.bnf.fr/fr/extrait/700c26c4-5890-4778-96e9-385499e3fdf0-ermite
« Faudrait les encourager, dans un élan salutaire pour l’Humanité … »
Israël, après des raids meurtriers, admet que le Hamas n’était pas impliqué dans l’opération de Rafah
par Quds News Network
Palestine occupée – Israël aurait admis que l’opération qui s’est déroulée mardi à Rafah, dans le sud de Gaza, a probablement été menée par un groupe isolé qui n’était pas au courant du cessez-le-feu entré en vigueur le 10 octobre.
Mardi, Israël a annoncé avoir ordonné des frappes « massives et immédiates » sur la bande de Gaza, affirmant que le Hamas a attaqué ses soldats à Rafah et n’a pas libéré tous les prisonniers israéliens détenus à Gaza.
Le Hamas a toutefois nié toute responsabilité dans l’opération à Rafah et a déclaré dans un communiqué respecter l’accord de cessez-le-feu. La branche militaire du Hamas, les Brigades Qassam, a accusé Israël d’avoir violé la trêve.
Selon le site web israélien Walla, le groupe responsable était toujours dans les tunnels. Lorsque les forces du génie israéliennes ont frappé une section clé du réseau de tunnels dans la zone, les combattants sont sortis de sous terre et ont ouvert le feu sur l’unité.
Des sources proches du dossier ont déclaré que, selon les évaluations, il s’agit d’une cellule piégée dans les tunnels depuis longtemps et qui a mené l’opération en dernier recours.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a profité de l’opération de Rafah pour intensifier les attaques à Gaza. Depuis hier soir, plus de 100 Palestiniens, dont 46 enfants, ont été tués dans ces frappes meurtrières.
Après avoir tué des dizaines de personnes, l’armée israélienne a déclaré mercredi revenir au cessez-le-feu, conformément aux instructions de ses dirigeants politiques.
Le Hamas a accusé Israël de fabriquer de « faux prétextes » pour renouveler son agression à Gaza.
Les États-Unis ont exprimé leur soutien à Israël malgré ses violations du cessez-le-feu, soulignant le droit d’Israël à se défendre.
Le président Donald Trump a déclaré mercredi que le cessez-le-feu « n’est pas menacé » malgré les raids.
source : Quds News Network
*
100 Palestiniens, dont 46 enfants tués par les raids d’Israël sur Gaza malgré le cessez-le-feu
par Quds News Network
Au moins 100 Palestiniens, dont environ 35 enfants, ont été tués à Gaza alors qu’Israël a intensifié ses attaques sur l’enclave, violant une fois de plus l’accord de cessez-le-feu.
Que s’est-il passé ?
Selon la défense civile palestinienne à Gaza, les attaques israéliennes menées au cours des 14 dernières heures ont tué 104 Palestiniens.
Au moins 42 Palestiniens ont été tués dans des attaques israéliennes dans le centre de Gaza, 31 dans le nord et 18 dans le sud.
Le président américain a répondu aux questions des journalistes à bord d’Air Force One au sujet des attaques meurtrières israéliennes sur Gaza.
« D’après ce que j’ai compris, ils ont éliminé un soldat israélien », a déclaré Trump aux journalistes en réponse à des questions sur les frappes israéliennes à Gaza. « Les Israéliens ont donc riposté, et ils le devaient. Quand cela se produit, ils doivent riposter », a-t-il ajouté.
Après avoir tué des dizaines de personnes, l’armée israélienne a déclaré se conformer de nouveau à l’accord de cessez-le-feu à Gaza après avoir mené plus de 30 attaques.
Selon le ministère palestinien de la Santé, 46 enfants et 20 femmes ont été tués au cours des 14 dernières heures, tandis que 253 autres personnes ont été blessées.
Israël a-t-il violé le cessez-le-feu ?
Oui.
Le chef d’état-major de l’armée israélienne, Eyal Zamir, a menacé cette semaine de poursuivre le génocide à Gaza malgré le cessez-le-feu actuellement en vigueur.
Zamir a déclaré aux commandants lors d’une réunion des hauts responsables de l’armée que les objectifs militaires sont maintenus tant que les corps des prisonniers restaient à Gaza, a rapporté le Times of Israel.
« La guerre n’est pas encore terminée », a déclaré Zamir.
Ce que nous savons
Selon le bureau des médias du gouvernement de Gaza, depuis l’entrée en vigueur du cessez-le-feu le 10 octobre, Israël a violé la trêve plus de 125 fois. (sans les attaques de mardi).
Ces violations comprennent des crimes tels que des tirs directs contre des civils, des bombardements et des attaques délibérées, ainsi que l’arrestation d’un certain nombre de civils, reflétant la politique d’agression incessante de l’occupant malgré la fin déclarée de la guerre, a déclaré le bureau, après qu’Israël a intensifié ses attaques à travers Gaza.
Israël instrumentalise toujours l’acheminement de l’aide humanitaire, et a déclaré que le poste-frontière de Rafah entre Gaza et l’Égypte restera fermé. Selon l’ONU et les agences humanitaires, une augmentation importante de l’aide nécessaire pour atténuer la famine et les souffrances à Gaza après deux ans de guerre n’a pas encore eu lieu, malgré le cessez-le-feu qui prévoit une augmentation de l’aide humanitaire à Gaza.
Israël affirme que ces violations sont dues à la lenteur du Hamas à remettre les corps des prisonniers morts, dont certains ne sont toujours pas restitués.
Est-ce exact ?
Non.
Les négociateurs du Hamas ont déclaré lors des pourparlers de cessez-le-feu que la présence des forces israéliennes et les attaques génocidaires et aveugles d’Israël, qui ont causé des destructions massives, compliquent la tâche de localisation des corps des prisonniers décédés, nécessitant plus de temps et d’efforts.
« Ils ont clairement indiqué lors des négociations qu’il faudra du temps et des efforts considérables après le retrait des forces d’occupation israéliennes pour recueillir des informations sur les corps », a déclaré une source du Hamas à Middle East Eye.
« Cela a été clairement établi et accepté lors des négociations. L’accord signé comprend une clause très claire à ce sujet. La clause 5 e de l’accord stipule en effet :
« Mise en place d’un mécanisme de partage d’informations entre les deux parties par l’intermédiaire des médiateurs et du CICR, afin d’échanger des informations et des renseignements sur les otages morts qui n’ont pas été retrouvés dans les 72 heures ou sur les dépouilles des Gazaouis détenus par Israël. Ce mécanisme doit garantir que les corps de tous les otages puissent être exhumés et restitués dans leur intégralité et en toute sécurité. Le Hamas doit déployer tous les efforts possibles pour garantir le respect de ces engagements dans les meilleurs délais ».
Le Hamas a libéré les 20 prisonniers vivants au cours des premiers jours du cessez-le-feu. Au cours des derniers jours, il a également remis les corps de 15 personnes à ce jour.
Trump a évoqué plus tôt la difficulté de récupérer les corps des prisonniers israéliens dans les zones détruites de Gaza.
« C’est un processus horrible. Je déteste presque en parler. Mais ils creusent. Ils creusent vraiment », a déclaré Trump aux journalistes à la Maison-Blanche.
« Dans certaines zones, ils trouvent beaucoup de corps. Ensuite, ils doivent séparer les corps. C’est dur à croire. Certains de ces corps sont là depuis longtemps. Certains sont sous les décombres. Ils doivent d‘abord déblayer les décombres », a déclaré Trump.
« Certains se trouvent dans des tunnels, ils sont morts dans des tunnels, très profondément sous terre. Et les tunnels font environ un mètre de haut. Pouvez-vous le croire, un mètre de haut ? Ils ont longtemps vécu ainsi. C’est horrible », a-t-il déclaré.
La branche militaire du Hamas, les Brigades Qassam, a publié une déclaration affirmant avoir respecté ses engagements dans le cadre du plan de Trump pour Gaza en ce qui concerne les prisonniers israéliens détenus à Gaza.
« La résistance a respecté ce qui a été convenu et a remis tous les prisonniers vivants et les corps auxquels elle avait accès », a-t-elle déclaré.
« Quant aux corps restants, leur recherche et leur récupération nécessitent des efforts considérables et un équipement spécial, et nous mettons tout en œuvre pour clore cette étape ».
Les ministres, journalistes et analystes israéliens poussent également le gouvernement à reprendre le génocide à Gaza, les soldats prisonniers vivants ayant été libérés.
Le Hamas, accompagné du CICR, s’est joint aux équipes égyptiennes autorisées par Israël à rechercher les corps au-delà de la « ligne jaune ». Un porte-parole israélien a déclaré que l’équipe égyptienne utilisera des excavatrices et des camions pour les recherches. La ligne jaune est une ligne de démarcation non physique qui sépare les forces d’occupation israéliennes de certaines zones de Gaza, tout en maintenant le contrôle sur environ 50% de l’enclave.
Récapitulatif des raisons pour lesquelles le Hamas n’a pas pu retrouver tous les corps israéliens
• Destruction massive : certains corps sont enfouis sous d’énormes tas de gravats générés par les bombardements israéliens, nécessitant des engins lourds et une technologie de scan avancée.
• Accès restreint : plus de la moitié de Gaza reste sous contrôle militaire israélien, empêchant les équipes palestiniennes de se déplacer librement ou d’opérer en toute sécurité.
• Perte d’informations : de nombreux combattants de la résistance qui gardaient ou documentaient les emplacements des captifs ont été tués lors de frappes israéliennes, emportant avec eux des informations vitales.
• Contrôle fragmenté : certains prisonniers étaient détenus par des factions palestiniennes plus restreintes plutôt que par la branche militaire du Hamas, les Brigades Al-Qassam, ajoutant à l’incertitude.
• Blocus israélien : Israël continue de bloquer l’entrée d’engins lourds et de bulldozers dans la bande de Gaza, retardant les efforts pour récupérer les corps de ses propres prisonniers, tués par ses bombardements intensifs de l’enclave.
• De plus, Gaza ne dispose pas des capacités nécessaires pour effectuer des tests ADN afin d’identifier les restes décomposés. Des laboratoires équipés de la technologie PCR (réaction en chaîne par polymérase) sont nécessaires pour extraire le matériel génétique des tissus décomposés, un processus impossible dans les conditions actuelles du blocus israélien.
source : Quds News Network via Spirit of Free Speech
Lien de l’article 3 commentaires:
« Stupéfiant : le Hamas a retrouvé le corps d’un otage israélien dans la même maison où Israël avait mené « l’opération Arnon » le 8 juin 2024-un massacre qui avait fait plus de 270 victimes civiles palestiniennes.
La résistance avait affirmé qu’Israël avait tué trois otages ce jour-là, dont l’un possédait la nationalité américaine, mais Israël l’avait nié.
Avec cette découverte, il est désormais clair qu’Israël a bien tué des otages lors de cette opération, soutenue par les États-Unis. »
https://x.com/pblanrue/status/1983573889201664395?s=46
C’est confirmé
L’armée dit aux familles de trois otages, les avoir accidentellement tués en novembre. Les familles du sergent Ron Sherman, du caporal Nik Beizer et d’Elia Toledano ont été informées que des tirs de Tsahal étaient responsables de leur mort
Question : comment ça accidentellement alors qu’ils n’étaient pas armés et ne représentaient aucune menace ?
Pourquoi ils ont assassiné ? »
« L’Union européenne finance le ministère de la guerre d’Israël »
https://www.instagram.com/reel/DKaKVq6vJLs/?igsh=MXgzNmdqYTM4Z2dpZA==
« Le Brésil se retire de la mascarade de, voire la publication »
https://www.instagram.com/reel/DMvJxshsNnP/?igsh=Y2dsN2c0dWwzamw4
Lien de l’article :
Fin des articles.
C. Rosenzwitt-Makiewsky-Santri
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