Rappel:
Vaccination forcée et masque obligatoire sont interdits.
... expérimentation humaine sans consentement, est contraire au « Code de
Nuremberg »
Opposer le Code de Nuremberg à l’obligation vaccinale.
Le CFR américain (Council of Foreign Relations) a exprimé son inquiétude
à la lecture d’une décision de la Cour de Justice européenne (équivalent de la
Cour suprême aux Etats-Unis). Cette dernière autorise la possibilité de
poursuivre des fabricants de vaccins sans apporter de preuves scientifiques dès
lors qu’il existe un lien de causalité entre, par exemple, un vaccin de Sanofi
Pasteur contre l’hépatite B et la sclérose en plaques. L’affaire visait un cas
français : un homme en parfaite santé avait déclaré une sclérose après une
vaccination, il est décédé en 2011.
Pour la Cour de Justice Européenne, les citoyens européens doivent être
en mesure de poursuivre les fabricants à l’exclusion de toute preuve rapportée,
en raison de la disproportion de moyens entre les consommateurs individuels et
les grandes entreprises. Les tribunaux européens ont le devoir de protéger la
santé et la sécurité des consommateurs. Il faut assurer une répartition
équitable entre la personne lésée et les risques inhérents à la production
technologique moderne des producteurs de vaccins. Cette décision est partagée
par la Suède qui vient de décréter inconstitutionnelle l’obligation vaccinale.
Dans la foulée, la
présidence américaine a ouvertement posé la question de l’équilibre entre la
sécurité du citoyen et l’utilité des vaccins.
La décision prise
par la Cour de Justice européenne va-t-elle contrecarrer la volonté de la
ministre de la Santé d’Emmanuel Macron visant à imposer une vaccination obligatoire
pour onze vaccins ? On peut en douter car il existe plusieurs lectures du sujet
et les mondialistes veulent vacciner de force la nouvelle génération de 0 à 10
ans.
Le code de Nuremberg
« La vaccination
obligatoire, qui revient à une expérimentation humaine sans consentement, est
contraire au Code de Nuremberg », expliquait Mary Holland, docteur en droit et
professeur d’Université à la tribune des Nations Unies, le 4 mai 2016.
En effet, à la
suite des atrocités médicales nazies, le monde a adopté le Code de Nuremberg
qui affirme que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument
essentiel ». Le pacte international relatif aux droits civils et politiques
souligne également l’interdiction de l’expérimentation dans son texte de 1966.
Il stipule : « Nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une
expérience médicale ou scientifique. »
Opposer le Code de
Nuremberg et le pacte des droits civils et politiques à la vaccination de force
est parfaitement approprié. Nous sommes bien confrontés à une expérimentation
humaine de génie génétique d’ampleur mondiale qui comprend deux volets :
1°) le volet
chimico-biologique puisque les vaccins contiennent du Phénol, Thimerosal,
Mercure, Aluminium, Ethylène Glycol, Formol, Benzetonium, Squalène, SV40,
cellules cancérisées, Benzonase, ADN et ARN viraux, Edulcorants, OGM, albumine
humaine, antibiotiques sous forme de trace de néomycine, polymyxine B,
kanamycine, gentamycine, streptomycine, trométamol. Ces éléments combinés sont
mutagènes et à certaines doses mortels.
2°) le volet
nanométrique puisque les vaccins contiennent des nano-composants de tungstène,
titane, zirconium, hafnium, strontium, aluminium, nickel, fer, antimoine,
chrome, or, zinc, platine, argent, bismuth, cérium, cuivre, plomb, étain,
baryum, vanadium, magnésium, souffre, silicium, calcium, sodium, manganèse…
Les preuves de la
présence de ces nanocomposants vaccinaux ont été apportées par les docteurs
Antonietta M Gatti et Stefano Montanari pour le Conseil National de Recherche
d’Italie. Les résultats de leurs nano-diagnostics ont été publiés dans
l’International Journal of Vaccines le 23 Janvier 2017. (voir Morphéus n°81).
Les résultats de ce
nano-diagnostic sur 44 vaccins dont les onze obligatoires sont sur les bureaux
de tous les fabricants de vaccins. Ces derniers, n’ayant aucune réponse
scientifique à apporter, s’empressent de mettre leurs sbires aux postes des
ministères de santé publique. Ils entendent tuer dans l’œuf cette information
et prendre des mesures très coercitives pour imposer leurs vaccins.
Protections juridiques
Il existe d’autres
protections juridiques par exemple : l’article 3 de la Déclaration des droits
de l’homme, le nouveau Code civil qui reconnaît le principe du respect à
l’intégrité du corps humain, l’article 36 du code de déontologie médicale, les
différents arrêts de la Cour sur l’information transparente due au patient.
Citons aussi la loi Kouchner disant qu’aucun acte médical ne peut être pratiqué
sans consentement libre et éclairé du patient. Enfin, l’article 1111 de la
santé publique dit que tout citoyen a le droit à la liberté d’accepter ou de
refuser un acte médical, et la vaccination est un acte médical.
Cependant, la
preuve est faite qu’il s’agit d’une expérimentation vaccinale
nano-chimico-biologique sans le consentement des populations, cela relève bien
du Code de Nuremberg et du pacte international relatif aux droits civils et
politiques. Il s’agit donc bien de traduire tous les acteurs de cette folie
vaccinale expérimentale devant une Cour de Justice Internationale qu’ils aient
réussi ou non à imposer leurs soupes vaccinales…
L’Italie sous dictature vaccinale
En Italie, un
décret a été publié le 7 juin rendant douze vaccins obligatoires. Pour avoir
accès aux crèches et à l’école maternelle, les parents devront donc faire
obligatoirement vacciner leurs enfants. Faute de quoi, ils devront se replier
sur les nounous. Cette partie du dispositif concerne les enfants de moins de
six ans. En revanche, ils pourront inscrire leurs enfants dans le primaire,
mais devront payer une amende salée (entre 500 et 7500 euros) s’ils ont oublié
de faire vacciner leur progéniture. Par ailleurs, les parents réfractaires
seront également signalés au tribunal des mineurs et pourront être
temporairement déchus de leur autorité parentale. « L’objectif de ce décret est
d’éviter que les difficultés se transforment en urgences », estime la ministre
de la Santé italienne. Urgences, cela veut dire épidémies et augmentation du
taux de mortalité enfantine…. Et, pour débusquer les parents qui feraient de la
voltige anti-vaccins ainsi que les médecins complaisants prêts à signer de faux
certificats, le ministère annonce des contrôles perlés et ponctuels dans les
établissements italiens.
Ministères et Commissions dans les griffes des labos
Quelle est l’une
des fonctions du directeur de cabinet de la Ministre de la santé italienne De
Lorenzin ? Il siège au conseil d’administration du laboratoire Glaxo, qui a
reçu l’exclusivité pour la fourniture des vaccins obligatoires. Comme par
enchantement, c’est une italienne, Mme Testori-Coggi, qui siège à la Direction
Générale de la Santé de l’Union européenne. Cette dernière avait osé dire, le 5
octobre 2010, qu’à l’occasion des futures pandémies, la Commission européenne
devait décider, sur une base juridique forte et contraignante, et à l’instar de
ce qui se fait déjà pour les animaux, qui doit être vacciné.
Testori-Coggi : « Savez-vous que pour les animaux, pas pour les humains
mais pour les animaux, c’est la Commission qui décide des stratégies de
vaccination, qui va acheter le vaccin, ou quelle est la part qui doit être
vaccinée, combien d’animaux doivent être vaccinés. Pour les animaux, nous avons
cela, ce n’est pas contesté du tout. Il y a le caractère contraignant lié à une
base juridique forte. Et puis, nous avons des années d’expérience. Alors je
pense qu’en matière de santé publique, nous en sommes aux premiers
balbutiements pour commencer et puis, à un moment, nous y arriverons également
pour les êtres humains. »
Source :
Publié dans Morphéus n°83 septembre octobre 2017
Lien et commentaires :
« Il faut refuser ces vaccins contre le COVID-19 !
» affirme le Dr Pierre Cave.
Bill Gates :
L’incroyable arnaque derrière sa fondation.
Le journaliste Lionel
Astruc a enquêté sur la fondation de l'ex-patron de Microsoft, Bill Gates, l'un
des hommes les plus riches de la planète. Avec un budget annuel de près de 5
milliards de dollars, et sous prétexte de lutter contre les inégalités, la
fondation Gates nourrirait un système destructeur.
Lien vidéo et
commentaires :
« Cet homme
mérite la chaise électrique. Un philanthrope criminel... »
« Un psychopathe malade
qui veut soigner tout le monde. »
Fin du partage.
C.
Rosenzwitt-Makiewsky
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